AMOURS DE SHAWN

 

 

 

Je m’appelle Shawn, mais aussi Pénélope.

J’ai 20 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

 

LES AMOURS DE SHAWN

 

15 juin

Je suis étudiante en seconde année dans une université de la banlieue parisienne, en langues
Scandinaves plus option dessins.

Je suis lesbienne, me perfectionnant avec ma grande copine Charlotte, une brune aux longs cheveux, de 20 ans, aux petits seins comme moi et épilée. Il y a aussi Diane, mon professeur de dessins, une brune aux cheveux cours, de 35 ans, aux seins plantureux 95C et Fleur, mon professeur de français, une blonde qui ressemble un peu à Diane, mais aux petits seins. Diane et Fleur sont épilées, mais elles ont gardé leurs toisons pubiennes.

Il y a aussi ma sœur Aimée Valérie, 25 ans, qui me ressemble, mais avec des seins plantureux 90C, des cheveux mi-longs.

Pour les amants, je n’en ai aucun à ce jour. Mais l’Adonis du cours de dessin, que je dessine nu, m’excite. C’est Sven, un étudiant Suédois en séjour de trois ans. Il est séduisant, musclé, athlétique, 22 ans, très bien monté. Brice, mon cousin de 22 ans, est jaloux de me voir nue, quand je me douche devant lui, en échange de le voir, lui aussi nu, il est moins monté que Sven, mais je n’ose le caresser, ses caresses sur mon corps me font jouir.

Je collectionne mes amours lesbiens. Je loge dans un appartement à un quart d’heure à pied, loué avec Brice. Je cherche un emploi pour compléter le loyer.

Cet après-midi, c’est le cours de dessin, Sven pose nu. Je suis aux anges, mon slip de dentelle transparente est trempé sous mon pantalon, mes mamelons sont tendus par l’excitation sous mon soutien-gorge assorti, je lance de discrets clins d’œil à mon Adonis. Je fantasme chaque nuit en me godant la chatte, caressant mon clitoris tendu, nue, cuisses écartées, trempant mes draps. Sven ne le sait pas. Mais je ne suis pas encore prête pour un homme.

Vers 15 heures, nous marquons une pause. Diane me rejoint, avec sa robe estivale dos nu noire, assortie à ses sandales noires à talons de dix centimètres. Je suis chaussée d’escarpins blancs assorti à mon ensemble chemisier et pantalon.

Je me sens bien en pantalon, pour cacher mes superbes jambes que j’exhibe à la plage.

- Shawn, ma chérie, tu es pensive. Chaque fois que Sven pose, tu t’améliores. Tu devrais exposer tes dessins, tes aquarelles. Tu as un talent caché. Sven te plait, je me trompe.

Sven habite au second étage que moi, juste en face.

- Non, Diane, je suis toute à toi, comme à Fleur et Charlotte.

- Que tu es naïve, Sven te plait. Des clins d’œil, des invitations discrètes, je le remarque.

- Non…

- Alors, la belle, tu peux me montrer ton dessin du jour.

Je le montre. Il n’est pas encore achevé.

- Quelle belle érection, tu mouilles quand tu me dessines. Je bande quand je te dessine, quand tu joues le modèle.

- Je ne l’ai pas remarquée.

- On se voit à l’appartement. J’ai un cadeau pour toi, ma belle.

Nous finissons les cours vers 17 heures. Je suis encore sous le charme. Je vais lui donner mon slip, il le mérite. J’ai des jupes à porter, je vais les mettre ou des robes.

Au pied de l’immeuble, le coupé rouge BMW de Sven est déjà stationné. Il m’attend.

A l’étage, il m’attends devant la porte. Brice est déjà rentré, il est en seconde année dans une université voisine.

- Tu devrais monter dans ma voiture. Je pourrais te caresser, mais s’il te plait, porte des jupes pour sublimer tes jambes nues.

- Je le ferais. Je vais devoir me changer.

Nous entrons. Brice m’embrasse. C’est la première fois que Sven vient chez moi.

- Brice, voici Sven, mon Adonis du cours de dessin, il reste pour souper. Je m’occupe du souper. Je vais me doucher, je laisse la porte ouverte. Sven, tu pourras me regarder toute nue.

Je délire. Je suis amoureuse.

Aimée Valérie entre dans l’instant.

- Pénélope, tu es resplendissante, mets-toi à l’aise. En petite tenue pour ce bel Adonis, il s’appelle.

- Sven, j’oublie c’est le modèle de mes dessins pour mon projet artistique.

- Il est bien…

- Oui, très bien, je vais me doucher.

Je me déshabille sans aucune pudeur, mets mon slip trempé sur le lavabo. Sven l’aura.

La porte entrouverte, je découvre par le miroir, mes deux amants et Aimée Valérie prépare le souper.

Ma chatte ruisselle, mon clitoris est aussi dur que mes mamelons. Je suis très excitée. Je ne vais me caresser.

Je le fais, excitée, gênée, embarrassée, car seul Brice a le droit de me voir.

Je connais un violent orgasme, mes doigts dans ma chatte et sur mon clitoris.

Je me sèche rapidement et je rejoins ma chambre, sans fermer la porte.

- Eh bien, tu prends du plaisir souvent sous ta douche, me complimente Sven.

- Oui, mon chéri, souvent, n’est-ce pas Brice ? Tu as envie de moi.

Brice reste muet.

- Messieurs, j’ai besoin d’un coup de main, annonce Aimée Valérie.

- Fais-toi, belle, me murmure Sven, en effleurant mon sein droit avec sa main.

Dans la chambre, je reste nue devant mon miroir, cuisses écartées, mes poils sont perlés de ma mouille.

- Alors, Pénélope, robe, jupe, nuisette, hauts talons, queue-de-cheval, au choix, tu es la reine du souper. Surtout pas de slip, au fait où se trouve ton slip de la salle de bains.

Je l’ai discrètement donné à Sven, qui l’a mis à l’abri.

- Tu as allumé Sven, ma chérie.

- Non…

Je choisis une nuisette courte transparente blanche sans slip et des mules blanches à talons de dix centimètres, fardée, coiffée d’une queue-de-cheval.

La table est mise.

- Pénélope, tu es entre Sven et moi, Brice, tu te mets en face.

Les regards masculins concupiscents me font un drôle d’effet. Brice aime me regarder, mais là, c’est limite. Sven ne se gêne pas, une discrète caresse de mes seins avec la dentelle, une main sur mes cuisses. Vas-y, mon beau, je suis toute à toi.

Je fais le service, en me déhanchant.

Après le dessert et un café, pris au salon, je suis prise d’une folle envie de me caresser devant mes amants.

Cuisses écartées, je glisse mes mains entre mes cuisses humides et je connais un nouvel orgasme plus violent que celui sous la douche. Aimée vient me lécher le clitoris pour décupler mon plaisir. Les yeux mi-clos, je vois que Sven se plait du spectacle offert. Sa queue dans ma chatte, je délire.

- Bon, Shawn, je dois aller à mon appartement. On se voit demain.

- Je te raccompagne. J’aime tes caresses sur mes seins. Tu as vu comme mes mamelons sont tendus, mon clitoris c’est pareil.

- Tu as encore besoin de te caresser. Tu penseras à moi ce soir.

Après le départ de Sven, Aimée me rejoint à la cuisine, pour ranger la vaisselle.

- Tu es amoureuse. La belle gouine devient bisexuelle.

- Bi… J’aime les femmes uniquement. N’est-ce pas Brice ?

- Non, tu aimes Sven et les autres garçons de ta section te désirent.

Aimée m’accompagne à la douche avant son départ. Nous jouissons ensemble, caressées sensuellement.

Je passe une drôle de nuit.

J’ai surpris Brice regardant un film porno, où une sublime beauté se fait pendre en double pénétration, après avoir sucé les deux superbes Adonis bien montés. Je me retiens de jouir, en me caressant nue, derrière la porte entrouverte. Je l’observe jusqu’à l’éjaculation. Ma chatte est ruisselante et des gouttes tombent de mes cuisses.

Je rejoins ma chambre, nue, et me couche, bercée par les images que j’ai vue. Je dois mordre mon oreiller, par les orgasmes successifs. Je fantasme sur Sven et Brice qui me prennent en double pénétration.

 

16 juin

Vers 7 heures, je me réveille, me douche. Brice me rejoint.

- Alors, tu as bien dormi, ma belle. Je peux te caresser pour te doucher.

- Oui, fais ce qu’il te plait, je suis très en forme.

Sven t’attend. Il a laissé un mot sous la porte.

Après un petit déjeuner consistant, je choisis un chemisier blanc sur mon soutien-gorge blanc transparent en dentelle avec une jupe à mi-mollet noire, des escarpins noirs à talons de dix centimètres, fardée, coiffée d’une queue-de-cheval.

Je prends aussi le mystérieux cadeau dans une boîte que m’a remis Sven.

Je le suce, il est de calibre quatre centimètres sur sept, en acier. Je le glisse entre mes lèvres de ma chatte humide, sur mon clitoris tendu et enfin, dans mon anus que j’ai doigté pendant la nuit. Il est bien inséré. Je contracte l’anus pour découvrir une nouvelle sensation contre ma chatte en feu.

Je retrouve la BMW coupé de Sven, qui m’attend.

- En jupe, tu es désirable, ma belle.

- Tu es jaloux, que je sois en jupe. J’ai mis le bijou. C’est curieux.

- Oui, tu es tentée par une queue par là.

- Laisse-moi réfléchir un peu.

Je te dépose à l’université. Il me fait un long baiser langoureux sur la bouche. Je m’abandonne à lui.

A l’université, je retrouve Charlotte, en mini-robe fuchsia, avec des sandales noires à talons de douze centimètres.

- Quel est ce premier chéri ? C’est vrai, tu es gouine avant tout. Un chéri dans ta vie, cela te fait bisexuelle.

- Bi… Je suis gouine et pas autre chose.

- En plus, tu as les fesses nues, je présume. Miss caresse les fesses nues, tu vas avoir du succès. Un chéri, les fesses nues, tu changes très vite.

- Tu es jalouse de Sven. Nous sommes au cours de dessins de Diane, vient allumer Sven.

Comment Charlotte sait que j’ai les fesses nues ?

Les cours se font sans aucun souci.

Peu avant midi, je dois aller au café « Palais des Saveurs » à une rue de l’université, retrouver Fleur pour mon brouillon « Amours Erotiques d’un Prince Charmant » que j’ai écris.

Fleur est déjà là, vêtue d’une robe courte dos nu, noire, sur des bas noirs, chaussée de mules noires à petits talons, en compagnie d’un homme de dos.

- Shawn, tu es un peu en avance. Voici, le Baron H S d’O, un ami, il dirige une agence qui pourrait te recruter. Tu cherches un emploi pour ton loyer, en attendant que le comité de lecture sélectionne ton ouvrage. Il y a peu d’élus.

Le Baron est un superbe étalon barbu de 55 ans, athlétique.

- Assis-toi, dit le Baron. Jambes nues, je présume que les fesses sont nues, cela se remarque. Sven est votre chéri. Cela peut augmenter vos chances.

- J’ai pas le droit d’avoir la chatte à l’air, Baron. J’aime me caresser.

- Si, mademoiselle, Miss Hermine de Sade O se chargera de vous. Voici sa carte de visite, rester dans votre tenue. Disons 16 heures, à l’adresse indiquée. C’est l’agence Belle Elégance Casting. Il y a des castings organisés, mais vous, Hermine trouvera une mission à votre talent. J’espère que tu couches avec des hommes, attention, anal de rigueur. Les relations sont très exigeantes, tarifiées. Aucun écart n’est permis. Hermine t’en dira plus.

- Je ne peux refuser.

- Non, Hermine est déjà au courant de notre rencontre.

- Vous allez…

- Pas pour l’instant, il faut faire les formalités.

Le Baron disparaît après m’avoir offert un cocktail sans alcool et payer mon déjeuner.

Je suis troublée. J’ai acceptée.

- Ma chérie, tu dois vivre avec un homme. Brice n’est pas pour toi. Sven est ton profil idéal.

- Je choisis qui est avec moi. Hier, j’avais envie de Sven. Aujourd’hui, j’ai envie de toi.

- Tu dois le faire. Ton loyer sera payé tous les mois sans difficulté.

Je me rends à l’adresse. Je ne fais pas l’affaire, je trouve un autre emploi.

Vers 15 heures, je repère l’adresse, à trois rues du restaurant « Fleur de Jasmin » que je fréquente, sur un des boulevards.

L’entrée est celle d’un hôtel particulier. De superbes femmes en robes élégantes chic en sortent. Je ne peux rivaliser.

Un homme me suit.

- Tu cherches B E C.

- Je n’ose me retourner.

- Oui, je me suis trompée d’adresse.

- Non, au premier étage, porte gauche, Shawn la plume érotique et la dessinatrice, me dit la voix masculine.

Oui.

Je monte l’escalier en marbre. L’homme me suit. Il veut coucher avec moi.

Je sonne. J’entre, une séduisante beauté brune aux longs cheveux, en tailleur jupe mi-longue rouge sans chemisier dessous, sur des bas blancs, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres m’accueille.

- C’est toi, la nouvelle. Remplis la fiche et assis-toi en attendant. Dan, tu as fait un superbe travail. Miss Sade t’attend, elle a envie de toi. S ton partenaire, il est divin, quelle scène, j’ai joui.

Je délire.

Dan Eros, miss…

- Pénélope ou Shawn, selon vos désirs, qui est S ?

Dan est un superbe étalon musclé, brun, très élégant, en costume, 35 ans.

- Tu n’as pas vu mes films, tu rates quelque chose. Je crois que S m’a confié qu’il souhaitait faire l’amour avec une beauté comme toi.

- Sven…

- Oui, miss Shawn, patientez, dit Hermine, vêtue d’un chemisier noir entièrement déboutonné, sur des seins plantureux 95C, nus et d’une jupe blanche partiellement relevée sur ses jambes nues, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’un chignon, 45 ans.

Je suis troublée. Sven, Dan et moi, le trio parfait à mon goût, je suis aux anges.

En attendant, je continue à remplir la fiche.

Les questions sexuelles me troublent : anal, DP, TBM, lesbien, bisexuel, orgie, SM, clitoris, chatte, anus, seins.

Je ne sais comment répondre. Je donnerais mes réponses plus tard.

Hermine sort au bout d’un quart d’heure. Elle a pris du plaisir. Je dois voir les films de Dan.

- Shawn, viens.

J’entre dans le grand bureau avec une caméra.

- Déshabille-toi et ne bouge pas.

Je suis un peu gênée. Nue, je tente de cacher mes seins et ma chatte.

- Non, tu montres tout.

Elle lit ma fiche.

- Des questions non répondues, tu es novice pour certaines pratiques ou tu n’oses en parler, car tu as déjà pratiquée.

- Oui et non, madame, je suis…

- Pudique, tu te caresses en solitaire, ou avec une autre fille. Cette pierre entre tes fesses prouve que tu es anale. Tu enfonces le gode sans aller jusqu’au fond. Je sais repérer les vierges, surtout les doubles vierges. Ce n’est pas grave, comme escorte, tu seras déflorée par le premier venu, peut-être Sven.

- Oui, madame, je suis anale.

- Les vierges aiment se faire enculer, pour offrir leurs chattes à leur futur époux.

- Dan te plait. Cela se voit par ton excitation, tu te rends demain à ta visite chez un gynécologue homme, à jeun, pour d’autres examens. Rhabille-toi, tu vas faire les boutiques. Voici une liste, Charles Edouard ton chauffeur t’accompagne. Tu m’appelles Madame H, entre nous. Tu prends les enveloppes de tes clients, tu seras bien payée. Une double vierge, tu as des chances d’être sur le palmarès.

- Oui, madame, je devrais sauter des cours.

- Tout sera réglé. Tu es escorte après les cours.

Elle caresse mes seins, étire mes mamelons tendus, puis doigte ma chatte, en sollicitant mon clitoris tendu, libère mon anus qu’elle doigte, je suis au bord de l’orgasme, lorsqu’elle m’embrasse langoureusement. Des mains féminines prennent le relais sur mes seins.

- Alors, Cyrielle, que penses-tu de Saveurs Erotiques, notre nouvelle escorte ?

- Elle a du potentiel, très réceptive. Le docteur Oscar la fera jouir sans difficultés.

- Saveurs Erotiques est ton nouveau nom. Voici ton téléphone portable personnel de l’agence, un nécessaire de maquillage, tu dois être maquillée à toute occasion, suivant les indications. Garde ce bijou, en vue de tes prochaines sodomies.

Bien, je retrouve…

- Il t’attend, rhabille-toi. S m’a remis ton slip, tu as une excellente odeur.

Nous allons chercher à la pharmacie mon contraceptif, des préservatifs, une pommade calmante, au cas où, et un gel lubrifiant.  La limousine possède des vitres teintées à l’arrière et une séparation teintée pour mon intimité.

Puis je fais le magasin de chaussures, guidée par la vendeuse, avec six paires de chaussures à talons entre huit et douze centimètres. Les paquets de tenues féminines : jupes courtes, tailleurs, chemisiers transparents, robes moulantes, mais aucun pantalon, des porte-jarretelles, des bas assortis mais aucun soutien-gorge ni slip ni string. Je dois rester seins, fesses et jambes nues à toute occasion.

A chaque fois, je suis identifiée comme S E. Charles Alexandre me toise, j’ai envie de lui. Un bel Adonis blond athlétique, plus grand que moi, 30 ans, bien monté.

Vers 22 heures, je rentre à mon appartement, épuisée. J’ai mes colis, plus un paquet pris dans un sex-shop avec un bijou d’anus de calibre six, un gode anal réaliste et des nuisettes courtes transparentes, plus des revues hard d’orgies et anales pour m’exciter.

L’anus entrouvert, j’essaye un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Je jouis, avant de m’endormir nue, après une courte et rapide douche.

 

17 juin

Vers 6 heures, j’émerge, l’anus en feu. Je m’empale dessus et je connais l’orgasme anal en caressant mon clitoris tendu. Brice a tout vu à mon insu.

Sans le savoir, mon appartement est équipé de discrètes caméras depuis ma venue à B E C. Hermine et les futurs clients connaissent mes goûts sexuels.

Je dois faire l’amour avec Brice.

Il est en érection, nu.

- Prends-moi, dans la salle de bains. Encule-moi. Je sais que tu as très envie.

Le mandrin de trente-six par six me comble un peu, jusqu’aux testicules. Brice me caresse mon clitoris et je jouis encore, inondée de son sperme. Je le nettoie.

Je me douche.

Je me maquille : les paupières légèrement ombrées, ma bouche peint au pinceau avec un rouge clair, un peu liquide, et qui fonce en séchant, me peint du même rouge l'aréole et mes mamelons, et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage. Je mets une goutte sur mes mamelons et mon clitoris. Je passe un glaçon sur mes mamelons fardés. Le parfum est longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.

Mes seins offrent les mamelons constamment tendus, par les glaçons. Mes mamelons et mon clitoris sont sous l’effet d’une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.

Je ne déjeune pas. Ma robe mi-longue blanche avec un décolleté seins nus couvert par une bande de dentelle blanche, révèle que je suis seins nus, tout comme mes fesses, mes jambes nues. Je chausse mes mules blanches à talons de douze centimètres, mes ongles des mains sont vernis en rouge. Je garde mes cheveux libres.

Charles me conduit au cabinet du docteur Oscar, à cinq cent mètres du haut du boulevard où se trouve l’agence.

Je m’assois les fesses nues pendant tout le trajet, cuisses écartées. J’ai une folle envie de me caresser devant lui.

Le cabinet est caché des regards indiscrets, dans un long couloir d’une petite rue commerçante, avec diverses portes pour y accéder.

Au cabinet, Hermine m’attend, dans la même robe que moi, mais noire, sur des bas noirs, et en sandales noires à talons de huit centimètres, avec son chignon et la secrétaire du docteur Oscar. C’est une élégante blonde à la garçonne, en blouse blanche, de 30 ans, en mules blanches à petits talons.

- Prisca, voici la nouvelle Pute Anale S E, escorte en formation, elle sera l’objet des désirs d’Oscar. Elle a une sacrée chance. J’espère que le gode a élargi ton écrin et surtout ton œillet de vierge.

- Oui…

- Pas un mot, Prisca fait les examens. Oscar va te faire jouir, S E.

Nue, je suis livrée à Prisca, pour divers examens médicaux. Je suis caressée en présence d’Hermine, discrètement observé par Oscar, derrière trois glaces sans tain.

Je jouis.

Mes mensurations, mon poids sont vérifiés. Prisca écarte bien mes fesses pour vérifier que je porte le bijou d’anus calibre six.

Je rejoins le fauteuil gynécologique, écartelée, nue. Prisca me retire le bijou d’anus.

Le docteur Oscar entre, c’est un bel athlète brun barbu de 60 ans, en blouse.

- Elle est encore plus belle que sur la vidéo. J’ai hâte.

- Elle a aussi très envie. Une double vierge nubile attend de jouir. N’est-ce pas, S E ?

- Oui, Maîtresse.

 -Voyons, cette anatomie. C’est la première avec un gynécologue homme.

- Oui…

- Je vais vous fouiller, vous faire jouir. Ne simule pas surtout.

J’ai droit au spéculum.

- Abondante mouille, le gode a partiellement fait le travail, mais une queue la comblera. Le clitoris est bien tendu, ce sexe naturel m’excite.

Je jouis, les seins pelotés par Hermine et Prisca, qui sont nues.

J’avoue que j’ai fais l’amour avec Brice, mais pas encore avec Sven et Dan. Je raconte comment Brice m’a enculée.

- Brice est votre cousin.

- Oui… J’ai envie…

- Patience, je vérifie l’œillet et tu me suces ensuite.

Il retire le spéculum et me met un écarteur anal.

- L’anus est un peu étroit, mais d’ici quelque temps, il sera bien ouvert.

 -Enculez-moi…

- Elle est très active.

L’anus libre, je subis une longue baise avec deux éjaculations de son mandrin de quarante par sept, circoncis.

Mes seins, ma bouche et mon clitoris sont caressés pour mon excitation.

Ma mouille dégouline avec le sperme sur mon anus dès qu’il se retire.

Je le suce, avant d’être longuement enculée jusqu’aux testicules, toujours allongée sur le dos. Il me tient par les chevilles.

- Quel puits, elle me serre. Mets-toi debout, cuisses écartées, que je te défonce mieux.

J’obéis, la caméra filme tout.

Je connais un nouvel orgasme anal plus violent que celui chez moi. Je suis à nouveau doublement inondée.

J’ai droit à une canule reliée à une poire d’eau froide pour mon lavement anal. Je jouis encore.

Je me soulage aux toilettes, pour me vider et je pisse, cuisses écartées, sur la cuvette, sans porte. Je m’exhibe sans pudeur.

Elle est séduisante, ainsi.

Je me douche, au cabinet, exhibée encore. Je me caresse sans retenue, jouis.

- Approche, dit Oscar, penche-toi encore un peu.

Oscar, bande encore et m’encule une troisième fois et je le nettoie. Mon examen est réussi. Il m’embrasse même sur la bouche pour un long baiser langoureux et un ultime doigté anal. Je nettoie ses doigts.

Prisca me remet mon bijou d’anus.

Je me rhabille.

- Un autre rendez-vous dans un mois est prévu. Prisca, tu lui remets son certificat.

- Merci, Docteur, je n’ai jamais autant joui, même avec un gode.

- Pute Anale S E, tu seras enculée par tes clients à chaque rendez-vous.

- Oui, Maîtresse.

Charles me dépose pas à l’université, mais à un discret hôtel à quelques minutes de mon appartement.

Là, je rejoins la réception.

- Saveurs Erotiques, avez-vous un message à mon intention.

- Oui, Pierre Henri vous attend au petit salon, puis chambre 22 pour le déjeuner. Un petit déjeuner vous attend.

Au petit salon, un élégant homme d’affaires brun moustachu de 35 ans m’attend à une table avec un petit déjeuner.

- S E, élégante, H se trompe rarement. Superbes seins, j’espère que votre beauté sous votre robe comble mes désirs. Les photos et la réalité sont sensuelles.

- Oui, Monsieur, je suis à votre disposition : anal…

- Déjeune, nous irons à ma chambre ensuite.

L’homme ne cesse de regarder mes doigts et surtout ma nouvelle bague, sertie d’un anneau à mon annulaire gauche, remise hier par Hermine.

Rassasiée, nous montons à la chambre 22, au second étage, par l’escalier, non pas par l’ascenseur. Il me tient par la taille, caresse discrètement mes fesses nues sous ma robe.

- Fesses nues, bon, tu es une des Biches. Seins nus pour te caresser, bouche pour donner du plaisir et te prendre entre les fesses, enfin, tu es en formation, S E.

- Oui…

Je suis gênée, embarrassée, choquée par les termes employés. Qui sont les Biches ?

Dans la chambre, nue, je suis toisée.

- Garde ta chatte et ta toison pubienne velus, cela plait. Tu as déjà sucée, baisée, enculée, prise en DP, n’est-ce pas ?

- Oui…

Je dois sucer sa grosse queue de trente-six par huit.

Il m’encule dans diverses positions en éjaculant six fois et me laissant le temps de jouir.

Je suis pantelante, l’anus bien ouvert, dégoulinant de spermes ainsi que sur mes fesses brûlantes par les claques magistrales, pour me faire mouiller.

Il est seulement 10 heures.

Le compte de l’enveloppe m’intéresse et il le sait.

Mon anus est un peu douloureux.

- Va te doucher, je te regarde. Tu peux te caresser. Tu vas te reposer un peu, tu restes nue. Je peux te prendre quand je le désire.

Je laisse libre cours à mon plaisir. J’enduis mon anus d’un produit pour apaiser la douleur.

Il éjacule et je nettoie son mandrin et ses doigts, telle une soumise.

- Une maso, en formation, la cravache te plait, je présume. Oscar t’a bien fait jouir.

- Oui…

Je m’offre à quatre pattes, pour que la cravache cingle mes fesses. Je compte les coups et je mouille comme jamais. J’ai été fessée dans ma jeunesse.

- Tu mouilles, H va être comblée. Tu as le droit de manger, nue.

La soubrette amène la table roulante. Je déjeune, les seins et le clitoris caressés, par le client. Je me retiens de jouir.

Après une nouvelle douche jouissive, où il me caresse, me doigte et je le suce.

Je me retrouve nue, face à Sven, Dan et Pierre Henri, tous nus, en érection. Sven m’offre la vue de son mandrin de trente-huit par huit, Dan un trente-six par neuf.

Je suis rapidement prise en double pénétration, après un long 69 avec Sven. Je subis trois longues doubles pénétrations, peaufinant ma double défloration. Je ne compte plus mes orgasmes, mon clitoris douloureux tout comme mon anus écartelé, dégoulinant de spermes, tout comme mes fesses, mon pubis, mes seins, ma bouche et mon visage, pantelante, accroupie entourée par mes trois amants.

Sven reste avec moi, dans la chambre. Dan et Pierre Henri me quittent après un long baiser langoureux. Je me douche avec Sven, qui me caresse, m’encule sauvagement, penchée en avant. Je jouis et il éjacule encore. Sven me cravache aussi les fesses et les cuisses à ma demande.

Je fais mon lavement anal et je me rhabille. Il est 16 heures. J’ai peu dormi, câlinée par Sven.

Charles Alexandre me dépose, dans une nouvelle tenue que je mets à l’arrière. Une veste de tailleur fuchsia sur mes seins nus, un corset seins nus blanc, une jupe assez courte, fendue sur les deux côtés jusqu’à la taille et je garde mes mules, les cheveux libres, fardée et parfumée.

Nous sommes à une heure de l’hôtel, devant l’entrée d’un discret immeuble de luxe, avec un penthouse. Un élégant homme brun de 25 ans m’accompagne par l’ascenseur privé. Il glisse ses mains sous ma veste, pour vérifier mes mamelons, puis mes fesses nues. Je mouille.

Au dernier étage, au penthouse, je suis accueillie par Svetlana, une superbe blonde aux seins plantureux 90D, nue, intégralement épilée, avec des anneaux dorés au clitoris et à la chatte cadenassée par plusieurs anneaux reliés entre eux, l’anus bien entrouvert. Il y a Pilon Anal, un superbe étalon Africain noir, plus grand que moi, musclé, 40 ans, doté d’un quarante par neuf et Dresseur Eros, l’homme qui m‘a accompagné, avec un trente-six par huit.

- Déshabille-toi, montre ton corps de beauté, la nouvelle escorte Shawn ou Pénélope ou Anne Claire, dit Svetlana, en m’embrassant langoureusement sur la bouche.

Nue, je suis livrée au trio, sans retenue. Je dois les sucer, en les masturbant quand j’ai un en bouche. Svetlana me doigte longuement mon anus, enduit de ma mouille.

- Elle a un superbe clitoris. Elle est très excitée. Pilon, tu la défonce en premier.

Un léger vent frais entre dans le salon, sans rideaux, m’offrant aux voyeurs.

Pilon m’encule en douceur jusqu’aux testicules. Je jouis, mais juste ce qu’il faut, pour me réserver aux autres. Cela me fait punir par des claques magistrales.

- Quel puits, elle est déjà bien ouverte, ma queue lui fait plaisir.

Le plaisir avec P H, S et D décuple mon envie.

- Pine-moi profondément, entre deux fellations.

- Tu obéis. Tu suces. Ta bouche sert à sucer et à gémir, tu avales tout, ma belle, me rappelle Svetlana.

Dresseur Eros m’encule ensuite et enfin, Svetlana avec un gros double gode réaliste comme celui pour m’enculer à l’appartement.

Je suis aspergée de spermes, avant une longue double pénétration en alternance sur mes deux amants.

Je reste jusqu’au coucher du soleil, empalée entre les cuisses de mes amants, au souper, nue.

Je porte mes carcans de cuir, une première pour moi.

Svetlana me met des carcans de cuir à mes poignets, fait en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets à mes poignets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet.

- Comme cela, tu seras une superbe Biche soumise. Tu es une maso, tu jouis cravachée.

- Oui, Maîtresse.

Tu seras enculée jusqu’au lever du soleil, par d’autres invités, les yeux bandés.

Menottée dans le dos, je suis enculée jusqu’à l’évanouissement. Je suis douchée, suspendue à un crochet, l’anus propre par le lavement anal.

 

18 juin

Vers 9 heures, j’émerge, nue, menottée à mon lit, dans une grande chambre, une chaîne est fixée à mon collier, mes jambes sont maintenues écartées par une barre d’écartement, un gros gode anal me défonce, pour m’écarteler. Je porte un bâillon-pénis et un masque de nuit.

- La belle se réveille. Quel spectacle, tu as enfilé les orgasmes. Les va-et-vient sont réalistes. Tu as un rendez-vous dans deux heures. Tu auras le temps de déjeuner, nue, avant de te doucher et de mettre ta nouvelle tenue de Biches, dit Svetlana, en me libérant.

Les pièces sont vides. Je suis seule avec Svetlana. Elle a aussi pris du plaisir, en me filmant, tout comme à l’hôtel.

Je mets une robe moulante dos nu, noire, largement ouverte devant et derrière par un système de ficelle pour les dénuder, un porte-jarretelles et des bas noirs, avec des escarpins noirs, fardée et parfumée. Je dois me coiffer d’une queue-de-cheval.

Svetlana me montre comment dénuder mes fesses et ma chatte.

Je dois porter un bijou d’anus plus gros, calibre sept, plus lourd, pour me garder plus ouverte. Il rentre sans problème. Je récupère les enveloppes. Elles sont bien remplies.

Vers 11 heures, ce n’est pas Charles Alexandre qui vient me chercher, mais Dan à bord de sa Porsche 911 cabriolet noire.

- Bonjour, chérie, tu m’as manqué depuis hier. Tu as bien joui hier soir.

- Oui, Dan, je suis un peu fatiguée.

- Oui, une escorte doit rester disponible. Pour tes cours, tout est réglé. Tu as envie de moi. Nous allons au Domaine, tu es très attendue.

- Au Domaine, qui sont les Biches ?

- Tu es très curieuse. Madame, ne plaisante pas à ceci. Elle est très stricte, tu prends du plaisir, cela compte. Le reste est confidentiel.

- Je serais punie alors. Caresse-moi, j’ai très envie.

Nous roulons une bonne heure loin du penthouse, vers la forêt. Je jouis avec le bijou d’anus.

Nous allons jusqu’à une grille déjà ouverte, sous bonne garde, avec des maîtres-chiens, des gardes montés et je découvre un hélicoptère Dauphin stationné devant un élégant bâtiment, le pavillon de chasse.

Je suis fouillée, caressée, par deux des hommes, mon identité est vérifiée.

Une fois le perron franchi, Dan me laisse seule.

Je baisse les yeux dès que j’ai franchi la grille, par respect pour les hommes.

- S E, te voilà. Tu es à la hauteur sans te plier aux règles des Biches. Svetlana m’a parlé de tes écarts, P H aussi. Des vidéos de toi circulent, cela est contraire. Tu me dois la vérité, dit Madame, en peignoir satin noir sur son corps nu, en mules noires à petits talons, coiffée d’un chignon.

- Je ne sais rien.

- Tu ignores l’auteur des vidéos, qui arrivent sur ta messagerie de ton téléphone portable que je garde précieusement. Miss Caresse est le titre récurrent.

- Miss Caresse est mon pseudo lesbien. C’est…

- Je fais mon enquête. Une partie de tes frais sera déduit et remis ensuite, si tu dis la vérité.

- Je souhaite continuer.

- En plus, tu veux rester. J’aurai du te faire dresser plus tôt, ainsi toute faute commise aurait été sanctionnée. Bon, je te livre deux jours au Domaine. Tu seras livrée comme soumise, malgré ta bague, prise par les fesses sans répit, tu jouis, fouettée et ta bouche sera dressée, dans le silence.

- Oui, Maîtresse, je suis à la disposition des queues qui me prennent.

- J’aime mieux ces paroles. Tes reins seront tatoués, c’est prévu. Tu seras nue pour ton premier séjour. S E, tu coopères, tu es récompensée, sinon, tu seras punie, car tu es la Maîtresse de Sir Sade.

Nue, je reçois mes carcans de cuir. Je suis baignée par deux Biches de mon âge, nues, au clitoris percé, comme le mien dans l’instant, ainsi que mes grandes lèvres.

Les valets bien montés m’enculent lors de ma première journée et d’autres invités, livrée à eux, les yeux bandés. Je subis mes sodomies sans jouir, caressée juste ce qu’il faut.

Dans ma chambre, je dors nue l’après-midi, enculée à toute heure, sur un chevalet. Je n’ai droit à aucune intimité, comme pour la douche, suspendue à un crochet, fouettée dans divers endroits, même dans le grand jardin. Je porte des pinces à seins à clochettes pour sensibiliser mes mamelons tendus.

 

19 juin

A l’aube, je suis cravachée sur les fesses et les cuisses, selon les règles du Domaine. De mystérieux sexes m’enculent, plus gros et je connais de violents orgasmes jamais connus auparavant.

Je suis offerte à des invités, qui me font sucer et m’enculent, me fouetter aussi.

Je porte aussi un anneau doré serti d’une pierre précieuse à mon clitoris constamment tendu et un anneau doré à chacune de mes grandes lèvres.

Mes reins sont tatoués « Anale S dévouée », en lettres gothiques. Je ne peux les cacher.

Mon excitation sexuelle est au summum par ce besoin de soumission que j’éprouve. J’en suis fière, d’être soumise. Je ne sais combien de mandrins j’ai sucée, ceux qui m’ont enculée à toute heure, assez gros pour écarteler à plaisir, en plus du gode anal cadenassé, que je porte. Mes fesses brûlantes par la cravache, la garcette et la chicotte me font mouiller pour mes amants.

Au Domaine, lors de mes sorties de ma chambre, nue, en mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres, avec mes clochettes à mes mamelons et à ma chatte, tenue en laisse par un valet, escortée par deux autres tenant chacun un chien, souvent un berger allemand, je suis promenée dans les couloirs au sol recouvert de marbre, les yeux baissés, fardée, parfumée, devant les murs recouverts de glaces et de miroirs pour m’observer.

 

20 juin

Vers 16 heures, menottée à mon chevalet, je reçois la visite de Sven, que je suce, en compagnie d’autres valets et je suis enculée par eux et un autre sexe mystérieux.

Sven est heureux de ma disposition, de mes marques du fouet et surtout de ma docilité.

Vers 20 heures, Sir Sade, un bel Adonis athlétique de 50 ans, bien monté, nu, me rejoint, avec un autre dont je ne vois que le mandrin bien monté.

- C’est S E, la nouvelle chienne, escorte et étudiante à ses heures, auteur de « Amours Erotiques d’un Prince Charmant » qui pourrait se transformer en « Histoire de S, chienne et escorte, car elle a du talent, son vécu pourrait faire vendre.

L’idée m’excite.

- Ses fesses sont bien ouvertes, Adam l’a prise très souvent, son plaisir avec Adam est bien visible.

- Oui, les vidéos le prouvent. Quelle bouche dressée, son puits est bien ouvert, j’aime surtout ce côté naturel, très rare pour les beautés de son âge, épilées. Cela a un certain charme. Je ne peux voir ce superbe regard vert, mais elle le montrera en temps voulu. Silencieuse, docile, elle est donc prête à partir.

 - Oui, reins tatoués, clitoris et chatte percés comme stipuler sur sa fiche, des photos d’elle récentes ont été rajoutée pour les clients. Elle gagnera davantage. Les invités qui l’ont prise, ont bien payés, elle a eu sa part. Je la libère, elle se douche et elle est à vous. Je lui retire ses carcans.

Libre, de mes carcans, je me douche, les yeux baissés. Je mouille abondamment. Ces paroles m’ont excitée.

Le second repart, sans m’enculer. Je suis fardée et parfumée.

Je découvre sur un cintre, ma tenue : un chemisier blanc, une jupe éventail noire, un string de dentelle blanche, cela fait longtemps, un porte-jarretelles et des bas blancs et des sandales blanches à talons de douze centimètres.

- Tu seras ainsi sensuelle. Le string c’est pour quelques heures. Tu t’appelles désormais Soumise S, tout simplement. Montre-moi ton corps plus près. Je veux le caresser. Tu es libre de te caresser dans ton nouveau paradis. Tu me considère comme ton chéri et je te tutoie et tu me vouvoie désormais.

Il m'attire pour examiner mes reins et mes fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans.

- Tes fesses et tes reins me plaisent. Les amants qui ont ce privilège de te prendre, n’ont aucun regret avec toi. Habille-toi, le string c’est pour ta punition.

Habillée, je quitte ma chambre au rez-de-chaussée, les yeux baissés, tenue par la main.

Nous arrivons au perron. Je porte mon bijou d’anus calibre sept pour ma sortie.

Une Ferrari F40 noire nous attend. Je relève ma jupe pour m’asseoir les fesses nues, cuisses écartées, le chemisier non boutonné. Il m’embrasse langoureusement sur la bouche avant de partir.

Nous roulons vers le centre-ville, puis longeons l’hôtel « Jardins d’Eros », non loin d’un circuit automobile.

Après deux heures de route, nous arrivons dans un quartier résidentiel sécurisé, à environ une demi-heure de l’agence. Un immeuble de deux étages desservi par un parking extérieur en passant par un discret tunnel m’attend.

- Voici, ta nouvelle adresse « Oasis des Roses », ton appartement est au second. Je t’accompagne. Tu es un peu fatiguée, car cette longue et dernière journée au Domaine a épuisée tes forces sexuelles. Tu as besoin de repos. Madame n’a pas encore finie, mais demain, tu auras une journée d’escorte très spéciale.

Nous montons l’escalier. L’appartement donne sur la rue et une allée commerciale avec un salon de beauté, de coiffure, un traiteur et un discret immeuble sans aucune marque commerciale.

- C’est le « 6996 ». Tu dois posséder une carte d’accès, un code confidentiel et une recommandation. Mais c’est Madame qui décide.

- C’est pour une bisexuelle comme moi, soumise, par exemple.

- Oui, selon comment tu es accompagnée. Les femmes seules ne peuvent y entrées.

- Puis-je me reposer ?

- Je vais te laisser. Tes affaires arrivent demain dans la journée, mais tu as le strict nécessaire.

- Mes affaires…

Je m’effondre sur le lit de la grande chambre, épuisée. L’homme me déshabille, me démaquille, me glisse nue sous les draps. Il n’y a aucun rideau ni volet.

Il me fait un long baiser, une main sur mon sein droit et l’autre entre mes cuisses humides.

- A demain, ma belle.

Il referme l’appartement à clé.

Je fais d’étranges rêves érotiques, fouettée, enculée, en orgie, en compagnie de chiens. Des chiens peuvent-ils me prendre ? Je délire.

 

21 juin

Vers 7 heures, j’émerge, regardant mon téléphone portable de l’agence. Mes clients m’ont envoyé des messages pour prendre de mes nouvelles ; Je leur réponds brièvement.

Je me caresse sous ma douche, me fais mon lavement anal, au cas où et je glisse mon bijou d’anus.

Mon téléphone sonne. Mon petit déjeuner a été porté par un livreur d’un traiteur.

- S E, c’est Madame. Tu es attendue au circuit près des « Jardins d’Eros ». Tout est indiquée dans la boîte à gant de la Ferrari au parking. Tu conduis en douceur, pas d’accident. J’espère que tu réussiras les défis d’escorte.

Elle raccroche.

Je trouve une enveloppe avec un plan du circuit automobile. Un badge Shawn et un autre nom Jean, un homme, plus un autre nom Hubert, le responsable des voitures de sport, section Alpine.

Je suis surprise, mais je dois m’y rendre. Je choisis une robe moulante blanche sur mon corps nu, des sandales blanches à mes pieds vernis en rouge à talons de douze centimètres, les cheveux libres, fardée et parfumée.

Je me rends au circuit vers 10 heures.

Je rejoins le parking. Un voiturier stationne ma Ferrari. Il y a d’autres belles sportives, coupés, cabriolet de grandes marques.

Hubert me rejoint. C’est un bel Adonis de 35 ans, brun, moustachu, un peu plus grand que moi, attentionné.

- Tiens, Shawn, je m’attendais à un homme.

- Je peux repartir, si cela est une contrainte pour le stage de pilotage d’Alpine, si je ne me trompe pas.

- Non, restez, j’ai trois couples féminins sur le stage, dont un seul en Alpine avec Jean.

- Jean est une femme.

Un vestiaire vous attend. Puis une réunion est prévue avant les tours.

Au vestiaire, je découvre Jean, une superbe beauté blonde, à la garçonne, aux petits seins nus comme moi, sous sa combinaison entrouverte.

- Shawn, c’est toi. Escorte, dessinatrice et auteur, c’est cela.

- Oui, Jean c’est Américain.

- Superbe poitrine, tu es encore naturelle, la gent masculine va aimer. Tes reins sont tatoués comme moi, bijoux intimes, mais moi, ma chatte est cadenassée.

Nous allons à la réunion. Je suis toisée, jugée sur mon physique.

- Enfin, voici le dernier couple, Shawn et Jean, sur Alpine, en position 4 pour le chrono sur six tours. C’est Jean Hubert qui assure les chronos.

- Il y a du beau monde, dis-je. J’espère que les trois couples féminins peuvent finir pour le second niveau.

- Oui, surtout que le second niveau comprend que quatre voitures sur les 18 au premier.

Mes chances sont minces.

Les hommes font rapidement ma connaissance après les derniers préparatifs. Sous mon casque, je suis anonyme.

Sur les six tours, je tiens le rythme, Jean est surprise par mes chronos. Je suis prudente, je tiens à préserver l’Alpine.

Le classement général me classe 3e sur 18.

Je suis surprise. Jean Hubert, un grand brun de 45 ans, me rejoint.

- Chapeau, pour une stagiaire de dernière minute, c’est Madame qui a pensé à toi. Tu as du charme en plus.

Je retire mon casque, secoue mes cheveux.

- Remet ton casque, départ dans une demi-heure, les mécaniciens vérifient ton Alpine.

- On se voit après, Jean Hubert. Tu me plais.

- Cela dépend de ton classement, seuls les trois ont droit au podium. Fais de ton mieux.

 Je fais de mon mieux, mais un souci me pénalise lors du 12e tour, je dois quitter ma seconde place pour une 4e. Je préviens le stand :

- Alpine 12, souci mécanique, je lève le pied.

- Bien reçu, essaye de finir, dans deux tours.

Je lutte pour reprendre une 3e place, mais cela se joue à une demi-seconde.

Le moteur est inspecté, j’ai failli finir sans hydraulique ni électricité.

Les mécaniciens m’embrassent et me disant :

- Tu es la meilleure, Pénélope, une autre stagiaire aurait abandonnée.

Jean Hubert me prend à part.

 -Va te changer, tu vas tirer au sort un lot de consolation.

- Un lot de consolation, un séjour comme étudiante chez Alpine.

- On verra.

Je me change, les regards masculins se sont plus insistants, concupiscents, séducteurs.

Jean reste à mes côtés, pendant le buffet.

Shawn est attendu pour la grande coupe remise pour la meilleure pilote combattive.

Je rejoins le podium, les hommes regardent mes cuisses nues. Je mouille, mes mamelons sont tendus, je suis excitée.

- Merci, dis-je, surprise, je suis une novice. Tiens, j’ouvre l’enveloppe. Charles Xavier et Damien sont les vainqueurs.

Je perds un peu au change, Charles Xavier est un brun chauve de 60 ans et Damien, un blond musclé de 25 ans.

- Tu dis à Jean de nous accompagner. C’est toi, l’escorte, dit Charles Xavier.

- Oui, mon corps te plait. Cela peut se négocier.

- Non, dit Damien, on fait l’amour à quatre à l’Eros. C’est à toi la Ferrari sur le parking.

- Oui, je la conduis, messieurs.

- Non, je ne pensais pas, dit Damien.

- On verra au lit, si tu sais me baiser et m’enculer. J’aime les grosses queues et les hommes experts.

- Ma chérie, tu es déjà en mode amoureuse.

A l’Eros, nous y allons avec la Ferrari et la BMW sportive de Charles Xavier. Je conduis Jean.

- Tu es très excitée, Charles ou Damien, m’annonce Jean.

- Charles me plait.

A l’accueil, une élégante blonde, en tailleur fuchsia nous accueille :

- S E et Jasmin, je vous vois en vrai. Vos talents combinés feront des ravages. Un déjeuner vous attend, puis la suite nuptiale pour les ébats et la suite Vénus pour vous les belles.

Le déjeuner a lieu avec une vue sur le grand jardin avec une fontaine, un aperçu du circuit sur un des virages. Madame a envoyé les tarifs à nos clients.

Après le déjeuner, nous allons dans les suites.

Nus, nous commençons les caresses et nous suçons en 69.

Damien abandonne après une double sodomie de chacune. Mais Charles Xavier tient le rythme, je suis prise de double pénétration par le gode-ceinture imposant pour m’enculer et la queue de Charles Xavier dans ma chatte.

Le corps recouvert de sperme, je me douche avec Damien qui me caresse.

Je rejoins la suite Vénus pour de longs ébats lesbiens avec Jean.

- Je m’appelle en vérité Janine et toi, c’est Shawn ou Pénélope.

- Je suis escorte comme toi, des Biches en somme.

- Oui, tu as été bien dressée, le Domaine ne pardonne pas.

- Je vois, c’est la punition pour mon comportement.

- Madame sait comment punir.

Vers 18 heures, nos amants nous quittent, après deux nouvelles heures de longues sodomies.

La directrice nous offre une collation.

Je rentre chez moi, après avoir déposé Jean chez elle. Je m’effondre, nue dans mon lit.

 

22 juin

Vers 7 heures, je suis appelée par Madame.

- Quelle prestation, tu as fait monter les prix pour ta journée d’hier. Tu as rendez-vous chez Lady V à l’université, près de la direction, tailleur jupe noir et bas noirs, mules noires, fardée et parfumée, ton avenir universitaire est en bonne voix.

Je déjeune, prend ma douche, me farde, me parfume, m’habille en noir, avec mon porte-jarretelles baleiné noir dessous. Je garde mes cheveux libres.

Dan me dépose au parking de la direction vers 10 heures.

Je passe par un bureau, où je reçois mon badge d’accès. Je franchis un labyrinthe de couloirs et d’escaliers jusqu’au bureau de Lady V.

Elle me reçoit. C’est une sosie de Madame, plus jeune, 35 ans.

- Tu te montres docile, déshabille-toi que je vois tes marques sur tes fesses et tes cuisses.

J’obéis, les yeux baissés.

- Tu as bien fait de garder ta toison et ta chatte velue, avec tes bijoux intimes. Tu mouilles d’avance. C’est tu te comportes comme une chienne, le premier qui te choisit, te monte. Tu es sensible désormais de ton œillet.

Je n’ose répondre.

- Bon, tu es en forme. Je vais te cravacher, penche-toi en avant, cuisses écartées. Un gros gode en simultané et tu te retiens de jouir.

Je me mets en position, un jeu de miroirs me permet de voir les coups de cravache sur mes fesses, mon bassin ondule le calibre huit.

- Tu as une sacrée envie, chienne.

- Je suis une chienne, Maîtresse. J’aime qu’on me monte.

Je suis au bord de l’orgasme, quand elle le retire.

Je me rhabille et je rejoins mes cours. Les autres cours sont rattrapés ainsi que les devoirs que j’ai eu en avance.

C’est Fleur qui m’accueille, dans le même tailleur que moi, sans bas.

Tiens, te revoilà, Sven, ton chéri ne t’accompagne pas. C’est depuis le Domaine des Biches, tu es devenue très offerte à d’autres amants.

Oui, je dois le rester. Je suis marquée par la cravache, chaque jour.

Je le sais. Nous allons voir les autres étudiants.

Je garde les yeux baissés. Charlotte est absente et quelques autres garçons, ont-ils fautés ?

Bonne nouvelle, l’ouvrage de Pénélope a été sélectionné. Mes compliments, reste à attendre l’édition.

Je suis sélectionnée. Je vais certainement écrire un autre ouvrage plus intime.

A la fin des cours, vers 17 heures, je quitte l’université, à bord de ma Ferrari F40 qui a été déposée.

Avant de démarrer, je trouve un mystérieux message :

- S E, je t’attends chez Sir, pour un plaisir comme pute anale. Je sais que tu en mouilles d’envie. Le chemin est déjà enregistré, tape Sir.

Je quitte l’université, remonte le boulevard, passe le restaurant « Fleur de Jasmin » et prend une rue peu après en haut du boulevard. Je roule à vitesse modérée.

Un voiturier m’attend devant un discret sex-shop et une boutique de lingerie de luxe face-à-face. L’adresse est juste au-dessus du sex-shop. Je franchis la porte cochère ouverte. J’ai gardé mon tailleur, je ne me suis pas changée. Je me suis refaite une beauté.

Un hall d’entrée se trouve après une cour intérieure. Le lieu est discret. Une demi-heure pour rejoindre le lieu.

Une soubrette mâle m’accueille.

- S E, tu es attendue, ponctuelle. Sir t’attends au troisième étage, par l’escalier de marbre. Je fais de mon mieux pour atteindre l’étage désiré, malgré la pression de mon porte-jarretelles baleiné.

La porte est ouverte.

- Sir, c’est moi.

- Entre, je suis au salon.

Je tombe sur deux beaux étalons de 60 et 65 ans, l’un d’eux le suce l’autre. Je voudrais me joindre à eux.

- Déshabille-toi entièrement et caresse-toi, je veux entendre tes râles de plaisir, dit l’homme qui se fait sucer, de 65 ans, il a un trente-six par neuf et l’autre un trente-deux par huit.

Ils vont m’enculer.

- Jasmin, vérifie bien qu’elle mouille. Mets-lui les clochettes à ses mamelons et à sa chatte.

Cela m’excite davantage, les clochettes tintent au rythme de mes caresses et de mes ondulations du bassin. J’atteins trois orgasmes successifs. L’homme éjacule trois fois dans la bouche de l’autre, que je vois entre deux orgasmes.

- Alors, lopette, tu es excitée par Pute anale. Elle te plait, Jasmin, tu vas t’excuser devant notre invitée.

- Excusez-moi, S E, fouettez-moi.

Jasmin me tend la cravache. C’est une superbe brune de 25 ans, fardée, aux testicules ferrés et épilés.

Je le cravache sans pouvoir maîtriser ma vitesse. Il gémit.

- Jean Victor, elle te plait, ma soumise, devenue dominatrice. Elle est du plaisir à donner. Cela suffit, S E.

- Oui, Maître, dis-je. J’ai bien punie Jasmin.

- Mieux que certaines, tu es une dominatrice qui se révèle. Ton dressage t’a fait connaître le plaisir d’être fouettée, mais secrètement tu aimes fouetter.

Je reprends mes caresses, pour faire plaisir à mon Maître.

Sans attendre, je dois sucer l’homme au calibre neuf, tandis que l’autre m’encule profondément, en me faisant coulisser jusqu’aux testicules.

L’homme au calibre neuf, prénommé Sir encule le second, prénommé lopette Pine du Désir.

- Tu aimes que je t’encule, belle Pine. Elle est bien ouverte, S E.

- Oui, Maître, elle va me faire jouir.

- Laisse-moi prendre du plaisir, elle aime la cravache. N’est-ce pas ?

- Oui, Sir, je mouille beaucoup.

- Je vais te prendre et Pine tu la lèches en 69, toi tu le suces et tu avales.

- Bien Sir, j’aime votre belle et grosse queue.

Je suis servie, une longue série de sodomies par les deux hommes, plus la lopette Jean Victor qui me caresse multipliant mes orgasmes autorisés.

Vers 20 heures, nous marquons, je suis couverte de spermes sur presque tout le corps, j’ai avalé le maximum dans ma bouche dressée, ma chatte et surtout mon anus sont très douloureux. Nous prenons une douche à trois, lavés par Jean Victor, que je désire.

Nous soupons, je dois alterner entre mes deux amants, sans jouir.

Les sodomies reprennent jusqu’à l’aube, avec des pauses caresses et gode anal de divers calibres pour m’exciter.

 

23 juin

Vers 3 heures, Pierre Henri nous rejoint et il est sauvagement par Sir, devant moi, pour m’exciter. Pine du Désir m’encule encore. Pierre Henri s’excuse de sa conduite.

Je le cravache pour le remercier. Il a interdiction formelle de me caresser et de me prendre jusqu’à mon départ. Je suis un peu frustrée.

Vers 9 heures, je déjeune nue, après une longue douche en solitaire.

Fardée, parfumée, Pierre Henri, en soubrette comme Jean Victor me font le service, je suis leur dominatrice. Ils me caressent les jambes, je leur ai interdit de se masturber, je vais jusqu’à me soulager dans leurs bouches.

Rhabillée, je peux quitter Sir, après un long baiser langoureux.

Un galant homme me ramène à bord de ma Ferrari vers un nouveau lieu, luxueux.

Un discret hôtel particulier près de mon appartement « Oasis des Roses », nous attend.

Dans une pièce après l’entrée, je dois retirer mon tailleur pour une guêpière seins nus blanche, avec quatre jarretelles, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Elle est lacée étroitement. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégageaient, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. Je chausse des mules blanches à talons de douze centimètres, avec mes bas blancs et un déshabillé assorti en dentelle blanche.

- Voici, la nouvelle chienne du quartier, prénommée S E, qui est une Biche pour les connaisseurs. Elle sort d’une soirée chez Sir. Elle a du bien s’offrir, n’est-ce pas ?

Les yeux baissés, je tente de compter les invités, dix, douze, quinze, de grosses queues.

- Elle fait sa timide. Elle va sucer et vous la prenez comme bon vous semble, DP, voir une double anale, si elle est bien ouverte.

Mon déshabillé est retiré dans le salon. Je m’accroupis, cuisses écartées, les commentaires admiratifs mêlés à des mots comme chienne, soumise docile, bouche à queues, belle du désir. Je suis gênée, mais je reste silencieuse.

Des queues me remplissent la chatte mais surtout m’enculent jusqu’aux testicules, je suis aussi fessée magistralement, la bouche bâillonnée par les queues de mes amants.

Je connais ma première double anale, qui est très jouissive. Je suis filmée et photographiée lors de chacune jusqu’à l’épuisement, couverte de spermes.

Je peux me reposer dans mon appartement que vers 5 heures, après une bonne douche avec une partie de mes partenaires. Je dors jusqu’à 14 heures. Je soigne mon anus et mes fesses meurtries.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

LES PLAISIRS DE SHAWN

HISTOIRE DE S