LES PLAISIRS DE SHAWN

 

 

 

 Je m’appelle Shawn, mais aussi Pénélope.

J’ai 25 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.


LES PLAISIRS DE SHAWN


15 mars

Je suis secrétaire dans un journal de lettres érotiques. Je lis les lettres et Alban, mon patron, choisit
celles qui seront publiées.

Ce matin, vêtue de mon tailleur rose sur mon chemisier blanc, cachant mon ensemble en dentelle transparente, avec un slip et un soutien-gorge, assorti à mon porte-jarretelles et mes bas blancs, je suis assise à mon bureau. J'ai choisi des escarpins blancs. Je garde mes cheveux libres.

Dans le courrier, je trouve un livre sans nom d'auteur. Je le feuillette et découvre des récits érotiques et SM avec des photos de positions de femmes nues avec des colliers de cuir. Je mouille de désir.

Mon slip est trempé, mes mamelons sont tendus. Je voudrais me masturber, par l'excitation.

Je me vois offerte à des inconnus, qui me caressent nue, dans une grande pièce devant un réalisateur qui dicte mes postures, mes envies. Un gros mandrin force ma bouche, un autre fouille ma chatte humide et un troisième me déflore mon anus encore vierge.

Je reprends mes esprits quand le téléphone fixe sonne et je décroche :

- Je suis Maître Oscar. Tu as découvert mon livret. Il est pour toi. Tu es belle et docile. Veux-tu te dévoiler davantage. Retire ton slip et ton soutien-gorge. Tu auras ton corps nu et accessible à tous. As-tu déjà sucée ? Tu as déjà été prise par les fesses ? Tu vas découvrir l'exhibition, la domination et le plaisir du sexe.

Oscar raccroche. Puis mon téléphone portable sonne et je décroche :

- Je suis Candice, la chérie d'Oscar. Tu obéis à ton Maître. Retire de suite tes dessous et ainsi que ta jupe, pour exhiber tes jambes. Tu peux te caresser si tu en éprouves le besoin.

Candice raccroche.

Alban me rejoint. C'est un bel étalon de 1,75 m, barbu, élégant, 40 ans, doté d'un mandrin de vingt-cinq centimètres de long et six de diamètre. C'est mon patron.

- Shawn, tu veux me sucer aujourd'hui.

J'obéis, c'est une première pour moi.

Alban éjacule dans ma bouche et je le nettoie, sans qu'il le demande.

Je m'éclipse aux toilettes, pour me rafraîchir.



J'en profite pour retirer mon soutien-gorge et mon slip, ma jupe, devant Aimée, une blonde aux cheveux courts, 1,70 m, 28 ans, aux petits seins d'adolescente, intégralement épilée, sous une robe ample noire, les jambes nues, en sandales noires à hauts talons.

- Tu es pas mal, les fesses et les seins nus. Tu as encore du sperme sur le bord de tes lèvres. Tu as sucée Alban. Je te connaissais gouine, ma chérie.

- Oui, je l'ai sucée. Il me prendra un jour par les fesses.

- Toi, je rêve.

Soudain, Candice, une grande brune, à la longue crinière, aux seins plantureux, 1,80 m, 30 ans, vêtue d'un tailleur strict noir sur ses seins nus, en bas et escarpins noirs à très hauts talons, entre.

- Aimée, laisse-moi avec Shawn. Nous avons à parler.

Aimée nous quitte.

- Je suis Candice. Je viens voir si tu es docile. Penche-toi et écarte bien les fesses.

Elle me montre un bijou d'anus en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu'il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, il peut facilement être porté pendant toute la journée sous une jupe ou sous un pantalon ou sous un maillot de bain en restant totalement invisible, il ne provoque aucune gêne mais au contraire une délicieuse excitation anale permanente, et je peux facilement m'asseoir avec le bijou dans l’anus. Il mesure six centimètres de long dont cinq dans l'anus pour trois de diamètre pour trente grammes. Il est en forme en sapin et sa large base me garantissent un excellent maintien dans l’anus. La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire servira de support lorsque le sphincter se referme.

- C'est froid.

- Détends-toi. Sinon, je te mets un gode doté d'un prépuce pour te faire mieux sentir ta sodomie de vierge.

- Non, je le garde.

- Tu le gardes jusqu'à midi. Oscar s'occupera de toi, à midi.

- Tu peux te caresser, ta chatte toute humide. Tu es très excitée.

Candice caresse mes seins et mon clitoris tout tendu. Je me retiens de jouir.

Je retourne à mon bureau.

Candice m'observe de loin.

Je m'assois. Alban me rejoint avec Aimée.

- Tu as une superbe toison, ma belle Shawn. Tu vas rester comme cela jusqu'à midi, me dit Alban, tout en caressant mon clitoris tendu.

Je me jouis discrètement. Le bijou exerce une excitation anale que je découvre.

Vers 11 heures 30, un bel étalon brun, barbu, 30 ans, 1,80 m, en smoking, me rejoint à mon bureau.

- Remets ta jupe. Nous allons au restaurant, Shawn. Je suis Oscar.

J'obéis.

Mais avant, il écarte mes fesses et fait quelques va-et-vient avec le bijou. Je jouis, sans me caresser le clitoris et la chatte en feu.

Il m'accompagne à sa Ferrari Testarossa cabriolet rouge.

Je monte à ses côtés, la veste ouverte sur mes seins nus, sans ma jupe.

Pendant le trajet, le vent frais remonte sur mes seins et ma chatte offerte, entre mes cuisses écartées.

Le trajet dure une éternité. Oscar caresse de temps à autre mes seins, pince mes mamelons tendus et fouille ma chatte humide, resserrée par le bijou d'anus.

Oscar m'invite à le masturber. Il exhibe son mandrin de vingt-six centimètres par sept, circoncis. Je m'exécute.


Arrivé devant un discret hôtel particulier, la Ferrari passe le portail et entre dans une grande cour.

Je descends, sans ma jupe, le chemisier entrouvert. Oscar me conduit au premier étage, devant des serveurs surpris.

D'élégants clients attendent.

- Voici, Shawn, la nouvelle chérie, qui porte fièrement son collier de cuir. Elle est encore lesbienne, timide, réservée. Mais ses fesses sont destinées à être offerte, ainsi que sa bouche et ses seins d'adolescente. Admirer cette beauté. Elle mouille de désir.

Les clients s'approchent et me caressent sans me faire jouir.

- Assis-toi, cuisses écartées. Candice a gardé ton slip. Désormais, tu seras toujours nue sous tes tenues et tu portes régulièrement ton bijou. Tu auras droit à un plus large avec l'expérience. Tu suces bien. As-tu joui par les fesses ?

- Oui, Oscar, je veux jouir par les fesses.

- Tu as encore besoin d'expériences. Nous allons déjeuner. Tu me raconteras ta vie sexuelle.

Je me confesse tout en mangeant, les mains caressent mes seins et mon clitoris. Je jouis enculée.

Lors du dessert, Oscar libère son mandrin que je dois sucer.

Puis il me l'enfonce dans ma chatte en partie déflorée. Je jouis.

- Bien, occupons-nous de tes fesses, penche-toi.

J'obéis. Le gros mandrin défonce mon anus relaxé.

- Détends-toi. Je vais te l'ouvrir.

Le mandrin s'enfonce au tiers de sa longueur, bien dur. Il me caresse mon clitoris pour apaiser ma douleur.

Il éjacule en moi et me remet le bijou d'anus en place.

Je suis surprise par l'aisance.

- Chaque jour, tu porteras un bijou d'anus plus large jusqu'à recevoir un gode anal plus large, adapté à ton ouverture. Tu seras régulièrement enculée par moi ou par un autre. Jason encule-la s'il te plaît.

Jason est un bel étalon africain, 35 ans, 1,80 m, au mandrin de trente-deux centimètres de long et sept de diamètre.

- Vas-y en douceur. Elle doit s'y habituer.

Le bijou d'anus retiré. Il me baise un peu avant de m'enculer. Je gémis, mais il me conduit à un violent orgasme anal.

Je le nettoie.

- Tu apprends vite, Shawn. Nous allons retourner au bureau.

Je remets ma jupe, me refais une beauté.

Nous rentrons au bureau. Je jouis en contractant mon anus sur le bijou.

Alban nous rejoint.

- Veillez à ce que Shawn ait à sa disposition des étalons bien montés pour la préparer.

- Maître, serais-je punie si l'étalon ne me plaît pas ?

- Les hommes fouilleront chaque partie de ton corps. Tu gardes toujours entrouvertes les lèvres, ni ne croise les jambes, ni ne serre les genoux pour que ta bouche, ton ventre, et tes fesses leur sont ouverts. Tu seras constamment nue sous tes tenues. Ce soir, tu dors nue, cuisses écartées. Tu es libre de te caresser, mais tu gardes ton bijou. Je viendrais te punir si tu jouis sans mon autorisation. Tu restes constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement. Tu as du potentiel comme soumise.

- Oui, Maître, je ferais tout ce que vous voudrez. Même me faire prendre par les fesses par le premier venu .

- Retire ta jupe et écarte tes fesses pour qu'Alban te prenne.

J'obéis. Alban m'encule, l'anus bien dilaté.

Il éjacule dans mon anus et je le nettoie, devant Aimée et Candice.

Je me rends aux toilettes pour une toilette intime.

L'après-midi, je suis tourmentée par des rêves érotiques SM étranges. Des sexes imposant me baisent, m'enculent, je les suce aussi.

Mon clitoris est tendu, ma chatte ruisselle et mon anus s'ouvre davantage sous le coup du bijou.

Je reprends ma lecture du livret.

Après la découverte du dressage, je découvre la soumission aux étalons.

Alban me trouve un superbe étalon, Brice, 25 ans, 1,85 m, musclé, doté d'un imposant mandrin de trente centimètres et sept de diamètre.

Je le suce et il m'encule en douceur. Je gémis un peu.

Je le reçois jusqu'au tiers.

- D'ici quelques temps, tu pourras me recevoir davantage.

- Brice, je vais m'ouvrir davantage.

Je coulisse sur son mandrin et agite ma croupe, rougie par les claques magistrales.

Il éjacule sur mes fesses. Je le suce en retour.

Vers 17 heures, je quitte mon bureau. Brice et Alban m'ont enculé en échange que je les suce.

Je rentre à mon appartement à une demi-heure de marche des bureaux.

En marchant, je contracte l’anus pour être sûr que l’objet ne tombe pas. Cette contraction avance le bijou contre ma chatte trempée et stimule cette partie hautement érotique de la femme.

Je me déshabille, me douche, me caresse, joue avec le bijou que sort partiellement pour évoquer les sodomies de la journée et les prochaines, qui seront torrides.

Je mouille davantage que quand je me caressais uniquement le clitoris avec mes doigts dans ma chatte.

Je reste nue dans mon appartement, simplement chaussée à mes pieds nus de mes mules de dix centimètres de talons. J'aime me regarder dans les nombreux miroirs.

Je m'imagine menottée, écartelée, pilonnée dans la chatte et enculée simultanément si possible.

Vers 19 heures, on sonne.

C'est Janine, un transsexuel blonde plantureuse, 1,75 m, vêtue d'une robe au décolleté en V, blanche, en mules à talons de douze centimètres.

Ma chérie, je vais t'équiper pour la nuit. Voici Anal Désir, ton godemichet réaliste muni d'un prépuce qui glisse le long du gland, pour le maximum de plaisir. Retire ton bijou. Je vais t'élargir.

Janine prend le godemichet avec son prépuce de vingt-quatre par cinq, l'attache, à trois petits trous percés dans la base - qui s'élargit à cet endroit pour qu'on soit certain qu'il ne remonte pas à l'intérieur du corps –, trois chaînettes qu'elle laisse pendantes.

Janine exhibe son mandrin long de vingt-sept par six et m'encule pour bien me préparer.

Je jouis.

Janine loge ensuite le godemichet et pousse. Je ressens la sensation d'un vrai mandrin en moi, en érection. Le prépuce glisse dans mon anus, par une télécommande à distance. Je sens les veines et son gland.

Janine attache une étroite ceinture autour de ma taille, et elle y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui contournent mon pubis. Elle les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le godemichet et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et il les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux me soulager de cette contrainte.

Puis Janine me baise, profitant de ma chatte resserrée. C'est une première pour moi.

Les assauts anaux de mon étalon et le mandrin de Janine me conduisent à un violent orgasme.

Je suce Janine.

Pour la nuit, je dors nue, équipée, menottée, bras et jambes écartées, avec un bâillon-boule. Je suis en sueur. L'étalon m'encule avec puissance. Ma chatte dégouline.

Janine me laisse seule.


16 mars

Vers 7 heures, Oscar vient me voir.

Il me retire le godemichet et juge de ma dilatation en m'enculant, les jambes levées en l'air. Il me tient par les chevilles, en me soulevant les reins. Je jouis.

Il éjacule en moi. Je me douche et me soulage. Je déjeune, en le suçant. Il me met un bijou d'anus de quatre de diamètre.

Je choisis ma tenue pour la journée avec lui.

Oscar aime regarder mes seins bouger doucement.

Le chandail blanc porté à même la peau, et qui dessinent si doucement les seins, une jupe plissée noire, sur un porte-jarretelles et des bas noirs assortis, sans slip, ni soutien-gorge, font mon nouvel uniforme. Je porte mon bijou d'anus. Des mules noires assorties à talons de dix centimètres et un chignon complètent ma tenue. Je ne porte pas mon collier de cuir.

Nous faisons une halte à un café, où les hommes admirent mes jambes gainées. Je m'assois, les fesses nues, sur la chaise, cuisses écartées, comme l'exige Oscar.

Il caresse mes cuisses nues.

Puis nous rejoignons un immeuble en face de mes bureaux.

Au rez-de-chaussée, je dois retirer mon porte-jarretelles et mes bas pour rester les jambes nues. Le tout, en gardant ma jupe baissée pour couvrir mes fesses nues.

Un bel étalon Européen me surprend et glisse ses mains sous ma jupe. Il effleure mon cristal et me susurre :

- J'espère que tu as déjà prise par les fesses, ma belle. Je suis Sir Val de Plaisir, le frère d'Oscar. Il a fait un excellent choix. Soulève ton chandail.

J'obéis et il caresse délicatement mes seins aux mamelons tendus. Mon clitoris est tendu et je mouille abondamment.

- J'aime les beautés velues comme toi. Allons à mon bureau au premier étage. Je suis un grand photographe de charme, surtout SM.

Nous le suivons.

Sir Val est un étalon de 50 ans, barbu, athlétique.

Je dois me déshabiller devant sa secrétaire, une grande blonde aux seins d'adolescent, 1,75 m, à la longue crinière, vêtue d'un tailleur strict fuchsia sur son corps nu.

- Hermine, voici Shawn, la nouvelle soumise d'Oscar, elle est superbe. Son accès par les fesses devra être un peu plus élargi comme toi, au premier jour.

Nue, je suis livrée aux caresses lesbiennes d'Hermine. Je jouis.

Le mandrin de Sir Val, long de vingt-huit par six centimètres s'enfonce dans ma chatte resserrée par le bijou d'anus.

- Tu es excitée. Je vais te prendre par les fesses ensuite.

Il me fesse, pince mes mamelons tendus.

Enfin, la chatte bien trempée, il m'encule. Je gémis sous son gros calibre, puis je jouis, le clitoris caressé par Hermine.

Il éjacule dans ma bouche. Oscar a tout filmé.

Je me soulage, me refais une beauté.

Jason m'encule, tandis qu'Oscar me baise, un double orgasme m'envahit, doublement inondée, ainsi que ma bouche par Sir Val.

Puis Jason me baise, Sir Val m'encule et Oscar me fait sucer.

Cela dure une éternité, quel plaisir de jouir.

Après une dernière sodomie par Oscar, je peux me reposer.

Vers 11 heures, je me douche devant les étalons, me rhabille et nous prenons la Ferrari Testarossa pour rejoindre un discret manoir à trois heures de route. Oscar m'a bandé les yeux, je suis assise nue, cuisses écartées, avec mon collier de cuir.

Il caresse de temps à autre mes seins, ma chatte. Je jouis.

Arrivée au manoir, je suis tenue en laisse, nue, avec mes mules à mes pieds nus.

Des dizaines de mandrins me fouillent la chatte, l'anus et la bouche. Je dois les recevoir sans retenue. Mon corps est couvert de sueur, de spermes. Je jouis sans retenue, enculée, prise en double assaut, l'anus ouvert à des mandrins imposants.

Quand je retrouve mes esprits, seule, nue, allongée sur un canapé, les cuisses écartées.

Un des étalons encore en érection m'offre son mandrin en bouche, tandis qu'un autre caresse ma chatte et doigte mon anus encore dilaté.

Il faut rendre davantage son accès aux fesses plus commode, Maître O.

Elle a commencé a recevoir un bijou plus gros.

Elle n'a jamais été fouettée. Le fouet lui fera beaucoup de bien. Elle devra l'accepter, tout comme l'accès à son superbe corps. Elle restera velue et doublement ouverte d'ici huit jours. Un calibre sept devrait suffire. Elle a apprendre à se détendre.

Je me retrouve menottée dans un pilori, offerte, nue.

La cravache, qui est noire, de fin bambou gainé de cuir ; le fouet est long, fait de cuir souple ; une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides car trempées dans l'eau, car on m'en caresse les seins et les cuisses pour que je sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses.

Aveugle, je ne peux voir venir les coups. On accentue la punition en alternance par des mandrins de calibre six pour m'enculer, je suis fessée aussi et je dois sucer.

Je subis la garcette, puis je suis cravachée, le haut de mes cuisses traversé par deux lignes d'un rouge sombre, presque parallèles.

Un des invités, doté d'un mandrin de calibre sept m'écarte mes fesses zébrées et m'encule sans répit. Je gémis sous le bâillon d'un autre mandrin.

Après repris mon souffle, on m'insère un gode anal veiné, avec un prépuce, long de vingt-six par six, fixé par le même dispositif que celui que je portais avec Janine.

On me libère du pilori.

Je baisse les yeux, la bouche entrouverte, en signe de soumission.

- Anal Plaisir va l'élargir. Elle l'a acceptée avec plaisir.

Désir Anal et Plaisir du Phallus me rejoignent, vêtues de guêpières seins nus blanches, portées avec une jupe blanche transparente laissée ouverte devant et derrière sur leurs cuisses nues, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres. Leurs mamelons, leurs lèvres de la chatte et de leurs bouches sont fardées. Elles ont été récemment fouettées. Désir Anal est une brune aux cheveux courts, 1,70 m, aux seins d'adolescent et Plaisir du Phallus est une blonde aux longs cheveux, 1,72 m, aux seins plantureux. Toutes les deux sont intégralement épilées, avec les lèvres de la chatte percées d'anneaux cadenassés.

Je porte la même guêpière durement baleinée, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. Mes seins offrent leurs mamelons tendus, ma taille s'étrangle, mon ventre est sailli et mes fesses sont cambrées profondément. La jupe reste constamment ouverte, les pans sont fixés par des attaches, laissant libre mes fesses et ma chatte aux regards des invités.

- Elle est parfaite. Ce sera Vénus Anale, son nom de soumise, dit un des hommes.

- Amenez-la à sa cellule, dit un autre.





Tenue en laisse, je porte des bracelets de cuir à mes poignets, réalisés en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.

Le valet Dan, un superbe étalon Européen, me conduit, vêtu d'une veste noire sur son corps nu, musclé, athlétique, 1,75 m, doté d'un mandrin long de vint-trois par cinq, emprisonné par un anneau pénien, qui le garde en érection, offrant des testicules bien gonflés. Il porte juste des bottes.

Nous rejoignons l'aile des soumises, au rez-de-chaussée dans le prolongement de la pièce où j'ai été prise. Je suis menottée dans le dos. Les yeux baissés, je croise d'autres valets.

Arrivée à ma cellule, elle comprend un chevalet au centre de la pièce, donnant sur une grande porte-fenêtre. Il y a une douche, ni miroir, juste une armoire pour ranger mes tenues.

C'est le valet Plaisir des Fesses, un bel étalon Australien, vêtu comme Dan, au torse musclé, 1,80 m, doté d'un mandrin de vingt-huit par six, gainé de picots, avec des testicules bien gonflés par un étireur de testicules, qui me reçoit.

- Voici Vénus Anale, la soumise de Sir, elle a droit à un dressage comme les autres.

- J'ai hâte de la voir nue, caressée par mes mains, enculée à l'envie et me sucer. Je crois que Adam et Lancelot pourront la satisfaire.

Les deux femmes me déshabillent. Je garde le godemichet. Le valet caresse ma chatte humide.

Pour la douche, je suis suspendue par les bracelets de mes poignets, les bras en l'air. Toute nue, dressée comme une danseuse, il doigte ma chatte devant les deux autres femmes.

Je dois me soulager, malgré le gode anal.

Il caresse mes seins pour m'exciter, jouer avec mes mamelons tendus. Je ne peux résister.

Il me libère un instant du gode et m'encule vigoureusement. Les picots me conduisent à un violent orgasme anal.

Il éjacule en moi et me remet le gode en place.

Les deux femmes me douchent.

Le valet me détache et me menotte au chevalet, l'anus libre, pour l'après-midi.

Le mandrin libre de la gaine, je le suce jusqu'à une nouvelle éjaculation en bouche.

Je me repose.

Soudain, un sexe inconnu m'encule en douceur. Il mesure vingt-sept par cinq.

Il est différent d'un mandrin humain. Le fourreau dégage son pénis en érection, qui est pointu au bout et élargi. Je me détends pour mieux le recevoir. Je sens sa fourrure contre mon dos. Menottée, je ne peux me dérober.

Son nœud écartèle mon anus pour éjaculer en moi. Je gémis un peu.

Mais cette sodomie canine est agréable. Il reste une bonne demi-heure et se retire. Je dois le sucer pour le récompenser. Mon anus dilaté déborde de spermes canins.

En alternance, d'autres valets m'enculent soit en éjaculant en moi soit dans ma bouche.

Pantelante, je prends plus de plaisir avec le chien. Adam me défonce aussi la chatte, attachée à moi. Ce n'est pas désagréable.




Vers dix-huit heures, je suis détachée, douchée, parfumée. Mes bracelets et mon collier ont durcis avec l'eau. Mes paupières sont légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres du ventre rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.

Prosternée, je reçois Anal Plaisir de taille supérieure ; vingt-huit par sept, similaire au premier. Du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le porte.

- Je te le retire lorsque tu iras à la bibliothèque. Là, tu seras prise par les fesses par les invités. De plus Adam t'a bien préparée.

Habillée de ma guêpière, de ma jupe, avec mes mules, je rejoins le réfectoire. Le gode anal m'encule comme un vrai étalon. Je me retiens de jouir.

Mon bassin ondule sur ce mandrin. Mon clitoris est tendu par l'excitation.

Tenue en laisse par le valet, je rejoins le réfectoire au premier étage. Je dois m'asseoir fesses nues, cuisses écartées, comme toutes les soumises, les yeux baissés. Un berger allemand m'accompagne.

Est-ce lui qui m'a donné du plaisir ?

Le valet de permanence caresse mes seins, glisse sa main entre mes cuisses écartées et humides, dénichant mon clitoris. Les assauts du gode m'écartèlent et je mouille davantage. Je reste silencieuse, les yeux baissés.

A la fin du repas, je reste seule avec le valet Pilon Anal, doté d'un gros mandrin et court.

Je m'offre à lui, l'anus libre et je me retiens de jouir. Il éjacule en moi. Je le nettoie.

Il me conduit à la bibliothèque, qui se trouve de l'autre côté d'un grand parc.

Là, il me retire le gode anal. Il m'encule pour me préparer.

Des hommes nus, masqués, aux mandrins bien montés, forcent ma bouche, mes fesses et je dois jouir en double pénétration, enculée par Adam.

Les ébats durent jusqu'à l'aube. De temps à autre, on me baise.


Jusqu'au 23 mars, je suis enculée, fouettée tous les jours, Adam puis Lancelot, un grand danois doté d'un pénis de trente-six par quatre m'encule régulièrement.

Le gode anal passe à huit au moyen d'une gaine à picots.


17 mars

Je passe la courte nuit, nue, après la douche, accroupie, cuisses écartées, l'anus libre.

Plaisir des Fesses me fouette les cuisses, les fesses et le dos, en cinq minutes.

Il me menotte, accroupie, les bras en l'air, devant la porte-fenêtre.

Adam me lèche la chatte et le clitoris tendu.

Je me tourne, pour qu'il m'encule. Je jouis.

Tous les valets et maîtres ont les clefs, celles des portes, celles des chaînes, celles des carcans, sur un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les grilles, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Mais au matin, ceux qui ont été de service la nuit dorment, et ce sont l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.

Le superbe valet, bien monté, vêtu d'un blouson, le mandrin nu et libre, botté, accompagné par Désir Anal et Plaisir du Phallus.

Je dois le sucer, avant d'être détachée. Il caresse mes fesses et mes cuisses et m'installe un instant sur le chevalet, non menottée.

Il m'encule sans répit, sans me laisser le temps de jouir.

Il éjacule dans ma bouche et disparaît. Je garde les yeux baissés.

Désir Anal pousse vers le chevet une table roulante qui porte du café au lait, du sucre, du pain, du beurre et des croissants.



- Mange vite, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à midi. Quand tu entends sonner, il faut que tu te prépares pour le déjeuner. Tu prends ton bain et tu te coiffes. Je viens t'habiller.

- Tu n'es de service que pour l'après-midi », dit Plaisir du Phallus. « Dans la bibliothèque : servir le café, les liqueurs, et entretenir le feu.

- Mais vous... » dis-je.

- Ah, nous sommes chargés de toi que pour la première journée. Ensuite, tu es seule. Nous pouvons plus te parler, et toi non plus tu peux pas.

- Restez, restez encore, dites-moi... »

Oscar entre, accompagné d'un bel étalon inconnu, bien monté.

Les deux femmes partent sans un bruit.

Je suis assise cuisses écartées, sur le chevalet, nue. Je pose la tasse de café et le croissant sur la table roulante. Je garde les yeux baissés.

Oscar m'embrasse sur le coin des lèvres. Je me lève. Oscar examine mes balafres sur mes cuisses, mes fesses. Je mouille de désir.

L'inconnu fouille ma chatte, caresse mon clitoris tendu.

- Quelle beauté docile, sa chatte et son oeillet sont prêts au désir, dit l'inconnu qui bande.

Oscar m'attache les bracelets par-derrière au moyen des anneaux, puis, se collant à mon dos, il se retient d'une main par son collier, et d'un bras me ceinture le ventre.

L'inconnu alterne entre cunnilingus et doigté anal. Je manque d'avoir un orgasme.

Je me retrouve allongée sur le dos, cuisses grandes ouvertes, enculée par l'inconnu.

Oscar veut profiter aussi de ma chatte.

Je dois m'accroupir sur le mandrin de l'inconnu qui m'encule, pour Oscar puisse me baiser. Ils se vident en moi dans mes orifices et ma bouche, lors de mon double orgasme.

L'inconnu repart, après que je l'ai sucé jusqu'à la dernière goutte.

Oscar me libère les poignets.

Oscar m'encule à nouveau, je suis allongée sur le côté gauche. Il éjacule longuement en moi, peu avant midi.

Oscar parle. Il me dit, tout en la tenant par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou, qu'il entend que je sois désormais mise en commun entre lui et ceux dont il décide, et ceux qu'il ne connaît pas qui sont affiliés à la société, comme je l'ai été la veille au soir. Que c'est de lui, et de lui seul que je dépends, même si je reçois des ordres d'autres que lui, qu'il soit présent ou absent, car il participe par principe à n'importe quoi qu'on peut exiger de moi ou m'infliger, et que c'est lui qui me possède et jouit de moi à travers ceux aux mains de qui je suis remise, du seul fait qu'il m'a remise à eux. Je dois leur être soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel je l'accueille, comme autant d'images de lui.

- C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sois impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis oui maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne peux pas ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouvent, mais pour que tu prends conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne dois, tant que tu es ici, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Je t'aime. Lève-toi. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser. »

Je me lève, me douche, me coiffe, l'eau tiède sur mes fesses meurtries, et je dois m'éponger sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudre, et toujours nue, mais les yeux baissés, reviens dans la cellule.

Je masturbe Oscar, tandis que Désir Anal est entrée, les yeux baissés, muette elle aussi.

Avant de m'habiller, Désir Anal la jupe ouverte devant et derrière constamment, se laisse fouiller la chatte et l'anus par Oscar, qui m'encule simultanément.

Désir Anal jouit sous les ordres d'Oscar.

L'anus dilaté et tapissé de spermes, je suis préparée.

Oscar me remet Anal Plaisr. Puis Désir Anal m'habille et finit de me farder.

Nous quittons la cellule, avec un autre valet, 1,80 m, vêtu comme Plaisir des Fesses, accompagné d'un danois, le sexe en érection.

Dans l'antichambre, je suis libérée du gode anal et je m'offre à quatre pattes.

Le danois prénommé Lancelot m'encule avec son pénis de trente-six par quatre. Je gémis un peu, mais ma bouche suce les autres valets. Lancelot se vide en moi. Je le suce en retour.

Après le réfectoire, je rejoins le parc où sont promenées les soumises.

Elles sont fréquemment enculées par les valets, les Maîtres et les chien.

Chaque jour, salie de salive et de sperme, de sueur mêlée à ma propre sueur, j'offre ma bouche sur des mandrins inconnus, mes mamelons et mes seins sont caressés et surtout entre mes cuisses, ma chatte et mon anus devenus plus sensibles sont labourées à plaisir par les inconnus.


23 mars

Au bout de huit jours, aucun appareil n'est plus nécessaire, les saillies canines m'ont élargies.

Oscar veille à ce que je demeure doublement ouverte.

Nue dans ma cellule, Oscar me fouette personnellement, sur la pointe des pieds nus, à la douche, les bras en l'air. Je me débats, je pleure, mais je suis heureuse.

Je passe la seconde semaine, livrée, nue, sur un chevalet, dans une pièce sombre, fouettée, enculée à l'envie par des inconnus, les yeux bandés. Je suis baignée dans une petite pièce.

Plaisir des Fesses prend du plaisir à me caresser et à m'enculer, en l'absence d'inconnus.

Il n'y a plus ni jour ni nuit, jamais la lumière ne s'éteint. Un valet indifféremment, remet sur le plateau de l'eau, des fruits et du pain lorsqu'il n'en reste plus


30 mars

Je suis prise sous les bras et aux jarrets, me soulève et m'emporte.

J'émerge nue, libre, sur mon chevalet, dans ma cellule.

C'est l'après-midi, j'ai les yeux ouverts, les mains libres

Oscar admire mes reins et mes fesses.

Il m'encule pour reprendre possession de moi. Il éjacule dans ma bouche.

Je me douche longuement.

Oscar a mis le chandail blanc, la jupe plissée noire, mais pas le porte-jarretelles et les bas noirs. Des mules noires assorties à talons de dix centimètres sont présentes aussi.

Fardée, parfumée, par Désir Anal, les yeux baissés, je retrouve le Maître qui m'a enculée le premier jour. Il me libère de mes carcans de cuir.

Je glisse à mon annulaire gauche, ma bague de fer, intérieurement cerclée d'or, dont le chaton large et lourd, comme le chaton d'une chevalière mais renflé, porte en nielles d'or le dessin d'une sorte de roue à trois branches, qui chacune se referme en spirale, semblable à la roue solaire des Celtes.

« Habille-toi », dit Oscar.

J'enfile ma jupe sur mes jambes nues, mon chandail sur mes seins nus. Je mouille de désir.

Les talons de mes mules claquent. Les portes sont fermées, l'antichambre est vide, il n'y a ni valets ni chiens.

Nous retrouvons la Ferrari Testarossa derrière la grille.

Nous descendons les marches du perron.


Quand je m'assois sur le siège du passager, je relève ma jupe, en écartant bien mes cuisses nues sur le cuir du siège.

Nous sortons du parc dont la grille est grande ouverte, au bout de quelques centaines de mètres, Oscar s'arrête sur le bas-côté, sans couper le moteur. Il m'embrasse profondément et longuement, une main caresse mon sein et l'autre entre mes cuisses humides. Je jouis.

Puis il redémarre.

Nous ne rentrons pas directement. A mi-chemin, il rejoint une discrète villa derrière une haie.

Janine nous reçoit, nue, avec Sir Val ;

Nue, j'exhibe mes marques. Je garde toujours mes jambes écartées, ma bouche entrouverte et je garde les yeux baissés. Je confesse mes deux semaines de soumission, mon amour pour les saillies anales.

Janine et Sir Val m'enculent à tour de rôle, les suçant.

Alban m'a nommée directrice d'édition de luxe de romans, de bandes dessinées SM. Je peux partager mon expérience vécue.

Pour combler mon désir, Brice devient mon soumis.

Conan, un superbe berger allemand, viendra me saillir quand il le désire. C'est le frère d'Adam.

Sans attendre, à quatre pattes, Conan m'encule, aidé par Janine. J'explose en un violent orgasme anal, inondée de son sperme chaud. Je le récompense en lui offrant ma chatte humide pour un nouvel orgasme.


4 avril

Vers 20 heures, je suis conviée à une soirée pour l'inauguration de la salle des plaisirs, un hôtel particulier, racheté par Sir Val. Il y a des salles de jeux SM, une bibliothèque SM, des soirées SM. Je suis la maîtresse de cérémonie.

Je suis vêtue d'une robe dos nu, s'arrêtant à la naissance de mes fesses nues, fendue de la cheville aux hanches sur le côté et devant pour dévoiler ma toison pubienne velue, avec un grand décolleté en V sur mes seins nus, en dentelle transparente blanche, des mules blanches à talons de dix centimètres, fardée et parfumée. Tout le monde peut voir que je suis nue. Je porte fièrement un bijou d'anus de sept centimètres de diamètre, serti d'un diamant. Je garde mes cheveux libres.

Les écrivains se relaient pour me dédicacer leurs romans, leurs dessins de moi. Sir Val m'a fouetté l'après-midi, pour offrir mes reins et mes fesses zébrées à tous.

Alban, Jason, Brice sont présents.

Je me laisse caresser, embrasser. Les écrivains bien montés, me baisent, avec ma chatte resserrée.

Dans une pièce sombre, je découvre une soumise nue, bâillonnée, aveuglée par un bandeau, écartelée, intégralement épilée, aux petits seins, fouettée par des hommes masqués, me rappelant le manoir. Des flashs crépitent, des caméras filment la scène, incrustées dans la pièce.

Puis la soumise se fait enculer par les inconnus. Je mouille de désir.

- Vénus Anale, souhaites-tu jouir toi aussi, me dit une voix masculine.

Est-ce un des hommes qui m'a prise au manoir ?

- Oui, prenez-moi le cul, fessez-moi.

L'homme remonte ma jupe, retire mon bijou d'anus.

Son mandrin de trente-cinq par huit circoncis me remplit jusqu'au tiers. Il sait me donner du plaisir. Les yeux clos, je sens des mains caresser mes seins aux mamelons tendus, mon clitoris tendu et fouiller ma chatte humide. Je suce des inconnus.

Nue, je suis prise en double pénétration, gardant l'amant bien monté dans mon anus. Je suis submergée par mes orgasmes, doublement inondée, ainsi que ma bouche.

Quand je reviens à moi, je suis nue, enculée par un autre amant, allongée sur le ventre, offrant davantage mes fesses rougies. Il m'encule avec vigueur et se vide en moi.

Oscar est fier de moi.

Les orgies se succèdent, puis j'observe, repue, pantelante, d'autres soumises offertes à mes amants.

Je me douche avec le bel inconnu. Je garde les yeux baissés.

Oscar m'encule une ultime fois avant mon retour à la villa.

J'ai gagné une belle somme lors de la soirée.


10 avril

Après une semaine intense de dressage, les reins, les fesses et même l'intérieur des cuisses zébrés, à la villa, portant fièrement mon bijou d'anus de calibre six, nue, je suis conviée à un chenil pour des saillies anales filmées et payées par des inconnus.

Ces messieurs auront droit ensuite de m'enculer.

Nous rejoignons une ferme isolée. Je suis sous ma robe largement fendue sur mon pubis velu, dévoilant mon clitoris tendu.

Installée sur une table basse, nue, Oscar m'épile. J'offre mes jambes repliées, remontées vers le haut. Il enfonce ses doigts dans ma chatte et même mon anus, me branlant un peu le clitoris tendu.

Il épile les grandes lèvres humides, le périnée, le pourtour de l'anus et l'intérieur des fesses à la cire. Il peaufine et arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire, m'examinant avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Il enduit et masse longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante.

Les hommes bandent devant un tel spectacle offert.

Je rejoins ensuite un chevalet, nue. Je suis menottée, offrant mes fesses.

J'entends des chiens aboyés et excités.

- Tu as déjà été enculée par des gros calibres. Tu es une des soumises du manoir. Tu seras filmée et photographiée.

Un berger allemand, me rappelant Adam, s'occupe de ma chatte luisante de mouille, me la lèche, ainsi que mon anus. Je jouis. Il enfonce son sexe dans mon anus dilaté par le bijou d'anus, sans éjaculer.

Puis un malinois doté d'un gros calibre m'encule sans préliminaire. J'ai un violent orgasme anal. Il me défonce avec vigueur et éjacule en moi, attaché à moi.

Cinq autres chiens m'enculent ensuite, me dilatant davantage, dont un berger belge, un doberman qui avait un sexe plus gros.

Malgré la fatigue, l'anus dégoulinant de spermes canins, je suis enculée par les cinq hommes, que je suce jusqu'à la dernière goutte.

Je prends une douche devant eux, avant de rentrer à la villa.

Le lendemain, je suis tellement usée et fatiguée que je dors toute la journée en pensant à ce que j’ai pris ce jour là.


12 avril

A la villa, peu après ma douche, Oscar m'enfonce deux œufs durs, un dans mon anus dilaté par la sodomie matinale et le second dans ma chatte trempée. Il me met une ceinture de chasteté à ma taille. Elle est en acier inoxydable d'environ trois centimètres de large, la ceinture de chasteté est suffisamment flexible pour s'ouvrir et se refermer sans nécessiter de charnière. Il en résulte ainsi une apparence très plate.

Le système de verrouillage maintient solidement la protection d'entrejambe et la bande de taille en un joint lisse, la protection d'entrejambe est ainsi maintenue verticalement sans possibilité de pivotement latéral.

La protection d'entrejambe est incurvée afin de recouvrir la région génitale pour s'arrêter près de l'anus, où elle se termine par deux chaînes de section plate en acier chromé.

Les lèvres de la vulve dépassent au travers d'une fine fente longitudinale, arrêtant toute pénétration.

La ceinture de chasteté est totalement efficace pour empêcher tout rapport sexuel.

Je mets juste un imperméable sur mon corps nu. Chaque œuf est muni d'un discret dispositif vibrant invisible.

Je chausse mes mules blanches à talons de dix centimètres, me farde, me parfume.

Nous prenons la Ferrari Testarossa pour rejoindre le centre-ville.

Je fais tout le trajet, cuisses écartées, entièrement nue, exposée au vent frais.

Mes poignets sont menottés dans mon dos.

Nous stoppons devant un café connu par Oscar.

Je me rends aux toilettes pour hommes avec Oscar. Un des serveurs nous rejoint, bien monté.

- Tu vas le sucer, ma belle.

J'obéis, nue, agenouillée.

Mon bassin ondule de plaisir.

Il éjacule en moi.

Oscar me retire la ceinture de chasteté pour que j'expulse les œufs.

L'anus bien dilaté et humide, le serveur m'encule sur le champ, je me retiens de jouir.

Deux clients m'enculent ensuite, inondant mon anus. Oscar me remet les œufs en place et la ceinture de chasteté.

Nous prenons un café. Je dois m'asseoir cuisses écartées, les fesses nues, donnant une vue imprenable.

De retour à la villa, nous mangeons les œufs dans une salade.

Vers 14 heures, je m'essaye à une double pénétration avec Conan dans ma chatte et Lancelot qui m'encule. Je perds connaissance par la montée de mon double orgasme et la double éjaculation, attachée à eux.

Oscar me fait poser des anneaux dorés aux petites lèvres, pour montrer que je suis soumise et je porte des pinces à seins avec des clochettes.

- Tu es une femme moderne au corps provocant. Tes seins tendent en permanence leurs bourgeons au ciel. Ton ventre arrondi s’est tendu par la rigueur que je mettais à te prendre. La répétition des coups donner la cambrure actuelle.Tes fesses, ton ventre et ta toison sont totalement accessibles. Désormais, par ces anneaux, tout le monde sait que tu es une soumise reconnue. Nous allons dans un club privé très spécial.

Je porte juste une robe transparente blanche sur mon corps nu, couvrant à peine mes fesses, avec mes mules à talons de dix centimètres, les cheveux libres, fardée et maquillée.

La Ferrari Testarossa rejoint le Sade Manoir, isolé, dans la forêt.

C'est Lady Chantelle qui me reçoit, une grande blonde au décolleté plongeant sur ses seins plantureux, de sa robe rouge.

- Voici Shawn dite Vénus Anale, dressée au manoir, ses fesses sont bien ouvertes.

Nue, en mules, je suis examinée par Lady Chantelle.

- Madame, ici, les domestiques m'appellent Madame, c'est compris ?

- Oui, Madame.

Je parade.

- Tu as de jolies jambes et de fines attaches. J'aime ta toison pubienne, tu vas la garder ainsi que tes anneaux à la chatte. Tourne-toi et penche-toi.

Soudain, un gros gode anal m'encule. Je me retiens de jouir.

- Tes fesses ont été fouettées et cravachées. Tu as de superbes seins d'adolescents, mes invités aiment.

Lady Chantelle ne peut pas s'empêcher de les caresser et d'en pincer les tétons entre ses doigts jusqu'à ce qu'elle les sente se dresser.


- George, veuillez enculer cette jeune beauté.

George, un bel étalon musclé, 1,85 m, doté d'un mandrin de trente-six par sept centimètres, s'enfonce dans mon anus dilaté par le gros gode.

- Elle est bien large. Elle est bien humide.

Puis libre, je remet mes mules, qui sont autorisées, je reste les jambes nues.

Je dois marcher en me déhanchant.

Je met un corset noir seins nus comme au manoir, mettant en valeur mes hanches de courtisane et mon dos cambré et mes fesses en arrière, projetant mes seins dont les mamelons pointent. Le corset moule le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur, cette version courte met en valeur tes fesses nues. Je porte dessus une robe seins nus qui couvre à peine mes fesses et ma toison. Je porte un tablier couvrant ma toison.

Vers 18 heures, j'assure l'accueil des invités, de beaux étalons, en compagnie des autres soubrettes toutes intégralement épilées. Nous portons toutes un bijou d'anus de gros calibre. Mes paupières sont légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres du ventre rougi, du parfum longuement passé sur les aisselles épilées et sur la fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Je porte mon collier de cuir de mon dressage.

Ces messieurs caressent mes seins nus offerts ainsi que leurs mamelons tendus et caressent mes fesses, me félicitant pour ma beauté et ma cambrure.

Nous faisons le service. Je suce aussi.

Comme promis, George m'encule en premier, l'anus libre, la bouche remplie par un superbe mandrin bien monté.

Pendant le service, je dois me faire enculer, debout, penchée en avant, assise entre leurs cuisses, prise en double pénétration de face et de dos, la bouche et l'anus dégoulinant de spermes.

Lady Chantelle est fière de sa nouvelle recrue.

Au moins, cinq étalons me prennent.

Je finis le service, nue, en sueur.

Vers minuit, je peux rejoindre ma chambre, avec deux membres masculins du personnel.

Ils me fessent, me cravachent comme lors de mon dressage.

Je me douche à l'eau froide.

Je passe la nuit, en double pénétration par mes amants.


Pendant une semaine, le service continue, avec sodomie, éducation anglaise et mise en valeur de mon corps.


Lady Chantelle voulait me faire connaître d'autres plaisirs avec la sodomie, après la saillie anale.

Nue et en bottes, je suis conduite aux écuries du manoir.

C'est Sultan, un magnifique alezan qui m'est présenté.

Penchée en avant, la chatte humide je reçois son long sexe en érection que j'ai sucé auparavant.

Lady Chantelle m'a fait porter un bijou d'anus plus large pour me dilater davantage.

Oscar assiste à ma saillie.

Le gland touche le col de l'utérus et me provoque un formidable orgasme !

Oscar et Lady Chantelle me photographient et me filment pendant toute la saillie.

Le cheval distend les parois vaginales.

Le cheval éjacule au bout d'un long moment.

Mon anus est prêt à le recevoir.

Je le reçois sur trente centimètres. Je gémis un peu, mais Oscar me fait sucer pour apaiser mes gémissements.

Le cheval bande à nouveau.

Je continue à sucer Oscar.

Lady Chantelle fouille ma chatte provoquant une double pénétration jouissive.

Le cheval éjacule une dernière fois ce qui lui provoque un nouvel orgasme !

Mon anus rougi est complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.

Oscar et Georges en profitent pour me prendre en double pénétration intense après ma saillie équine et une douche.

Pour ma docilité, je porte aussi un anneau doré au capuchon de mon clitoris constamment tendu et aux mamelons qui sont constamment tendus. Je garde ma toison pubienne.


25 avril

Je quitte le Sade Manoir pour une nouvelle vie de soumise.

Sir Val de Plaisir est fier de mon dressage.

Je peux recevoir les gros calibres pour m'enculer, après ma saillie équine.

Je peaufine mon bronzage intégral dans une luxueuse villa en bord de mer, tout m'offrant à des clients fortunés.

Je m'habitue aux lavements de mon anus entre les sodomies. Adam et Lancelot m'enculent aussi.

Je suis bien payée pour chaque client.

Je continue à recevoir la cravache, le fouet, la garcette sur mes fesses, mes cuisses, mes seins et même sur ma chatte percée.

Je vis nue dans la villa, m'exhibant. Je me baigne, me douche, constamment filmée.

Des vidéos de moi se vendent discrètement, ainsi que mes écrits de mon dressage.


3 mai

Sir Val achève mon dressage.

Je suis marquée au fer rouge, sur mes fesses des lettres S et V entrelacées sur ma fesse gauche et M sur ma fesse droite. Je suis intégralement épilée.

J'ai gagnée une belle somme de mon dressage.

J'ai gardée Conan, Lancelot et le superbe alezan pour mes saillies qui sont vendues à un prix d'or.

J'aime être enculée par les hommes et les animaux.


A bientôt peut-être, pour une nouvelle aventure SM.

Votre Shawn la soumise de vos désirs.


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