HISTOIRE DE S
Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
HISTOIRE DE S
15 mars
Je suis étudiante dans une université en région Parisienne.
Lesbienne depuis mon adolescence, je me refuse de me donner à un garçon, préférant me faire goder la chatte, lécher mon clitoris et surtout me faire caresser par mes chéries de mon âge. Mais un petit faible pour mon professeur de physique, Mr Alban de 50 ans, un superbe brun chauve moustachu, très élégant et sa chérie Aimée de 35 ans, une superbe brune aux petits seins, toujours élégante.
Je partage mon appartement avec ma chérie Marie Charlotte, de 22 ans, une fille très sexuellement ouverte, bisexuelle, qui aime faire venir les jumeaux Brice et Jean Bernard de 30 ans, des homosexuels bien montés bruns, athlétiques, dont je suis un peu jalouse.
Cet après-midi, vêtue de mon tailleur fuchsia avec une jupe droite mi-longue sur mon chemisier blanc, cachant mon soutien-gorge assorti en dentelle blanche mettant en valeur mes seins nus, par des demi-bonnets, avec mon string et mon porte-jarretelles, mes bas blancs, maquillée, chaussée d’escarpins blancs à talons de huit centimètres, avec ma queue-de-cheval, me faisant plus ressembler à une jeune fille bien sage, je dois faire les boutiques de livres pour me changer les idées.
Vers 15 heures, je croise Alban et Aimée. Elle est vêtue d’une robe au décolleté en V noire, en sandales noires à talons de douze centimètres, les cheveux libres. Elle aime être nue sous ses tenues.
- Tiens, mon étudiante Shawn, tu viens chercher ton bonheur littéraire, dit Alban.
- Non, elle vient chercher son Adonis, dit Aimée. Elle aime les livres coquins, où des couples font l’amour, voir avec des photos ou des corps fouettés. Elle doit mouiller quand j’en parle, n’est-ce pas la gouine ?
- Non, Alban et Aimée, je cherche des livres sérieux, pour m’instruire et non pas l’Adonis de mes rêves, ce serait plutôt la Vénus de mes désirs.
- Elle aime les beaux dessous, selon sa chérie Marie Charlotte que j’ai prise au lit, dit Aimée. Il paraît que Shawn est une vraie bête du désir dans ses rêves érotiques, prise par plusieurs splendides Adonis bien montés, comme les jumeaux B. Elle doit mouiller rien qu’à l’évoquer.
Comment Aimée le sait que j’ai une passion pour les jumeaux mais aussi pour son Alban.
- Non, Shawn est prude, mais en vérité, nue, elle fait bander n’importe quel Adonis, dit Alban. C’est une pute enfouie en elle, la femme que tout homme envie, de la prendre, de l’avoir en bouche. Les clitoris sont de petites queues. Venez, mes chéries, allons au café « Rose du Matin ».
Vers 16 heures, au café, j’attire les regards masculins. Tous veulent me voir nue. Mais messieurs, je suis très capricieuse. Je me réfugie dans un de mes livres, offerts par Aimée « Histoire d’O ».
Alban ne cesse de me draguer, je tente de faire diversion, mais c’est le regard d’Aimée et des serveurs qui m’attirent. Mon string est trempé. Je voudrais l’enlever de suite.
Je finis mon jus de fruits et descend aux toilettes.
Mais une main étrangère me prend.
- Tiens, on se connaît, belle déesse. Tu es à l’université, avec Miss Chaleur Torride. Tu dois être du même tempérament. Tu as envie de retirer ton string, ma belle.
- Tu me lâches.
- Non, tu vas me sucer et on avise ensuite, Shawn la gouine. Je suis un ami d’un photographe en quête de jolies midinettes comme toi. Cela paye bien.
Je dois le sucer et j’ai du mal à avaler son sperme. Une première pour moi, je suis toute embarrassée. Je retire mon string trempé et je le remets à l’inconnu, qui disparaît. Je me refais une beauté, après m’être soulagée. Cela a duré un quart d’heure. Son mandrin fait du trente-huit par sept.
- Shawn, où vas-tu ? dit Alban, en me voyant quitter le café, avec mes affaires.
- Laissez-moi, Alban, je dois rentrer à mon appartement.
Vers 17 heures, de retour à l’appartement, dans mon sac à main, je découvre que mon téléphone portable contient la vidéo de la fellation de l’inconnu. Il m’a filmé en plus. Il y a aussi une carte de visite :
« Shawn, je vous attends dès que tu auras envie au
Domaine des Biches, contacte-moi au numéro de téléphone en mémoire dans ton portable avec la vidéo ».
Je me déshabille. J’ai la chatte en feu, mon clitoris et mes mamelons sont tendus, malgré que je n’avais pas envie de le sucer.
Nue, je me douche longuement, mais je me revois sucer l’inconnu.
- Shawn, c’est moi, Marie, tu es là.
- Oui, je suis sous la douche, entre.
- Tu viens de te faire Charles Alexandre, un homme que peu de jolies femmes ont le privilège de le voir en vrai. Il est très discret. Il a un de tes strings. Une gouine qui suce un bel Adonis, comme dans tes rêves. Aimée m’a raconté, tu es sacrément douée.
- Non, je ne le connais pas cet homme.
- Désolé, tout le monde à l’université va savoir que tu es une pute. S’offrir Charles Alexandre, c’est un luxe. Mes jumeaux seront jaloux de connaître que tu es une bisexuelle.
- Non, je ne suis pas une pute. Je suis une gouine, ta chérie avant tout.
Brice et Jean Bernard entrent en silence par la porte de la salle de bains. Je suis nue et Marie Charlotte est nue, elle aussi, se masturbant devant moi.
- Regarde qui je vois, dit Brice. La bisexuelle toute nue, elle est superbe et canon.
- Oui, j’ai hâte de la défoncer, dit Jean Bernard.
- Mes amours, laissez tomber, elle a son Charles à s’occuper, ma chérie. Deux queues rien pour que moi. Toi, ma chérie, va te goder la chatte ou l’œillet, car Charles aime les déesses du sexe.
Marie Charlotte s’éclipse. Je vais tuer ces jumeaux, pervers et vicieux.
Je me sèche, m’enferme dans ma chambre, nue, cuisses écartées et compose le numéro de téléphone
Vers 18 heures, j’entends une voix féminine :
- Miss S, je présume. Désolé, Charles est en réunion. Il a hâte de te revoir. Il te considère comme sa nouvelle déesse du sexe. Attention, le Domaine ne prend que les plus belles, surtout de jeunes gouines si possibles vierges qui deviennent de vraies reines du sexe. Le nombre de postulantes est grand, mais peu d’élues. Tu en fais peut-être partie. Sucer Charles, cela se mérite.
- Je ne suis pas intéressée par le Domaine. Puis-je faire retirer la vidéo ?
- Désolée, ma chérie, c’est Charles qui décide. Il te laisse 24 heures pour te décider. Surtout, tu devrais goder ton œillet, car les filles qui aiment l’anal sont plus chanceuses et si tu aimes les fessées, les chances augmentent.
- Oui, j’aime les fessées. Je mouille, quand je suis fessée par mes copines.
- J’en informe Charles.
La femme raccroche. Je trouve un mes godes et je le lubrifie avec ma mouille et me l’enfonce dans l’anus. Je gémis. C’est un calibre six.
Comment font-elles les femmes pour jouir enculée ?
Je me caresse mon clitoris tendu, mes mamelons sont tendus par la conversation.
Il me faut un bon quart d’heure pour connaître mon premier orgasme anal, couvert par les orgasmes de la double pénétration de Marie Charlotte.
J’envoie un message à Charles Alexandre :
Je suis novice en anal. Mais je viens de jouir pour ma première sodomie avec mon gode. J’ai hâte de vous revoir. Je viens de commencer « Histoire d’O ».
Shawn, la belle du « Rose du Matin ».
Il est 19 heures. Je reste seule. Marie Charlotte est partie avec ses jumeaux pour la soirée.
Vers 22 heures, alors que je commence à dormir nue, après une nouvelle sodomie, mon téléphone portable vibre.
- Oui, allô.
- Shawn, raconte-moi en détail ta sodomie, je suis Dan, un des photographes de Charles Alexandre. Des gouines vierges se trouvent régulièrement. Des gouines qui jouissent enculées avec un gode, ou avec un Adonis sont rares. Si tu veux, tu peux te caresser en me racontant. Envoie des photos de ta chatte, ton œillet, ta bouche, tes seins et tes pieds.
J’obéis. Je mouille, je jouis, en me godant une nouvelle fois l’anus.
Il est 22 heures 30, quand Dan achève sa conversation :
- Tu es sublime. Il faut que l’on se voit en vrai au Domaine si possible.
J’hésite.
- Charles y sera…
- Oui, il sera là pour toi. Il n’a qu’une envie que tu le suces. S’il te plait, ne portes plus de dessous, la chatte à l’air est mieux, tes superbes seins nus sont plus excitants sous tes robes courtes, un porte-jarretelles et des bas en plus, c’est top.
Il raccroche. J’ai une nuit agitée, car le trio refait l’amour.
16 mars
Vers 7 heures, j’émerge, me douche rapidement, déjeune avec juste un tee-shirt blanc sur mon corps nu, cuisses écartées involontairement devant les deux jumeaux, qui ont ramené des croissants et m’ont laissé une tasse de café.
- Rêve, tu es nue sous ton tee-shirt. Tu vas draguer, ma belle, dit Brice.
- Non, elle va faire sa gouine avec Aimée, dit Jean Bernard. Elle me fait bander, exhibant son mandrin de trente par six.
Je suis un peu choquée, mais excitée de l’effet.
- Non, messieurs, j’ai un rendez-vous après les cours. C’est Dan, qui m’attend. Ce soir, je ne serais peut-être pas la, mes chéris.
Mon téléphone sonne. C’est un message :
« Tes photos sont sublimes, attends ta réponse, ma belle Shawn. Je te désire. Charles et son chéri Dan. Fleur te complimente. »
Je suis chaude. Je laisse ma réponse.
« Rendez-vous au Rose du Matin à midi, je serais en tenue pour vous trois. Shawn. »
Vers 8 heures, je file dans ma chambre, chercher la robe sexy. Elle est blanche et transparente au soleil. Maquillée, parfumée, les cheveux libres, je suis prête.
Je l’enfile sur mon corps nu. Mes seins aux mamelons tendus, mes fesses, mes jambes nues m’excitent. M’exhiber est mon nouveau atout. Je suis sûre d’être prise. Mon porte-jarretelles et mes bas blancs complètent ma tenue, dont on devine les jarretelles. Des sandales blanches à talons de huit centimètres me font plus désirables.
Marie Charlotte et les jumeaux me voient.
- Tu es de sortie, ma chérie. Désolé, on dirais une pute de luxe, pour son Charles, dit Marie Charlotte.
- Prête à se faire défoncer par le premier venu, dit Brice. Je bande à fond. Tu me donnes ta chatte, ma belle.
- Bas les pattes, messieurs, je suis attendue.
Au bas de l’immeuble, je tombe sur une BMW cabriolet blanche conduite par un bel Adonis de 30 ans, brun, athlétique.
- Tu es Shawn. Je suis Hubert, le chauffeur personnel de Charles. Tu vas à l’université.
- Oui, vous êtes envoyé par Charles, dis-je un peu gênée.
- Monte, tu es très sexy, pour ton audition.
Je monte. Je relève un peu ma robe, pour exciter involontairement Hubert.
Vers 9 heures, le trio a juste le temps de me voir partir.
- Charles t’attends plus tôt. Le rendez-vous du café a été annulé, désolé. Tes photos de ton sublime corps ont été sélectionné par le Domaine. Tu iras ce soir au Domaine. Tu veux sucer ma queue.
Je n’ose. Il exhibe son mandrin de trente-six par sept, circoncis, ses testicules épilés, percés d’anneaux dorés.
Je m’exécute, tandis que nous roulons.
- Je comprends pourquoi Charles a pris du plaisir. Doucement, ma belle, laissant un peu, tu es pressée.
- Oui et non, je suis excitée.
Nous quittons le quartier de l’université où se trouve mon immeuble pour rejoindre un quartier bourgeois, à une heure de route.
Là, nous entrons dans un labyrinthe de rues sécurisées.
Vers 10 heures, enfin, nous entrons dans un discret parc cachant une superbe villa.
- C’est ta nouvelle résidence pour quelques jours. Tu vivras nue, tu es libre de te caresser, si tu as envie. Mais aussi, tu devras obéir aux ordres des amis de Charles.
- Quoi, sucer, me faire honorer ma chatte vierge et mon œillet.
- Oui, le tout filmé et photographié pour tes nouveaux amants en direct. Le hard SM c’est un créneau porteur pour une jeune gouine comme toi. La pute bisexuelle soumise, c’est le titre du script choisi par Charles.
- Jamais, je ne ferais cela. Moi, une gouine, baisée, enculée par des hommes, je n’ai pas le temps pour eux. Je dois assurer mes cours.
- Ah bon, même pour disons 10.000 les deux jours, tu refuserais une telle offre. Charles serait très déçue, d’une telle bouche de suceuse. Tu me sembles un peu novice, naïve, prude, mais qui cache une adepte des fessées, qui fantasme sur les hommes mûrs et qui est en vérité aime être dressée et humiliée, exhibée devant des hommes qui ont envie de toi, Shawn.
- Oui, j’ai très envie d’être doublement déflorée, le plus vite si possible. Je sucerais toutes les queues, pour me faire prendre.
- Tu vois, Charles va aimer tes compétences.
- On commence quand.
- Shawn, dit Charles, en costume d’homme d’affaires, ma belle, tu es intéressée.
- Oui, Charles, prenez-moi, j’ai la chatte en feu et surtout entre mes fesses, comme O.
- Du calme, ma belle, Hubert, va lui préparer la chambre, avec les godes réalistes, le gode anal Adam et surtout qu’elle reste naturelle, pas d’épilation, on verra plus tard. Cela dépend de l’audience de notre reine du sexe. Préviens Pilon Hector, Eros Sévices et Phallus Jason, qu’ils soient prêts pour les essais, avant le tournage.
- Je vais tourner, déjà. Je mouille, Charles, j’ai très envie.
- Mets-toi juste en porte-jarretelles et bas, mules à talons de douze centimètres, le reste du corps nu, pour tes premières photos pour la jaquette, dit Charles. Anal Rose tu me la farde, la parfume, telle une fille du Domaine. Je veux qu’elle soit excitée entre tes fesses, c’est une gouine.
- Bien, dit Anal Rose, une grande blonde aux seins plantureux, 30 ans, vêtue d’un corset seins nus, noir, avec des cuissardes noires, les cheveux coiffés en chignon. Quelle beauté, future pute anale, DP, la totale pour une première, dans quelque temps, tu jouiras avec de belles queues, ma beauté virginale. Tu n’as jamais joui avec un mec.
- Non…
- Tu fais ta timide. Le sexe te tente, comme soumise. C’est cela, défoncée, fessée, c’est ton plaisir sexuel, en obéissant à tes amants. Charles est un Maître exigeant, tout écart est puni, ma belle gouine.
- Oui, Anal Rose, je vais obéir. Je n’aurai pas mal, défoncée par des grosses queues.
- Tu verras, le plaisir sexuel l’emporte sur la douleur, dans ton cas. Tu es une maso, te faire déflorer par des grosses queues.
J’ai envie d’Anal Rose.
Dans ma chambre au premier étage, par un superbe escalier en marbre, que monte en compagnie d’Anal Rose. Ma chambre est luxueuse, avec des menottes au lit, plusieurs miroirs et glaces, une coiffeuse avec un gode réaliste et surtout d’autres godes anaux et double, une cravache et une grande salle de bains avec douche à jets multiples, jacuzzi et bidet avec canule de lavement.
Nue, je me laisse savonner, doucher, rincer et laver mes cheveux.
Je me suis poudrée sur le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Chantelle me met quelques gouttes d’un vaporisateur sur mes mamelons. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur rouge, comme aux grandes lèvres de ma chatte. Le parfum est longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Mes seins offrent les mamelons constamment tendus, par les glaçons. Mes mamelons et mon clitoris sont sous l’effet d’une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.
- Tu es toute excitée. Mets ton porte-jarretelles et tes bas, tes mules. Ici, il n’y a que du douze centimètres. Il faudra t’y habituer. Il faut marcher avec grâce. Ta silhouette est plus élancée, tes chevilles et tes mollets sont tendus, cela lui fait des jambes superbes ! En accentuant ton déséquilibre en avant, tes talons te forceront à redresser le buste et à creuser les reins. Tu vas les rendre fous ! Mon chaton, je te montrerai aussi comment te déhancher. Comme tu veux être soumise, ce collier et ces bracelets complètent ta tenue pour t’entraver. Tu devras obéir à tous les ordres de Charles, Dan, Hubert et les autres partenaires de ton film, sous peine de punitions choisies par tes Maîtres.
Habillée, j’ai droit à un collier de cuir fait en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets à mes poignets et à mes chevilles, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
- Merci, Anal Rose, j’ai envie d’être prise. Je suis une authentique soumise.
- Viens, te montrer à tes nouveaux amants, ma belle soumise gouine.
Vers 11 heures, en bas de l’escalier, sous les applaudissements des amants, déjà nus, je fais la connaissance de Pilon Hector, un superbe étalon Africain noir de 30 ans, bien monté, Eros Sévices, un brun moustachu de 25 ans, du même calibre et de Phallus Jason, un Jamaïcain de 28 ans, au mandrin très imposant. Hubert que je connais, Charles aussi plus Dan, un séduisant Adonis blond athlétique, musclé, de 35 ans sont là. Tous sont plus grands que moi, même en talons.
- Elle est toute prête à se donner à vos queues, messieurs. Moi et Hubert connaissons sa bouche, à vous d’éjaculer dans sa bouche qu’il faut dressée. Elle a besoin de sucer, ma belle.
- Oui, Maître, je peux me caresser, tout en suçant.
- Si tu veux, mais cuisses écartées, accroupie, surtout, offre tes seins à ses messieurs, soumise en formation.
J’obéis.
- Tu vas sucer Pilon, avec son quarante par huit.
- Allez de l’entrain, ma belle, tu me fais bien bander. Tu avales, en gorge profonde.
Je vais m’étouffer, le mouvement de sa bouche refermée et resserrée sur le mandrin que j’ai en bouche, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée. Je guette les gémissements, attentive à le caresser, avec un respect infini et la lenteur.
- Tu n’arrives pas à avaler. Je gicles, mais tu ne peux ou tu ne peux pas avaler. Tu seras punie. Tu dois être à la hauteur, ma belle gouine. Tu préfères les chattes aux queues, dit Pilon.
- Je vais lui mettre un bâillon O à cette gouine, pour qu’elle avale. Tu as compris, la pute Shawn.
- Oui…
Le bâillon O me contraint à garder la bouche ouverte, les mains menottées dans le dos, agenouillée, déchaussée, je dois les sucer tous, jusqu’au dernier et avaler les giclées sans m’étouffer. Ce sont des pervers, mais je suis leur soumise.
- Enfin, tu as compris, comment sucer. Ce n’est que le début, ta chatte et ton œillet, c’est pour plus tard. Va te doucher, reviens nue, pieds nus, les yeux baissés devant tes Maîtres.
- Oui, Maître, j’ai compris ma punition, dis-je la bouche libre.
Une fois propre, je prends des poses de soumise, photographiée sous tous les angles, me caressant devant Dan, qui bande.
- Dan, j’ai envie de ta queue, dis-je lors d’une pose à quatre pattes, cuisses écartées.
- Tu commences à me plaire. Mais celui qui te déflore la chatte, le fait selon ses envies à lui, pas les tiennes, soumise Shawn, dit Charles, qui supervise. Tu mouilles d’avance. Les queues t’excitent plus que les chattes, ta bisexualité se révèle.
- Excusez-moi, j’ai la chatte en feu, surtout après les queues que j’ai sucée, dis-je, gênée.
Les deux bandent à fond, surtout le trente-huit par huit de Dan.
- Bon, on double le tarif 20.000 pour les deux jours, pour que tu deviennes la reine du SM. Dan, tu la déflores en premier, je l’encule ensuite, puis les autres l’enculeront.
- Oui, prends-moi Dan. Oui, Maître, je suis toute à vous.
Dan me prends en main, me caresse, tout en m’embrassant langoureusement sur la bouche. C’est mieux qu’un baiser avec Marie Charlotte. Dan est nu, son mandrin collé contre mes cuisses écartées.
Je suis désormais filmée, comme depuis mon arrivée. Chaque pièce est équipée de discrètes caméras pour immortaliser mon dressage.
Il caresse mes fesses, les écarte, me fait aller et venir le bijou d’anus de quatre centimètres de calibre que m’a insérée Anal Rose sous la douche, avant les photos.
- Tu es étroite de l’œillet. Charles va s’occuper de ceci quand tu auras été déflorée, ma belle pute.
- Oui, prends-moi.
Il me retire le bijou d’anus.
Allongée sur le dos, cuisses écartées, je me laisse remplir jusqu’au fond de ma chatte trempée, le clitoris tendu à l’extrême sous mes doigts et par l’excitation. Mes mamelons sont aussi durcis. Je ne ressens aucune douleur. Je connais mon premier orgasme avec un homme, c’est divin.
- Encore… Profondément, Maître.
Prise dans diverses positions, empalée de face, les jambes écartées, les jambes autour de ses reins, multipliant les râles de plaisir, jusqu’à l’ultime éjaculation de Dan.
- Tu en veux encore, ta chatte est bien chaude, maintenant.
Je m’offre empalée dos à lui, cuisses écartées, soulevée par les cuisses, pour une seconde éjaculation de Dan.
Je dois m’empaler sur Charles. Il me défonce jusqu’au fond de la chatte. Je connais un nouvel orgasme.
Libérée un instant, Charles me dit :
- Ta chatte a bien dégusté, elle dégouline de nos spermes. Maintenant, tu veux jouir entre les fesses. Tu es étroite, c’est ta première sodomie par un homme.
Il m’encule à quatre pattes sans ménagement, jusqu’aux testicules. Son calibre de sept m’écartèle. Je gémis.
- Tu seras enculée tous les jours, tout comme ta chatte.
- Oui, Maître, je veux être enculée par une plus grosse queue.
Il varie les positions et m’offre à Phallus Jason, avec son trente par neuf.
Je gémis, mais la douleur anale s’estompe, sous ses deux éjaculations.
- Tu sais, ma soumise Shawn, tu mérites une punition, mais avant, va te laver, nettoie ta chatte et ton œillet avec la canule.
- Oui, Maître, je suis toute à vous.
Vers midi, douchée, l’anus propre, encore entrouvert, la chatte en feu, le clitoris et les mamelons tendus, fardée comme à chaque douche, je retrouve Charles.
- Ma chérie, tu vas un peu de vélo d’appartement, c’est ta punition, tu es bien ouverte maintenant.
Le vélo d’appartement se trouve sur la terrasse près de la piscine. Je reste nue, pieds nus. Le vélo abrite deux superbes godes réalistes qui coulissent à travers la selle, et dont seulement les glands dépassent de cette dernière pour le moment. Je dois pédaler pour les faire actionner. Je m’empale dessus après une courte hésitation, doublement godée. Mes pieds nus sont immobilisés aux pédales et mes mains sont fixées au guidon par les bracelets de mes poignets et des sangles sont passées à mes cuisses, pour m’immobiliser pendant que je pédale.
A chaque tour, les godes s’enfoncent davantage jusqu’au fond de ma chatte trempée et de mon anus écartelé lubrifié. J’y passe une bonne demi-heure, les fesses cravachées si je ne vais pas assez vite à pédaler, un stimulateur clitoridien muni de langues vient lécher mon gros clitoris tendu à l’extrême. Je ne compte plus mes orgasmes.
- Tu as joui, ma belle Shawn. Ce n’est pas grave, c’est Jason qui va te prendre.
Jason vient me lécher, puis il me baise profondément jusqu’à l’orgasme dans diverses positions et m’achève en m’enculant, avec six éjaculations consécutives, qui m’épuise.
- Tu es très belle, la chatte et l’œillet dégoulinant de spermes de Jason, ma beauté.
- Oui, Maître, je veux que tu me pines encore, dis-je. J’aime votre queue, vos mains sur mon corps et être punie par vous. Je suis à votre disposition.
- Tu vas te restaurer, te reposer un peu, avec le gode Adam, puis on reprend plus tard. On va corriger Miss Chaleur Torride et ses jumeaux, tu pourras les regarder sur la télévision dans ta chambre. Tu vas me sucer aussi tout comme Jason, avant.
J’obéis et j’avale tout.
Nue, je me restaure dans ma chambre et je découvre Marie Charlotte prise en double pénétration par des gros calibres, cravachée et Brice et Jean Bernard sont enculés par Anal Rose, pour devenir de vrais soumis.
Nue, l’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Anal Rose attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Anal Rose les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
Je suis enculée par cet infatigable étalon, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus par l’excitation sexuelle que je ressens.
Je suis enchaînée à mon lit, les bracelets de mes poignets fixés à mon collier, qui est relié par une chaîne. Je reste ainsi, excitée par la vidéo. Je jouis sans me caresser.
- Elle réagit bien, la nouvelle, dit Charles, dans ma chambre avec Hubert.
- Le Baron va demander davantage d’elle. Dix sodomies, autant de baises et de DP, elle prendra du plaisir.
- Oui, avec 100.000…
Je m’endors un instant. Les deux hommes sont partis.
En quelques heures, mes hanches deviennent douloureuses, ma sensibilité anale s’accroît, je jouis en quelques va-et-vient, puis c’est le calme, avant une vague de plaisir. Mon anus écartelé se soumet à cette belle queue.
Vers 17 heures, j’émerge, en sueur, l’anus en feu. Il me faut une queue immédiatement.
Je croise nue, Marie Charlotte, les fesses, les cuisses, les reins et les seins cravachés.
- Tiens, la belle pute Shawn. Tu es avec des pervers sadiques, ma chérie. Tu mérites mieux que cela, livrée à des voyeurs.
- Emmenez-la au dressage. Toi, Shawn, pseudonyme Prudence Double Plaisir, on a d’autres occupations pour toi. Le gode t’a encore assoupli un peu plus.
- Oui, Maître, j’ai encore envie. Surtout pour 100.000.
- Va te soulager, tu vas me sucer, dit Jason.
J’obéis et il éjacule dans ma bouche et dans mon anus, après m’avoir longuement enculée, sans que je puisse jouir.
Puis ils me prennent en double pénétration, d’abord, je suis couchée sur Jason, enculée par Charles, avec une gaine à picots. Je jouis sous le bâillon-boule, submergée par mes doubles orgasmes. Je suis doublement inondée, remplie jusqu’aux testicules.
- Tu as aimée, on dirait, les doubles pénétrations, dit Charles, en me prenant encore, cette fois, soutenue par mes deux amants.
Mes mains sont menottées dans mon dos. Je connais à nouveau de nouvelles vagues de plaisir.
Au final, je suis offerte à Horace, que je suce, enculée par Dan et baisée par Eros Sévices, tous m’inondent largement, les fesses bien cravachées par Charles.
Vers 18 heures, je suis pantelante, la bouche, la chatte et l’anus largement inondés.
- Va te doucher, fardée, parfumée, tu es attendue ce soir au Domaine, ma belle pute, dit Charles.
- Déjà, le Domaine, mais je suis bien ici avec vous, surtout Charles, mon Maître.
Habillée d’un chemisier transparent blanc et d’une jupe très courte blanche aussi transparente couvrant à peine mes fesses nues zébrées et encore brûlantes par les coups de cravache d’Anal Rose, chaussée de mes mules à talons de douze centimètres, coiffée de ma queue-de-cheval, fardée, parfumée, je m’exhibe devant Charles et Hubert, sans mes carcans de cuir.
- Maître, je suis fière d’être soumise. Je serais bien rester plus longtemps avec vous.
- Tu es fière d’avoir été doublement déflorée, une suceuse de queues de gros calibres, doublement remplie, d’avoir joui avec ce gode Adam, dit Charles.
- Oui, surtout Adam, pour jouir, c’est le summum du plaisir. Je peux vous embrasser langoureusement. Je suis sans doute attendue au Domaine. Je suis toute excitée, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus, car j’ai envie de vous faire plaisir et de me faire plaisir aussi.
Après un ultime baiser, Hubert me prend par la main.
- On a de la route à faire, ma belle. Tu dois te donner au maximum au Domaine des Biches. Tu es déjà la numéro 1, en une journée. En cinq jours, tu seras encore plus désirable, dit Hubert, en me faisant monter à bord de la Ferrari F40 rouge qui nous attend.
- J’ai droit à une Ferrari. J’aime les voitures sportives et leurs conducteurs.
- Relève ta jupe et écarte bien les cuisses, comme une vraie soumise. Garde bien les yeux baissés devant les hommes, la bouche entrouverte, tu es la pute que je remets au Baron. Il faut être docile avec lui et ses invités.
Le trajet dure trois heures, par une route sortant de la ville, traversant la campagne jusqu’à une forêt des Yvelines.
A mi-chemin, on marque une pause, j’ai les yeux bandés, mais je mouille, les seins nus dénudés offerts au vent tout comme mon clitoris.
Hubert me fait descendre de voiture et m’encule sans éjaculer, penchée en avant, sur le capot. Je connais un violent orgasme juste avant qu’il se retire.
Arrivée à destination, je suis conduite par Hubert, jusqu’au perron, d’un luxueux hôtel particulier dans la forêt.
Le Baron fait un long éloge sur mes compétences et mon désir de soumise. Je retrouve mes carcans de cuir à mon cou, mes poignets et à mes chevilles, les cheveux libres.
Je suis offerte, enculée longuement les yeux bandés, par un harem d’étalons bien montés que je suce, avant d’être cravachée et fouettée à la garcette, nue, sur les fesses et les cuisses, menottée à un chevalet. Mon excitation est au summum du désir. J’hurle mon plaisir, fouettée.
La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, ce qui a été fait comme je peux le constater, sur l’intérieur de mes cuisses, combien les cordes sont humides et froides.
Cela plait au Baron.
17 mars
Vers 3 heures du matin, nue, en mules, l’anus rempli par un bijou d’anus de calibre huit centimètres, je suis tenue en laisse jusqu’à ma cellule, au premier étage, par un des valets, vêtu simplement d’un gilet de cuir, les testicules épilées et percées d’anneaux dorés, bien monté. Je garde les yeux baissés.
Je suis douchée, menottée à un crochet, bras tendus, les cuisses écartées, livrée à l’éponge du valet. Il bande devant moi.
La fenêtre est restée ouverte, donnant sur le parc.
Je suis menottée au chevalet, avec des pinces à seins avec clochettes à mes mamelons tendus ainsi qu’à mes grandes lèvres de ma chatte humide. Le valet m’encule quelques instants, avant de m’offrir saillie pour la première fois, enculée par un berger allemand jusqu’au nœud. Je gémis un peu mais le plaisir anal l’emporte pendant une demi-heure, largement inondée.
Je dois le sucer, avant d’être à nouveau saillie par un doberman et un autre berger allemand, puis cravachée jusqu’à l’aurore.
Je suis à nouveau saillie jusqu’à neuf heures, je dors un peu.
Le valet me douche ensuite, me met un gode canin de petit calibre pour m’enculer, cadenassé, au nœud de la taille d’une balle de golf, pour m’écarteler davantage. Je connais un violent orgasme dans les premières minutes de va-et-vient.
Le rituel dure jusqu’au 23 mars. Je suis constamment saillie, fouettée et enculée par les invités, les maîtres et les valets dans diverses pièces. Je me repose, menottée sur mon chevalet, qu’à l’aube.
Mon anus s’habitue à ce gode anal canin.
23 mars
Vers 15 heures, j’émerge nue, sous la fourrure de mon lit, au rez-de-chaussée. Je porte désormais des anneaux dorés à mes grandes lèvres de ma chatte, mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse et je porte à mon annulaire gauche une bague sertie d’un anneau. Mes reins sont tatoués « Dévouée Chienne S ». J’en éprouve de la fierté.
J’ai été longuement saillie depuis l’aube par un dogue allemand, le plus gros sexe canin, qui m’a baisée et enculée à plusieurs reprises, menottée sur mon chevalet. Mon anus reste encore entrouvert et dégoulinant de son sperme.
Un bel étalon athlétique, musclé, chauve et barbu, de 50 ans, O de Sade, vient me caresser mes cheveux.
- Prudence DP ou Shawn, tu es devenue docile en quelques jours. Tu es libre. Tes bijoux intimes et ton clitoris percé vont ravir tes amis. Je suis O de Sade, ton nouvel amant. C’est Charles qui m’envoie te chercher. Lève-toi que je regarde ce sublime corps à la taille affinée par le corset seins nus que tu as porté de temps à autre avec ton gode anal.
J’obéis. Le Baron est présent. Je garde les yeux baissés, en mettant ma main pour récupérer le sperme qui coule de mon anus.
Je me douche une dernière fois, avec une canule pour nettoyer mon anus.
O de Sade a ramené que quoi m’habiller : un chemisier blanc transparent, une jupe blanche couvrant juste mes fesses, des sandales blanches à talons de douze centimètres.
Le Baron me retire mes carcans.
O de Sade m'attire pour examiner mes reins et mes fesses. Il passa les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans.
Fardée, parfumée, habillée, nous quittons le Domaine des Biches. Je découvre la même Ferrari F40 rouge qui m’a emmenée, qui m’appartient.
Nous prenons par un raccourci en passant par un village en Essonne, le département voisin.
Vers 17 heures, il achète trois cravaches chez un sellier, qu’il me fait tester, les fesses nues, devant le séduisant vendeur de 30 ans, qui bande. Je mouille mais je ne peux être prise par lui.
Non loin de là, se trouve le cabinet gynécologique de O Sévices, le frère jumeau de O de Sade.
Là, nue, je suis examinée avec un spéculum et un écarteur anal pour voir mes ouvertures.
Ma chatte est encore étroite, mais bien ouverte. Mon anus est jugé bien ouvert, écartelé.
- Elle a été forcée, saillie à de nombreuses reprises, enculée plusieurs fois. Son œillet est bien entrouvert. Elle aime se faire enculer, depuis son court passage chez Charles, dit O Sévices.
Les deux me baisent et m’enculent, sur le fauteuil gynécologique dans son cabinet. J’y passe une bonne heure, à sucer et à avaler leurs spermes.
Ils sont satisfaits de moi.
Vers 19 heures, nous allons enfin à ma villa, à une demi-heure du cabinet de O Sévices.
Ma villa ressemble à celle de Charles, avec une piscine extérieure et intérieure, interconnectée, un grand salon et une grande salle à manger, une cuisine aux sous-sols. Au premier étage, se trouvent notre chambre, nos salles de bains, ma garde-robe et mon armoire à plaisirs, un vélo d’appartement, des appareils de musculation et une pièce secrète.
Toutes mes tenues sont seins nus pour mettre en valeur mon corps, transparentes, courtes, fendues discrètement, avec des chaussures à talons de douze centimètres, ma coiffeuse avec mon nécessaire à maquillage et mes parfums.
J’ai droit à un majordome Africain noir Horace ressemblant à Jason, deux hommes soubrettes en tenue, tablier blanc, porte-jarretelles baleinés avec bas noirs, mules noires de talons de douze centimètres, perruque, clochettes aux testicules épilés, castrés, prénommés Amour Barbie et Beauté Anale.
Je vis constamment nue avec juste mes mules à mes pieds nus, les cheveux libres, exhibant mes bijoux intimes et mes reins tatoués.
J’ai droit au gode anal canin Lancelot, moulé sur le sexe d’un doberman en érection, avec un nœud de la taille d’une balle de tennis pour m’écarteler davantage, cadenassé.
Toutes les pièces sont recouvertes de miroirs et de glaces pour que je puisse me regarder seule ou avec mes amants qui attendent de venir me voir.
Ma salle de bains comprend une douche à l’italienne, un jacuzzi, un bidet, une cuvette de toilette et des accessoires pour mon lavement anal, un crochet permet de me suspendre. Ma garde-robe comprend un accès à l’armoire des plaisirs qui contient des godes, des accessoires pour m’attacher, me bâillonner, me pincer les seins et les lèvres de ma chatte et d’autres accessoires pour d’autres plaisirs, comme un gode équin.
Je me baigne, pour me relaxer de mes cinq jours enchaînée. Je porte mon gode anal.
O de Sade me retire pour le souper, que je prends enculée, assise entre ses cuisses, jusqu’aux testicules, offrant mes seins, mes fesses, mon gros clitoris et mes reins à ses caresses.
- Retiens de jouir, s’il te plait. Tu jouiras uniquement avec Lancelot désormais.
- Oui, Maître, j’aime votre belle queue.
- Je sais que tu as un faible pour les hommes mûrs et experts. Mais ma chérie, c’est la première fois que je fais l’amour avec une jolie jeune femme comme toi.
vers 22 heures, après le souper, je dors nue, avec mon gode anal, offerte à O de Sade, qui me baise selon ses envies, tout en regardant des films SM hard avec quelques scènes de ma journée chez Charles et mes amants. Cela m’excite.
Les deux soubrettes mâles font leurs jalouses, mais elles ne peuvent pas éjaculer, par un astucieux système.
24 mars
Vers 9 heures, j’émerge, nue, en sueur, l’anus libéré de Lancelot par O de Sade, au lever du jour. Mon anus est bien ouvert encore entre mes cuisses écartées cravachées, sur le devant, l’arrière et l’intérieur, ainsi que mes fesses. Je me doigte avec deux doigts tout en masturbant mon clitoris constamment tendus et je connais un violent orgasme anal.
Je me douche, surveillée par Horace, qui me fait mon lavement anal.
Je déjeune nue, dans ma chambre. Les deux soubrettes mâles m’apportent le plateau repas. Je prends soin de garder mes cuisses écartées devant eux.
Horace me choisit ma robe pour le restaurant du midi. Je me farde, me parfume, enfile une robe chandail blanche moulant mes seins nus au décolleté en V, avec un discret dos nu, discrètement fendue devant et derrière, courte devant jusqu’à mi-cuisses et s’arrêtant au dos jusqu’à mi-mollet. Je chausse mes pieds nus de mules blanches à talons de douze centimètres, aux ongles des mains et des pieds vernis de rouge, coiffée d’un chignon. Je fais très féminine. Les hommes me désirent, je le sais, comme au Domaine des Biches, pour être enculée, fouettée à toute heure, car je suis facile. Je porte mon bijou d’anus calibre huit centimètres au cas où je serais enculée.
Vers 11 heures, la Ferrari F40 conduite par O de Sade nous conduit au restaurant à mi-chemin entre la villa et le Domaine des Biches, dans une zone forestière, loin des regards discrets. Le directeur, un bel étalon brun de 60 ans, athlétique me toise :
- C’est la fameuse Prudence DP, cher ami. Très belle, élégante, pute et soumise comme nièce, aussi, selon les références.
- Oui, pute et soumise, elle cache ses superbes yeux verts que tous les hommes, dit O de Sade. Doublement ouverte, vicieuse en dressage, elle est devenue en une semaine, la femme dont tout amant désire.
- Tiens, voici ma nouvelle chérie, dit O Sévices. Fleur nous attend aussi, ainsi que Lady D, pour une discussion entre femmes.
- Fleur, la secrétaire de Charles…
A la table, je retrouve Fleur et Lady D, blonde de 40 ans, aux petits seins, en robe bustier, les cheveux mi-longs.
- Elle-même, miss Shawn ou future Comtesse, dit Fleur (une élégante brune aux seins plantureux dans une robe similaire à la mienne, mais noire, de 35 ans, les cheveux libres), belle soumise, Charles ne se trompe jamais lors des castings SM.
- Tu as raison, Fleur, Charles reconnaît facilement une vierge va devenir une soumise doublement ouverte à tous les sexes, qui aime la cravache et les autres plaisirs du fouet. Tu mouilles il paraît. C’est normal, cela t’excite. Je suis Lady D, appelle-moi Maîtresse.
- Maîtresse et Fleur, je suis ravie de vous rencontrer.
- Les commandes sont déjà passées, ma chérie, dit O de Sade. Montre tes fesses et tes cuisses, sur le champ, Prudence.
Je me lève, après avoir écarté ma jupe pour m’asseoir fesses nues.
- Elle est bien marquée, bravo, mes chéris, dit Lady D. Montre-moi aussi tes bijoux intimes, ma belle chienne.
J’obéis.
Lady D et Fleur caressent ma chatte et mon clitoris, doigtent mon anus. Je dois lécher leurs doigts.
La discussion entre femmes tourne sur mon dressage, mes goûts sexuels, mes vices cachés. Je suis toute excitée.
- Dénude tes seins devant nous, que les hommes admirent tes mamelons fardés.
Je m’exécute.
Un des hommes âgés, de 50 ans, en homme d’affaire, s’arrête à notre table, près de la fenêtre, donnant sur un bassin. Je reste les seins dénudés.
- Quelle beauté, superbes seins, elle est naturelle, dit l’homme. Je suis Jean Edouard, un homme politique connu. Je rêve de l’avoir dans mon lit. Anale ou double, chère soumise Prudence DP ?
- Réponds, Prudence, ce sera peut-être un de ceux qui te fouettera peut-être au Domaine.
- Monsieur, je n’ai pas de préférence, me faire enculer ou deux queues en moi, me font le même plaisir. Même deux queues canines, c’est le summum du plaisir de soumise.
- J’ai votre adresse et votre numéro, Prudence l’a sur son téléphone aussi, dit O Sévices.
Avant le dessert, j’éprouve le besoin de me soulager. Je vais pour couvrir mes seins.
- Non, tu restes les seins dénudés jusqu’au départ du restaurant, Prudence.
J’obéis. Je suis un peu gênée, embarrassée devant les clients, car je dois traverser toute la salle et descendre au sous-sol aux toilettes. Je garde les yeux baissés, soumise.
Jean Edouard me fait enculer, penchée sur un urinoir, les fesses dénudées, les seins pelotés, le clitoris masturbé par une dizaine d’hommes à raison d’un quart d’heure chacun, éjaculant tantôt dans mon anus tantôt sur mes fesses, sans jouir. Cela est très jouissif.
Je suce ceux qui le désirent, pantelante, les nettoyant, avalant tout. Je me refais une beauté dans les toilettes pour dames, avant de revenir prendre mon dessert et mon café.
Jean Edouard et les clients qui m’ont enculée, ont laissé une belle enveloppe remplie de billets à mon attention, une quote-part, le reste a été partagé entre les jumeaux et Lady D.
Vers 14 heures, à la sortie du restaurant, sous les regards concupiscents des hommes dont certains m’ont enculer, je rejoins la Ferrari de O de Sade. Lady D et Fleur prennent la Porsche cabriolet rouge de Lady D, O de Sévices prend sa BMW cabriolet noir. Jean Edouard est déjà parti à bord de sa SM noir avec son chauffeur.
Un bel étalon de 35 ans, brun, m’aborde, alors que je vais monter dans la Ferrari.
- Tiens, la célèbre putain de Charles, Prudence. J’ai hâte de te photographier pour ton cahier de nus, fouettée à ma guise, enculée à ma guise, offerte à des clients fortunés. Tu mouilles (il glisse sa main entre mes cuisses). Ton œillet dégouline, tu viens de te faire prendre, tu es une sacrée chienne.
- Retire tes mains, bel inconnu. J’appartiens à mon chéri, O de Sade.
- Tu as raison, ma chérie Prudence.
- Je suis Sven Omar, un photographe qui aime les belles et jeunes soumises comme toi. Pas comme, cette pute de W, qui gémit dès que je la prend, la fouette et la fait enculer par mes amis. Tu n’es pas farouche, tu m’obéis aux doigts et à l’œil, ma sublime chienne aux yeux verts. Mes clients sont très exigeants. Tu es naturelle, c’est encore mieux, tes photos vont me revenir plus attractives (il continue ses caresses, vers mes seins sous mon décolleté et il prêt à m’embrasser).
Mais, je monte rapidement en voiture, il a mis discrètement sa carte de visite dans mon décolleté.
En route, je dis à O de Sade :
- Je veux un dossier complet sur ce photographe. Je ne pose pas pour n’importe qui. Cherche qui W, je suis dressée par Charles et ses amants et toi, ainsi que O Sévices.
- Tu auras tes réponses rapidement, ma chérie.
A la villa, je me douche, me refais une beauté.
Lady D me rejoint. Nue, elle est intégralement épilée, avec les mêmes bijoux intimes que moi, les reins non tatoués, mais portant sur la fesse gauche la cravache et le fouet entrecroisés marqués au fer rouge.
- Viens te baigner, je vais te faire jouir et tu as le droit aussi.
Le bain se partage entre quelques longueurs de piscines, des caresses lesbiennes intenses, je ne compte plus mes orgasmes, ma chatte et mon anus sont sollicités tout comme mon clitoris.
- Tu mouilles et tu jouis rapidement. Avec Charles comme professeur, tu as du apprendre vite.
- Oui, Maîtresse, je ne peux penser au nombre de sodomies que j’ai connue avec lui et mes amis.
- Jamais, tes gouines t’ont enculée avec leurs godes.
- Non, je me suis refusée à ce plaisir refoulé et interdit en moi.
- Que tu es naïve, si tu aimes un homme, offre-lui tes fesses en premier, avant ta chatte. Viens me faire jouir en 69, O va t’enculer en même temps.
Le trio en place, je fais de mon mieux, pour ne pas avoir d’orgasme anal, pour ne pas décevoir mon chéri, mais ma chatte trempée et mon clitoris léché habilement me font rapidement jouir, Lady D jouit aussi sous ma langue et mes doigts.
Nous prenons une douche rapide près de la piscine. Horace nous sèche l’une après l’autre, s’attardant sur nos seins, nos chattes et nos fesses.
- Viens, mon chaton, il faut aller te parer de superbes tenues sexy et provocantes. Tu t’appelles désormais Pénélope Vanessa pour Pute Vicieuse.
- Je ne suis pas une pute, mais je suis un peu vicieuse.
Dans ma chambre, Lady D rhabillée, fardée, parfumée, choisit ma tenue : un chemisier transparent sur mes seins nus, aux mamelons durcis fardés, une jupe très courte noire cachant un porte-jarretelles blanc et des bas blancs, avec des mules blanches à talons de huit centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, sans maquillage sur mon visage, juste ma chatte fardée.
- Tu fais très jeune fille sage, mais coquine en fait, dit Lady D.
- Oui, Maîtresse, j’ai hâte de jouir encore.
- Tu conduis ta Ferrari jusqu’au lieu de rendez-vous, la galerie commerciale où travaille ton dragueur et trouver W. Tu auras droit à des surprises.
Vers 17 heures, je conduis avec prudence la Ferrari, en longeant une ferme, puis au bout d’un quart d’heure, la galerie commerciale.
- Tu te gares au plus près. Tout le monde te verra plus rapidement.
- Bien, Maîtresse, je vais rencontrer un couturier.
- Oui, mon chaton, Comte Pierre Nathan de Sexe, un couturier aime les jeunes modèles comme toi. Comme tu es naturelle, tu auras davantage de succès.
Nous descendons de voiture, les regards concupiscents masculins me toisent. Je garde les yeux baissés. Un léger coup de vent dévoile mes jambes gainées de nylon et mon pubis et ma chatte velue et nus à leurs regards. Quels coquins messieurs, mais cela est pour le Comte.
- Viens, Pénélope, le Comte t’attends.
Je mouille d’avance.
Le Comte est un bel étalon athlétique de 60 ans, bien monté, en costume élégant, brun, moustachu.
- Voici donc ta nouvelle chérie, soumise de Charles et des jumeaux O, belle déesse, reine du sexe. Déshabille-toi, garde ton porte-jarretelles et tes bas.
J’obéis. Je prends des poses érotiques pour dévoiler mes bas, derrière la vitrine.
- Ecarte tes fesses, pour dévoiler ton œillet encore entrouvert, défoncé par O de Sade à l’instant, dit Lady D.
- Sublime, Charles a du goût. Elle suce, baise, se fait enculée, fouettée, dit le Comte. Tu vas me sucer, pendant que je prends tes mensurations pour tes tenues seins nus, fendue devant et derrière, mettant en valeur ton corps, corseté et baleiné.
Je suce son mandrin de trente-six par huit.
Il me l’enfonce bien dans la gorge et j’avale tout.
- J’ai hâte de l’enculer. Tes seins me plaisent, tes mamelons constamment tendus montrent ton excitation.
- Je suis toute à vous, Comte. J’aime ce mot « enculée », n’est-ce pas Maîtresse ? Vous bandez pour moi.
- Oui, tu es née enculée mon chaton.
Il m’encule, penchée en avant, cuisses écartées, jusqu’aux testicules. Je fais de mon mieux pour ne pas jouir.
Il éjacule sur mes fesses, prête à essayer ma nouvelle tenue : une robe seins nus avec un boléro transparent, blanche, avec une jupe transparente fendue devant et discrètement par derrière, par deux pans à attacher, qui se nouent à la taille, dénudant mes fesses.
Je me regarde dans le jeu de miroirs.
- Tu es très belle, ainsi, mon chaton. Tu m’en fais en plusieurs couleurs, court jusqu’à mi-cuisse devant et jusqu’à mi-mollet derrière. Tout est payé d’avance.
J’aperçois furtivement, une séduisante brune s’enfuyant du studio de Sven Omar, en mini-robe fuchsia et sandales blanches à petits talons, les cheveux libres, qui se trouve à côté.
- Tiens, c’est W, la dernière chérie de Sven. Il paraît que les filles qui ne respectent pas les clauses de ses contrats ont peu de chance d’être payées. Il les fait saillir, fouetter et surtout il aime les considérer comme des putes.
- Quel sale mec, cela me dégoûte. Un photographe doit aimer ses modèles et ne pas les traiter comme des putes.
- Tu t’y connais, mon chaton.
- Oui, un photographe à Fuerteventura m’a offert une séance photo pour mes 16 ans. Je suis donnée à lui, sans faire l’amour, il m’a juste caressée, mais j’ai touché un beau jackpot à mes 18 ans.
- Viens, allons chercher cette W. Rhabille-toi mon chaton.
- Elle aime aller au « Eros Plaisir », un sex-shop où elle fait l’amour avec les clients, dit le Comte. C’est au premier étage.
Rhabillée, je monte l’escalier, en faisant claquer mes mules, ce qui excite les regards masculins qui se détournent, voyant mes fesses humides et mon anus encore entrouvert. Je suis une sacrée chienne à me faire enculer à plusieurs reprises.
Au sex-shop, Lady D me présente au directeur, un bel Adonis brun de 50 ans, chauve, barbu :
- Ken, voici, Pénélope Vanessa, modèle de charme, suceuse de luxe et surtout reine du anal, tout un charme sexuel, elle a hâte de connaître d’autres désirs sexuels. Elle mouille sous sa jupe. W, tu connais.
- Oui, W, plutôt Valérie de Saint Dieu de Mon Plaisir, une vraie chienne, elle aime tous les hommes, souvent jusqu’à six rien pour elle. Elle est à la cabine 23 au sous-sol. Toi, Pénélope, tu désires des godes, des tenues seins nus, des accessoires pour te punir.
- Oui, cherche-lui de gros godes réalistes, avec toutes options, elle est très gourmande entre huit et neuf, bien longs.
- Je te trouve cela ma belle. Je te fais un prix, si tu me suces et je t’encule.
- Elle est très docile, lève ta jupe pour que Ken admire ta beauté.
- Rien à dire, elle mouille bien, déjà enculée. Donc, déjà prête, disons 500 la fellation et 1000 sodomie non protégée.
- Non, 1000 et 3000, je renchéris. Je suis une soumise.
- Derniers prix, dit Lady D, 800 et 1200, Ken, ce sont mes tarifs. C’est le prix avec le Comte.
- Accordé, va te rincer l’œil, ma belle.
Ma scène chez le Comte a été monnayée.
Au sous-sol, je découvre W, nue, intégralement épilée, la chatte cadenassée par un lourd cadenas fermant son accès, enculée en double, suçant les autres hommes. Je me caresse devant le spectacle. W m’aperçoit.
- Approche, ma belle, vient sucer en ma compagnie. Tu es nouvelle, quel est ton petit nom ?
- Pénélope… Shawn…
- Ne fais pas ta timide, messieurs, prenez-la aussi, anale en priorité.
Je me fais enculer par les six étalons de gros calibres, un quart d’heure chacun, en 69, au-dessus de W, qui elle aussi se fait enculer. Nous léchons mutuellement nos chattes trempées.
Je jouis à chaque sodomie, suçant simultanément. Ma bouche et mon anus débordent de spermes chauds.
L’argent circule jusqu’à Ken, qui supervise.
Pantelante, je m’exécute avec Ken, constamment filmée par W, les étalons et Lady D, pour immortaliser la scène du sex-shop. Lady D m’a filmée chez le Comte.
Ken me remet plusieurs paquets avec mes cadeaux. Nous retournons à la Ferrari avec W.
- Mesdemoiselles, vous êtes attendues au « Vénus Trésors », pour vos soins. Moi, j’ai une mission à effectuer.
Arrivées au « Vénus Trésors », Natacha s’occupe de moi et Jasmine s’occupe de W.
J’ai droit nue, à un rafraîchissement de mes poils pubiens et de ma chatte, un massage sensuel, un soin des mains et pédicure, plus une longue sodomie car Natacha est un transsexuel aux seins plantureux, doté d’un trente-huit par huit, qui me fait jouir. Je suis offerte, allongée sur le ventre, cuisses écartées, enculée jusqu’aux testicules épilées. Mon anus est encore bien lubrifié par le sperme du sex-shop.
- Quel oeillet, tu dois te faire défoncer régulièrement.
- Oui, pine-moi l’œillet, je suis ta pute anale.
Natacha éjacule dans ma bouche. Je me douche et me rhabille, remise en beauté. Je remet mon bijou d’anus.
Il est déjà 19 heures, quand nous quittons la galerie commerciale. W prend sa 205 cabriolet blanche et nous suit jusqu’à la villa. Lady D la veut pour le souper et elle passera la nuit en notre compagnie.
A la villa, O de Sade reconnaît W :
- Tiens, une amie, Val, tu es toujours aussi séduisante. Tu connais ma nouvelle chérie, Shawn ou Prudence DP selon les humeurs. Tu as fait encore ta pute chez le Comte et au sex-shop.
- Je m’excuse, mon chéri, de mon comportement. Tu vas me punir.
- Non, je plaisante. Ce soir, j’ai trois œillets à satisfaire. Allez vous doucher, nudité intégrale, ce soir, jusqu’à l’aube.
A tour de rôle, nous suçons, sommes enculées dans diverses positions, avec des duos lesbiens intenses agrémentés de nos orgasmes.
Les deux hommes soubrettes sont accompagnés d’un troisième, aux longs cheveux bruns, maquillée, qui n’a pas l’habitude des hauts talons. C’est Sven, que Lady D a dressé. Ainsi Sven ne pourra pas me prendre, pervers, sadique.
25 mars
A l’aube, quand j’émerge, nue, je me retrouve en sueur, suspendue, les bras en l’air, des pinces à clochettes à mes mamelons et aux grandes lèvres de ma chatte humide, cuisses écartées par une barre d’écartement, sur la pointe des pieds sur un sol froid, dans la pièce secrète, les yeux bandés, un bâillon-pénis en bouche, mes fesses, mes cuisses, mes reins me brûlent, sous les coups de cravache et de garcettes que je reçois par des mains expertes. Un vent frais décuple mes mamelons et mon gros clitoris tendus par l’excitation.
- Tu es une pute, Prudence DP. Tu as joui sans autorisation. Tu as joui avec le Comte, au sex-shop et avec Natacha. Tu as été sévèrement punie. Sven a eu le même châtiment, dit la voix de Lady D.
Je dois subir de longues sodomies. Je ne peux me coucher qu’au lever du soleil.
Vers 9 heures, j’émerge nue, dans mon grand lit. Mon anus dégouline de spermes inconnus.
C’est Lady D, nue, qui me rejoint avec Sven, devenue Svetlana, avec mon petit déjeuner au lit.
- Tu t’es remis de ta punition, mon chaton. Tu as pris ton pied, fouettée. J’ai gardé ton téléphone portable pour aujourd’hui.
- Oui, Maîtresse, dis-je les yeux baissés.
- Svetlana, tu vas doucher Prudence, la farder et la parfumer, en ma présence. Interdiction de la caresser, sinon Prudence te fouette.
- Oui, Maîtresse, j’ai envie de ce corps, dit Svetlana.
- Prudence fouette-la sur le champ.
Je le cravache longuement sur les fesses et les testicules en moins de cinq minutes.
- Pardon, Maîtresses…
- Qui t’as autorisé à ouvrir ta bouche, lopette ?
- Pardon…
Je le cravache à nouveau sur les testicules.
O de Sade contraint Svetlana à le sucer en gorge profonde avant une longue sodomie, menottée dans le dos et à recevoir son éjaculation dans son anus écartelé encore vierge. Il gémit, mais je pars me doucher, en attendant qu’il soit à ma disposition. O de Sade l’encule encore deux fois jusqu’à la fin de sa punition.
- Quelle lopette, cette Svetlana, dit Lady D. Mon chaton, elle te manque de respect, te considère comme une vulgaire pute. Tu le corriges encore jusqu’à sa docilité totale. Les deux autres sont désormais dociles.
- Oui, Maîtresse, avec O, on va le mettre au pas.
Après le maquillage et le parfum par Svetlana, Lady D vient vérifier.
- Quelle chienne que tu es, regarde comment tu as fardé les mamelons et la chatte de mon chaton. Recommence mieux que cela, chienne Svetlana.
- Ne me fouettez pas, Maîtresse.
- Non, dis-je, la ferme lui fera un grand bien à cette chienne.
- La ferme est pour les lopettes, mais mon chaton si tu le désires, tu peux y séjourner. Les chiennes sont bien dressées par des grosses et belles queues. Tu es déjà bisexuelle soumise. W s’y rendra prochainement. Habille-toi et Svetlana reste en soubrette.
Vers 11 heures, je revêts un corset seins nus blanc et une jupe éventail blanche, mes mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres.
- Tu es sexy, mon chaton. Tu la conduis à la ferme et tu l’offres.
- Oui, Maîtresse, je peux rester un peu avec elle.
- Bien sûr, ils ont déjà vu tes vidéos et tes photos de toi, mon chaton soumise. Elle a interdiction de te caresser pendant le trajet.
Je m’assois les fesses nues, cuisses écartées, et Svetlana tente de me caresser, mais le trajet est assez court.
Nous entrons par une porte cochère étroitement surveillée par des maîtres-chiens avec des dobermans.
Puis nous arrivons dans la cour.
- Tiens, Prudence DP et Svetlana, annonce une brune aux cheveux mi-longs, en guêpière de cuir noir seins nus, aux seins plantureux, cuissardes noires, avec une cagoule laissant juste visible ses yeux et sa tresse, entièrement épilée, avec des bijoux intimes. Je suis Comtesse Sévices. Toi, la soubrette, c’est Svetlana et toi, la belle, c’est Shawn ou Prudence DP la soumise.
- Oui, Maîtresse, dis-je.
- Toi, la chienne Svetlana, tu me réponds.
- Oui, Maîtresse.
- Prudence, tu descends ensuite. Svetlana, tu exhibes ta queue à mes amis.
Svetlana se refuse.
- Jamais, tu verras ma queue. Toi, la pute, tu vas me sucer, en me regardant. Je garde les yeux baissés.
Trois étalons musclés le sortent sans ménagement et le déshabillent rapidement. Nu, en mules, il tente de se dérober. Les clochettes tintent.
- Voici ton collier, ton bâillon O, la chienne.
- Ne stresse pas, Svetlana, c’est le début, tu vas sucer toute la journée, dis-je.
- Tu connais le Domaine des Biches, ma belle. Il existe une variante pour les lopettes, le Palais des Vices. Elle sera enculée, suçant et elle sera aussi sucée, lopette Svetlana. Elle sera docile comme toi, ma belle. Déshabille-toi aussi, l’adepte SM.
- Oui, Maîtresse, je mouille.
- Tu vas assister à son dressage par trois superbes Adonis, comme tu les appelle, ma belle bisexuelle soumise, annonce une blonde un peu plus grande, aux petits seins, en robe bustier seins nus de cuir noir, exhibant un mandrin de quarante par huit, en mules noires à talons de douze centimètres. Je suis Olympe T Plaisirs, maîtresse spécialiste en éducation anglaise, ma belle Shawn. Tu aimes ma queue, que tu regardes avec tes jolis yeux verts baissés.
- Oui, Maîtresse, tu la suces ensuite et je t’encules profondément.
Nous entrons dans une grande pièce. Svetlana se fait enculer par un premier étalon bien monté. Elle gémit.
- Penche-toi que je t’encule, ma belle.
J’obéis. Olympe m’enfonce un gode moulé le sexe canin d’un dogue allemand, dont j’ai l’habitude et tenant une garcette.
Je suis enculée longuement, fouettée. Je mouille davantage.
- Je mérite votre punition, Maîtresse.
Un second encule Svetlana, qui gémit davantage, car il possède un mandrin plus gros que le premier.
Svetlana insulte Olympe.
- Corrigez-la, Svetlana.
- Oui, Maîtresse, elle vous a insulté.
Les coups de garcette cinglent le corps de Svetlana, puis subit ensuite de longues sodomies et sucent ses Maîtres.
Olympe m’encule longuement comme promis, je la suce, tandis que la Comtesse m’encule avec un gode canin dogue allemand. Je suis aux anges.
Je reste une bonne partie de la journée, fouettée et enculée par les trois Adonis.
Vers 17 heures, pantelante, douchée devant mes nouveaux amants, je me rhabille pour un rendez-vous privé, décidé par Lady D.
- Je vais revenir vous voir, mes Maîtresses.
- Oui, Prudence DP, tu es la bienvenue, dit Comtesse Sévices. Svetlana rejoindra dans cinq jours le Palais des Vices pour la suite de son dressage.
En chemin, en direction de la forêt, vers le Domaine des Biches, je connais une panne électrique qui immobilise ma Ferrari, en pleine forêt, peu fréquentée.
Je n’ai pas le moyen de téléphoner, car j’ai laissé mon téléphone portable chez O de Sade.
Le hasard veut que je croise la BMW d’Hubert.
- Tiens, Shawn, tu es en panne, ma chérie.
- Oui, je crois que c’est une panne électrique. Il faut la faire remorquer jusqu’à un garage. Je vais manquer mon rendez-vous.
Un dépanneur, un bel étalon, Marc Xavier, un beau brun musclé, de 35 ans, nous rejoint dans la demi-heure.
- Quelle beauté, Hubert, tu me l’as cachée. C’est elle, la fameuse actrice hard SM du dernier film de Charles. Rien à dire, Charles a du goût.
- Tu peux la prendre, l’enculer, elle suce à merveille.
Nue, je dois subir une double sodomie, penchée sur le capot de la Ferrari, avant qu’elle soit montée sur le plateau. Pantelante, je suis conduite au rendez-vous privé, avec une bonne heure de retard. Marc m’offre un trente-six par huit.
Vers 19 heures, dans un discret club privé fait aussi restaurant et maison de dressage, dans la forêt, tenue par le Duc Sévices Bite Mon Plaisir et son épouse Orchidée, une jeune beauté Thaïlandaise, un transsexuel aux petits seins, au mandrin de quarante par neuf, exhibée sous sa robe noire fendue par devant, aux testicules percés d’anneaux dorés, aux cheveux mi-longs bruns.
- Tu seras punie pour ton retard, Prudence, dit Orchidée.
- Mais…
- Elle a un souci avec sa voiture, je l’ai accompagnée, dit Hubert.
- Ce sera donc une punition moins sévère, pour toi, dit le Duc.
Nue, en mules, je suis offerte, menottée, les bras tendus, à un crochet, dans une pièce sombre, face au mur, entourée d’étalons masqués, bien montés, qui se masturbent dans mon dos.
Je subis par chacun des coups de cravache, de garcette sur mes fesses, mes cuisses et mes reins, sans faiblir, comptant les coups.
Ma mouille abondante surprend le couple.
Je suis longuement enculée jusqu’à l’épuisement, entre deux séances de coups de garcette.
Vers 21 heures, je peux me reposer, menottée, nue, bras et jambes écartées, sur un grand lit, entourée de miroirs et de glaces, mon anus dégouline de spermes, mes fesses brûlantes sont recouvertes de spermes, ma bouche avale les dernières gouttes. Je suis en sueur, à moitié endormie.
- Quelle chienne, tu es Prudence, Charles ne s’est pas trompée. Jouit sous les coups, enculée à souhait, bien ouverte. Tu es une sacrée soumise et pute anale, dit Orchidée, en éjaculant dans ma bouche. Adam va t’enculer, ma belle, tu le mérites. Repose-toi.
Je garde les yeux baissés.
Vers 23 heures, je me restaure, enculée sur le mandrin d’Orchidée, livrée à ses caresses de mes seins, mes fesses et mes reins.
Adam est un superbe husky qui m’encule, à quatre pattes, jusqu’au nœud. Je ne compte plus mes orgasmes en trois quart d’heure de saillie anale intense.
- Quelle chienne, pour une première avec Adam, tu es très douée, Prudence, dit le Duc.
- Regarde comment son œillet reste bien écartelé, dit Orchidée. Tu vas te doucher et tu rentres demain chez toi.
- Oui, Maîtresse…
Adam viendra t’enculer pendant la nuit. Tu offres bien tes fesses, rajoute Orchidée.
En effet, je subis quatre saillies anales canines pendant ma courte nuit par Adam, qui est très en forme.
26 mars
A l’aube, Lady D vient me chercher. Je suis rhabillée.
- Excusez-moi pour hier, Maîtresse.
- Mon chaton, cela peut arriver. Tu vas dresser W comme tu as été dressée au Domaine. Svetlana est au Palais plus tôt que prévu, Charles la fait tourner avec de superbes étalons canins pour la dresser.
- Oui, Maîtresse.
Arrivée à la villa, W est déjà menottée, comme moi, dans la même pièce. Je la cravache d’abord, avant la garcette. Elle gémit sous le bâillon-boule.
O de Sade l’encule sans ménagement et la fouette aussi, ainsi que Lady D.
Jusqu’au 30 mars, W subit un dressage intensif et sert comme soubrette en remplacement de Svetlana.
30 mars
A l’aube, W porte ses bijoux intimes à sa chatte et à son gros clitoris, ses reins tatoués « Chienne de Prudence à votre service». Ma chatte est épilée depuis mon retour de chez Orchidée, je la conserve en l’état lisse et humide.
Je suis saillie fréquemment par Adam au club, devant mes amants.
Je retourne à l’université pour quelques jours, en me draguant des amants potentiels, qui seront dressés en retour. Jean Edouard finance mes études discrètement. Je m’offre au couple Alban et Aimée en accord avec Charles, pour d’autres scènes d’un nouveau film.
Au « Rose du Matin », je me fais prendre en double pénétration dans les toilettes, par des clients, car j’aime m’exhiber nue pour eux, payée en retour. Ma bouche avale leurs spermes chauds, tout autant que mon anus qui dégouline lui aussi et ma chatte.
Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis épilée entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est lisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Je porte désormais des anneaux dorés à mes grandes lèvres de ma chatte, mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse et je porte à mon annulaire gauche une bague sertie d’un anneau. Mes reins sont tatoués « Dévouée Chienne S ». Ma chatte est totalement lisse, mais je garde mon triangle pubien velu.
HISTOIRE DE S 2e PARTIE
15 avril
Après une courte nuit avec Alban, qui m’a enculée, fessée, nue, j’émerge seule dans mon appartement. Mon port constant de mon corset seins nus sous mes tenues adaptées, a affinée ma taille.
Je tente de maîtriser mes orgasmes anaux de plus en plus violents et rapides, car mon anus est très sensible, surtout combiné aux caresses de mon gros clitoris percé.
Marie Charlotte est encore au service du Domaine des Biches pour parfaire son dressage, tout W.
Charles a trouvé un nouvel amant.
Je dois le retrouver à midi. Charles m’a amené ma tenue de pute sur mon corps nu, fardée, parfumée : un bustier en dentelle blanche carrément transparent, une jupette blanche couvrant juste mes fesses nues zébrées par la cravache donnée par Charles, un masque qui couvre toute la partie haute du visage. Ma paire de mules blanches à talons de douze centimètres et ma queue-de-cheval complètent ma tenue de pute.
Dans le parking souterrain de l’immeuble, à midi, je suis sauvagement enculée, sur le capot de ma Ferrari, par une dizaine d’étalons bien montés, dont je ne peux apercevoir les visages, plus un doberman, un berger allemand et un dogue allemand. Les chiens me font des saillies anales qui me font provoquer de longs orgasmes anaux violents, l’anus débordant de spermes humains et canins. Cela dure deux longues heures. Je suis aussi fessée à chaque sodomie, pour me faire mouiller, mon clitoris est caressé jusqu’à le rendre encore plus sensible.
Charles me remet mon bijou d’anus. Je peux me doucher longuement, devant lui.
J’ai droit à une belle enveloppe remplie de billets, c’est ma part.
Vers 15 heures, habillée de mon tailleur jupe blanc sur mon corps nu, je dépose l’argent à ma banque. J’ai une belle somme déjà placée depuis que je connais Charles.
- Ma belle, tu pourrais travailler comme secrétaire, avec ton physique. Tu aimes porter les tailleurs avec un porte-jarretelles et des sandales à hauts talons, les cheveux libres, fardée, parfumée, tu serais excellente. Voici une carte de visite d’un ami, tu t’y rends avec ta Ferrari.
- Oui, Maître, je reste constamment nue sous mon tailleur pour mon entretien, juste avec mon porte-jarretelles et mes bas de pute.
- C’est cela.
L’entreprise se trouve à deux heures de route, par l’autoroute.
J’y arrive, avec mon tailleur fuchsia avec une jupe éventail assortie, pour me faire prendre rapidement.
Mr Charles Edouard, un bel étalon de 50 ans, brun, moustachu, m’attends au pied de l’entreprise, un vaste domaine sur un étage, non loin de l’autoroute, en Normandie.
- Anne Charlotte Shawn, je présume. On se connaît, Miss Pénélope Vicieuse ou Double Plaisir.
- Vous connaissez ma vraie identité, pourtant je suis de nature discrète. Je suis là pour…
- Je sais. Mais avant, tu as une soumise en dressage, selon Charles, un fidèle ami. Tu as les seins, les fesses et la chatte totalement accessibles. Ma responsable des ressources humaines, Hermine, va s’occuper de ton dossier, Marc Edouard, le comptable pour ton salaire et Justine, pour ta chambre d’hôtel, non loin d’ici. Tu loges dans la chambre 115 et tu prends tes repas ici, à la cantine. Tu échanges ton téléphone portable comme celui de l’entreprise, plus discret. Une chose, si un des employés, un membre de la direction ou un client te désire, tu t’abandonnes à ses désirs sexuels, tu le suces, il t’encules et tu touches un extra, si tu réponds correctement.
- Je suis la pute soumise de l’entreprise. Une chienne en somme, mon emploi de secrétaire est en annexe.
- Non, Hermine va t’expliquer. Tu mouilles d’avance, la gouine.
En effet, Hermine est une sublime beauté brune aux longs cheveux de 35 ans, plus grande, avec ses mules à talons de douze centimètres, un chemisier transparent blanc sur ses seins nus, une minijupe noire couvrant à peine ses fesses nues, intégralement épilée. Mes sandales à talons de huit centimètres ne m’avantagent pas.
- Enfin, voici, la sublime Shawn, j’ai vu tes vidéos de pute, pour Charles. Tu aimes ça, le sexe.
- Oui…
- Tu as gardé les yeux baissés devant Mr Bons Sévices De Mon Plaisir. Tu souhaites me faire l’amour, plus tard. Tu vas travailler sur le dossier des pratiques sexuelles taboues, comme le SM, les saillies, les amours d’adultère, les pratiques au sein des familles. Je pense que tu as déjà couché avec Charles Edouard, ma belle. Je reconnais rapidement les maîtresses ou tu es une des filles cachées. Tu ressembles beaucoup aux photos dans son bureau.
Puis un bel étalon Africain du nord entre, en costume d’homme d’affaire, vient par derrière.
- Tiens, quelle beauté, c’est la nouvelle chérie du patron. Elle porte un bijou d’anus. Elle aime se faire défoncer et elle mouille.
- Ma gouine mouille d’excitation. Tes mamelons sont bien tendus, ma gouine.
- Oui…
- Son clitoris est bien tendu sous mes doigts. Je vais la défoncer. Penche-toi.
Il m’encule avec son trente-six par huit, en m’écartant bien les fesses, qu’il fesse.
- Les maîtresses du patron, elle aime ça. Tu me serres ma belle queue, tu aimes ça.
- Oui…
- Moi, c’est Hassan, le chéri de ses dames. Tu es bien élargie, comme chienne du Domaine.
- Hassan, prends-moi à fond.
- Donne-moi ta jolie bouche, ma belle, je vais m’occuper de ton clitoris.
Je suis rapidement submergée par un violent orgasme anal qui déclenche une longue éjaculation d’Hassan.
- Tu vas me nettoyer de suite, dit Hermine. Tu iras voir ensuite Marc Edouard, c’est 200 pour ta première sodomie et pipe, c’est le tarif, chienne soumise Shawn.
J’obéis.
Marc Edouard est un superbe Adonis de 45 ans, chauve, barbu, élégant.
- J’ai ton dossier pour ton salaire. Disons 10.000 plus les extra sexuels. Tu es une pute au sein de l’entreprise. Si tu déçois, les suppléments sont retirés d’office.
- Bien, Marc, je dois vous sucer et vous me prenez ensuite.
- Non, dit Charles, ma pute, tu viens dans mon bureau. On a une discussion sérieuse avec Caroline Estelle, la responsable secrétariat.
Dans le grand bureau de Charles, je remarque une photo de moi à 16 ans, en bikini blanc, près d’une piscine, faite par mon photographe de Fuerteventura et une autre avec ma défunte mère à 13 ans, peu avant son accident. Je suis seins nus.
- Les photos d’où viennent-elles ?
- Cela ne t’intéresse pas, ma belle, dit Caroline Estelle. Tu ne connais pas cette fille.
Caroline Estelle est vêtue d’un chemisier blanc sur ses petits seins nus, d’une jupe droite noire. Elle est blonde aux cheveux mi-longs, 40 ans, plus grande que moi, avec ses mules blanches assortis à ses bas blancs, à talons de quinze centimètres.
- Caroline, tu as raison. Cette pute te doit du respect. Ce sont les photos de Caroline.
- Non, c’est moi. Je le prouverais, dis-je.
- Tu mérites une fessée ou la cravache, naïve, dit Caroline. Tu ne gagnes pas assez comme soumise. Tu veux davantage.
- Il faut la cravacher. Lève ta jupe, la pute, dit Charles.
- Regarde-moi, elle est les fesses nues en plus, dit Caroline. Ici, chez toi, dans ton entreprise, mais elle possède une jolie paire de fesses musclées et un bijou d‘anus. Elle aime se faire enculer, la chienne soumise. Tu l’encules ensuite.
Les coups de cravache me font mouiller et Caroline réplique :
- Tu mouilles. C’est vrai, une soumise mouille, cravachée. Encule-la.
Le gros sexe de trente-huit par neuf de Charles provoque un long orgasme anal violent avec une éjaculation.
- Elle a joui, ou je rêve, dit Caroline, jalouse. Elle fait sa pute. On verra au travail, si tu fais ta pute.
- Excusez-moi, je suis excitée d’être en votre compagnie.
- C’est cela, tu es une bisexuelle. Tu vas me lécher mon œillet, chienne.
J’obéis et cela fait jouir Caroline.
- Si tu es la fille qui a survécue au choc mortel de la BMW, tu es une sacrée menteuse. La fille est morte sur le coup, dit Caroline.
- Attends, on a même incinéré les deux corps.
Cela est faux, j’ai été recueillie par un gendarme, qui m’a caché dans une institution religieuse sous une fausse identité : Pénélope Vanessa. Le second corps est celui d’une autre fille lors d’un échange de corps à l’hôpital. Personne ne le sait, sauf le gendarme qui est devenu le général de la région de gendarmerie Normandie.
- C’est sa sœur jumelle, dit Charles. Mais faire l’amour avec une sœur jumelle, c’est mieux. File à ta chambre 115, la pute et réfléchis à ton mensonge. Demain à 8 heures, au bureau.
Caroline me prend mon téléphone portable et me donne celui de l’entreprise.
- Au fait, qui t’a donnée en cadeau, la Ferrari, ma pute, dit Caroline, jalouse.
- C’est O de Sade, mon chéri et mon Maître.
- Tu auras du avoir une voiture de pute : une 205 cabriolet.
Je quitte l’entreprise, je cache la Ferrari dans le parking de l’hôtel. J’arrive à contacter des amis pour connaître l’auteur des photos du bureau et sur Caroline Estelle et les autres employés, en soudoyant le réceptionniste, en échange de sodomies dans ma chambre.
Je vais sortir la Ferrari en certaines occasions. Je réussis même à convaincre le général de gendarmerie de ma présence et d’assurer une sécurité discrète autour de l’hôtel et de l’entreprise. Il faut fleurir la tombe de ma mère et voir des personnes au village.
Phallus Jason me rejoint, pour jouer l’avocat et Hubert jouera le faux mari de Caroline.
Vers 22 heures, je contacte avec le téléphone de l’entreprise, Caroline. Je suis nue dans mon lit, avec des diffusions de mes scènes sur les caméras de surveillance de l’hôtel pour dissimuler mes activités confidentielles.
- Allô, Caroline, je viens de me faire défoncer par mon chéri Jason. Il a hâte de te prendre aussi. Surtout, viens seins nus, fesses nues et la chatte à l’air sous ta tenue, demain matin à 8 heures. Pas un mot à Charles, si tu veux être ma chérie.
- Tu n’es qu’une pute, Shawn. Je décide qui couche avec moi.
- A bon, un trente par neuf, ne te tente pas. Tu devrais essayer.
Je raccroche. Jason m’encule une nouvelle fois et je connais un nouvel orgasme anal violent, à nouveau inondée de son sperme chaud.
- Elle aime pas ma queue, la chienne Caroline, ma chérie Shawn.
- Non, elle m’a insultée. Il faut la punir et la dresser. Douze étalons bien montés en orgie anale et double anale, devraient la calmer. Charles va le payer. C’est bien moi sur les photos.
- Oui, tu seras vengée. Charles et tes amants vont le corriger.
16 avril
Je me lève avec le soleil, me douche, déjeune et rejoint à pied l’entreprise. Je suis vêtue d’une veste de tailleur fuchsia sur mes seins nus, une jupe éventail assortie, les jambes nues, avec mes mules blanches à talons de douze centimètres, le visage non maquillé, juste mes mamelons et ma chatte, coiffée d’une queue-de-cheval, faisant plus jeune fille sage.
Vers 8 heures, sur le parking, je croise Honoré, un bel étalon brun de 30 ans, moustachu, un de mes anciens amis de lycée.
- Tiens, ce visage m’est familier. Pénélope, tu travailles ici. C’est toi, la nouvelle secrétaire ou pute de Charles. Désolé, j’ai assisté à l’enterrement de Olympe de Désir, son pseudonyme, ta mère. Caroline est déjà amoureuse à Charles. Tiens, voici la patronne, on se voit plus tard.
- Tu fais ta pute avec tous les employés de la boîte.
- Caroline, dit Phallus Jason, vous insultez ma cliente. Une plainte est déposée contre vous. Vous devez rester à moins de deux mètres de ma cliente.
- C’est le chéri de la pute.
- Maître, dit Charles, voyons un arrangement. Mesdames, au travail, immédiatement, toi, Anne Charlotte, je vais t’apprendre les bonnes manières.
Au bureau, je m’assois les fesses nues, cuisses écartées, devant Caroline, en prenant soin d’exhiber mes bijoux intimes.
Jason arrive après un bref entretien.
- C’est bon, Charles est d’accord. Caroline va venir à la chambre 116 ce matin jusqu’à tard le soir.
- Je ne suis pas une pute.
- Tu fermes ta jolie bouche, ma belle, dit Jason. Un marché est un marché, tu laisses tranquille Pénélope et en échange, tu t’offres sans te dérober, belle pute.
- Elle porte un string sous sa jupe, Jason. Ote-le de suite, Caroline.
- Non, jamais…
Je me lève, lui déchire sa jupe blanche, dévoilant ses jambes nues. La jupe tombe aux pieds chaussés de sandales blanches. Jason récupère le string trempé.
Je l’enfile sur moi, pour garder son odeur avec la mienne.
- Tu vas me le payer, dit Caroline.
- Jason encule-la. Elle aime ça.
Jason s’exécute. Caroline gémit.
- Tu aimes, ma belle pute, un gros calibre.
- Arrête.
- Douze dans ton œillet de pute, c’est raisonnable.
Charles Edouard se rince l’œil.
- Viens, l’enculer, Charles, elle a très envie. Tu vas sucer Jason, ma belle.
Jason éjacule en elle et Caroline refuse de le sucer, gémissant sous Charles.
Je dois lui enfoncer le sexe en érection de Jason en bouche, que je partage avec elle.
- Elle n’a pas sa bouche de dresser. Jason, tu t’en occupes. A la chambre 116 immédiatement, dès que Charles a fini avec elle.
Caroline doit faire le chemin, sans sa jupe, les fesses nues, devant tout le monde jusqu’à l’hôtel.
Charles m’avoue une partie de la vérité pour les photos.
Cela ne suffit pas à calmer ma vengeance.
Dan et Eros Sévices me rejoignent.
- Messieurs, Charles, va vous sucer et vous l’enculer ensuite. Il aime les grosses queues.
- Anne Charlotte…
Dan enfonce son mandrin dans la bouche de Charles et Eros Sévices encule l’anus vierge. Je me caresse devant le spectacle offert et je jouis sans retenue.
Puis ils inversent les rôles.
- Elle est sacrément étroite, cette lopette. Svetlana n’est pas aussi étroite. C’est un des amants de Caroline. Svetlana l’attend à l’hôtel, dit Dan.
- Bon courage, pour Caroline, Charles, tu vas te faire enfiler par tous les employés masculins et avaler leurs spermes, dis-je, dominatrice.
- Non, pas…
- Tu me défies, moi, Maîtresse Prudence DP. Tu vas voir la punition que je réserve à Caroline.
Sur un écran vidéo, Caroline nue, se fait enculer par douze étalons Africains noirs, bien montés, masqués, à tour de rôle. Elle ne peut gémir, la bouche bâillonnée par les mandrins de ses amants.
- Eh oui, c’est ta chérie Caroline et ses amants. Elle doit les satisfaire comme moi à ma défloration.
-Tu es…
- Avale, tu sens la chienne, dit un des employés.
Je connais de nombreux orgasmes en me caressant. Je suis désormais nue, cuisses écartées, la chatte trempée, mes mamelons et mon clitoris sont complément tendus par l’excitation et la domination que j’éprouve.
Charles est conduit à la chambre 216, offert comme une lopette à une dizaine d’hommes et de femmes munis de gode-ceinture pour l’enculer et le faire sucer jusqu’à l’aube.
Jason m’encule ensuite, dès que Caroline et Charles sont occupés à l’hôtel. Mon réceptionniste va pouvoir rembourser ma location des chambres.
Honoré me rejoint. Je suis nue, en mules, penchée en avant, cuisses écartées.
- Honoré, donne-moi ta queue, pour m’enculer ensuite. Jason, pine-moi profondément, fesse-moi.
- Bien, Madame Pénélope, ton œillet est bien chaud, tu mouilles. Ton clitoris et tes mamelons sont bien tendus.
- Quelle belle queue, Honoré, un trente-huit par huit, j’aime ça dans mon œillet de chienne.
Honoré m’encule, mais il hésite un peu.
- Vas-y, elle se fait enculer fréquemment depuis plusieurs jours. Elle aime ça, dit Jason, que je suce.
Jason a éjaculé en moi à trois reprises et il en fait autant dans ma bouche. J’avale tout.
Honoré éjacule une fois et je le nettoie. Je fais une rapide toilette, le bijou d’anus en place.
Il est déjà 10 heures.
Je dois retrouver Hermine et Justine, pour une discussion entre femmes.
- Hermine, Justine, Charles et Caroline vont être dressés et punis comme il se doit. Hermine, tu réunis les supérieurs. Justine, tu réserves un restaurant pour nous trois, plus Jason et Honoré.
Justine est une séduisante brune aux cheveux courts, de 30 ans, très élégante dans son tailleur jupe blanc, avec un porte-jarretelles et des bas blancs, des sandales blanches à petits talons, les cheveux libres. Hermine porte une mini-robe noirs, sur des bas noirs et des cuissardes noires.
- Il paraît que tu as le corps nu sous ta tenue, Shawn, dit Justine.
- C’est plus pratique, pour me faire prendre. Tiens, voici le string de Caroline, que j’ai portée quelques instants, en me caressant devant Jason.
- Garde-le, belle vicieuse, dit Justine, un peu gênée.
- On peut faire l’amour entre femmes, je suis bisexuelle, dis-je.
Lors de la réunion, je me fais passer pour la patronne par intérim, avec les papiers signés par moi en présence de Jason.
A midi, l’affaire est conclue. Aucun de ses messieurs ne pourra me prendre sans aucun motif valable.
Au restaurant, à la table réservée, les regards masculins me toisent, quand je dévoile mes fesses nues en m’asseyant sur la chaise en cuir. J’écarte bien mes cuisses humides. Nous avons pris ma Ferrari et deux autres berlines.
Aux toilettes pour hommes, je me fais enculer par deux clients de l’entreprise, sans les avertir que Charles et Caroline sont absents pour une longue durée.
De retour à l’entreprise, le général de gendarmerie a pris les dépositions de Charles et de Caroline, sur ma mort présumée et ils seront traduits en justice.
Les deux clients aperçus au restaurant doivent négocier avec moi, Jason et Hermine.
Les accords sont renégociés et l’entreprise doit changer de stratégie sur son métier dans les magazines de charme vers les magazines de mode, avec de superbes mannequins.
En deux semaines, le dressage de Charles et de Caroline se poursuit au Palais et au Domaine.
5 mai
De retour chez O de Sade, il y a quelques jours, Charles et Caroline sont devenues de superbes soubrettes, en complément de Svetlana, les jumeaux sont en dressage au Palais pour remise à niveau.
Les nouvelles Rubis pour Charles et Opale pour Caroline me doivent le respect ainsi qu’à O de Sade et à mes amants et mes amies.
Nue, elles doivent me doucher, sans se caresser, me lécher les orteils qu’ils ont verni. Je les conduis à la ferme quelques jours pour les saillies de ma lopette Rubis, Opale déteste être enculée par mes amants canins.
Je pousse le vice à ce que Rubis soit livré à O Sévices le gynécologue, sur le fauteuil gynécologique de la villa.
Rubis se fait enculer par tous les amants de passage, sur ce fauteuil, de jour comme de nuit et cravachée par moi ou mes amants ou mes amies pour ses fautes, comme Opale.
Opale est désormais la tête rasée très court, intégralement épilée, avec de lourds cadenas à sa chatte interdit toute pénétration, laissant libre son anus élargi par les saillies canines, de lourds anneaux à ses mamelons et à son clitoris constamment tendus lors de son séjour au Domaine.
Rubis porte sa tenue de soubrette et doit apprendre à marcher avec ses mules à talons de douze centimètres sans tomber, se maquiller comme une femme, intégralement, avec un harnais de chasteté retiré que certains jours, une boule anale de gros calibre pour l’élargir.
Svetlana a autorisation de corriger les deux, même si Svetlana a été l’amant de Caroline.
J’ai besoin de nouveaux amants, pour combler mon désir anal et mes orgies.
C’est vers 20 heures, que je reçois un mystérieux message :
« Chère Chienne Prudence DP, on se connaît depuis ton premier film. Tu es très excitée de me revoir. Amène-moi une de tes soubrettes, nous allons nous faire plaisir. Je te joins un itinéraire pour notre rendez-vous. O de Sade est au courant. Tenue décontractée de rigueur, sans rien de dessous, fardée et parfumée, avec surtout ton bijou d‘anus gros calibre, comme tu sais le faire. »
Comte O, ton fidèle amant »
Je choisis mon ensemble jupe éventail blanche à corselet seins nus et son boléro, mes mules à talons de douze centimètres et je reste les cheveux libres. J’ai mis mon bijou d’anus calibre neuf. Le boléro est fermé au cou, il faut l’enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Rubis m’accompagne dans ma Ferrari avec interdiction formelle de me caresser pendant le court trajet à une demi-heure de chez O de Sade et à la même distance du Domaine des Biches. Je m’assois les fesses nues, cuisses écartées.
Là, nous entrons dans une allée forestière, près d’un haras et d’un chenil, jusqu’à une vaste cour menant à un hôtel particulier, dans les Yvelines.
Le Comte O, un bel étalon de 60 ans, brun, barbu, très élégant nous accueille :
- Ma chérie Shawn, tu es resplendissante. J’ai hâte de te prendre. Tu amènes ta lopette, pour la galerie.
- Oui, Comte, une chienne ne peut se déplacer sans sa lopette. C’est Rubis, la reine des suceuses, mieux que moi, anal à toute heure, telle une vraie pute anale, comme je le suis. Elle est déjà en tenue.
- Rubis, fille en cuisine, pendant que Shawn va rencontrer mes amis.
Dans le salon, une dizaine d’étalons de 25 à 60 ans, m’attendent, nus, les mandrins en érection, masqués.
- Voici, notre invitée du soir, S pour les intimes, chienne Prudence DP selon ses humeurs. Mon chenil a de quoi te satisfaire, ma belle.
- Cela est un ultime hommage à mes nombreuses saillies du Domaine, dis-je.
- Déshabille-toi que ces messieurs te caressent. Retiens-toi de jouir surtout. Je t’offre ma belle queue à sucer.
C’est un mandrin de vingt-huit par huit, les testicules sont velues, j’aime cela aussi.
Je le suce, tandis que les doigts, les langues me fouillent, mon anus ne reste pas libre longtemps. Je suis toute trempée.
Rubis nous apporte les rafraîchissements et les petits fours avec d’autres lopettes.
Rubis subit une orgie anale et doit sucer, pour que ces messieurs m’enculent. Je m’offre à quatre pattes, empalée de face, de dos, en double anale, mon anus dégouline mais je me tiens correctement sans jouir, pour plaire au Comte O.
- Tu es une sacrée beauté du sexe, dans le plaisir. Les hommes te trouvent facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent en te livrant à d'autres, il vous donne autant d'alibis pour ta propre facilité. O de Sade ne se trompe jamais sur les soumises du Domaine des Biches.
- Oui, Comte, je suis dressée pour cela. Puis-je me reposer, me laver.
- Bien sûr, Anal Jasmin, conduit mon invitée à la salle de bains du premier étage, avec vue sur le salon. Tu es libre de la caresser.
6 mai
Anal Jasmin est une jeune fille de 18 ans, intégralement épilée, nue, en mules, portant des anneaux à la chatte et au clitoris, aux reins tatoués « Chienne de S », brune, plus petite que moi, aux seins plantureux, à la taille affinée par le port constant du corset.
Vers deux heures du matin, elle me prend la main.
A la salle de bains, elle me parle :
- O de Sade m’a déflorée l’anus comme toi, mais je dois rester vierge de la chatte. Tu as de la chance. Tu es très belle. Combien d’hommes t’ont prise ?
Je reste muette, les yeux baissés, cuisses écartées, accroupie, baignée, l’anus lavé à l’eau froide dans une canule. Je me retiens de jouir sous les caresses de l’éponge, observée par les miroirs et les glaces de l’immense salle de bains avec un bidet, une cuvette des toilettes et une coiffeuse ave un imposant gode anal canin.
Je m’empale sur le ode anal pour ma mis en beauté, cuisses écartées.
- Tu aimes ce gode, ma belle, dit Anal Jasmin. C’est celui de mon amant, le doberman Apollo, qui me monte régulièrement.
Je suis enculée sauvagement par le Comte, enchaînée à mon lit, par mes carcans de cuir du Domaine. Je me retiens de jouir, me réservant pour Apollo.
En effet, dès le départ du Comte, Apollo m’encule jusqu’au nœud plusieurs fois jusqu’au lever du soleil, prosternée, puis moi, allongée sur le dos, mes jambes passées au-dessus du dos d’Apollo, pour de longs orgasmes cumulés à ses longues éjaculations.
Je suis comblée, pantelante.
Vers 9 heures, le Comte vient me libérer et découvre mon anus encore entrouvert, dégoulinant de spermes canins.
- Quelle chienne, tu ne peux rivaliser avec Anal Jasmin. Mes amis seront très vite satisfaits de te faire saillir par leurs chiens avec de gros calibres. Rubis se fait elle aussi à ses nouveaux amants, même Alizé l’a enculée, cette pouliche équine.
-Qui est Alizé ?
- Tu le découvriras pendant ton séjour. Tu vas te baigner et je vais te fouetter les fesses et les cuisses, chaque matin et le soir, avant ton coucher.
Je jouis sous les coups.
Le matin, après un petit déjeuner au lit, apporté par Anal Jasmin, qui a été fouettée aussi, je me farde, me parfume et me promène nue, pieds nus, sur le marbre froid de l’étage de ma chambre, rejoignant la salle des plaisirs, où trônent divers godes fixés sur des fauteuils, des tabourets, des selles et des vélos d’appartements. Je les essaie tous, qui ont pour fonction de m’enculer en coulissant comme de vrais mandrins, avec le prépuce. Je suis comblée par ses amants infatigables, sans compter mes orgasmes. Je garde la forme.
Nue, avec mon bijou d’anus, je me baigne dans la grande piscine intérieure qui m’est réservée.
Les amis du Comte peuvent me regarder, se masturber, avant de me prendre avec autant de partenaires à ma disposition. Je vis constamment nue, tantôt pieds nus tantôt en mules, mais coiffée de ma queue-de-cheval pour dégager mon collier de cuir.
Souvent, je suis enculée par Apollo ou un autre chien de garde affecté à la garde de l’hôtel particulier et ma chatte est remplie par un gros calibre et ma bouche est remplie par un second, décuplant mon plaisir.
Je suis ainsi triplement inondée, pendant des heures, alternant avec le déjeuner, et le souper.
Des fois, les amis du Comte me fouettent, menottée au chevalet, avant de me faire saillir par leurs chiens.
15 mai
Depuis mon arrivée chez le Comte O, je suis très courtisée, enculée, prise par tous les orifices, sans répit, pour mon plaisir et celui de mes amants.
Cette nuit, j’ai connu mon premier orgasme dans ma chatte avec le pur-sang Alizé, un superbe étalon équin. Mon anus n’est pas encore prêt pour ma saillie anale équine.
Mais je serais ferrée prochainement et chiffrée selon les vœux de O de Sade, mon Maître.
Les ébats homosexuels entre les Maîtres et les soumis me sont permis, pour ma bouche ou mon anus selon les envies des beaux Adonis bien montés.
Je suis la soumise adorée. Mon corps est intégralement bronzé par mes bains à la piscine. Mes jambes sont musclées par les heures de vélo.
Je subis régulièrement les visites gynécologiques comme toutes bonnes soumises, offerte ensuite à mes amants.
O de Sade me rend visite assez souvent pour voir mes progrès. Je le suce en échange d’une double anale avec le Comte. Je suis assez élargie pour les recevoir simultanément.
Opale a rejoint Rubis pour ses saillies anales canines et équines, pour son instruction. Les jumeaux venus de la ferme y sont aussi. Le Comte O fait les choses en grand, car tous sont sous mes ordres.
20 mai
Exceptionnellement, le Comte O m’invite au restaurant, où j’ai rencontré Lady D. Je suis vêtue d’un chemisier blanc translucide sur mes seins nus fardés, sans aucun bouton, avec une jupe très courte noire sur un porte-jarretelles baleiné blanc et des bas blancs, avec des sandales blanches à talons de quatorze centimètres, coiffée de ma queue-de-cheval, fardée, parfumée, avec juste mon collier de cuir.
Nous prenons la Ferrari F8 rouge du Comte O.
Je fais sensation surtout quand nous montons au premier étage, dans un endroit discret, loin des regards, donnant sur le bassin, près d’une grande baie vitrée.
Mais en fait, de discrètes caméras permettent de me voir, en compagnie du Comte, de mon chéri O de Sade, Charles Alexandre et Eros Sévices.
- Tu te sens à l’aise, ma belle, dit le Comte. Retire ta jupe, en gardant tes cuisses écartées et dénude tes seins. Les serveurs et le directeur seront ravis.
J’obéis. Exceptionnellement, ce matin, le Comte O a fouetté mes seins au martinet, après deux heures de poses de pinces à seins avec de lourdes clochettes.
- Tes seins sont superbes, dit O de Sade.
-Tes saillies te rendent plus désirables, dit Charles Alexandre. J’ai vu les dernières vidéos.
- J’ai hâte de te punir, dit Eros Sévices. Ma belle putain anale, canine et chienne, tu es aux anges.
Je n’ose répondre, les yeux baissés, pendant tout le repas.
Même, je dois sucer chacun entre chaque plat et avaler leurs spermes, en plus de mes plats.
Je subis des caresses de mes seins, de ma chatte qui est fouillée, mon clitoris est masturbé jusqu’à la sodomie profonde par chacun, penchée en avant, sur la table, cuisses écartées, sans jouir.
Après cette entrevue, je suis ferrée et chiffrée dans une villa louée appartenant au Domaine des Biches, enculée et fouettée par la suite, lors de mon évanouissement, menottée au chevalet.
Je porte désormais sur mes fers la propriété de Charles Alexandre, O de Sade, le Comte et le Baron, avec leurs initiales sur chacune des lèvres de ma chatte épilée, plus une cravache et un fouet entrecroisés sur ma fesse gauche et S et V entrelacés, sur l’autre fesse, marquées au fer rouge.
Je reste quelques jours dans la villa, pour m’habituer à mes fers.
1er juin
O de Sade me dépose après une courte nuit dans un club privé non loin de la gare de Lyon, où je dois prendre un TGV pour le Languedoc, pour parfaire mon instruction.
Je suis en première classe. Je suis vêtue d’une robe fleurie au décolleté en V sur mes seins nus, un discret dos nu, avec une jupe courte et ample, sur mes jambes nues, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’un chignon, mais aucun bagage, car tout m’attend à destination. Mes seins ont été fraîchement fouettés, tout comme mes fesses et mes cuisses. Cuisses écartées, je me laisse bercer par ma longue lecture de huit heures.
Je cache « Histoire d’O » mon livre de chevet sous une jaquette pour ne pas éveiller les soupçons.
Un couple me rejoint. Lui, un bel étalon de 50 ans, moustachu, très élégant avec sa chérie, une superbe blonde aux petits seins de 25 ans, aux longs cheveux, en tailleur strict fuchsia sur un chemisier blanc laissant deviner son soutien-gorge.
- Je m’appelle Charles Henri et voici ma chérie, Anne Sophie. Nous sommes de jeunes mariés. Quel est votre prénom, belle dame ?
- Pénélope ou Shawn selon mes humeurs, je suis célibataire. Je vais retrouver mon amant.
- Pénélope, ton prénom m’est familier. On s’est rencontré dans un lycée en Normandie. Tu étais la gouine préférée des surveillantes. Tu n’as pas beaucoup changée.
- Tu trouves. Si, je suis une bisexuelle, adepte de divers plaisirs inconnus à notre rencontre, dis-je.
- Chérie, assis-toi à ses côtés. Caresse-la, elle doit être humide, dit Charles.
- Quelle douceur, ta chatte est toute lisse, ton clitoris…
- Oui, il est percé, il est constamment tendu comme mes mamelons. Tu m’excites ainsi que ton chéri. Continue.
- Que portes-tu à la chatte ?
- Je suis ferrée par mon amant, en guise de mon amour, tout comme ma bague sertie d’un anneau.
- Tu as un drôle d’amant. Tout à l’heure, tu suceras mon chéri. Laisse-moi te faire jouir, le voyage sera plus court.
Les caresses se font plus précises, surtout quand elle glisse une de ses mains dans mon décolleté, effleurant les sillons sur mes seins nus.
- Tu es curieuse, la chatte à l’air, les seins nus, les jambes nues.
- Cela te gêne. Cela est pratique pour me faire prendre, surtout entre les fesses. Tu aimes aussi.
- Jamais de la vie, Charles ne m’a prise par là. Seules les putes le font.
- Je ne suis pas une pute, je suis une maîtresse qui donne du plaisir. Fais-moi jouir. Je mouille.
Mon bassin ondule sur les doigts, mes seins pelotés me conduisent vers un discret orgasme.
Le tout a duré un bon quart d’heure. Je suis chaude.
- Charles, va la prendre aux toilettes, son œillet doit être aussi chaud que sa chatte. Tu es très coquine, ma chérie, suivi d’un long baiser langoureux.
Nous allons aux toilettes. Penchée en avant, les fesses nues, zébrées, je suis enculée profondément, par son trente-huit par huit, puis je m’empale de face pour qu’il m’inonde l’anus ; je suis comblée. Je remets mon bijou d‘anus et me refais discrètement une beauté.
- Quel œillet, je n’ai jamais rempli un tel puits chaud et humide.
- Prends-moi, pine-moi profondément. Mon amant ne va pas me punir pour mes ébats. Je suis sa belle.
Nous retournons nous asseoir.
Charles a discrètement enregistré la vidéo de nos ébats qu’il montre à sa chérie.
- Tes fesses, tes seins sont zébrés par ton amant. Tu lis de d’autres histoires.
- Oui, je me sens un peu comme son héroïne.
Après une courte pause déjeuner, Charles m’encule à nouveau avant de me laisser nue dans les toilettes, offerte à sa chérie.
- Ecarte bien tes fesses, que je vois ton œillet bien dégoulinant.
- Encule-moi avec tes doigts.
- Tu aimes ça, des doigts ou une belle queue comme celle de Charles.
- Les deux options ne me déplaisent pas. Je vais jouir, tu m’encules avec trois doigts.
- Ton clitoris semble être bien tendu, tu mouilles bien, belle chienne.
- Oui, appelle-toi chienne.
Je connais un violent orgasme anal plus violent que ceux avec Charles. Repue, pantelante, Anne Sophie m’aide à me refaire une beauté et à me rhabiller. Je remets mon bijou d’anus.
Dans les environs de la région Lyonnaise, le couple me quitte après un long baiser langoureux, me laissant leur carte de visite.
Je continue seule le trajet.
Mais je me trompe. Un séduisant Adonis brun de 22 ans, très élégant, athlétique, musclé, me rejoint et me toise.
- J’ai du me tromper de place. Désolé, belle dame.
- Beau séducteur, donnez-moi votre ticket. Non, c’est le bon compartiment. Mes amis vous ont laissé la place.
Le contrôleur confirme.
- Vous avez de la chance, monsieur, de voyager avec une jolie demoiselle.
Le séducteur n’a pas remarqué que je suis assise les fesses nues, la jupe relevée, reprenant mes esprits de mes orgasmes aux toilettes.
- J’oublie de me présenter, Nathan, écrivain romantique voir peut-être érotique. Vous serez ma muse.
- Désolé, je suis déjà offerte à mon chéri O de Sade, qui m’a fait ferrée et chiffrée.
- J’aime. Une soumise, donc tu es libre de me satisfaire.
O de Sade avait déjà reçu mes vidéos dans le TGV. Je ne sais comment j’allais rester passive.
O de Sade m’envoie un mystérieux message :
« Chienne, Charles Henri est un membre du Domaine, il souhaite te revoir après ton séjour chez Lady V. Nathan est un de nouveaux valets. Il aime les jeunes beautés comme toi, abandonne-toi à lui. Baiser à ma chienne. O de Sade. »
Je dois m’abandonner à lui.
En effet, aux toilettes, nue, je suis sauvagement enculée par son trente par sept, à deux reprises, juste avant mon arrêt.
- Désolé, je dois vous quitter. Je descends à cette gare.
- Ne t’en fais, on se reverra et je te cravacherais tes superbes fesses et tu seras empalée sur ma queue.
Arrivée à la gare, je suis accueillie par Lady V, une élégante blonde aux seins plantureux, vêtue d’une robe similaire à la mienne, mais noire.
-Tu es un peu un retard. Mais ce sont tes clients du TGV, je présume.
- Oui, maîtresse, je me suis fais jouir cinq fois pendant le trajet.
- Viens, au pavillon d’Eros, mon domaine, à une heure de route, en bord de mer.
Nous prenons une DS, conduite par une séduisante brune, coiffée d’une tresse.
Le pavillon d’Eros est une luxueuse villa sur deux étages, qui abritent d’autres soumises du Domaine des Biches. Toutes sont ferrées et chiffrées comme moi.
La brune qui nous conduit se prénomme Anal Câline, c’est une des soumises de O Sévices, âgée de 18 ans, doublement ouverte, intégralement épilée, aux petits seins comme moi, plus petite que moi.
Lady V est une superbe transsexuelle au mandrin de trente-huit par neuf, que je dois sucer sous la douche. Je dois épiler mon pubis comme l’ensemble des soumises du pavillon. Elle me fouette les seins, me fait saillir par ses deux dobermans Hadès et Hannibal, enculée par eux. Je suis offerte aux ébats lesbiens des autres soumises, qui me fouettent surtout à l’intérieur des cuisses et que je fouette aussi.
Nous restons nues, prêtes à nous donner aux godes dans nos chattes et nos anus.
Nous portons des carcans de fer, jour et nuit.
Je reste jusqu’au 10 juillet.
Je rentre au Domaine des Biches, avec mes mêmes carcans de fer, offerte à de nouveaux valets dont Nathan.
Je suis doublement payée, fouettée chaque matin, par les riches clients.
Venez me retrouver, Pénélope ou Prudence selon mes humeurs, mon anus vous attend, vos belles queues, ma bouche vous sucera.
Bisous de votre chienne dévouée, Shawn.
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