LINGERIE DU VICE 3E PARTIE
Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis épilée entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est lisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Mon gros clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse. Je porte aussi une bague sertie d’un anneau à mon annulaire gauche. Mes reins sont tatoués « A votre chienne S ».
LINGERIE DU VICE 3E PARTIE
11 juillet
Au lever du soleil, après deux nouvelles saillies anales avec Shawn, prosternée, j’émerge. Le doberman est allongé sur le balcon, la porte-fenêtre que j’ai laissée ouverte, pour l’air frais.
Pierre Brice me rejoint. Il est entré discrètement. Je suis restée offerte, cuisses écartées, l’anus inondé de spermes canins.
- Bonjour, Miss Shawn, je vous prépare votre petit déjeuner.
- Pierre, tu m’as fait peur. En tout cas, le doberman m’a bien piné pendant la nuit.
- Je vois. Tu devrais te doucher et te faire belle.
- J’arrive. Il est tôt. Tu m’apportes mon petit déjeuner au lit. Je vais câliner mon amant canin.
- Bien, Miss Shawn, je suis à votre service.
Pierre bande. Je suis toute excitée. Le doberman Shawn repart.
Je me lève doucement, m’étire, me douche longuement, en lavant mon anus bien écartelé. J’ai bien dégusté cette nuit, attachée à lui.
Je m’assois à ma coiffeuse, nue, cuisses écartées, brosse mes poils pubiens, mes cheveux libres que j’ai lavé.
- Miss Shawn, voici ton plateau petit déjeuner : croissants, pains au chocolat, jus d’orange, pain, confiture et café, plus un élégant monsieur t’attend au rez-de-chaussée. Il semble connaître le Baron. Tu es très excitante et désirable.
Je déjeune et je suis à eux, dit leur, Pierre.
A la fin du petit déjeuner, vers 8 heures, je rejoins, simplement vêtue d’un tee-shirt blanc sur mes seins nus aux mamelons tendus fardés, la chatte nue, avec mon bijou d’anus et mes mules blanches à talons de huit centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval.
- Mon chaton, ce Monsieur vient de m’alerter que tu as émis des râles de plaisir durant la nuit, dit Alban, en compagnie d’Hubert, de Marc et de Désiré, tous les trois nus.
- Oui, je suis désolée de mes râles. C’est…
- Tu n’as pas à t’excuser, dit l’élégant étalon en costume, brun, moustachu et chauve, de 60 ans. Je suis Sir Stephen, un habitué des lieux. Une si belle mélodie féminine est preuve que tu jouis, ma belle Shawn.
Il me tutoie.
- Je t’ai aperçu sur la plage non loin d’ici, à tes 15 ans, déjà la reine en bikini. Tu étais déjà lesbienne, mais en quelque temps, tu es devenue une superbe beauté bisexuelle soumise libertine. Ces amants te donnent du plaisir. Alban est un de mes fidèles amis, pour des ébats homosexuels. Tu n’es pas contre.
- Sir… Je suis peu habituée à voir des hommes faire l’amour, dis-je, les yeux baissés. J’ai plus l’habitude entre femmes.
- Mais deux hommes homosexuels et une femme, cette pratique est autorisée, dit Alban. Elle est un peu gênée, c’est normal, elle s’est fait jouir avec de superbes amants canins. C’est aussi une chienne, mon chaton. Elle ronronne enculée par leur queues. Elle aime être fouettée. Montre ton superbe corps à Sir.
Je m’exécute.
- Caresse-toi devant nous, mets-toi sur la chaise longue, cuisses écartées. Que Sir admire tes bijoux intimes et libère ton œillet de chienne.
Je suis au bord de l’orgasme.
- Combien de fois tu t’es caressée depuis que l’on se connaît, mon chaton ? dit Alban.
- 50… 75… 90… Oui… C’est bon…
- 90, elle s’est caressée, mais elle est très douée, dit Sir. Sa chatte cadenassée ruisselle, son œillet s’ouvre bien. Elle a l’habitude d’être prise. Suce-moi, ma belle. Je peux t’appeler nièce Prudence ou Chienne Vicieuse. J’aime hâte de fouetter tes superbes fesses.
- Comme vous voulez, Sir, dis-je, gênée.
Sans attendre, Sir me met à quatre pattes sur la chaise longue et m’encule, d’une seule traite, jusqu’aux testicules, m’offrant un trente-huit par huit.
- Quel œillet, bien ouvert, quel gros clitoris tendu, quels superbes seins aux mamelons tendus, ondule tes fesses sur ma belle queue, je suis endurant avant de me faire jouir.
-Oui, Maître, je vous offre mes fesses. Fesse-moi.
- Non, je vais te cravacher, tu es une chienne docile.
Les coups de cravache cinglent mes fesses en alternance. Je mouille abondamment.
- C’est normal, qu’elle ruisselle sous la cravache, Chienne Vicieuse ? demande Sir.
- Oui, mon chaton, elle aime ça et cela l’excite, dit Alban, que je suce, en alternance avec Hubert, Marc et Désiré.
- Je vois, ma queue commence à être emprisonnée, elle est très experte.
Sir éjacule et je sais que je serais à nouveau punie.
Sir se retire et je le nettoie.
- Non, ton chaton ne sera pas punie pour cette fois. Je te veux à 15 heures, en tee-shirt, nue dessous, sandales, les cheveux libres, à la villa voisine « Biche du Désir ». Elle va la trouver, j’ai un accès à la plage privé. Surtout, fardée, parfumée et l’anus propre, elle peut passer de la pommade sur ses fesses.
- Oui, Sir, j’y serais.
- Je veux que tu sois ponctuelle. Tu y resteras une ou deux voir davantage, selon l’avis de mes invités.
Les autres amants éjaculent aussi dans ma bouche et j’avale tout.
Vers 10 heures, je me douche, après le départ de Sir Stephen, me farde, me parfume et reste nue, avant de faire quelques longueurs de piscine.
Hubert me conduit à bord de sa Ferrari F8 rouge au village voisin. Je suis vêtue d’une robe estivale blanche, dos nu, avec une jupe ample, sur mon corps nu, chaussée de sandales blanches à talons de dix centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval.
Arrivée au village, Hubert m’annonce :
- Je fais quelques achats et on rentre ensuite. Tu as un besoin particulier, en maquillage.
- Non, j’ai tout ce qui me faut. Je vais faire un tour au marché.
Hubert fait le tour des commerces alimentaires.
Sur le chemin du marché, je croise un élégant couple. Lui est un superbe étalon de 46 ans, brun, moustachu et son épouse, une superbe brune aux petits seins, de 38 ans, en robe estivale, sandales à talons de douze centimètres, les longs cheveux en tresse.
- Sven, toi, Sven, que fais-tu là ? dis-je.
- Shawn, mais cela fait au moins cinq ans que je t’ai plus revu, dit Sven. Je te présente ma chérie, Corinne.
- Tu la connais. Elle est très belle, tu as quel âge ? dit Corinne.
- 20 ans, Corinne, je maîtrise le sexe et je ne suis plus lesbienne, désolé mon Sven.
- Shawn, on ne me présente pas à ce couple, dit Hubert, de retour des courses.
- Corinne et Sven, voici Hubert, mon chéri, nous habitons dans une villa non loin d’ici.
- Shawn, tu serais libre cet après-midi, demande Corinne.
- Non, j’ai un rendez-vous que je ne peux décommander, dis-je.
- Alors ce soir, si tu peux et si Hubert ne voit pas d’inconvénients. Sven viendra avec sa BMW cabriolet te chercher. Ecris-moi ton numéro de téléphone et je contacte, dit Corinne en embrassant langoureusement Shawn, suivi pas Sven.
Le couple repart.
- Shawn, tu me surprends. Tu retrouves un ami que tu n’as pas revu, ici, dit Hubert.
- Je te jure, c’est le pur hasard.
- Alban va demander des explications, dit Hubert.
De retour à la villa, mon entrevue avec Sven et Corinne, provoque une discussion dans ma chambre.
- Shawn, tu as contacté ce couple avant de les rencontrer.
- Non, je te le jure.
- C’est le hasard. Ton rendez-vous avec Sir Stephen est important. On verra pour la soirée.
- Bien, tu es jaloux. Je suis une dragueuse, une allumeuse, une pute, une chienne, qui donne envie aux hommes.
- Sir Stephen avisera.
Nue, je mange, empalée, enculée sur Alban, pour me faire pardonner.
Vers 14 heures, je repère la villa, habillée de ma robe. Je découvre une beauté Africaine, aux petits seins, en soubrette avec chemisier, tablier et bonnet blanc, avec des mules à talons de dix centimètres. Elle m’interpelle.
- Vous devez être Shawn. Vous êtes un peu en avance. Ce n’est pas grave, je préviens Sir Stephen.
Sir Stephen arrive et me voit en robe.
- Entre, mon chaton. Mes invités sont là. Perle, tu lui mets ses carcans de cuir et son masque de nuit, ainsi que le bâillon-boule pour sa présentation. Vérifie qu’elle soit bien fardée.
J’entre. Escortée par Perle et Sir Stephen, je rejoins le hall d’entrée, en traversant le jardin. Je crois reconnaître la BMW cabriolet de Sven.
Dans une pièce, je dois me déshabiller. Perle m’inspecte et me prépare. Nue, pieds nus, j’entre au salon, au sol marbré, tenue en laisse.
- Désolé, mes amis, mais Chienne Vicieuse était impatiente de vous rencontrer. Elle est très docile.
Une voix féminine annonce :
- Je peux la caresser, avant qu’elle suce.
- Oui, ma chérie, dit une autre que je crois connaître.
- Quel superbe spectacle, sa chatte lisse est cadenassée, son œillet est celui d’une chienne, ses seins offrent des mamelons bien tendus, son gros clitoris percé est tendu aussi. Tu mouille sous ma langue.
- Accroupis-toi, suce ces queues, ma belle, dit une autre voix féminine. Mes mains sont jointes à mon cou.
Il y a au moins sept hommes dans la pièce. Je m’exécute sans le faire éjaculer.
- Ma chérie, tu peux nous sucer aussi, dit une autre voix.
- Non, c’est Chienne Vicieuse, qui est la mieux, dit la voix féminine.
Je me retrouve ensuite enculée, prise en double anale, une première pour moi, tout en continuant à sucer les autres queues pour m’enculer. Je me retiens de jouir.
Tous éjaculent dans ma bouche et je dois lécher les chattes et les anus féminins, pour les faire jouir.
- Perle, amène-la au chevalet pour sa punition. Elle pourra se doucher et repartir.
- Sir, je peux la prendre pour la soirée.
- Oui, Chienne Vicieuse est à votre disposition. Il faudra la ramener à Alban, ensuite.
- Oui, elle sera entre de bonnes mains, dit la voix féminine.
Menottée, au chevalet, je subis des coups de cravache devant l’assistance, sur les fesses et les cuisses. Je compte les coups et je mouille, ce qui ravit Sir Stephen.
Vers 17 heures, ayant recouvré la vue, douchée, fardée, parfumée, Sir Stephen me remet au couple.
- Sven, vous la ramenez à Alban d’ici ce soir.
- Oui, Shawn sera reconduite.
Je monte à côté de Sven. Corinne est reconduite par un autre invité.
Le couple habite une villa à une demi-heure de la villa de Sir Stephen, avec une piscine et un accès à la plage. Au salon, au sol en marbre, avec vue sur la piscine extérieure avec une extension en intérieur, avec douche, je me plie au couple.
- Déshabille-toi, mon chaton. Je te veux nue, dit Corinne, déjà nue.
Elle est intégralement épilée, sans bijoux intimes, les cheveux libres.
- J’ai qu’une envie de la prendre encore. Mais avant, elle sera soubrette pendant quelques jours. Tes amants viendront te voir quelques heures par jour, dit Sven.
- Elle porte un bijou d’anus, cette chienne. Donc, elle est une adepte de l’anal. Trois heures par jour, pendant trois semaines, avec l’accord d’Alban ou d’Hubert, ton chéri.
- Je ne peux refuser une telle offre.
- Non, même si tu refusais, Sir Stephen serait mis au courant, dit Sven.
- Jamais je ne vais refuser une offre de mon Sven.
- Viens dans la piscine, il faut que je te caresse encore, dit Corinne.
Nues dans la piscine, je m’offre à Corinne.
- Tu m’excites. Tu te gouines souvent, avant d’être doublement ouverte comme soumise.
- Oui, j’avais beaucoup de copines et un copain Sven pour cacher mes ébats sexuels lesbiens.
- Sven me l’a changé. Tu as appris à sucer, à offrir ta chatte à son sexe, vicieuse.
- Non, pas le sexe dans ma chatte, non, des godes réalistes, dis-je, gênée, je suis une lesbienne.
- C’est vrai, chérie, Shawn avait ou doit encore avoir une collection de godes pour sa chatte trempée. Elle mouille abondamment quand elle est excitée, dit Sven. Tu peux me sucer encore, mon trente-six par huit est un régal pour toutes les deux.
Je m’exécute.
- Quelle experte, tu es mon chaton, dit Corinne. On partage sa belle queue.
- Je vais jouir dans une de vos bouches.
Je reçois la première giclée, puis Corinne.
- A la douche et je te prépare en soubrette, dit Corinne, en m’embrassant, pour récupérer le sperme débordant de ma bouche.
Je découvre ma chambre au premier étage, avec vue sur la mer, avec une porte-fenêtre, un balcon, une armoire, une coiffeuse et une salle de bains avec une douche, une cuvette et un bidet, des canules et des poires de lavement à ma disposition.
Sur le lit, il y a deux chemisiers blancs à manches courtes, une jupe noire lisse assez courte et une m’arrive au ras des fesses, un tablier blanc simple et un avec dentelles, deux coiffes complètent l’ensemble.
Sous la douche, Corinne me caresse, sans savoir que je suis constamment filmée.
- Tu es toute humide. Mais, j’aime une beauté qui jouit avec moi.
- Corinne…
- Pas un mot, laisse-moi te caresser encore. Sven ne sera pas jaloux de nos jeux lesbiens. Raconte-moi comment tu as été déflorée de l’œillet.
- C’est dans une orgie, qu’un des hommes m’a défloré. Son gros calibre m’a fait mal, mais j’ai joui, mon clitoris caressé. Je crois qu’on m’a forcée l’anus pour l’assouplir.
- Moi, c’est Sven, à la plage naturiste, qu’il m’a enculée la première fois. J’aime les grosses queues. Une queue canine c’est jouissif.
- Oui… Surtout Lancelot…
- Qui est Lancelot, mon chaton ?
- Un berger allemand qui m’a initié, m’a enculée jusqu’au nœud. C’est un peu douloureux, mais tu connais le plaisir anal ensuite.
- Tu es très spéciale, mon chaton. Habillage, de ma soubrette, tu dois te faire belle.
Je me farde et me parfume comme au Domaine. Corinne me met des glaçons sur mes mamelons déjà tendus.
- J’aime comment tu te fardes. Sven va adorer, je vais faire de même, mon chaton. Non, pas le chemisier, juste ta jupe ras des fesses, pas de string, ni soutien-gorge ici, le tablier et la coiffe et des mules à talons de douze centimètres et queue-de-cheval d’adolescente. Tu seras ma nièce Sapho Plaisir.
- Oui, Corinne, je serais ta nièce.
Vers 19 heures, quand je descends l’escalier, Sven est en bas, nu, le mandrin encore en érection.
- La Chienne Vicieuse est très sexy. Elle va nous préparer un souper succulent. Désir Libertine tu l’aides.
- Oui, mon chéri, ton chaton Sapho Désir se plie à mes ordres.
- Quelles superbes fesses nues, tu viendras te faire enculer, assise entre mes cuisses, S D.
Je ne réponds pas, mais je le ferais avec plaisir.
- Sven te drague. Je ne suis pas jalouse. A ton âge, je collectionnais les amants jeunes et experts comme toi, ma chienne.
Vers 20 heures, le souper est prêt et j’assure le service.
- Non, tu viens t’empaler sur Sven, entre chaque plat. Regarde comme ses mamelons sont tendus, sa chatte doit être humide. Mon chaton fantasme, c’est autorisé.
J’obéis et je fais de mon mieux pour qu’il n’éjacule pas.
Après le dessert, Sven me rappelle, alors que je suis prête à me changer pour rentrer chez Alban, qui m’a contacté sur mon téléphone portable.
- Non, Shawn, tu restes encore un peu. D L va te goder, tandis que tu vas me sucer en 69.
Nue, je m’offre en 69, suçant Sven. J’embouche totalement sa belle queue, caressant ses testicules. Il est intégralement épilé et circoncis. Corinne avec son gode ceinture de trente par huit m’encule profondément, tandis que ma chatte cadenassée est livrée à la langue de Sven. Je mouille abondamment. J’ai même un orgasme anal.
- Mon chaton est comblée. Une dernière douche et je te ramène à Hubert. Il me plait, dit Corinne.
Vers 22 heures, arrivée à la villa, à bord de la BMW cabriolet de Corinne, Alban me complimente :
- Bon, tu es admise chez Sven et sa chérie Corinne, qui sont aussi mes amis et ceux de Sir Stephen. Tu dois être demain à dix heures chez le couple. Hubert, passe-lui ta 205 cabriolet. Ce soir, il se pourrait que tu sois saillie pendant la nuit. Shawn a envie de toi.
- Bien, Maître, je n’aurais pas du revoir ce Sven, tout est de ma faute.
- Non, ce couple te changera de tes amants. Je vais t’enculer. Je n’ai pas pu de ton départ chez Sir Stephen.
- Oui, prends-moi, Corinne…
- Tu t’es offerte à Corinne.
- Oui, désolé, c’est mon côté lesbien qui reprend le dessus.
- Non, tu es libertine.
Alban m’encule à quatre pattes, bien cambrée, jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir, pour que le doberman Shawn me fasse jouir ensuite pendant la nuit.
12 juillet
Vers 8 heures, je me lève, me douche rapidement, fait mon lavement anal, me farde, me parfume et choisit une robe estivale dos nu blanche, avec un dos nu, fendue sur les côtés jusqu’aux hanches, je chausse des sandales blanches à talons de douze centimètres et je garde mes cheveux libres. Je garde mon bijou d’anus.
Vers 10 heures, Hubert me dépose avec la 205 cabriolet qui m’appartient. Marc le reprend avec la Ferrari F40 rouge.
Corinne m’accueille :
- Mon chaton, tu es ponctuelle. C’est Hubert qui t’a conduit. Il t’a enculée hier soir. Sven est parti chercher une surprise pour toi. Déshabille-toi et en tenue.
- Non, c’est Alban, qui m’a prise et le doberman pendant la nuit.
Habillée, avec mes mules, comme la veille, je fais le ménage dans le salon, la cuisine et à la piscine, où Corinne bronze nue, en se caressant. Elle jouit.
Sven arrive avec un superbe malinois.
- Tiens, S D, il est pour toi. Il pourra t’enculer dès qu’il aura envie de toi. Il se prénomme Brutus. Il va te lécher la chatte devant Corinne.
- Il est expert, mon chéri. Regarde, comment elle mouille et elle jouit. Je pourrais essayer aussi.
- Oui, ma chérie, ton chaton va jouir puis ce sera toi ensuite.
Corinne se met à quatre pattes, Brutus la lèche puis il la monte, en lui défonçant la chatte bien humide.
- Mon chaton, il m’a prise jusqu’au nœud.
- Tu dois attendre une bonne demi-heure. Abandonne-toi au plaisir.
Corinne connaît trois orgasmes puissants. Il éjacule en elle et lèche sa chatte débordant de spermes canins.
Je prépare une gamelle pour Brutus, qui ne cesse de regarder ma chatte et mon gros clitoris.
Bien sûr, Brutus m’encule à son tour, peu après le déjeuner. Je connais de violents orgasmes anaux jusqu’à l’éjaculation.
- Mon chaton aime ça. Elle prend beaucoup de plaisir avec Brutus. On le garde.
Corinne ne sait pas que Brutus risque de la faire jouir encore plusieurs fois.
Vers 13 heures, je suis prête à partir, mais Corinne me retient.
- Tu dois aller chez Sir Stephen, pour ta séance. Je t’y conduis. On ramène ta 205 à Hubert.
Sir Stephen me fait saillir par une dizaine de chiens de ses invités, fouettée et m’abandonne que vers 18 heures, chez Alban.
14 juillet
Vers 10 heures, je me présente chez Corinne, en soubrette directement, avec mon chemisier non boutonné sur mes seins nus.
Corinne s’est fardée comme moi.
- Non, mon chaton, aujourd’hui c’est repos. Sven et toutes les deux nous allons au club « Désir Extase Sable », en bord de mer, avec plage naturiste et orgie à toute heure. Tu me retires ton chemisier, ta jupe et tu enfiles ce paréo et ce tee-shirt sur ton corps nu, tu gardes tes mules, queue-de-cheval, ma nièce Sapho Plaisir. Brutus est chez des amis. Il m’a fait encore jouir, en défonçant trois fois ma chatte. Tu te déshabilles devant nous. On prend ma BMW cabriolet. Tu montes devant avec moi. Sven nous surveille.
Une fois habillée, nous rejoignons le club. J’ai très envie de sexe.
Au club, je fais sensation.
- Voici, Sapho Plaisir, superbe candidate pour le concours de Miss, toi Corinne tu es déjà inscrite. Elle peut se déshabiller et se caresser.
J’obéis. Le bel Adonis de 45 ans, athlétique, blond, musclé, nu, me toise.
- Quelle beauté, tous les critères requis, elle me plait. La concurrence dans sa catégorie sera rude. DP, bisexuelle, libertine, BDSM…
- Non, tu oublies James Edouard, c’est aussi une chienne au sens propre et au sens figuré. C’est une exception, dit Corinne.
- Une chienne, là les chances vont augmenter, dit James, en m’embrassant langoureusement et en caressant ma chatte cadenassée.
- Viens, ma belle, te baigner et bronzer, que tes admirateurs te complimentent et te prennent, te défoncer bien ton œillet de chienne, dit Sven.
Sur la plage, nous prenons des chaises longues. Je m’exhibe, après un bain de mer.
Un couple homosexuel nous rejoint.
- Tiens, elle est très belle. C’est la nouvelle miss, dit l’un d’eux, un bel Apollon de 35 ans, brun, musclé, bien monté.
- Non, Brice, c’est ma nièce Sapho Désir. Elle aime les hommes qui font l’amour entre eux et surtout les sucer, n’est-ce pas ?
Je suis gênée, surtout que je mouille, à la vue de leurs superbes mandrins en érection.
- Tu peux la prendre, encule-la profondément. Elle aime ça.
Allongée sur le dos, cuisses relevées et bloquées par les cuisses de Brice, je suis profondément enculée et je jouis, sur un trente-six par huit.
- Quel œillet bien ouvert, elle va me faire éjaculer. Charles Victor, prends-la, elle est bien humide.
Je garde la pose, pour un trente-deux par sept, qui éjacule aussi.
Je dois me baigner pour me nettoyer.
Sans le savoir, je gagne des points à chaque sodomie par des partenaires qui viennent me voir. Corinne, aussi, se fait jouir, prise par Sven et d’autres hommes qui l’enculent.
Nous mangeons empalées, enculées sur nos amants de nos choix, pour le déjeuner et l’après-midi, les ébats lesbiens s’enchaînent pour nous départager.
Vers 18 heures, élue Miss et Corinne tient son nouveau titre de Miss dans sa catégorie, nous rentrons. Je suis juste vêtue de mon paréo et de mon tee-shirt, exhibant ma chatte lisse et humides, mes mamelons et mon clitoris sont tendus sous l’excitation et le vent frais qui remonte entre mes cuisses et le tee-shirt relevé exhibant aussi mes seins. Je me caresse à l’arrière, ma chatte, mon clitoris et mes seins nus. Je fantasme sur Sven et je m’endors jusqu’à la villa, après mon orgasme.
18 juillet
C’est la journée nudité intégrale. Corinne m’a intégralement épilée, pour mettre en valeur mes bijoux intimes.
Nous allons au sauna libertin « Plaisir Vices ». Là, je suis offerte à six étalons bien montés, devant le couple, prise d’abord enculée, puis en double pénétration, suçant un troisième qui m’encule. Je ne compte plus mes orgasmes, tout comme Corinne qui est prise en double pénétration aussi par d’autres étalons. Sven se fait enculer par d’autres étalons, que je suce.
Vers 18 heures, nous rentrons chez Sir Stephen, pour une nouvelle orgie, où je suis fouettée et saillie par une dizaine de chiens de garde, qui m’encule.
Je retrouve ensuite mes amants Alban, Marc, Hubert, Désiré, Pierre Brice à la villa.
Je suis longuement prise en double pénétration et double anale en tentant de retarde mes orgasmes. Je suis bâillonnée par les mandrins de ceux qui vont m’enculer ensuite. Mon épilation intégrale plait.
Mon anus est tellement dilaté que les deux queues peuvent commencer d'infernaux va et vient. Je ne pense pas capable d'une double anale.
- Alors tu aimes, chienne ?
J’hurle maintenant de plaisir sous les coups de boutoirs. C'est tant physique que le fait d'être allé au bout de ses fantasmes qui la faisait prendre son pied.
Complètement épuisée, je me retire, me douche, me masturbe devant mes amants qui éjaculent sur mon corps.
Je passe la nuit, enculée, menottée à mon lit, même les chiens m’enculent jusqu’à l’aube.
Je suis épuisée par mes nombreux orgasmes, mes fesses, mes reins sont couverts de leurs spermes chauds et mon anus par le sperme canin.
22 juillet
Alors que je suis vêtue en soubrette, les fesses nues, je m’offre à Brutus pour me faire jouir. La saillie dure une éternité, avant une nouvelle saillie anale par le doberman Shawn, plus un dogue allemand m’achève.
Le tout dure deux bonnes heures de plaisir anal avec mes amants canins.
Je fais mes ménages ensuite, l’anus rempli par mon gros bijou d’anus. Corinne se fait ensuite jouir par le trio surtout dans la chatte et enculée uniquement par Brutus.
Sir Stephen me retire mon cadenas pour une double saillie canine, qui me laisse évanouie, mais doublement inondée.
Sir Stephen me baise longuement, sous la douche. Fardée, parfumée, je revêts une robe pull blanche couvrant en partie mes cuisses nues, avec des mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres.
Vers 14 heures, nous quittons la villa de Corinne et de Sven, à bord de la Ferrari F40 rouge de Sir Stephen, longeons l’aérodrome où stationne le Falcon 900 qui m’a emmenée, puis nous prenons une route de montagne. Le froid fait durcir mes mamelons et mon gros clitoris qui est exposé entre mes cuisses écartées à la demande de Sir Stephen. Je jouis discrètement, cambrée bien en avant, livrée aux regards des automobilistes qui me croisent.
-Tu mouilles d’avance. Le Donjon des Plaisirs est un lieu secret, appartenant au Domaine. Il est dans les hauteurs enneigées. Tu es déjà chaude, ma chienne S.
- Oui, Maître, je mouille d’avance. Même aveugle, je sais que vous bandez, Maître.
Vers 19 heures, nous atteignons le sommet et entrons dans une allée menant à un donjon, une tour de garde.
Cent mètres avant l’entrée du bâtiment au pied du donjon, Sir Stephen me fait descendre, tenue en laisse. La neige sur mes pieds nus me fait frissonner. Je résiste au froid, pendant le trajet.
Nous entrons dans le hall.
- DP est arrivée, Baron de Sade, elle est très chaude de son séjour en bord de mer.
Je me retrouve rapidement menottée dans le dos, la robe bien relevée jusqu’au dessus des seins, exhibant mon corps intégralement épilé.
- Quelle grande beauté, chienne, pute, soumise, docile, elle possède toutes les qualités du BDSM, tatouée, percée, prêtée à plusieurs Maîtres lors de son instruction. Penche-toi que je t’encule, pour voir si tu es bien élargie par tes amants canins.
Le mandrin de trente-six par huit me remplit jusqu’aux testicules, je me retiens de jouir, sans autorisation. Il me fesse, me cravache. Je mouille davantage.
- Très bien, elle mouille abondamment sous les fessés et la cravache. Perfection, pour une jeune soumise docile. Mes valets seront l’instruire un peu plus. Elle n’est pas frileuse, car elle devra passer un certain temps dehors au froid, pour son excitation.
On me met mon collier et mes bracelets à mes chevilles. Je me retrouve les mains jointes à mon cou, nue, tenue en laisse par un valet, nu sous son gilet, botté.
- Tu l’amènes à sa cellule, du rez-de-chaussée. Qu’elle soit baignée à l’eau froide, offerte à ses premières queues, puis elle sera offerte au salon Eros aux clients.
Nous traversons plusieurs pièces, chauffées par des cheminées, marchant sur le marbre en alternance avec les tapis.
Ma cellule comprend un chevalet et une baignoire à l’ancienne, remplie d’eau froide.
Le valet me fait monter dedans, ayant recouvré la vue. Je baisse les yeux, accroupie, les cuisses écartées, livrée pour ma toilette, rincée à l’eau froide par un seau.
Une fois propre, l’anus propre avec une poire de lavement, je suis fardée, parfumée, l’anus enduit de miel, menottée au chevalet, sauvagement enculée, les yeux bandés, par le valet, bien monté, puis d’autres amants canins pendant quatre heures d’affiliées. Je suis pantelante.
23 juillet
L’anus bien lubrifié, le valet me porte dans ses bras jusqu’au salon Eros, où je suis offerte, suçant, enculée par de nombreux hommes, des chiens à nouveau, jusqu’à l’aube. Je suis cravachée et fouettée à la garcette à leurs plaisirs. Je suis nourrie de spermes et de jus de fruit avec des stimulants sexuels, mes mamelons sont pincés de lourdes pinces à poids d’un kilo chacun, tout comme les grandes lèvres de ma chatte humide cadenassée.
Le rituel dure jusqu’au 2 août.
2 août
A l’aube, je suis ferrée à chacune de mes grandes lèvres remplaçant mes anneaux dorés et je suis marquée au fer rouge, dans ma cellule, sur les fesses, du sceau de Sir Stephen sur ma fesse gauche et d’une cravache et d’un fouet entrecroisés.
Sir Stephen me ramène à la villa d’Alban, dans la même tenue que je porte.
Je suis une soumise ferrée et chiffrée selon ses vœux.
Corinne et Sven viennent me voir, me remettent mon salaire bien mérité.
Je peux rentrer et retrouve Horace, Hubert et Alban, dont je suis officiellement sa soumise comme cela est écrit sur mes fers.
Les fers me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Je m’offre à mes trois amants, malgré mon réveil matinal. Je dois me reposer, pour me ménager avec mes fers.
5 août
Je suis à nouveau saillie dans le premier lieu de mon dressage, filmée en direct, comme depuis mes débuts.
Je prends beaucoup plus de plaisir, moins intimidée, docile, gracieuse et élégante, intégralement épilée. Mes fesses marquées au fer rouge plaisent à tous les hommes que je rencontre. Aucun ne se refuse à m’enculer, traitée comme une pute, une chienne, une soumise de premier choix.
Venez me retrouver, je suis votre soumise, prête à tous vos désirs.
Votre chérie Shawn la Soumise, la Chienne de tous les vices.
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