ROMANCE MONEGASQUE

 

Je m’appelle Shawn.

J’ai 25 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

 

ROMANCE MONEGASQUE DE SHAWN ET HONORE VICTOR

 

15 juin

Je suis la maîtresse d’un écrivain connu Honoré Victor, qui écrit des romans érotiques, dont je suis sa muse depuis notre rencontre à mes 22 ans. Honoré est un bel athlète de 50 ans, moustachu brun, comme je les aime.

Il possède aussi une compagnie de jets privés en région parisienne.

Au fait, je suis une prostituée lesbienne depuis mes 18 ans. J’ai fréquenté les belles dames plus âgées que moi, pour leur donner du plaisir.

Mon clitoris a connu ses premiers émois par la caresse de mes poupées, à 13 ans, mon premier orgasme. Je me suis caressée souvent nue, devant mon miroir.

 

Le vélo a accentué mes orgasmes, surtout mon slip était souvent humide lors de montées, en danseuse, sous mon short, en tee-shirt, sandales à petits talons, vers 15 ans. L’âge de mes premiers émois amoureux, désolé, lesbiens. Je ne souhaitais pas m’offrir à un garçon. Mon clitoris et ma chatte se sont offerts davantage. Les godes réalistes m’ont fait jouir, sous les langues lesbiennes, les caresses, les 69 torrides.

 

Lors de mes 18 ans, je suis venue m’offrir dans un club privé lesbien. Mon corps musclé de femme encore vierge, mes petits seins, mon regard, ont fait de moi, l’objet de nombreuses rencontres torrides. Mes râles de plaisir remplissent les hôtels ou les résidences de mes clientes. Souvent, leurs maris ou compagnons se rincent l’œil de mes prestations, mais désolé, aucun de ces étalons ne m’a prise.

 

Ce n’est qu’à 22 ans, lors d’un long ébat lesbien avec Aimée, une belle brune aux cheveux courts, aux petits seins, musclée, de 45 ans, dans un 69 torride, offerte au-dessus d’elle, que j’ai reçu sur mes reins, un dépôt de sperme d’un étalon invisible.

Aimée a ignoré la présence de Honoré, qui s’est masturbé en notre présence. J’avais juste mon porte-jarretelles et mes bas, en automne. Nue, je me suis douchée avec ma cliente. Sans savoir qu’Honoré m’observait.

A la sortie de la douche, maquillée, je revêts mes dessous : soutien-gorge et string en dentelle blanche transparente, porte-jarretelles assorti et bas, escarpins blancs à talons de huit centimètres, les cheveux libres. Je croise Honoré, avec Aimée, en peignoir sur son corps nu. Honoré est un élégant barbu de 50 ans, en costume d’homme d’affaires.

- Je te présente Honoré mon chéri. Il est bien monté. Tu devrais me voir jouir en sa compagnie.

- Cela ne m’intéresse pas. Je suis pas encore prête à ce plaisir.

- Tes orgasmes sont fantastiques, dit Honoré. Si ta chatte pouvait recevoir ma queue, tu prendrais du plaisir comme Aimée.

- Je vais réfléchir. Je préfère mes godes.

- Disons dans un mois, dit Honoré, tu verras si tu aimes mes romans, tu deviendras ma muse.

Pendant un mois, je réfléchis, en regardant des films hard avec des couples, mais aussi avec des hommes entre eux. J’aime ce plaisir de deux ou plusieurs hommes entre eux, c’est mon côté lesbien qui ressort.

Mon entrevue avec Honoré, remonte aux oreilles de Miss Hermine, une superbe blonde de 45 ans, aux seins plantureux, 95C, ma patronne, qui possède aussi un équivalent pour les hommes. Elle me reçoit dans les jours qui suivent : je porte une robe pull couvrant partiellement mes bas, au décolleté en V, fuchsia, cachant mon slip en dentelle blanche, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, sandales blanches à talons de huit centimètres, coiffée d’un chignon. Elle est en tailleur jupe noir, sur des bas noirs, les cheveux libres.

- Tiens, Miss Prudence fait des siennes. Au fait, Honoré n’est pas le premier amant à te faire des avances. Bien sûr, tu es gouine jusqu’au bout des ongles. Ta chatte et ton clitoris sont les objets de tes amies. Mais un jour, tu seras déflorée par un homme ou un gros gode selon tes envies.

- Jamais, un homme me prendra, Hermine. Je suis libre.

- Bien sûr, Aimée va t’offrir à Honoré, qui te baisera ou t’enculera, s’il souhaite que tu restes vierge. C’est le prix à payer pour s’offrir à Honoré.

- M’enculer, mon œillet restera vierge, Hermine.

- Encore un de tes caprices, Prudence, tu coucheras avec Honoré, dans les trois mois. Sinon, tu perds ta place de numéro 1 dans le palmarès des gouines sexy. Tu peux gagner beaucoup, lors des rendez-vous avec Honoré. Tu attires les hommes, mais tu les ignores. La Shawn lesbienne cache une Prudence intelligente, sexy, qui a du charme à revendre, mais qui fait sa capricieuse. Ta chatte rêve d’une belle queue. Honoré possède il paraît la plus belle queue que toute femme rêverait d’avoir pour jouir, mieux que tes godes.

- D’accord, si je ne prends du plaisir avec Honoré, je reste avec Aimée, sa chérie.

- Nous verrons. Va te reposer quelques jours en Normandie.

En fait, mon repos en Normandie, était un piège tendu par Honoré.

Mon hôtel abrite Honoré et Svetlana, une de ses hôtesses, bisexuelle, brune, qui me ressemble, comme si elle était ma sœur jumelle.

Au petit déjeuner, le premier jour, Svetlana me croise. Nous sommes presque habillées pareille : tailleur jupe sur bas, elle en noir et moi en blanc, seules nos chaussures nous différencient, moi, en escarpins à talons de huit centimètres et elle en mules à talons de douze centimètres, avec nos cheveux libres, maquillées.

- Tiens, on se connaît, dit Svetlana. J’ai déjà croisé ce regard quelque part. (elle possède aussi les yeux verts).

- Non, désolé, vous faites erreur.

Honoré arrive au buffet.

- Svetlana, tu as fait connaissance. C’est Shawn, ma nouvelle muse pour « Les Aventures de S », pour saveurs sexuelles.

Je suis un peu gênée.

- Honoré, c’est votre amie, Svetlana.

- Non, c’est une de mes hôtesses de l’air. Elle est bisexuelle, elle a 25 ans, mais un trio lui ferait un grand plaisir. Aimée nous rejoindra plus tard.

- Quoi, Aimée doit venir.

- Tu es encore vierge. Ma queue attend ta bouche puis ton écrin humide. Svetlana retire son slip à Shawn, dit Honoré.

Svetlana obéit et me plaque contre un mur et glisse ses mains sous ma jupe et retire mon slip humide.

- C’est vrai, elle est très excitée, cette belle vierge. Voici, son slip, de très grand luxe, elle aime la lingerie, ma chérie.

- Quelle bonne odeur, tu as du te caresser cette nuit, comme lorsque tu es seule, ou en galante compagnie, dit Honoré. D’ici cet après-midi, tu seras déflorée, ma belle. Tu es toute excitée. Svetlana amène-la à notre table, que les clients se délectent.

Les regards masculins me toisent. Je baisse les yeux, gênée, intimidée. Je déteste leurs regards. C’est un drôle de jeu, deux femmes pour un bel étalon.

- Je garde ton slip, ma belle, dit Honoré. Svetlana connaît mes principes : seins, fesses et jambes nues désormais, dessous à certaines occasions, porte-jarretelles et bas sous des robes ou jupes courtes, corsage transparent, fardée, parfumée, finis les pantalons, les shorts aussi. Tu dois être accessible à tout moment, ma belle. Svetlana me montrera comment te farder.

- Bien, Honoré, je me plie à vos exigences.

- Bien sûr, tu seras enculée un de ses jours, annonce Svetlana. C’est Honoré qui décide, ton œillet sera offert et ouvert à sa queue, selon un procédé spécial. Tu aimes les fessées, tu le seras pour tes punitions.

- Enculée, jamais, c’est… dis-je, gênée, embarrassée.

- C’est prévu dans le contrat qui nous lie. Tu as trois ans pour faire tes preuves, Shawn, dit Honoré. On obéit à mes ordres.

- Bien, Honoré, j’offre donc mon œillet à vos soins.

- C’est mieux. A ta chambre, Svetlana, tu la déshabilles, je la veux juste en porte-jarretelles et bas blancs, déchaussée, sur son lit, cuisses écartées.

A ma chambre, Svetlana me prépare, nue, après une longue douche lesbienne, où je jouis.

Je me suis poudrée sur le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Chantelle me met quelques gouttes d’un vaporisateur sur mes mamelons. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur rouge, comme aux grandes lèvres de ma chatte. Le parfum est longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.

Mes seins offrent les mamelons constamment tendus, par les glaçons. Mes mamelons et mon clitoris sont sous l’effet d’une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.

Je dois sucer un gode pour m’exercer, devant Svetlana, nue. Svetlana est intégralement épilée et aux reins tatoués « Chienne S de H ».

Puis elle m’enfonce dans mon œillet lubrifié par ma mouille abondante, un bijou d’anus de calibre de quatre centimètres. Il est froid.

Habillée, j’attends Honoré, dans la position choisie.

Je le suce, son trente-huit par huit. Je vais m’étouffer, le mouvement de sa bouche refermée et resserrée sur le mandrin que j’ai en bouche, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée. Je guette les gémissements, attentive à le caresser, avec un respect infini et la lenteur.

Puis il me défonce la chatte resserrée par le bijou d’anus, jusqu’aux testicules.

Allongée sur le dos, cuisses écartées, je me laisse remplir jusqu’au fond de ma chatte trempée, le clitoris tendu à l’extrême sous mes doigts et par l’excitation. Mes mamelons sont aussi durcis. Je ne ressens aucune douleur. Je connais mon premier orgasme avec un homme, c’est divin.

- Encore… Profondément, Maître.

Prise dans diverses positions, empalée de face, les jambes écartées, les jambes autour de ses reins, multipliant les râles de plaisir, jusqu’à l’ultime éjaculation.

- Tu en veux encore, ta chatte est bien chaude, maintenant.

Je m’offre empalée dos à lui, cuisses écartées, soulevée par les cuisses, pour une seconde éjaculation.

Je dois m’empaler sur Honoré, une nouvelle fois. Il me défonce jusqu’au fond de la chatte. Je connais un nouvel orgasme.

Pantelante après deux heures d’ébats torrides, je suce Honoré en 69, tandis que mon bijou d’anus est remplacé par un gode anal.

Nue, l’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Svetlana attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Svetlana les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.

Je suis enculée par cet infatigable étalon, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus par l’excitation sexuelle que je ressens.

Nous sortons en bord de mer. Je suis juste vêtue d’un tee-shirt blanc sur mes seins nus et d’une jupe très courte fleurie, pieds nus sur le sable, les cheveux libres, avec Honoré et Svetlana. Mon bassin ondule sur ce gode connecté à mon téléphone portable que garde Honoré, pour varier les vitesses et les vibrations.

Je me retiens de jouir sous ce nouveau plaisir.

Je dois le porter jusqu’au soir, avant d’être libérée, pour me soulager et porter le bijou d’anus.

- Tu vois, c’est une formalité. Il est gros, mais c’est pour que tu t’habitues à sa future queue, ma belle, dit Svetlana, nue à mes côtés, lors d’ébats lesbiens torrides devant Honoré, dans la chambre que partage Honoré et Svetlana.

La semaine se déroule ainsi, quelques heures de port du gode anal, ma chatte défoncée. Aimée et Svetlana partagent mon corps lors de nos trios lesbiens.

Dans mon appartement loué par Hermine, payé par Honoré, je vis désormais nue, sans rideau ni volets, portant le gode anal une fois par semaine, m’offrant de temps à autre, ma chatte à Honoré. Je suis présentée à ses amis, sans m’offrir sexuellement. Honoré me reverse une partie des droits d’auteur de « Les Aventures de S ».

Je participe à l’écriture d’un de ses nouveaux romans. Je dois rester nue des heures, dans son bureau, me caressant selon ses envies, le suçant ou me baisant, pour rendre réaliste les scènes du roman. S devient Soumise du Plaisir. Elle a mes traits physiques, mais des goûts sexuels inconnus à mes yeux.

 

 Pour mes 23 ans, Honoré m’invite au baptême d’un de ses Falcon 2000LX, « Pénélope Prudence Shawn », à la société de jets privés, dont je suis actionnaire, comme lui.

Je porte une robe de soirée bustier, noir, dos nu discret sur mes fesses nues, fendue sur les côtés du mollet jusqu’à la taille, pour montrer que je suis seins nus, fesses nues, des mules noires à talons de dix centimètres à mes pieds nus aux ongles vernis de rouge, coiffée d’un chignon, fardée, parfumée. Mes mamelons sont désormais constamment tendus tout comme mon gros clitoris comme une cerise. Je garde ma toison pubienne et ma chatte velue, selon les vœux d’Honoré.

Après le baptême au champagne, je suis entourée par Honoré, qui me présente à d’autres amis, pilotes, stewards, administratifs et à la direction. Mais c’est surtout Alban, de 25 ans, qui me séduit, c’est un superbe Adonis brun, musclé, un peu plus grand que moi, chéri de Svetlana.

- Tu ne connais pas Alban. C’est ma chérie Shawn. Celle qui s’offre au gode Adam.

- Oui, pas encore enculée, la belle, mais cela va arriver, dit Alban. La chatte est la propriété de Honoré. C’est lui qui décide, qui va te prendre. Tu sais sucer, alors tu me vas sucer, dans ton Falcon.

J’accepte, assise sur le divan, la jupe relevée, dénudant mes jambes. Je le suce, il a un trente-six par sept, j’avale tout comme me l’appris Svetlana. Il éjacule une seconde fois, caché par Honoré, qui nous a rejoint.

- Elle te plait, Alban.

- Oui, sa bouche est bien dressée. Son œillet doit être en feu, par le gode Adam.

- Oui, elle n’a qu’une hâte. Mais, je la réserve. Svetlana, combien de temps as-tu attendue pour ta première ?

- Deux ans, malgré mon envie, je ne regrette pas. Shawn doit saliver de jouir, enculée.

Je manque à m’étrangler.

On m’apporte un rafraîchissement.

Les caresses d’Alban, Honoré et Svetlana durent jusqu’au départ des invités.

Pantelante, je tente de m’éclipser, pour me soulager, avec mon bijou d’anus de calibre six centimètres.

Svetlana me rejoint.

- Tu plais à mon chéri et aux autres hommes. Tu as peut-être une chance dans l’année de te faire défoncer l’œillet par Honoré.

- Je suis trop impatiente. Cet étalon me fait jouir, à chaque fois que je le porte, mais non cadenassé, je me gode avec, sans son va-et-vient, sur une bonne longueur.

Ce n’est que vers 2 heures du matin, que je rejoins le lit que je partage avec Honoré, lors des rares séjours à sa résidence en région parisienne, non loin de l’aéroport. Svetlana doit s’absenter pour quelques jours, avec mon Falcon, pour faire la promotion. Honoré me garde près de lui.

 

Pour mon premier Noël et Jour de l’An, avec Honoré Victor, nous l’avons passé en amoureux dans un chalet en Suisse. Il m’a défoncé la chatte de nombreuses fois, j’ai perfectionné ma fellation et de temps à autre, Svetlana ou Aimée m’offrent des ébats à trio, dans des 69 torrides, où ma chatte est défoncée, le clitoris léché, tendu à l’extrême. Je fais du ski, nue sous ma combinaison, cela m’excite et je suis chaude au sauna, avec mon chéri.

Pour mes 24 ans, après un vol sur les diverses escales Françaises desservies par la société de jets privés, je retrouve avec Honoré, une galerie Parisienne pour une séance dédicace le soir même. La galerie abrite une collection de photos de nus sans visage, comme sur la couverture de « S Plaisirs Sexuels », dévoilant juste mes seins et mes fesses nues après le portrait seins nus pour « Les aventures de S » revue et d’autres chapitres rajoutés par ma main. Je ne sais si je reconnais reconnue à la galerie.

Il y a le directeur des Editions Lettres d’Eros, Pierre Edouard, un bel étalon brun musclé, 55 ans, bien monté et le directeur commercial, Charles Hubert, un très bel Adonis brun athlétique, 35 ans, bien monté aussi. Tous les invités me toisent, dans ma robe dos nu fuchsia, à jupe éventail, un simple voile de dentelle blanche couvre mes seins nus, une découpe dans mon dos dénude mes reins jusqu’à la naissance de mes fesses nues, des fentes sur les côtés, dévoilent mes jambes nues, cambrée sur mes mules blanches à talons de douze centimètres. Je maîtrise ma démarche désormais.

J’ai droit au baise-main, d’amis de Honoré. Je me partage la séance de dédicace. Nous prenons un cocktail, moi sans alcool, car je dois ramener Honoré à sa résidence. Les compliments me concernant sont galants. Peu savent que je suis la maîtresse et la nouvelle soumise de Honoré. Je porte mon bijou d’anus calibre six centimètres. J’ai hâte de recevoir une ou plusieurs queues pour m’enculer, en alternance, Honoré me baise et me laisse six mois avec le gode anal.

Vers 22 heures, je m’absente pour me soulager.

Mais Honoré m’invite à le faire aux toilettes pour hommes. J’obéis.

Là, je pisse debout, dans l’urinoir, la jupe relevée, l’anus libre et bien lubrifiée par ma mouille abondante.

J’entends des voix masculines.

- Il paraît que Shawn est un homme qui a écrit « Les Aventures ».

- Non, c’est une femme qui l’a écrit, dit l’autre. Voyons, un peu, Shawn nous attends.

Ils sont surpris par ma position, cuisses écartées, devant l’urinoir.

- Tu attends que l’on te défonce ton œillet, ma belle, dit Charles Hubert.

- Oui… J’ai hâte.

- Honoré sait faire attendre, mais ta chatte passe en premier, dit Pierre Edouard.

Je les suce, accroupie, cuisses écartées, comme me l’a appris Honoré. Les deux me baisent avec vigueur, en me faisant coulisser sur leurs mandrins respectifs de Charles trente-six par six et de Pierre trente-huit par huit. Ils éjaculent sur mes fesses.

Honoré arrive :

- Enculez-la, messieurs, c’est sa première fois avec de vraies queues. Ces gaines permettent de vous faire bander dans son œillet chaud.

La première sodomie est jouissive, mon clitoris est masturbé par des doigts experts, mes seins sont pelotés. Je fais éjaculer chacun dans mon anus.

La seconde et la troisième, réalisée par Honoré, m’achèvent par mes trois orgasmes anaux violents.

Je les nettoie, avant une remise en beauté. Ils ont tous filmés.

Je retourne, le bijou d’anus en place, à la galerie, admirer les photos.

- Cela te dirait de poser pour le photographe. Il n’est pas là, mais il aime beaucoup les beautés comme toi. Pour tes 25 ans, ce serait idéal.

Je vais réfléchir.

- Pour tes 25 ans, je te réserve d’autres surprises. Encore deux petites heures et nous rentrons, je vais passer la nuit à t’enculer et à te faire jouir.

- Oui, j’aime ce plaisir anal.

- Tu n’as pas encore tout découvert du plaisir sexuel, ma belle. Au fait, Charles Hubert m’a donné 1.000 sous forme d’espèces pour avoir perdu son pari. Il pensait que tu es était un homme pour Shawn.

Ce n’est pas grave. J’ai l’habitude.

 

Pour mon second Noël et Jour de l’An, dans le même chalet que l’année dernière, mais cette fois, je suis enculée par de nombreux maris venus avec leurs épouses, que je lèche, en offrant ma chatte et mon gros clitoris à leurs langues et à leurs bouches. Le sauna devient un lieu de plaisir. Je suis empalée, enculée par ces belles et grosses queues, offertes aux caresses lesbiennes. La douche devient un lieu de plaisir lesbien et anal.

14 juin avant mon 25e anniversaire, je me réveille avec le soleil, nue, de ma nuit à me goder l’anus et la chatte avec mon double gode similaire au gode anal avec les mêmes fonctions, en vue de futures doubles pénétrations.

Svetlana me rejoint vers 8 heures. Je sors de la douche, non fardée, rayonnante, après mon petit déjeuner. Je lis mes derniers messages de mes amants et de Honoré Victor. Désolé, il est retenu pour diverses réunions.

- Allez, ma belle, tu dois t’habiller. Tu es attendue. Voici ton billet d’avion et un mot de ton chéri.

- Je vais pas me prélasser nue, offerte à Honoré, aujourd’hui.

Le billet m’intrigue, sans destination finale mais un transfert en hélicoptère.

Je choisis une veste de tailleur blanc sur mes seins nus, une jupe éventail fuchsia, une fois fardée et parfumée, mes mules blanches à talons de douze centimètres, mes ongles de mes mains et de mes orteils sont vernis en rouge, je laisse mes cheveux libres. J’ai mis mon bijou d’anus dans mon sac à main, mon unique bagage, car toute ma garde-robe m’attend.

- Cela te va, ma chérie.

- Superbe, au fait, tu as le bonjour de Alexandre Hubert et de Brice Victor, tes pilotes favoris.

- Ils m’attendent. Vite, il faut les rejoindre.

Nous prenons la BMW cabriolet de Svetlana, garée au pied de mon immeuble, le long de la Seine.

- Mon anniversaire est demain. Pourquoi, aujourd’hui, ce départ.

- C’est une surprise. Caresse-moi, tu dois prête pour ton vol.

Assise, les fesses nues, cuisses écartées, mes mains se glissent entre mes cuisses humides, par mes masturbations de la douche, mes mamelons sont tendus sous le tissu de la veste. Svetlana me filme discrètement depuis son arrivée à mon appartement.

Nous arrivons à la base de la société d’avions privés. J’aperçois mon Falcon 2000, au bas noir et au sommet doré, une zone blanche pour « Pénélope Prudence Shawn » en doré, son immatriculation des Bahamas, finissant par SH.

Nous allons au salon VIP. Je croise Sacha, le patron de la société. Un bel étalon de 55 ans, brun, athlétique, que j’ai déjà sucé dans mon Falcon.

- Bon anniversaire, ma belle Miss Shawn, avec un peu d’avance. Désolé, je ne pourrais te rejoindre.

- Merci, Sacha, j’ai très envie de toi. Ce sera pour plus tard. Il me fait un long baiser langoureux comme je les aime et doigte ma chatte, taquinant mon clitoris tendu sans me faire jouir.

- Ma chérie, dans une demi-heure, nous embarquons. Voici, un rafraîchissement pour te faire patienter.

Je suis intriguée par ce manège. Je reste assise, observant les mouvements autour de mon Falcon. Le tapis rouge est déroulé pour les deux cent mètres à parcourir. Je suis frustrée de ne pas avoir joui.

« Embarquement du vol pour Miss Shawn porte A5, le Falcon et son équipage AH et BV et S vous attendent. »

Quelle superbe annonce, je suis sous le charme. Nous allons à la porte, les formalités sont accélérées, mon passeport est mis en lieu sûr.

Svetlana m’a discrètement caressée pendant la demi-heure, sans me faire jouir. Je mouille d’excitation.

Nous remontons le tapis rouge, avec une haie d’honneur des personnels présents, avec des bisous coquins par chacun.

Enfin, je monte à bord. J’embrasse mon équipage.

- Désolé, Natacha devait faire le vol en copilote. Elle est indisposée. Elle viendra te chercher au vol retour, dit AH. Mets-lui le masque de nuit, pour le vol.

- Oui, c’est une surprise.

J’accepte. Je me retrouve attachée au divan, sans ma jupe, la chatte exposée.

Pendant le court vol, je suis caressée, je suce et j’avale le sperme des pilotes.

Nous atterrissons. Nous stationnons non loin d’un Dauphin prêt à décoller.

Svetlana me remet ma jupe. La porte s’ouvre. J’entends le bruit de la mer.

- Nous sommes presque arrivée, ma chérie. Viens, on prend l’hélicoptère, en voiture, c’est trop long.

Je suis attachée à l’arrière du Dauphin, la jupe relevée, exhibant mes jambes nues au pilote.

Le Dauphin décolle. Svetlana me retire mon bandeau à mi-parcours.

C’est la Côte d’Azur, au loin, Monaco.

- C’est Monaco, ma chérie. J’ai vu des centaines de photos et de films.

- Oui, c’est ta surprise.

- Ma surprise, un séjour Monégasque. Honoré me gâte, après les vacances en Suisse.

- Miss Shawn, je suis Marc de Val, ton pilote pour ton séjour. Si tu souhaites faire un vol au-dessus de Monaco, je serais là.

L’homme est élégant, 35 ans.

Le Dauphin amorce un survol à haute altitude de Monaco. Je reconnais et cite les lieux survolés, comme si j’étais déjà venue.

Marc me complimente.

- Tu es Monégasque…

- Non, une beauté Danoise francophone, j’ai ma chatte à t’offrir, si tu me désires.

- Shawn, tu vas un peu fort, me rappelle Svetlana. Ton chéri…

- Oui, je suis mariée.

- Ce n’est pas grave, dit Marc. J’accepte ton invitation quand tu veux.

Arrivée à l’héliport, le vent des pales soulève ma jupe, dénudant mes fesses nues, je rabaisse ma jupe, mais trop tard. Le vent dénude partiellement mes seins nus sous ma veste.

Je fais forte impression à l’aérogare.

On me tend un de mes ouvrages que je dédicace.

Il est presque midi et j’ai très faim.

Une Ferrari F40 rouge nous attend, réservée, immatriculée à Monaco. Svetlana la conduit. J’attire les regards en regagnant la villa loué à une amie de Honoré, sur les hauteurs de Monaco.

La villa est étroitement surveillée par des caméras extérieures et intérieures, des vigiles. Nous montrons nos accès.

La villa est sur deux niveaux, avec une piscine intérieure et extérieure, des chambres à l’étage et des pièces pour le sport, un sauna, un spa, de grandes salles bains avec douche, spa et coiffeuse, des pièces pour les garde-robe.

Je suis accueillie par Horace, le majordome, de 45 ans, bien monté, un Africain noir, Albane, la soubrette en tenue, aux seins plantureux, de 30 ans, en mules à hauts talons, les cheveux courts blonds. La Ferrari F8 rouge immatriculée à Saint-Marin est stationnée.

- Quelle beauté, dit un superbe Adonis de 30 ans, brun, musclé, athlétique, Honoré a bon goût. Je suis le Marquis DS de Bon Plaisir, ton représentant des Editions Lettres d’Eros sur Monaco. Tu fais tourner la tête des hommes. Ton chéri est retenu. Il sera là, demain. Viens te restaurer, Albane, apporte de quoi nourrir cette beauté et toi Svetlana, tu es encore plus resplendissante que lors de ta dernière venue pour « Sévices Sexuels pour Agent 069 », il y a déjà deux ans. Ta beauté est anale, je présume. Va te déshabiller, tu vas te relaxer à la piscine.

J’obéis.

- Quelles belles fesses, j’adore.

Il me drague. Je rêve, le loup n’est pas là.

- T’en fais pas, j’ai l’habitude, dit Svetlana.

- Ce Marquis est un titre d’opérette.

- Désolé, c’est son titre officiel, ma chérie. Tu es resplendissante, nue. Allons manger.

Le déjeuner se passe par des jeux de regards coquins sur mon visage, ma bouche, mes doigts avec ma bague sertie d’un anneau à mon annulaire gauche, que je porte depuis ma première rencontre avec Honoré, mes yeux dans de multiples va-et-vient, puis mes seins. Svetlana a un grain de beauté au-dessus de son mamelon gauche.

Je m’allonge sur la chaise longue, cuisses écartées, sur le ventre, sous la verrière, pour qu’il voit mes fesses et ma chatte et surtout mon anus rempli par mon bijou d’anus.

- Tu es une sacrée jouisseuse anale, ma belle.

- Oui, depuis…

- Je sais, PE et CH sont des adeptes pour déflorer l’anus des jeunes femmes soumises à Honoré. Je pense que ma queue va te plaire. Ma chérie va nous rejoindre. Albane présente tes atouts à Miss Shawn.

Albane dévoile un superbe mandrin de quarante pour neuf sous sa tenue de soubrette. C’est un transsexuel. Une première pour moi, je la suce.

Le Marquis m’offre un trente-huit par six.

Albane m’encule la première, jusqu’aux testicules, me fessant, taquinant mon clitoris tendu à l’extrême. Je fais de mon mieux pour ne faire jouir trop vite Albane.

- Quel œillet, tu possèdes, tu sais, tu es bien élargie.

- Oui, c’est Adam. Pine-moi à fond.

- Cambre-toi, empale-toi sur ma queue.

Mes râles de plaisir envahissent la pièce, avec un écho par la télévision, diffusant la scène en direct.

Le Marquis m’encule dans la foulée, puis Horace avec son quarante-deux par neuf. Je m’offre, l’anus dilaté, rempli de leurs spermes chauds, ainsi que sur mes fesses rougies par les fessées, cravachée par le Marquis.

Pantelante, je me glisse dans l’eau de la piscine, avec mon bijou d‘anus, pour conserver leurs spermes. Svetlana me rejoint nue. Nos ébats lesbiens excitent nos amants.

Après une bonne demi-heure de quelques longueurs, une bonne douche lesbienne nous excite, caresse mutuelle et baisers langoureux s’enchaînent. Je jouis ainsi que Svetlana.

Une invitée nous a rejoint, c’est Anne Charlotte, une beauté brune aux longs cheveux jusqu’aux fesses, en chemisier blanc et jupe noire largement fendue sur sa jambe gauche, en sandales à hauts talons, les cheveux nattés.

Nue, elle nous rejoint.

- Tu es très excitante, ta nouvelle chérie, Marquis. Ici, on partage tout, ton œillet, ta chatte, ta bouche. Quelle beauté, anciennement vierge, mais le choix d’Honoré est sublime. Tu mouilles sous mes doigts. Appelle AC pour Anale Chaleur. Trois doigts dans ton œillet, quelle souplesse, tu jouis en plus. Le Marquis t’a bien prise, ma belle chienne. Tu fais ta pute anale.

- Oui…

- Tu m’appelles Maîtresse, Honoré est ton Maître, tout comme les hommes qui vont te prendre à Monaco. Tu gardes toujours les yeux baissés vers les hommes, pour regarder leurs queues, les sucer et tu ouvres ta bouche pour gémir ou hurler ton plaisir sous la cravache.

- Elle mouille sous la cravache, ma chérie.

- La soumise maso me plait, dit AC. Albane, Horace, Marquis enculez-la encore une bonne heure, dans sa chambre, après sa douche lesbienne en ma compagnie.

AC me caresse longuement, me doigte l’anus pour qu’il soit propre avec la poire de lavement remplie d’eau froide. Elle m’offre un 90C.

Je m’offre à quatre pattes, allongée sur le ventre, empalée de face et de dos, enculée jusqu’aux testicules, l’anus rempli de leurs abondantes giclées. Svetlana me filme. Ma bouche dégouline de spermes que je peine à avaler, mais je fais de mon mieux.

- Tu vois, quand tu veux, les DP seront pour plus tard. Je vais te cravacher les fesses et les cuisses, pour ta sieste.

- Pinez-moi encore.

- Cela suffit, pour l’instant. Tu es devenue accro à l’anal, ma belle. Il faut se modérer.

Je me repose, cravache, cuisses écartées, prosternée, comptant les coups.

Mes fesses sont brûlantes, douloureuses, quand je m’assois, cuisses écartées, les yeux baissés devant AC.

- J’espère que tu as retenue la leçon, Miss Shawn. Honoré exige un respect des règles.

- Oui, Maîtresse…

- Repose-toi. A 18 heures, tu te douches, te farde, te parfume et tu vas au casino pour 20 heures, avec Svetlana. Voici tes carcans de cuir, pour te punir, tu restes nue ici tout le temps.

J’ai droit à un collier de cuir fait en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets à mes poignets et à mes chevilles, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.

Vers 18 heures, je me douche avec mes carcans de cuir, que l'eau durcit, et qui me serrent davantage, me farde, me parfume.

AC me retire mes carcans et je revêts ma robe au décolleté en V profond, de dénudant mon dos jusqu’aux fesses jusqu’à leur naissance, blanche, moulant mes seins aux mamelons tendus à l’extrême, mes fesses. Je mouille d’excitation. Je chausse des sandales blanches à talons de huit centimètres, mes ongles toujours vernis de rouge, coiffée d’un chignon. Svetlana porte la même robe, mais en noir. Je prends juste mon sac à main.

Une limousine nous dépose devant le Casino.

Nous entrons par une entrée privée, à la demande d’Honoré. Je suis fouillée, palpée, je suis excitée. Je baisse les yeux devant les hommes.

Nous jouons, moi aux dés et Svetlana aux cartes. Je suis chanceuse, mais je me retire après une dizaine de tours, avec une belle somme. Svetlana a moins de chance que moi, mais deux élégantes dames nous repèrent et nous font venir auprès de la table de roulette.

Une grande brune aux cheveux longs, en robe bustier rouge, fendue sur le côté gauche, et une petite brune aux cheveux mi-longs, en robe de soirée noire, toutes les deux ont les cheveux libres.

- Approche, Shawn, dit la grande, je suis Lady V, une amie très proche d’Honoré et d’Hermine. C’est toi la dernière conquête de Honoré, après Svetlana. Il a toujours autant de goût. Une maso soumise, élégante, un peu capricieuse et chienne, pute anale, le must sur le Rocher, ces mots te définissent bien, mon ancienne gouine. Princesse, tu es du même avis pour cette soumise.

- Oui, elle est très élégante. Son physique est parfait, les vidéos te montrent baisée et enculée. Une DP te ferait beaucoup de bien.

- Je suis toute à votre disposition, dis-je.

- Appelle-nous Maîtresses, Svetlana a l’habitude. Tu as choisi une élégante  cavalière pour le Casino, dit Lady V.

- Oui, Honoré ne se trompe pas, dit Svetlana.

Nous allons dans une pièce sécurisée, pour un jeu de cartes sur écran. Je gagne trois des six parties. Mes gains sont doublés et Lady V y ajoute un supplément lors de la remise de mes gains au croupier.

- Faites lui un virement sur son compte, via celui d’Honoré.

- Bien madame, votre suite vous attend à votre hôtel, Lady V, dit le croupier.

- Très bien, il est déjà 22 heures. Nous allons nous restaurer dans la suite, ma belle.

Nous allons à l’hôtel non loin du Casino, Hôtel de Paris, sous bonne escorte, de deux jeunes gardes du corps féminins, très élégantes.

Nous montons à l’étage des suites. Le groom me toise.

- Elle sera pour toi, tout à l’heure, mon Brice. Le double gode ne sera pas assez suffisant, une belle queue la fera jouir, après la cravache, dit Lady V.

Dans la suite, nous prenons une douche à deux, à tour de rôle.

- Quelle douceur, cette chatte velue, ta toison est bien entretenue, ma belle, dit Lady V. Svetlana est intégralement épilée. Tu peux être ferrée naturellement.

Lady V m’exhibe un slip, celui de Normandie, lors de mes 22 ans. Lady V offre un 92C.

- Tu sens très bon. Il a gardé ton odeur depuis que je le conserve précieusement. Désolé, tu ne peux pas le mettre.

- J’aime m’exhiber nue, Maîtresse, être prise n’importe où.

- Je le sais. Allons dans ma chambre, je vais te prendre en double avec ces doubles godes Adam et Lancelot. C’est ta première double avec des godes, les queues se seront prochainement. AC t’a bien cravachée.

- Oui, c’est AC…

- Tu ouvres ta bouche quand je t’y autorise. Suce ses godes, ma chienne et mets-toi ensuite à quatre pattes.

Je me retiens de jouir, le clitoris léché par Svetlana, tandis que je lèche celui de la princesse, qui a juste la chatte épilée et un superbe 90C.

Nous échangeons les rôles, je dois porter le gode ceinture avec les deux godes, pour le même jeu, tout en étant enculée par l’une d’elle.

 

15 juin

Pantelante, vers minuit, je m’allonge sur le dos, cuisses écartées, pour une ultime double.

- Joyeux anniversaire, Shawn, me murmure Lady V, qui me pelote les seins.

- Merci…

- Prends-la encore à fond, Svetlana, elle est libre de jouir maintenant. Brice va t’enculer, ma belle. Reste allongée sur le dos. Tu es bien ouverte.

Brice est un séduisant brun de 30 ans, nu, le mandrin en érection, je dois le sucer, à mes côtés.

- Regarde comme elle suce bien, un trente-six par huit, te fera un grand bien. Il bande. Encule-la.

Un coussin sous les fesses, je suis enculée, allongée sur le dos, les cuisses complètement ouvertes, tenue par les chevilles, sauvagement et profondément jusqu’aux testicules.

Puis il m’encule après une première éjaculation, allongée sur le ventre, cuisses écartées, les hanches enserrées. J’agite ma croupe pour une seconde éjaculation. Je dois m’offrir à quatre pattes pour une troisième, enfin, il m’achève, assise entre ses cuisses, pour une quatrième. Je suis pantelante, rassasiée, nourrie de son sperme, en le nettoyant.

Je me dirige vers la grande salle de bains, tenue par la taille par Brice. Il me douche longuement, me fait encore jouir, l’anus inondé d’eau froide par la canule fixée au robinet.

- Elle est propre, va faire un tour au balcon, te rafraîchir. Il est deux heures du matin. Tu vas te reposer un peu, tu t’en vas à huit heures avec Svetlana.

- Bien, Maîtresse, j’ai encore envie…

- Plus tard, ton œillet et ta chatte ont besoin d’un peu de repos.

Je m’endors nue, enlacée dans les bras de Svetlana, les mains entre nos cuisses.

Vers 8 heures, j’émerge, avec un petit déjeuner au lit. Svetlana m’a apporté ma tenue pour le retour à la villa. Les robes sont retournées chez le couturier sur l’avenue d’Ostende.

Je revêts un chemisier blanc sur mes seins nus mis en valeur par un corset seins nus en dentelle transparente blanche, une jupe éventail noire et des sandales blanches à talons de douze centimètres, avec mon bijou d’anus calibre six centimètres. Je me fais une queue-de-cheval, fardée, parfumée.

- Tu es très belle, ma chienne, dit Lady V. Honoré t’attends à la villa avec Svetlana.

Arrivée à la villa, avec la limousine, qui nous dépose devant, Honoré m’accueille.

- Enfin, te voilà, ma belle chienne, tu t’abandonnes rapidement à l’échangisme, enculée à tout va, gouine. Tu es manque de ma queue, ma belle.

- Oui, Maître…

- Svetlana t’a bien éduquée. Tu vas remettre tes carcans de cuir et tu restes nue, jusqu’à notre départ au restaurant sur l’avenue Princesse Grace. Des amis t’attendent. Je vais te cravacher les fesses et les cuisses pour ta punition. Tu avais interdiction de t’offrir au Marquis en mon absence. Tu dois tout me raconter en détail comment tu as pris du plaisir en présence du Marquis et des autres invités.

J’obéis, les coups de cravache cinglent mes fesses que je tends penchée en avant, sous la douche, les bras tendus, menottée à un crochet dans la douche, sur la pointe des pieds, les cheveux libres.

- Tu mouilles, cela t’excite. Ton clitoris est gros comme une cerise. Brice t’a enculée aussi.

- Oui, Maître…

- Continue à me raconter en détail, tu pourras me sucer ensuite.

J’arrive à vingt coups sur mes fesses et presque autant sur mes cuisses, le devant, l’arrière et  même l’intérieur et deux coups sur ma chatte.

L’eau froide ruisselle sur mon corps. Je manque à m’évanouir. Honoré marque une pause et m’encule sauvagement, l’anus libre, éjaculant sur mes fesses.

Vers 9 heures, libre, pantelante, je dois le sucer, accroupie, cuisses écartées.

- Tu es docile. Tu as compris ta punition. Va te caresser seule dans ta chambre, je vais te regarder.

J’ai du mal à m’asseoir, mais ma chatte ruisselle, je suis encore excitée jusqu’à un double orgasme, en me caressant, doigtant mon anus.

Je regarde mon téléphone portable, contenant des vidéos de moi, prise la veille, à l’hôtel et des messages de Lady V, AC, le Marquis et Marc qui cherche à me revoir. Le plus mystérieux :

« Prudence la gouine, je sais que tu es à Monaco. La gouine du lycée, si tu aimes le sexe maintenant, laisse-moi te baiser et t’enculer. S ton chéri. »

Honoré découvre le message comme moi.

- Qui est ce S, Shawn, tu me dois des explications ?

- Un amant ou un ancien lycéen, je ne me souviens pas de son prénom.

- Va te baigner, puis tu te prépares, il est 11 heures.

Honoré m’encule sauvagement et je dois le sucer, à la sortie de la piscine, devant Svetlana. Je m’habille d’une robe bustier estivale seins nus, avec une jupe longue, fendue sur ma jambe gauche dénudée, mon sein droit est entièrement dénudé, l’autre est recouvert par un voile de dentelle blanche. On devine que je suis seins, fesses et jambes par le soleil, malgré la couleur noire. Des mules noires à petits talons complètent ma tenue, je garde mes cheveux libres. Un boléro cache mes seins nus. Honoré me retire mes bracelets mais me laisse mon collier de cuir.

Honoré me fait monter à bord d’une BMW cabriolet de location. Je dois dénuder mes jambes pour m’asseoir, cuisses écartées.

Mes lunettes de soleil cachent mes yeux fatigués de ma courte nuit.

Arrivés au restaurant, j’allume les regards. Je baisse les yeux, tenue par la main par Honoré.

A la table, en bord de mer, je suis en compagnie de six hommes dont Honoré, le Marquis et quatre hommes entre 30 et 55 ans, des amis d’Honoré. Chacun me toise, me questionne sur mes passions autre que le sexe. Surtout Sir Hubert, un aristocrate Britannique qui vit depuis longtemps à Monaco, s’intéresse à mon prénom Shawn.

- C’est un prénom britannique, ma belle. Cela vous va très bien. Honoré m’a tout raconté sur vos ébats lesbiens avant de devenir une bisexuelle soumise. J’ai hâte de vous prendre, enculée de préférence.

Puis une mystérieuse voix masculine me murmure à l’oreille :

- La gouine est devenue une Lady. Tu fais ta pute, il paraît. C’est moi, ton Sven.

Je me retourne. Un élégant brun musclé de 30 ans, en costume, me regarde. Je baisse les yeux, je suis prête à le gifler.

- Désolé, monsieur Sven, cette dame est réservée.

- Non, Shawn m’appartient. Tu te souviens des caresses sur ton corps au lycée, dans les toilettes.

Vas-y, révèle ma vie intime.

- C’est une authentique gouine, messieurs. Elle n’a jamais couchée avec un vrai étalon, non, ce sont ses godes et ses fantasmes de beaux Adonis qui la font jouir.

- Veuillez, nous laisser, dit Sir Stephen. Quittez le restaurant.

- Je t’attends dehors, Shawn la pute anale et surtout tu es devenue une vraie chienne.

Je suis au bord des larmes, en colère.

Sir Stephen me conduit aux toilettes pour me soulager et me refaire mon maquillage.

- Quel manque de respect sur une superbe Lady, il faut le corriger. Honoré va s’en occuper, Shawn.

Je m’effondre en larmes, enlacée dans ses bras. Je me remets de mes émotions, nous prenons le dessert et le café.

A la sortie du restaurant, Sven m’attend.

- Viens, ma belle, nous allons marcher sur la plage, tu me tiens la main.

Je refuse. Je marche seule, pieds nus dans le sable, devant mes invités, Sven me surveille de loin.

Nous quittons nos invités par de longs baisers langoureux sur ma bouche.

- Tu fais ta pute, Shawn. Fais attention à toi.

- Sven, vous cessez d’importuner ma chérie. Nous allons à la villa, régler ce problème. Shawn qui monte à l’arrière, qui exhibe ta chatte au rétroviseur, que Sven se rince l’œil, pervers sadique.

Vers 14 heures, nous rentrons à la villa.

Je me déshabille, je porte mes carcans et je descends nue, fardée, parfumée après une rapide douche.

Sven apprend à sucer Honoré, tout en étant enculé par Albane, c’est une première pour lui. Je suis aux anges, comme dans les films que je regardais dans mon adolescence.

- Caresse-toi, ma belle. Tu ne seras pas punie, c’est Sven qui l’est.

- Oui, mon chéri, je vais me faire jouir, en caressant mon clitoris très tendu, ma chatte humide et surtout mon œillet pour ta queue.

Assise, cuisses écartées, sur le fauteuil, j’atteins rapidement l’orgasme, expulsant un long jet de mouille mêlé à ma pisse par l’excitation.

- Sven, lèche ce dépôt, lopette.

- Non…

- Tu obéis, Albane, continue à la prendre, Horace prendra le relais.

Sven obéit et je veille à ce qu’il reste loin de ma chatte.

- Baisse les yeux, devant moi, Sven, je suis ta Maîtresse Sévices.

Puis Honoré m’encule, allongée sur le ventre, sur la chaise longue près de la piscine, avant que je fasse quelques longueurs avec mon bijou d’anus, mon anus rempli de son sperme chaud. Sven nettoie Albane, comme il l’a fait avec Honoré.

Vers 16 heures, Sven est remis à un couple, menotté avec des carcans de cuir, aveuglé sous un masque de nuit, avec un harnais de chasteté anal, nu, dans le coffre d’une luxueuse limousine monégasque.

- Tu as aimé la punition à Sven, ma chérie. Va te doucher.

- Oui, Maître, il a eu ce qu’il mérite. On ne dévoile ma vie intime comme ceci.

- Tu as raison. Ta vie doit rester privée.

Mes invités du restaurant me prennent en double pénétration comme prévu, je suce ceux qui me baisent et m’enculent et avalent lorsqu’ils éjaculent dans ma bouche.

Une vidéo est diffusée avec le dressage de Sven, qui plait aux invités. J’assiste à des ébats entre hommes, avec Albane et Horace, je suce ceux qui se font enculer, jusqu’à l’éjaculation en bouche. Mon anus et ma chatte débordent du surplus.

Vers 21 heures, après une douche avec deux de mes amants, qui me lavent et me caressent, pour me faire encore jouir, nous prenons le souper. Je suis assise à tour de rôle, entre les cuisses de chacun, caressée et enculée simultanément, partageant leurs plats. Svetlana est en voyage pour deux jours.

Après deux heures de sodomies intenses, mon anus dégouline du surplus de sperme, je suis pantelante et heureuse.

- Va te doucher, ma chérie. Tu peux te reposer pour ce soir. Tu as aimée ton cadeau d’anniversaire.

- Merci, Maître et à tous les invités, je vais me doucher. L’un de vous vient me laver. Je suis encore chaude.

- Toi, Shawn la maso, tu n’es pas encore rassasiée de sexe, dans ta bouche, ton écrin et ton œillet de soumise, dit le Marquis. Repose-toi. Demain, on se revoit, ma chérie.

Vers 23 heures, tous m’embrassent langoureusement sous la douche, en me lavant avec une grosse éponge et je suis rincée à l’eau froide, tout comme mon anus.

Je m’allonge sur le lit, menottée à mon lit, les mains jointes à mon cou, une barre d’écartement en place, le gode Adam en place pour m’enculer pour la nuit. Je connais de nombreux orgasmes anaux de plus en plus violents. Ces DP m’ont mis dans un tel état. Honoré vient me voir de temps à autre, je le suce uniquement. Ainsi je peux me soulager la nuit.

 

16 juin

Malgré la fatigue due à mes orgasmes, j’émerge au lever du soleil, car la chambre n’a ni volets ni rideaux. Je me douche difficilement.

Horace m’apporte mon petit déjeuner. Il me libère mes poignets et mes chevilles, devant Honoré.

- Il est 8 heures, tu te prépares, exceptionnellement tu portes un pantalon pour ton rendez-vous au musée de l’automobile, puis chez le couturier avenue d’Ostende et pour l’après-midi on avisera, après un restaurant sur le boulevard Albert 1er et une visite sur les quais Antoine 1er et Albert 1er.

- Tu me gâtes. Tu ne me cravache pas ce matin.

- Non, tu es très docile sous le soleil Monégasque. Marc souhaite te rencontrer et te prendre, t’enculer en somme.

- Merci, Maître, je vais me doucher, me préparer.

Albane me farde, me parfume, sans mes carcans de cuir.

- Tu es une sacrée chanceuse, un mal éduqué enculé par ton chéri et d’autres hommes, le Marquis, le célèbre Sir Stephen et maintenant Olympe, la chérie de Dan, un des responsables du Casino. Au fait, Horace a son frère César qui travaille au Palais Princier. Tu pourras le visiter.

J’embrasse langoureusement Albane, que je suce ensuite pour la faire éjaculer dans ma bouche.

Je mets un corset seins noir sous ma veste de tailleur et mon pantalon ample, assorti blanc, dénudant mes chevilles, avec mes sandales blanches à talons de huit centimètres, les cheveux libres. Je plais à Honoré.

Une Jaguar cabriolet vient me chercher, conduite par Olympe, en personne. C’est une grande blonde, en tailleur pantalon fuchsia, sur un chemisier blanc, aux longs cheveux nattés.

- Tu es sublime, Shawn ou Prudence, j’hésite.

- Ma chérie, c’est Shawn pour les intimes. Tu es sublime en bikini.

- Toi, nue, tu es séduisante, mon chéri rêve de te prendre, anal ou DP avec moi.

- On verra.

- Le hall Formule 1 t’est entièrement réservé. Je fais mon nécessaire pour que tu sois aux premières loges au prochain grand prix, tu viens avec qui tu veux.

- D’accord, j’en suis toute excitée.

Je détaille les performances de la Jaguar, comme une professionnelle, ce qui étonne Olympe.

 Arrivées au musée, nous sommes escortées par de superbes vigiles, qui me toisent. Je baisse les yeux.

- Ne fais pas ta coquine, mes vigiles aiment voir de superbes yeux verts de ma chérie.

J’obéis.

Olympe me fait de discrètes caresses sous ma veste et glisse une de ses mains dans mon pantalon. Je mouille abondamment, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus.

Je complète mes connaissances sur les fiches des Formule 1, filmée par le téléphone portable d’Olympe, envoyé en direct à ses amis, qui sont ceux d’Honoré.

- C’était Shawn et les Formule 1 en direct du musée de l’automobile. On se retrouve sur les quais, si vous souhaitez nous rencontrer, annonce fièrement Olympe.

- Viens, ma belle, allons aux toilettes.

Seules toutes les deux, Olympe dénude ses seins, des petits seins comme les miens.

- Les tiens sont superbes, ma chérie, embrasse-moi et baisse ton pantalon, pour m’offrir ta chatte.

Les caresses de mon clitoris et le doigté de ma chatte me font rapidement jouir.

- Ecarte tes fesses, Xavier va t’enculer ici.

J’obéis, nue, le pantalon baissé. Je sens un mandrin de trente-six par huit m’enculer à sec. Il me fesse, ainsi qu’Olympe.

- Elle aime ça. Elle est super chaude, dit Xavier.

- Oui, pine-moi l’œillet. J’ai très envie. Très belle queue, j’aime.

- Elle n’est pas difficile, dit Olympe, en m’embrassant sur le clitoris.

Il éjacule sur mes fesses et je le nettoie, accroupie, cuisses écartées.

- Xavier est l’ami de Dan, deux bisexuels. Dan a le même calibre. Tu es bien ouverte. Remets ton bijou d’anus, rhabille-toi, refais-toi une beauté, nous allons voir Charlie O, ton couturier. Une voiture coupée nous attend.

Xavier est un superbe Apollon brun, musclé, athlétique de 28 ans.

- Tu me plais, ma belle, dit Xavier, en me caressant une ultime fois ma chatte et pelotant mes seins.

- A bientôt, Xavier, je dois aller avec Olympe.

Vers 10 heures, nous rejoignons l’avenue d’Ostende.

L’anus en feu, j’ai hâte d’être encore enculée.

Dans une des boutiques de l’avenue d’Ostende, après que la voiture coupée qui nous a conduit depuis le musée soit stationnée non loin de l’avenue, nous entrons chez le couturier Charlie O.

Charlie O est le sosie de Honoré Victor, c’est son frère âgé de 45 ans, barbu et chauve.

- Quelle beauté, Shawn, Pénélope ou Prudence, ma chérie, tu fais partie désormais de mes fidèles clientes comme Olympe. Déshabille-toi, que je vois ce superbe corps nu, ta toison et surtout ce regard vert que tu me caches en baissant tes yeux, ne fais pas ta timide.

J’obéis.

- Tu vois, ces hanches, ces fesses musclées, mon Charlie, elle te plait. C’est le modèle parfait.

- Oui, elle mouille, son œillet est en feu, dit Charlie. Chantelle, ma nièce de 18 ans, sera ravie de te rencontrer. Elle a besoin d’une compagnie pour visiter le Palais Princier.

Devant un grand miroir, je fais plusieurs essayages de robes estivales, d’ensembles seins nus, discrètement fendus devant, derrière et sur les côtés, sans les porter. Nous choisissons les couleurs, les coiffures, les chaussures. J’ai très envie de Charlie.

La séance dure une bonne heure, avec des mensurations de mon corps, pour ajuster la robe que j’ai portée au Casino.

- Tiens, ces trois ensembles sont offerts avec une remise. Tu vas me sucer et je t’encule ensuite. Ils sont envoyés à ta villa.

J’accepte. Il possède le même calibre qu’Honoré. Je tente de retarder mon orgasme, mais il connaît comment me faire jouir. Il éjacule dans ma bouche. Je me refais une beauté, vêtue d’une robe à corselet seins nus avec une jupe éventail noire, avec un boléro assorti fermé au cou, portée avec mes sandales blanches. Je garde le sperme de Charlie avec mon bijou d’anus remis en place.

Nous descendons à pied jusqu’aux quais.

Je remarque la présence d’un superbe yacht de cent mètres, noir, qui me rappelle un de ceux lors de mes vacances à 18 ans à Fuerteventura, avec deux amies Espagnoles.

Nous approchons du yacht sur le quai Antoine 1er.

Le capitaine m’invite à monter à bord. Marc nous a rejoint, en tenue élégante.

- Tu es resplendissante. J’aime tes superbes fesses. Tout le monde les a vu, à ton atterrissage à l’héliport. Tu te promènes souvent les fesses nues. Ta chatte velue m’excite.

- Oui, j’aime avoir les fesses nues, c’est plus pratique.

- Oui, quand tu te fais prendre, pas de slip ni de string, pour Miss Shawn.

- Miss Shawn, montez m’annonce une élégante hôtesse orientale de 28 ans, Jasmine, en tailleur et jupe blanche, pieds nus, le capitaine Sir Donatien vous attend avec vos amis.

Je me déchausse et pose mes sandales dans un casier à mon prénom.

- Superbes pieds aux ongles vernis, quelle beauté, Sir Donatien ne s’est pas trompée sur toi, dit Jasmine.

Nous montons au pont principal, après une courte visite de la zone de sport, avec planche à voile, jet-ski, matériel de plongée.

- Ma chère Shawn, cela fait longtemps. Le simple steward est devenu le capitaine du Plaisir de Mykonos rebaptisé H S Pénélope, en ton honneur.

Le capitaine est un bel Adonis de 45 ans, brun, moustachu, musclé, athlétique.

Il me fait le baisemain.

- Tu as droit à ta suite, si tu souhaites passer quelques heures en mer à son bord. Marc, notre Ecureuil est en entretien chez vous. Le Dauphin pourra faire quels posés de certification, pour notre propriétaire, Sir Stephen. J’aime caresser les superbes fesses comme les tiennes. Tu es bisexuelle désormais.

- Oui, Sir, j’aime tout autant les sublimes femmes que les Adonis comme toi.

- Je te prendrai le temps venu, te cravacherai tes fesses, tu me suceras, ma belle.

Je suis aux anges, Marc est un peu jaloux, Olympe filme le tout.

Après une collation, nous continuons la visite du yacht de la passerelle jusqu’aux chambres, aux diverses pièces, dont un discret coin pour bronzer nue sans se faire remarquer.

Je m’exécute, pour l’essayer.

- Quelle toison, ne t’épile pas, ma belle, tu es très excitante.

Nous quittons le yacht vers 11 heures.

- Tu as fais un sacré effet, avec ton Donatien, ma chérie, dit Olympe jalouse. Honoré le sait.

- Tu es jalouse, Honoré sait que je suis une beauté facile, car les hommes me désirent et me cravachent, pour ma docilité.

Au restaurant, je suis assise face à Honoré, Marc à côté d’Honoré, Olympe à mes côtés et Lady Orchidée, un superbe transsexuel blond aux seins plantureux, 95C, qui me toise, c’est une amie d’Albane.

- Honoré, tu sais que ta chérie s’est faite Xavier, draguée par Donatien et Charlie. Elle est une pute, pour se faire prendre comme bon lui semble, dit Olympe.

- Olympe, ma chérie a été éduquée pour donner le plaisir qu’elle exige pour elle et que les hommes lui donnent, dit Honoré. Regarde sa bouche, ses fesses et surtout ses yeux baissés, elle est docile.

- Oui, Maître…

Après le déjeuner, Olympe repart au musée, accompagnée par Marc. Je reste avec le duo.

- Olympe est jalouse, mon chéri. Elle ne connaît pas le dressage que j’ai subi entre tes mains. Xavier m’a bien fait jouir, mais aussi Charlie. Tu le sais.

- Oui, j’ai vu les vidéos. Tu es resplendissante. Allons marcher un peu, l’air frais te fera un grand bien. Tu feras le tour du circuit en voiture sportive et tu rejoins le Palais Princier, en tailleur jupe strict. Ta tenue t’attends non loin du Palais Princier. Chantelle t’attend aussi. Fais attention à tes paroles, avec cette demoiselle de 18 ans.

- Bien sûr, je serais discrète sur ma vie privée.

Il m’embrasse langoureusement, les mains sous mon boléro et sous ma jupe de façon discrète.

J’ai droit à mon tour de circuit du Grand Prix de F1 à bord d’une voiture sportive, les cheveux au vent, avec mon chevalier servant Xavier. Il me dépose non loin à l’avenue des Pins, où je peux me changer. Ma tenue est remise à Xavier qui la ramène à ma villa.

Je fais sensation dans mon tailleur jupe droite rose sur mes bas blancs, tenus par un porte-jarretelles blancs, mon chemisier blanc sur mes seins nus, mes escarpins blancs à talons de huit centimètres, coiffée d’un chignon.

Au Palais princier, je suis attendue par une élégante brune dans le même tailleur jupe que moi, mais blanc, en sandales à petits talons, de 35 ans, les cheveux courts et Chantelle, une blonde aux seins plantureux, aux cheveux tressés jusqu’au milieu du dos, en chemisier blanc et jupe mi-longue rose, en escarpins blancs à petits talons.

- Enfin, tu arrives. Tu as fait ta belle, Shawn la pute, annonce Chantelle.

- Miss Shawn, je suis Claire Estelle, votre guide. Enchantée de vous rencontrer.

- Chantelle, on réglera le problème avec ton père. Quel accueil, tu t’occupes de ta vie et moi de la mienne.

En chemin, escortées par des carabiniers, Chantelle annonce :

- Ton chéri te prend dans ta bouche, te prend dans ton œillet, te punit, tu es très désirée.

- Désolé, Chantelle, je suis une femme qui fait l’amour avec qui je veux. Tu es naïve.

- Je vous la fais ramener chez son père, dit un galant carabinier.

- Faites, elle sera punie par lui. Continuons la visite.

La guide m’apprend que je peux devenir Monégasque par une procédure autorisée par Honoré. Je vais y réfléchir.

A la fin de la visite, je suis gentiment ramenée par Astrid, à bord d’une limousine jusqu’à la villa. Astrid est une beauté blonde Norvégienne, aux cheveux mi-longs, aux petits seins, de 28 ans, une des soumises d’Honoré.

A la villa, je retrouve Honoré.

- Tu as quartier libre jusqu’à demain 16 heures. Déshabille-toi, pas besoin de tes carcans. Astrid, déshabille-toi, faites l’amour entre vous. Je vous observe.

- J’ai envie…

- Je te prendrai le moment venu. Marc doit passer prochainement. Il est très amoureux de toi.

- Je t’appartiens et je suis à ta disposition. Il me drague, c’est normal. Svetlana est encore retenue. Mon Falcon en panne, perturbe les autres vols, fait le nécessaire.

- Désolé, il devra rester au sol jusqu’au 22 juin, au moins. Alban et son équipe s’en occupent, même nos fournisseurs sont présents.

Astrid, nue, dévoile son pubis velu, mais une chatte épilée et ses reins tatoués « Belle A de H », en lettres gothiques comme Svetlana.

- Tu aimes mon corps. J’aime le tien, je t’observe, quand j’ai du temps libre, à la villa. Tu me plait surtout prise par plusieurs hommes. J’en mouille. Caresse-nous dans la piscine, Honoré et Horace nous enculerons ensuite.

Nous avons nos bijoux d’anus. Les longueurs de piscine et les caresses apaisent ma colère provoquée par Chantelle.

Je jouis, la chatte doigtée, le clitoris caressé.

 -Tu es belle, dans le plaisir.

- Oui, prends-moi, je suis toute à toi, ma Astrid.

- Shawn, tu te soumets à mes caresses, coquine et soumise. Honoré m’a enculée à mes 25 ans, comme toi. C’était sur le H S et Donatien m’a baisée en même temps.

Comme prévu, sous la douche lesbienne, après nos longueurs, Honoré et Horace nous enculent simultanément, nous avalons leurs spermes dont une partie remplie nos anus lubrifiés, par nos orgasmes anaux.

Puis nous changeons de partenaires, Albane me baise aussi, tandis que je suis enculée, dans une longue double pénétration jouissive.

Nous soupons, enculées sur nos amants, après une douche lesbienne et maquillées et parfumées.

Nous regardons mes vidéos, caressées par nos amants, nous jouissons.

Je dors nue avec Astrid, qui elle est nue, enlacées, les mains entre nos cuisses humides.

 

17 juin

Au lever du soleil, je descends nue sous mon tee-shirt, pieds nus, pour ne pas faire de bruit.

Un bouquet de roses rouges m’attend, ainsi qu’une orchidée.

Le bouquet m’est offert par Marc, qui veut me séduire et l’orchidée, c’est un cadeau de Lady Orchidée.

Marc me surprend.

- Tiens, la belle est heureuse de ses roses. Les fesses à l’air, c’est pour que je te prenne, ma belle pute. Ton Maître te laisse les fesses et seins nus, devant un bel étalon.

- Marc, cela suffit. Je suis libre de mes choix. Va-t-en, voler sur le yacht.

- On se reverra, ma belle, tu me suceras et je te ferais prendre par plusieurs hommes, que tu avaleras.

Horace me réconforte, pendant le petit déjeuner, pris avec Astrid, qui a vue la scène.

- Quel dragueur, ce Marc, aucun respect de toi, tu dois le punir, ma chérie.

- Oui, ce sera fait bientôt. Chantelle est en dressage, selon Charlie O.

Honoré est du même avis que nous tous.

Le yacht est parti tôt au large, tout en restant dans les eaux Monégasques pour ses posés du Dauphin de Marc.

Vers 9 heures, après ma douche lesbienne avec Astrid, fardée, parfumée, encore nue, pieds nus, je découvre Olympe qui nous a rejoint, à bord d’une BMW cabriolet.

- Ma chérie, je dois m’excuser pour mon comportement au restaurant.

- C’est normal, tu es amoureuse de Marc. Tu dois m’humilier devant lui, comme une pute. Honoré me soutient.

- Viens, on va bronzer sur une des plages de Monaco.

- Non, prenons un hélicoptère, je veux bronzer nue sur le H S Pénélope, dont je suis en partie propriétaire.

Je choisis une robe courte estivale, couvrant à peine mes cuisses, blanche, en partie transparente sur mes seins nus, mes mules blanches à talons de dix centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval.

- Ma chérie Astrid, tu veux venir sur mon yacht.

- J’arrive. Tu es très élégante. Marc fait des posés sur ton yacht.

Un Ecureuil de la société détenue par Honoré va nous déposer dessus, dis-je.

A l’héliport, un Ecureuil à mes couleurs « PP Shawn » nous attend. C’est Jasmine qui le pilote.

- Mesdames, nous allons sur le H S Pénélope, selon vos instructions.

- Mettez le cap vers le yacht, dis-je.

Je suis toute excitée.

Le Dauphin de Marc vient de décoller du yacht. La plate-forme est libre.

Vers 10 heures, nous descendons, déchaussées. Astrid a mis une robe similaire fuchsia sur son bikini noir et Olympe, une robe de plage verte sur son bikini blanc. Toutes sommes chaussées de mules.

- Shawn, que fais-tu là sur le yacht, dit Donatien surpris ?

- Je te dérange, le Dauphin de Marc peut continuer ses posés. L’Ecureuil peut revenir dès que possible.

Je soulève discrètement ma robe, exhibant mon pubis et ma chatte velue à Donatien.

- D’accord, j’accepte.

- Voici Astrid et Olympe, mes chéries, tu es libre de les prendre et ainsi que ton personnel masculin. Ton solarium pour le bronzage intégral est disponible, je suppose.

Donatien bande, il veut me prendre aussi.

- Oui, vas-y, je te rejoins, pour te mettre de la crème solaire.

Je m’installe, sur les coussins, cuisses écartées, le soleil éclaire la pièce. Je m’allonge sur le dos, cuisses écartées, laissant le soleil chauffer ma toison de ma chatte. Je mouille d’avance.

Après un court échange houleux entre Marc, qui vient de rater son approche par le décollage de mon Ecureuil, Marc décolle et rentre à la base. Je préviens discrètement Honoré de licencier Marc pour son comportement sur le yacht et à mon encontre. Il faut le dresser comme Sven, suçant, enculé à volonté, en mon absence.

Donatien me rejoint. Je retrouve son mandrin de quarante par neuf, que j’ai déjà sucé à Fuerteventura, mais pas plus.

- Prends-moi, j’ai très envie. De suite, mon écrin ou mon œillet ouvert pour toi, je suis tout à toi.

- Shawn, tu as beaucoup changée. Tu m’offres ta chatte et ton puits, j’aime ça.

Une fois en érection, je m’offre les cuisses écartées en V, baisée jusqu’aux testicules, pour un premier orgasme et une éjaculation sur mon pubis et la seconde, allongée sur le ventre, enculée jusqu’aux testicules.

- Oui, pine-moi profondément, comme mon chéri.

- Quelle ouverture, tu es bien une soumise. J’aime que ma Shawn jouisse.

- Tu es trop charmant. Mon œillet s’est habitué à tous les calibres, depuis mes 22 ans, en Normandie.

- Tiens, tu logeais dans le même que Svetlana, ma chérie. Toutes les beautés d’Honoré sont mes chéries. Je vais jouir en toi.

- Inonde-moi, je suis au bord de l’orgasme.

L‘anus dégoulinant, je le suce, avant une longue douche près du coin bronzage intégral.

- Tu aimes me sucer, tu aimes ça.

- Oui, ta grosse queue dans ma bouche de soumise, me plait. J’ai l’œillet en feu, prends-moi encore, sauvagement.

- Avec les honneurs, Miss Shawn, tu vas encore jouir.

Je sais que je suis filmée que certainement Marc est jaloux.

Vers midi, nous déjeunons sur le yacht, toutes les trois nues, Astrid et Olympe ont joui elles aussi, enculées comme moi. Je m’empale, enculée sur Donatien, les seins et le clitoris caressés par Astrid et Olympe, pour un nouvel orgasme.

Vers 14 heures, j’annonce à Donatien, après une ultime douche et un court massage sexuel par Jasmine :

- Je peux retourner à terre.

- Bien sûr, tes amies peuvent rentrer avant le coucher du soleil.

Jasmine me dépose à l’héliport. Je remarque la présence d’un voilier au port de Fontvieille, qui m’est pas inconnu.

Une des hôtesses me dépose au port.

Je retrouve le voilier « Fleur d’Eros », immatriculé à Ibiza.

- Il y a quelqu’un, dis-je.

- Tiens, une belle inconnue, dit le sublime Adonis, brun, en slip de bain, musclé, athlétique, bronzé, de 28 ans, bien monté.

- Tu es certainement Yannis, mon séducteur Grec lors de mes 20 ans. Oui, la sublime adolescente en short et tee-shirt, pieds nus, sur les quais, que tu n’as pu que caresser. Maintenant, je suis à ta disposition. Tu peux me prendre par ma chatte ou mon œillet ou les deux, si tu es avec un ami.

- Je suis avec Christelle, mon épouse. Christelle vient voir, ce sublime trésor.

Christelle sort de la cabine. C’est une superbe beauté de 30 ans, aux petits seins nus, en string blanc, un peu plus grande que moi, pieds nus, les cheveux longs jusqu’au milieu du dos.

- Tu me l’as caché cette beauté. Serais-ce Pénélope, mon chéri ?

- Oui, je suis Pénélope ou Shawn selon mes humeurs.

- Monte, on a de la place pour quatre dans le voilier, dit Yannis.

J’escalade l’échelle, tenant mes mules. Le vent soulève ma robe, dévoilant mes fesses nues et ma pilosité fournie.

- Déshabille-toi, mets-toi à l’aise, dit Christelle.

- Elle est très belle, nue. Cela un moment que je n’ai pas vue, toute nue, dit Yannis.

- Oui, je l’ai sucé, nue, mais je l’ai juste laissé le temps de me caresser, dis-je.

- Elle te plait ma chérie, dit Yannis.

Le couple me prend, Yannis m’encule tandis que Christelle me baise avec un gros gode ceinture, puis ils alternent jusqu’à l’épuisement.

Vers 16 heures, nous marquons une pause douche. Yannis est déjà au large, pour que je respire l’air marin, nue, sur le poste de pilotage, pour bronzer.

Avant le coucher du soleil, nous rentrons au port. Christelle me ramène chez moi. Elle a choisi un tee-shirt blanc et un paréo et des sandales à talons de dix centimètres.

Je retrouve Honoré. Je reste nue, en sa compagnie, avec le gode anal cadenassé, mis à sa demande.

- Tu aimes retrouver ce gode qui te prend, comme à tes débuts.

- Oui, Maître, j’aime jouir et je fantasme sur toi, mon chéri.

Je le porte même sous la douche ou dans la piscine, rejointe par Astrid et Olympe qui ont soupé sur le yacht qui est revenu au port.

Mon bassin qui ondule, trahit mon plaisir anal, mon clitoris et mes mamelons constamment tendus me trahissent. Les langues lesbiennes, les baisers et les caresses me font conduire vers de violents orgasmes.

Je dors avec Svetlana, qui est revenue.

 

18 juin

Au lever du soleil, je me lève, me douche rapidement et enfile un tee-shirt blanc sur mon corps nu, je reste pieds nus, pour descendre au salon.

Je retrouve Christelle. En effet, Yannis a embarqué Olympe pour un voyage à bord de son voilier en Méditerranée.

Nous déjeunons ensemble. Elle est surprise par mon gode anal cadenassé. Elle souhaite avoir le même. Je lui raconte mon dressage anal, offerte à plusieurs inconnus, puis les doubles pénétrations jouissives et les aventures sexuelles avec mon chéri.

Elle veut faire de même. Elle a peut l’habitude d’être enculée par Yannis.

Honoré nous rejoint et Christelle s’exhibe nue avec son gode anal, similaire au mien, cadenassé. Elle connaît des vagues de plaisirs inconnus par elle.

Dans l’après-midi, nous rentrons en région parisienne, à bord de trois Falcon 7X de la compagnie, après un transfert en hélicoptère depuis Monaco.

Christelle devient ma soumise selon le désir d’Honoré et de Svetlana, qui la dressent aussi.

Je connais à fréquenter les amants Monégasques qui viennent me voir régulièrement.

 

 

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