EDUCATION DE SHAWN LA VICIEUSE
Je m’appelle Shawn.
J’ai 22 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
EDUCATION DE SHAWN LA VICIEUSE
15 mai
Je suis femme d'affaire lesbienne, mais déflorée par accident par un ami d'une de mes amies lesbiennes, lors des vacances.
Ce matin, vêtue de mon tailleur fuchsia avec une jupe droite, cachant mon ensemble soutien-gorge demi-seins et slip en dentelle transparente, avec un porte-jarretelles assorti, en bas blancs, chaussée d'escarpins blancs à talons de dix centimètres, les cheveux libres, fardée, parfumée, je rejoins mon bureau, à bord de ma 205 blanche au centre-ville.
Je retrouve Alban, un homme barbu de 45 ans, 1,80 m, musclé, mon fidèle assistant. Je l'ai sucé quelques fois.
Alban me présente à Dan, un client Australien, de 30 ans, 1,85 m, athlétique.
Dan me caresse les seins.
Les coups donnés par mon ami on fait de moi une femme moderne au corps provocant. Mes seins, flattés par de savantes caresses, ils tendent en permanence leurs mamelons au ciel. Mon ventre arrondi s’est tendu par la rigueur que mon ami a fait cambrer mon ventre. Le porte-jarretelles rend mes fesses, mon ventre, ma toison accessibles à tous et à tout. Mes bas sont tendus sur ce porte-jarretelles, qui s’accroche sur mes reins. Mes fesses, mon ventre sont tirés vers le bas, dès lors que la tension est établie.
Juste vêtue de mon porte-jarretelles, dans mon bureau, Dan caresse ma chatte humide, mon clitoris est déjà tendu, mes mamelons sont tendus et durcis. Il offre son mandrin long de vingt-cinq par sept, circoncis. Je le suce. Il bande dans ma bouche.
Alban m'écarte les lèvres de ma chatte pour que Dan me baise. Je m'abandonne.
Il doigte mon anus encore vierge. Je gémis, tout en suçant Alban.
Il enfonce doucement son mandrin dans mon anus lubrifié. Il me fesse. Il s'enfonce jusqu'aux testicules.
Il me tient par les hanches pour me faire coulisser. Il éjacule dans mon anus.
Je dois le sucer, après mon premier orgasme anal. Alban m'encule aussi, l'anus encore béant. Son mandrin de dix-huit par huit, m'élargit un peu plus.
Dan convient :
Ce gode anal en érection de calibre moyen devrait suffire pour la préparer.
Dan m'enfonce ce gode, dès le retrait d'Alban. Je gémis, mais sa forme réaliste, veiné, décalotté, me remplit bien.
A la base, se trouvent trois petits trous percés, les trois chaînettes sont reliées à une étroite ceinture autour de ma taille. Une chaînette suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, contourne le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le gode me force et distende mon anus encore vierge. On les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne puisse être tenté de me soulager de cette contrainte. Le gode est doté d'un discret va-et-vient me rappelant un étalon bien monté qui m'encule.
Dan ou Alban me le retire sur une durée totale de dix heures.
- Tu dois le garder huit jours, pour te rendre plus accessible des fesses, me dit Dan, en m'embrassant langoureusement. Tu ne portes plus aucun dessous, pour être prise à tout moment.
Je dois le garder jusqu'au déjeuner.
Au restaurant, Dan me fait enculer par deux amis bien montés, en échange de billets. Je les suce et avale tout.
Je porte le gode jusqu'au soir. Dan me raccompagne à mon appartement.
Il me retire le gode. Il me douche, me caresse, je peux me soulager.
Pour la nuit, je suis offerte à Jason, un ami Africain, au mandrin imposant, un trente par sept, pour 1,80 m, musclé, athlétique, 35 ans.
Allongée sur le lit, les cuisses grandes ouvertes, nue, je suis enculée par Jason, les reins soulevés. Je caresse mon clitoris tendu, mes seins.
Pour mieux m'enculer, il me relève les cuisses à hauteur de mes épaules, la sodomie est plus profonde. Je m'offre à lui.
Puis il m'encule en traction, latéralement. Je décuple mon orgasme anal.
Enfin, allongée sur le ventre, je lui tends. Il m'encule avec aisance, les hanches enserrées, les mains autour de mes seins, il m'encule profondément et éjacule en moi.
Sans débander, il m'allonge sur le côté, m'embrasse, caresse mes seins, ma croupe tendue vers son mandrin.
Je le suce et nous finissons sous la douche. Je jouis sous ses caresses de mon corps.
16 mai
Vers 8 heures, après une douche rapide, fardée et parfumée, Dan me remet le gode anal en place, avec un diamètre plus fin, mais avec une gaine à picots. Je ne sais toujours pas, qui dirige les va-et-vient dans mon anus. Je choisis un chemisier blanc sur mon corps nu, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, une jupe noire ample couvrant à peine mes genoux et une paire de mules blanches à talons de dix centimètres.
Dan vérifie que mes mamelons soient bien tendus par le fard appliqué. Ma chatte est peinte en rouge, parmi mes poils bruns. Mon clitoris est érigé par une goutte d'un mystérieux parfum. Ma bouche est fardée avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins du même rouge l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Mes paupières sont légèrement ombrées, du parfum longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Nous allons à trois heures de route du centre ville, à un séminaire.
Je dois sucer le chauffeur et offre ma chatte en feu, pour ma première double pénétration. Je suis toute trempée.
Des vidéos circulent de mes sodomies de la veille sur les portables de mon personnel, sans que je sois au courant, mais personne ne connaît la belle.
Nous faisons une courte réunion pour les projets du mois.
Vers midi, nous faisons une pause déjeuner.
Je me rends aux toilettes pour me refaire une beauté. Dan m'a retiré le gode anal. Mon anus est bien lubrifié et dilaté.
Je dois me rendre aux toilettes pour hommes, pour pisser debout, la jupe relevée entièrement sur mes fesses nues.
Soudain, un mandrin de calibre huit défonce ma chatte, puis sans attendre, mon anus. Je me retiens de gémir. Je me penche un peu. J'écarte mes fesses pour mieux l'accueillir.
C'est James, un client Australien, 1,75 m, musclé, athlétique, qui me susurre à l'oreille :
- Vous aimez la sodomie.
- J'en raffole.
Je connais un long orgasme anal obligeant James à éjaculer en moi. Je le suce pour le remercier.
Puis c'est au tour d'un étalon africain, Horace, un calibre sept doté d'un trente centimètres de m'enculer. Lui aussi éjacule rapidement.
Dan me remet le gode anal pour que le sperme tapisse bien mon anus.
Je retrouve les clients l'après-midi.
Les assauts du gode me font provoquer des ondulations du bassin. Je me retiens de jouir.
Lors d'une pause, Dan me fait un lavement et je peux finir ma réunion, l'anus libre.
Vers 18 heures, nous prenons la limousine pour un aéroport discret.
Là, je prends mon Falcon 7X privé, escorté par Dan. Alban nous accompagne, ainsi que Sir Nathan de Mon Plaisir, un bel homme de 60 ans, 1,75 m, athlétique, bien monté, qui souhaite mieux me connaître. Il m'offre le livret « Education et vices ».
En vol de croisière, je dois me déshabiller entièrement. Silencieuse, je laisse caresser mon corps, caresser mes seins, les peloter, pincer mes mamelons, me doigter simultanément la chatte et l'anus, qui sont humides d'excitation.
Je dois confesser ma première sodomie, ma première double pénétration, le plaisir que j'en retire. Sir Nathan m'encule sur le champ, avec son mandrin de calibre huit. Je me retiens de jouir, sur son ordre, il m'invite à me caresser le clitoris encore tendu, par ses caresses.
Je fais de mon mieux pour éviter qu'il éjacule en moi.
Il se retire, pour que Dan m'encule aussi et que ma chatte soit remplie par Alban.
Doublement remplie de spermes chauds, je dois assister à une sodomie entre hommes, suçant le sexe de celui qui est enculé. Le troisième m'encule.
Je connais une série d'orgasmes.
Avant d'atterrir, après trois heures de vol, je me douche et fais un bon lavement anal.
Je me refais une beauté.
Le Falcon 7X atterrit à un autre aéroport. Nue sous une cape, les mains menottées dans le dos, chaussée de mes mules, les yeux bandés, équipé de mon gode anal, je monte à bord d'une limousine qui me conduit vers une destination inconnue. Les assauts du gode me font jouir. Cuisses écartées, je m'abandonne aux caresses de l'homme qui m'accompagne.
Nous faisons une pause, il est 22 heures. On m'ôte le gode anal, pour que le chauffeur m'encule. Je suce l'autre homme.
Arrivée au domaine, je gravis quelques marches, le vent frais remonte le long de mon corps nu.
Je me retrouve seule, nue, sans ma cape, dans une grande pièce.
Deux jeunes et jolies femmes, vêtues de jupes ouvertes devant et derrière, dénudant les fesses et le sexe entièrement épilé, des soutien-gorge demi-seins qui font jaillir la poitrine agrafés par-devant, leurs yeux et la bouche sont fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Elles me libèrent, me baignent, puis me font asseoir sur un fauteuil de coiffeur, muni d'un gode anal à va-et-vient. Je suis assise sur ce fauteuil, nue, cuisses écartées. Il y a en face de moi une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace.
Quand je suis prête, et fardée, les paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres du ventre rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, on me fait entrer dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de se bien voir. On lui a dit de s'asseoir sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf était couvert de fourrure, qui me pique un peu, et le tapis au sol. J'ai mes mules rouges aux pieds. Sur une des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc sombre.
A leur retour, une des femmes me prend la mesure de mon cou et de mes poignets.
Un homme nu, botté, les accompagne, laisse visible son mandrin en érection, un calibre sept, décalotté. Il porte le long fouet de cuir souple passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, et, enfin, qu'il a des gants aussi, de fin chevreau.
« Ne bouge pas. »
Ses mains s'attardent sur mes seins, ma bouche entrouverte. Je garde les yeux baissés.
Je porte à mon cou le collier et les bracelets qui correspondent à mes poignets. Voici comment ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
On assujettit ces carcans à mon cou et à mes poignets.
Debout, l'homme me caresse lentement le clitoris, la chatte en y enfonçant ses doigts tout en doigtant mon anus encore un peu dilaté par le gode anal du fauteuil. Je me retiens de jouir.
Il me fait pencher en avant et m'encule jusqu'aux testicules, en m'écartant bien les fesses.
Je le suce pour avaler son sperme.
Je prends seule le dîner, toujours nue, dans une sorte de petite cabine où une main invisible lui tend les plats par un guichet.
Enfin, le dîner fini, les deux femmes reviennent me chercher.
Dans le boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets, une longue chaîne est fixée à mon collier.
Nue, tenue en laisse, les yeux bandés, je franchis les salles. Une femme avance devant elle et ouvre les portes, l'autre la suit et les referme.Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café.
Ils portent juste une cape et des bottes, les mandrins en érection.
Seule, aveugle, je suis l'objet de nouvelles caresses plus osées, les mandrins s'enfoncent en partie dans mon anus, mes mamelons sont pincés et étirés, je suis fessée.
Je les suce aussi, chaque parcelle de mon corps est livrée à leurs mains, leurs bouches.
Enfin, je suis agenouillée, cuisses écartées, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
Mon buste repose sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, agenouillée, cuisses écartées, à tour de rôle, les hommes m'enculent jusqu'aux testicules, tandis que je suce un autre. Le troisième, un calibre huit, me contraint à m'ouvrir davantage. Le gode anal m'a déjà bien ouverte.
Puis allongée sur le dos, cuisses relevées, je suis sauvagement enculée, tout en suçant un autre homme.
On m'abandonne, nue, cuisses écartées, la bouche remplie de spermes.
On m'enlève le bandeau. La pièce est vaste, munie de miroirs sur les murs et au plafond.
Deux hommes sont debout, inspectant ma chatte ruisselante et mon anus encore un peu dilaté. Un troisième passe une cravache sur mes seins aux mamelons dressés et durcis.
Le quatrième caresse mes seins.
Tous m'ont enculée sans que je puisse les reconnaître.
La nuit, je serais être violée ou tourmentée, même fouettée, par des hommes masqués.
Les mains dans le dos, je sens la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir ; le fouet de cuir est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides comme si on les a trempées dans l'eau, ce qui a été fait comme je peux le constater, car on m'en caresse les seins et l'intérieur des cuisses pour que je sente mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de ses cuisses.
Je rejoins un chevalet, qui cambre mon corps, pour offrir davantage mes fesses, cuisses écartées, je suis menottée aux poignets et aux chevilles.
Qu'on ne me fouette en principe que les reins et les cuisses, de la taille aux jarrets.
Le fouet de cuir, sous lequel j'ai d'abord gémi, me marque beaucoup moins (ce qu'on obtient presque avec la corde mouillée de la garcette, et au premier coup avec la cravache) et donc permet de faire durer la peine et de recommencer parfois presque aussitôt qu'on en a fantaisie.
L'homme au calibre huit m'écarte mes fesses brûlantes et m'encule jusqu'aux testicules.
Avant de me détacher, on apporte un gode anal similaire à celui que j'ai porté, mais veiné et doté d'un puissant va-et-vient. Je le porte, cadenassé.
Quand on me détache, chancelante et presque évanouie
Les deux jeunes femmes qui m'ont accueillie apportent de quoi l'habiller pendant mon séjour et de quoi me faire reconnaître. C'est un corset seins nus avec une jupe courte, largement ouverte devant, dévoilant le pubis et derrière sur les fesses nues. Je chausse des mules à hauts talons sur plate-forme.
Voici le discours que l'on me tient ensuite.
« Tu es ici au service de tes maîtres. Le jour durant, tu fais telle corvée qu'on te confie pour la tenue de la maison. Dès que l'on désire de toi, tu te prêtes, toutes les parties de ton corps peuvent être fouiller et dans lesquels nous pouvons nous enfoncer à notre gré. Tu t'offres sans te dérober, devant nous tu gardes tes lèvres entrouvertes, les cuisses toujours écartées, pour nous offrir à tes yeux et aux nôtres que ta bouche, ta chatte, et tes fesses nous sont ouverts. Tu restes ainsi accessible à tous ; Le fouet n'est appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil.
Tu ne dois lever les yeux sur nous, juste regardez nos sexes pour les sucer.
Le gode que tu portes sert à t'élargir, pour te rendre plus accessible.
Tes fesses seront plus remplies que ta chatte.
En outre, à la nuit, tes lèvres pour nous honore, et l'écartement de tes cuisses, car tu as les mains liées au dos, et est nue. Tu es fouettée chaque jour. A ta sortie, tu porteras un anneau de fer à l'annulaire, qui te fera reconnaître : tu auras appris à ce moment-là à obéir à ceux qui portent ce même signe - eux sauront à le voir que tu es constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui te trouvent indocile vous ramèneront ici. On va te conduire dans votre cellule. »
Nous rejoignons l'aile des vicieuses.
Une des jeunes femmes m'annonce :
- Ton valet s'appelle Phallus du Désir.
- Quel est ton prénom ?
- Je m'appelle Anal Sévices et moi, Justine Vicieuse, dit la seconde.
- Le valet a les clefs, il t'attache, te détache, te fouette, te prend par les fesses.
- Il vient souvent la nuit. Souvent, aussi des sexes de divers calibres te prennent par les fesses, dit Justine Vicieuse.
Phallus du Désir est un bel étalon musclé, bien monté, 1,80 m, vêtu d'une cape, le mandrin gainé, portant un fouet à la ceinture, botté.
Il ouvre la porte avec un passe. Mais avant, il me libère le gode anal, pour m'enculer jusqu'aux testicules. Je me retiens de jouir.
- Il faudra encore t'élargir. Conan et Balzac le feront dès ce soir.
Je n'ose savoir qui sont Conan et Balzac.
Nue, je suis douchée par les deux femmes, devant Phallus qui me regarde dans les miroirs de la salle de bains, qui couvrent tous les murs.
Ma cellule comprend juste un chevalet donnant sur une fenêtre, un tapis, une chaîne est suspendue à un crochet au plafond.
Je n'ai pas droit à un lit.
Cuisses écartées, accroupie, je me laisse laver.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis douchée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Je suis menottée au chevalet, les cuisses écartées, sans défense.
Il m'encule encore une fois et j'avale son sperme. Mes fesses sont brûlantes par les claques magistrales. La chaîne est fixée à mon collier. Il examine longuement ma chatte humide et mon anus encore un peu dilaté.
Ces multiples sodomies me font donner davantage de plaisir, ainsi que le fouet.
Endormie, un premier sexe différent d'un humain me remplit l'anus. Je suis attachée à lui. Il éjacule abondamment en moi. Je connais un violent orgasme anal.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Phallus du Désir revient. Il allume la lumière de la salle de bains en laissant la porte ouverte
Il cravache le travers des fesses, à toute volée.
Puis il cravache sur le devant des cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Quand il part après avoir refermé la lumière et, la porte de la salle de bains,
Je dois subir une nouvelle sodomie, attachée à cet amant inconnu, qui éjacule abondamment en moi.
17 mai
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dormaient, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'un blouson de cuir, le sexe nu et libre et botté.
Avant de me libérer, il caresse mes cuisses, m'encule sauvagement et se retire pour éjaculer dans ma bouche.
Il me libère. Anal Sévices et Justine Vicieuse sont entrées avec lui, et qui attendaient debout. Sur quoi il s'en va.
Justine Vicieuse tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants. « Mangez vite, dit Anal Sévices, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à midi, et quand tu entends sonner il est temps de t'apprêter pour le déjeuner. Tu te baignes et tu te coiffes, je viens te farder et te lacer ton corset. Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et toi non plus à nous. »
Deux étalons bien montés me rejoignent. Je baisse les yeux.
Je suis assise cuisses écartées, sur un pouf, muni d'un gode anal.
Je me laisse caresser les seins, le clitoris, sans un mot.
Puis installée sur le chevalet, ils se relaient pour m'enculer profondément et sauvagement, en éjaculant dans ma bouche.
L'un d'eux reste et m'insère mon gode anal de calibre huit pour la matinée.
Je me douche.
Nue, avec mon gode anal, en mules, je suis escortée par un valet, sans Justine Vicieuse.
Dans une antichambre, deux valets m'attendent avec chacun un dogue en érection.
Le valet qui m'escorte, me retire le gode anal. Je m'offre en levrette, un des valets insère le sexe de Lancelot, un trente-six par six dans mon anus humide. Je suis attachée à lui, comme lors des assauts de la nuit. Je suce les valets, tandis qu'il éjacule abondamment en moi. Puis c'est au tour de Romulus de m'enculer, enfin, les trois valets m'enculent aussi.
L'anus rougi et dilaté, dégoulinant de spermes, est rempli par le gode anal.
Je rejoins le réfectoire. Je m'assois sur le tabouret, enculée par un gode canin réaliste.
Les yeux baissés, je me retiens de jouir, les seins et le clitoris caressés par le valet de permanence. Des amants canins m'avaient donnée du plaisir. Je suis surprise et comblée.
Cela fait trois jours que je porte le gode anal.
Je passe l'après-midi à me faire enculer et saillir par n'importe quel amant canin, accompagné par son valet que je dois sucer.
Mon anus s'assouplit davantage.
Le soir, après ma douche, avec mon gode anal, je suis offerte en double pénétration à des inconnus cagoulés. La double pénétration décuple mon plaisir.
18 mai
Le dos, les fesses, les reins zébrés par de nouvelles marques, j'accepte mon dressage.
Les assauts canins de la nuit me font davantage pencher vers de nouveaux désirs anaux.
Vers 10 heures, nue, tenue en laisse, en mules, les yeux bandés, les mains jointes à mon cou à mon collier, je suis conduite à l'extérieur, dans un pavillon de chasse, offerte dans une orgie où ma bouche, ma chatte, surtout mon anus sont longuement remplis par des mandrins de divers calibres, même canins.
On marque des pauses pour que je puisse me soulager, me laver, me farder et me parfumer.
Vers 18 heures, Sir Nathan vient me chercher. Je revêts juste un tailleur avec une jupe ample et courte, fuchsia sur mon corps nu. Je chausse des mules blanches à hauts talons, me coiffe d'un chignon, fardée et parfumée.
Je ne porte plus mes carcans de cuir, juste ma bague à mon annulaire gauche.
Je porte un bijou d'anus de calibre sept pour me garder l'anus dilaté et détendu.
Nous prenons le Falcon 7X qui m'a amenée au lieu secret.
Nous rejoignons une discrète luxueuse villa sur le bord de mer, à quatre heures de vol.
Je passe le vol, à satisfaire le personnel du Falcon, sans perdre une seule goutte.
Là, une limousine nous conduit à la villa.
Je vis nue, avec juste mon bijou d'anus.
J'ai un haras pour me relaxer, une grande piscine loin des regards indiscrets.
Je suis fouettée si on le désire par les invités.
Au haras, je suis séduite par le sexe équin en érection.
Je suce le superbe engin qui bande.
Un des domestiques me lubrifie bien l'anus et il enfonce le sexe. Le sphincter résiste, mais je recule un grand coup et le muscle cède. Je prends du plaisir sur trente centimètres.
Je coulisse dessus, tout en suçant le domestique qui me filme.
Pendant ce temps, le cheval éjacule ce qui me provoque un orgasme !
Mon anus est rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Je me douche et me repose une longue journée avant de renouveler l'expérience.
Je découvre la double pénétration canine décuplant mes orgasmes.
Mais Sir Nathan exige davantage de moi, le sexe équin et canin m'ont ouvert davantage l'anus.
Je suis offerte à d'autres étalons en rut.
Mon entreprise croit par les vidéos et les photos SM de moi diffusées secrètement. Une partie de l'argent alimente le compte bancaire de mon entreprise.
20 juin
Sir Nathan m'autorise à revenir à mon entreprise. Je suis nue sous mon tailleur avec une jupe courte sans chemisier. Tout le monde doit voir mes seins, mes fesses accessibles à tous.
Je suis autorisée à porter uniquement : des robes ou des jupes, avec des bas ou jambes nues, des chaussures à hauts talons de dix centimètres, des soutien-gorge seins nus ou des guêpières seins nus avec ou sans jarretelles, laissant mes fesses, mon anus et ma chatte libres à tous.
Je dois maîtriser mon excitation par mes tenues.
Je porte divers bijoux d'anus pour m'offrir aux amants.
Mon sexe et mon anus devenus sensibles par les assauts subis, me font mener vers le plaisir.
Les mains de mes amants parcourent mon corps nu. Je mouille de désir.
Mon anus s'ouvre, ainsi que mes fesses, pour recevoir de gros calibres, que je suce et j'avale tout.
L'après-midi, Jason, un client Africain, 1,85 m, 30 ans, musclé, athlétique, me rejoint dans mon penthouse spécialement aménagé, avec des miroirs sans tain.
Rapidement nue, je suis d'abord fessée, doigtée dans l'anus, avant de recevoir son calibre quarante par huit, décalotté.
Il m'encule d'abord en levrette, puis allongée latéralement, avant de finir, empalée face à lui, enculée jusqu'aux testicules. Je ne compte plus mes orgasmes. Mes voyeurs m'observent par les caméras cachées dans mon penthouse.
Je le suce, après une éjaculation dans mon anus bien dilaté et rougi.
Il me remet une enveloppe pleine de billets. Sir Nathan me l'a offert.
Le soir, Jason m'offre à éduquer un jeune étalon brun, barbu, 20 ans, 1,80 m, bien monté, ayant une faible connaissance de l'intimité féminine.
Je le reçois nue, après ma douche. Il est surpris par ma beauté.
Je le suce et l'invite à m'enculer. Il se laisse guider et je jouis rapidement. Il éjacule trop vite à mon goût.
Après d'autres positions sexuelles, nous prenons un souper et une douche, avant une longue nuit de sodomies.
Je suis satisfaite de mon jeune étalon.
21 juin
A mon réveil, encore nue, l'anus encore dilaté des assauts nocturnes, couverte de spermes frais sur mon corps, je découvre mon jeune étalon, enculé par Jason, bandant à fond.
Je rejoins le couple, suçant leurs mandrins en érection. Chacun se relaie pour m'enculer sauvagement. Ce couple bisexuel m'excite.
Les deux hommes me prennent en double pénétration intense, éjaculant sur mon corps, avant une longue douche avec mes amants.
Je découvre ma bisexualité.
Jason me fait porter mon harnais anal pour que je reste bien dilatée, prête à subir les assauts de mes amants.
A la base, se trouvent trois petits trous percés, les trois chaînettes sont reliées à une étroite ceinture autour de ma taille. Une chaînette suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, contourne le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le gode me force et distende mon anus encore vierge. On les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne puisse être tenté de me soulager de cette contrainte. Le gode anal bien veiné, réaliste, de calibre neuf, est doté d'un discret va-et-vient me rappelant un étalon bien monté qui m'encule.
Mon bassin ondule dès les premiers va-et-vient, réglés discrètement par une télécommande. Je me retiens de jouir.
Jason rase ma chatte, mais laisse mes poils pubiens.
Vers 19 heures, Sir Nathan me rend visite. Je suis nue avec mon harnais anal, ayant subi de nombreuses sodomies profondes par mes amants.
Je lui raconte mes aventures de soumise depuis mon départ du lieu secret.
Je le suce avant une longue sodomie profonde.
Nue sous une robe transparente blanche, dénudant entièrement mes seins nus aux mamelons fardés, largement fendue devant jusqu'aux hanches, dévoilant mon harnais anal, fardée, parfumée, chaussée de mules blanches à talons de dix centimètres, portant mon collier et mes bracelets, les yeux bandés, nous prenons une limousine blanche aux vitres teintées.
Les assauts du gode sont puissants et je me retiens de jouir, mon bassin ondule sous le plaisir. Je suis assise fesses nues sur le cuir, cuisses écartées, les mains jointes dans le dos.
Nous roulons de longues marches, avec des pauses, où je suis longuement enculée l'anus libre par le chauffeur, qui m'accompagne. Sir Nathan m'a laissé avec lui.
Enfin, nous arrivons au domaine des Soumises, vers minuit.
Il fait frais quand je descends, on m'aide à sortir de voiture, on me prends aux épaules et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
Je me retrouve dans une cellule, comme au 16 mai. Nue, les cuisses écartées, l'anus libre, je suis livrée à des inconnus, les yeux bandés, cravachée sur les reins, les fesses, les seins, même sur la chatte devenue sensible, pendant une éternité. Quand j'émerge, je suis installée sur le chevalet, longuement saillie enculée par des superbes étalons canins. Leurs spermes se mélangent aux spermes humains. Je râle de plaisir.
22 juin
Dans la nuit, le valet Adonis du Plaisir, un imposant valet, de 1,85 m, 35 ans, bien monté, musclé, athlétique, doté d'un calibre neuf, me rejoint et me cravache sur le chevalet, sur les fesses, les reins, avant de m'enculer et de disparaître.
Les amants canins se relaient jusqu'à l'aurore.
Pantelante, je les suce et les nettoie, ainsi que les valets qui les accompagne.
Libre, nue, je porte mon harnais anal comme au premier jour.
Les valets aiment caresser mon corps nu zébré.
Ils me masturbent juste le nécessaire, pour ma chatte soit ruisselante.
Je suis douchée, menottée, sur la pointe des pieds.
Je reste jusqu'au 25 juin.
25 juin
En milieu d'après-midi, nue, sur le chevalet, l'anus rougi et bien dilaté par les saillies anales canines, je reçois la visite de Sir Val de Mon Plaisir, âgé de 65 ans, bien monté, vêtu élégamment. Je suis sa nouvelle soumise.
Ma chatte a été rasée le matin lors de ma douche.
Il caresse mon corps et m'encule avec son gros mandrin décalotté. Je me retiens de jouir.
Je me douche devant lui, avant de m'habiller d'un tailleur fuchsia sur mon corps nu, chaussée de mules blanches à talons de dix centimètres, coiffée d'un chignon, portant un bijou anal de calibre huit, fardée, parfumée.
Nous prenons une limousine pour rejoindre un héliport tout proche. Je reste assise fesses nues, cuisses écartées. Un Ecureuil nous dépose à une luxueuse villa isolée, discrète, étroitement surveillée.
Je suis la soumise d'un film hard SM, où je suis totalement nue, offerte à des étalons humains, canins, fouettée et enculée à l'envie.
Je suis au summum du plaisir sexuel. Je mouille de désir.
Entre chaque scène, je garde mon bijou d'anus pour être bien dilatée, pour la scène suivante.
Je passe une semaine intense, comblant tous les désirs de Sir Val.
1er juillet
Sir Val me fait conduire au Domaine des Biches, un pensionnat pour jeunes femmes, pour compléter leur éducation sexuelle et leur dressage. Ma chatte a été épilée, tout en gardant le triangle pubien.
Je dois porter un uniforme strict, un chemisier blanc sans bouton sur mon torse nu, avec un corset seins nus qui sont mis en valeur, une jupe assez courte noire, dénudant les fesses nues, avec un porte-jarretelles et des bas blancs, chaussée de mules blanches à talons de dix centimètres, fardée, parfumée, avec un bijou d'anus réglementaire.
La limousine me dépose devant l'entrée d'une vaste demeure.
Je rejoins à pied par l'allée en gravier, l'entrée, escortée par un maître chien qui est accompagné d'un berger allemand, excitée par l'odeur de ma chatte.
Avant de rejoindre le rez-de-chaussée, le berger allemand Balzac m'encule jusqu'au nœud, offerte à quatre pattes et je le suce en retour, ainsi que son maître.
Je remets mon bijou d'anus.
La directrice, une grande blonde plantureuse,1,80m, en tailleur noir, me toise, glisse sa main entre mes cuisses humides, vérifier mon accès anal, pelote mes seins aux mamelons tendus et caresse mon clitoris tendu, puis elle m'embrasse langoureusement.
- Tu mouilles bien, tes fesses sont bien ouvertes, tes seins me plaisent. Tu fais honneur à Sir Val et Balzac t'a bien saillie. Tu t'assois toujours les fesses nues, cuisses écartées. Tu doit garder toujours ta chatte luisante et ton anus disponibles.
Un beau surveillant bien monté me conduit à ma chambre collective.
Je possède plusieurs uniformes et paires de mules.
Je dois me doucher devant le beau surveillant, qui me caresse aussi et m'encule. Je dois tout avaler. Je me rhabille et rejoins la salle de cours.
Je m'assois fesses nues, cuisses écartées, relevant bien ma jupe pour que le jeune professeur, de 30 ans, 1,80 m, brun, regarde nos chattes et nos clitoris tendus. En effet, le surveillant a appliqué sur mes mamelons et mon clitoris, un produit.
Le résultat est immédiat : Les lèvres de ma chatte atteignent un beau volume, elles deviennent très charnues, très épaisses, presque juteuses, mon clitoris est gros comme une cerise et sensible. Mes mamelons tendent en permanence, érigés.
Je passe les cours, équipé de mon vibromasseur anal télécommandé à distance par un de mes Maîtres. Je dois absolument me retenir de jouir en cours.
Cuisses écartées, les professeurs observent les ondulations de mon bassin.
Au bout de deux heures, d'assauts anaux de plus en plus puissants, car le vibromasseur est moulé sur un vrai mandrin décalotté, veiné, de calibre neuf sur trente-deux de long.
Le second professeur, un bel étalon blond, musclé, athlétique, me prend à la fin du cours.
Il soulève ma jupe, caresse ma chatte ruisselante et mon clitoris tendu à l'extrême.
Il m'allonge sur le dos, cuisses écartées, retire le vibromasseur bien trempé par ma mouille anale.
Mon anus dilaté reçoit son mandrin de vingt-huit par huit, décalotté jusqu'à la garde.
Il me lève bien les jambes et m'encule vigoureusement. Je me retiens de jouir.
Un surveillant enfonce son mandrin dans ma bouche et des mains caressent mes seins.
Tous les deux se relaient et je les suce jusqu'à la dernière goutte.
Les jambes en l'air, le surveillant en profite pour me cravacher les fesses et la chatte en alternance. Je me retiens de gémir.
J'ai réussi mon admission. Ma chatte et mes fesses restent douloureuses quelques heures.
Je sais que les hommes sauront me satisfaire à mes désirs.
L'après-midi, nue, pieds nus, les yeux bandés, ma bouche, mon anus et ma chatte sont comblées par divers godes de divers calibres, sous la cravache, la garcette, offerte, prisonnière dans un pilori, dans la cour centrale, pour subir les punitions, les cuisses grandes ouvertes, les chevilles enserrées dans une pièce de bois relié au pilori par une chaîne. Toute tentative d'évasion est impossible.
Je demeure le reste de l'après- midi trois heures encore - jambes ouvertes et relevées, exposée. Je ne peux cesser de désirer refermer mes jambes.
Les fesses et la chatte brûlante sous la cravache, je me douche ensuite, avant de rejoindre le réfectoire, nue, en mules, avec mon double vibromasseur de calibre six, maintenue par une ceinture similaire à celle du domaine. Mon bassin ondule sur ce double plaisir, mes mains sont menottées à mon collier de cuir, pour empêcher toute caresse de ma part.
Le soir, nous sommes enculées par divers surveillants, menottées à nos lits, nues. Même de superbes amants canins viennent nous enculer. Nous avalons leurs spermes, repues, les fesses zébrées.
Dans ma chambre, je suis enchaînée, nue, à mon lit, mains jointes à mon collier, cuisses écartées, offrant ma bouche et mon anus aux sexes humains bien montés et des amants canins jusqu'à l'aube. Mon anus élargi s'ouvre pour les recevoir.
Des fois, des mains caressent mon corps nu zébré, aux mamelons tendus et au clitoris tendu à l'extrême.
Le rituel continue pendant une semaine où une des filles est offerte le matin, l'après-midi et le soir, au pilori. Je suis affectée à la correction de la fille, sauvagement enculée par un surveillant, pour m'exciter.
Le week-end, nous passons la journée, nues, sans uniformes, exhibant nos anneaux dorés à nos mamelons et aux petites lèvres de nos sexes. Je suis la seule à conserver mon triangle pubien, mis en valeur par un double gode vibrant, cadenassé. Je le porte huit à dix heures par jour, avant de subir les assauts de mes amants.
Je le porte pendant huit jours.
Mes fesses, mes reins, mes seins et mes cuisses sont zébrées pour chaque punition reçue.
13 juillet
A l'aube, mon clitoris, mes petites lèvres et mes mamelons portent des anneaux dorés, preuve de ma soumission. Je garde toujours mon triangle pubien.
Mon anus s'ouvre dès l'entrée d'un mandrin humain ou canin et se referme un peu dès son retrait.
Un petit cadenas ferme l'accès à ma chatte humide et excitée depuis le 25 juin, date de ma dernière pénétration de ma chatte.
Je me promène nue, à disposition des amants qui me payent mes services. J'ai droit à une part.
Les amants canins continuent à me saillir, le plus souvent en double devant mes amants.
Le corps couvert de sueurs, de spermes frais, j'aime être douchée ou baignée par les amants qui m'ont enculée sauvagement.
20 juillet
Au petit déjeuner, nue, je reçois la visite d'Eros, un superbe étalon brun, barbu, athlétique, bien monté, de 45 ans, en costume de ville. Je suis enculée, sur mon tabouret muni d'un puissant vibromasseur anal de calibre moyen.
Il examine mes reins et mes fesses. Il les écarte pour juger du calibre qui m'encule.
Il caresse mes seins aux mamelons tendus percés, descend ses mains entre mes cuisses écartées, par ma position, décalottant mon clitoris percé et gros comme une cerise, les lèvres juteuses de ma chatte cadenassée. Je me retiens de jouir.
Il m'offre son mandrin de calibre neuf en bouche.
Il me libère du vibromasseur pour une longue sodomie dans diverses positions, jusqu'à l'orgasme anal tant désiré par lui.
Il me cravache les seins et la chatte, que je lui offre, cuisses écartées. J'aime comment il me cravache.
Le corps zébré, il libère ma chatte cadenassée et me conduit à l'orgasme tant désiré, selon ses désirs.
Il referme le cadenas.
Je me douche devant lui. Il éjacule sur mes fesses.
Je le suce jusqu'à la dernière goutte.
Je garde mon uniforme du premier jour. Le nouveau corset offre des hanches de courtisane, fait cambrer mon dos et les fesses en arrière et mes seins tendent même leurs mamelons percés par le gousset sur lequel ils reposent. Dans le miroir, Eros caresse mes seins offerts et caresse ma chatte nue et humide percée. Nul besoin de porte-jarretelles, je reste les jambes nues. Ainsi le vent peut remonter jusqu'à ma chatte. Je garde mes mules de dix centimètres. Les cheveux libres, je mets en valeur mon collier en fer. Une chaîne de taille dorée munie d'un bijou anal de taille imposante complète ma tenue. Je suis fardée et parfumée.
Nous prenons une limousine blanche aux vitres teintées. Le chauffeur a une vue imprenable sur ma chatte, que j'exhibe, les cuisses écartées, la jupe bien relevée, par un jeu de miroirs. Les yeux bandés, menottée dans le dos, je subis les caresses qui m'excitent. Lors d'une pause en forêt, je suis sauvagement enculée par plusieurs mandrins de gros calibres, ma bouche, mes seins sont couverts de spermes, ainsi que mon anus dilaté et rougi.
Après cette longue pause, je me réveille dans une luxueuse villa, entièrement recouverte de miroirs sur les murs et le plafond, cachant des caméras pour filmer ma nouvelle vie de soumise. Je vis totalement nue, ma chaîne de taille et mes anneaux dorés comme seuls accessoires sur mon corps.
Je passe mes journées à me caresser devant des caméras, pour mes admirateurs, me faisant saillir par des amants canins et des hommes cagoulés me fouettent, menottée, pour le plaisir de mes admirateurs.

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