LES FANTASMES BRULANTS DE SHAWN
Je m’appelle Shawn.
J’ai 22 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
LES FANTASMES BRULANTS DE SHAWN
15 juillet
Je suis mannequin de lingerie. Je vis seule dans mon appartement.
Ce matin, vêtue de mon slip et mon soutien-gorge de dentelle transparente blanche, mettant en valeur mes mamelons et ma toison pubienne, assorti à mon porte-jarretelles et mes bas blancs, chaussée des escarpins blancs, je suis debout dans mon salon. Je garde mes cheveux libres.
Je regarde souvent mon voisin d'en face. Un superbe étalon brun, musclé, bien monté, qui sait que je l'observe. 1,85 m, 35 ans, sexy, mon genre d'homme, que je recherche dans mes fantasmes.
Mon slip est trempé, mes mamelons sont tendus. Je voudrais me masturber, par l'excitation.
Je mets un simple tee-shirt noir sur mes seins nus, après une courte douche et une jupe ample blanche sur mes fesses nues et des mules à petits talons blanches à mes pieds nus. Je me suis masturber sous la douche jusqu'à l'orgasme. Mon vibromasseur a largement rempli ma chatte trempée.
Je me rends au supermarché au pied de chez moi.
Je retrouve le bel inconnu.
Il attire les femmes, malgré son apparence.
Alors que je choisis un parfum. Il me murmure :
- Shawn, ce parfum est mieux pour votre beauté.
Puis il disparaît. Le parfum est déjà dans mon cabas.
A la caisse, il paye mes achats. Il est fortuné, je l'ignore.
Il me ramène chez moi.
- Quatrième étage, appartement 12, n'est-ce pas ?
- Oui...
J'ouvre mon appartement, un peu gênée.
- Vous voulez prendre un café, dis-je. Je me change.
Je suis prise d'une soudain excitation. J'imagine son mandrin dans ma chatte, dans ma bouche. Je suis célibataire.
Je retire ma jupe, enfile un slip en dentelle transparente dévoilant ma toison pubienne.
Mes mamelons sont constamment tendus.
Je mouille comme jamais auparavant.
Il est à la cuisine à ranger mes courses.
Il a déjà servi le café.
- Quel est votre prénom ?
- Charles Alexandre, mais je préfère Etalon des Orgasmes. Les femmes prennent du plaisir avec moi. Vous savez, je me caresse moi aussi, en vous regardant dans votre appartement.
Je prends une de ses mains et la pose sur un de mes seins.
Puis je glisse sa main vers mon slip, le glisse sous mon slip.
Je ne me contrôle plus.
- Prenez-moi, je suis toute à vous.
- Du calme, avant tu vas boire ton café, puis tu me suceras.
J'obéis. Quand il libère son mandrin, il mesure vingt-huit par cinq, doté d'un prépuce.
C'est la première fois que je suce un homme. Il me guide.
Il baisse mon slip et me remplit la chatte, à quatre pattes. Je suis submergée par des orgasmes violents.
Au bout d'une demi-heure, pantelante, je le suce.
Il pose son gland à l'entrée de mon anus. Je proteste.
Il m'écarte les fesses et s'enfonce en partie. Le temps que je m'habitue.
Je suis encore vierge des fesses.
Il me fait coulisser un peu. Je gémis. Il me fesse. J'aime être fessée par mes amies lesbiennes.
Il éjacule dans mon anus et il se retire. Je sens un objet froid dans mon anus.
C'est un bijou d'anus en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois qu'il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, il peut facilement être porté pendant toute la journée sous une jupe ou sous un pantalon ou sous un maillot de bain en restant totalement invisible, il me donne une délicieuse excitation anale permanente, et je peux facilement vous asseoir avec le bijou dans l’anus.
Il est long de cinq centimètres pour trois de diamètre.
Il est en forme de sapin et sa large base me garantissent un excellent maintien dans l’anus.
La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Va te doucher, je te fais un plat pour te restaurer.
Sous la douche, je ne cesse de masturber.
Je contracte l’anus. Cette contraction avance le bijou contre ma chatte et stimule cette partie hautement érotique de la femme. Je garde l’objet une heure environ.
Je reviens nue, parfumée.
Il m'invite à me maquiller : les paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres du ventre rougi, du parfum longuement passé sur les aisselles épilées et sur la fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes
Il photographie ma chatte, mes cuisses et mes fesses sous toutes les coutures, pour un ami.
- Merci pour ce plaisir, tu me prendras encore par les fesses, mon chéri.
- Oui, dès que possible, je te laisse. Tu pourras passer des heures à te caresser, tu peux le retirer pour mieux t'enculer.
- Oui, je penserais à toi.
Il me quitte.
Vers 17 heures, je me rhabille sans mettre mon slip ni mon soutien-gorge et je choisis une robe dos nu fuchsia avec des sandales blanches à talons de dix centimètres, coiffée d'une queue-de-cheval.
Je vais voir ma chérie Hermine, la sexologue.
Elle m'en dira davantage sur le bijou d'anus.
Elle habite à une demi-heure à pied de chez moi, dans un luxueux appartement donnant sur les hauteurs de la ville.
A chacun de mes pas, mon bassin ondule doucement, ma chatte ruisselle. Je dois faire des pauses par la montée du désir.
Arrivée chez Hermine par l'ascenseur, je suis pantelante.
Je soulève ma jupe devant Hermine. Hermine est une superbe blonde au corps d'adolescent, 1,75 m, aux cheveux longs, 25 ans, une copine de lycée. Elle est divorcée.
Elle découvre le cristal rose entre mes fesses.
- Il a pris ton cul ma chérie. Mon maquillage est superbe.
- Oui, une queue de vingt-huit par cinq, d'un bel étalon, il m'a défoncée la chatte puis le cul. Je mouillais énormément.
Hermine retire le bijou et découvre mon anus dilaté.
Nue, sur le fauteuil gynécologique, elle m'insère un spéculum anal pour mesurer mon ouverture.
Elle mesure trois centimètres. Mon anus est encore lubrifié par le sperme de mon étalon.
Puis elle vérifie ma chatte.
- Tu n'es plus vierge. Il t'a bien défoncée.
- Doigte-moi la chatte et l'anus, s'il te plaît.
Hermine obéit et j'explose dans un double orgasme.
Après cet examen, je me rhabille.
Pendant trois jours, je m'habitue au bijou d'anus.
18 juillet
Charles Alexandre me rejoint pour m'enculer après sa longue absence. J'ai passée de longues heures à me masturber en pensant à lui.
Il libère mon anus dilaté.
Je m'offre à quatre pattes, pour mieux le recevoir. Il s'enfonce davantage que la première fois.
Je me masturbe le clitoris tendu. J'ai un violent orgasme.
Il éjacule dans ma bouche et m'offre un nouveau bijou d'anus plus conséquent.
Il mesure treize centimètres de long pour cinq de diamètre, moulé sur une vraie queue veinée et en plus il est vibrant.
Il me l'insère. Je prends du plaisir.
Je passe la séance photo de l'après-midi, en lingerie avec porte-jarretelles et bas pour un gros client.
Le photographe Dan, 1,80 m, blond, barbu, exhibe en plus des photos de ma chatte velue. Il découvre mon bijou d'anus.
Je le suce, sans raison apparente. Il est doté d'un mandrin de vingt-huit par cinq.
Il retire mon slip et me baise, encore avec le bijou d'anus.
J'éprouve du plaisir en double pénétration.
Dan retire mon bijou d'anus et m'encule tout en continuant à me photographier. Je suis au bord de l'orgasme.
Il éjacule dans mon anus, avant de se retirer.
Je me douche et me rhabille de mon tee-shirt blanc sur mes seins nus aux mamelons tendus et une jupe ample fuchsia, mi-longue avec des sandales blanches à talons de douze centimètres, les cheveux coiffés en queue-de-cheval.
Dan envoie les photos à Charles Alexandre, qui a fait installer de discrètes caméras chez moi pour me filmer et me photographier nue.
Il est 15 heures, quand le taxi me dépose au pied de mon immeuble.
Je me déshabille, me refais une beauté.
Je m'allonge sur le lit, cuisses écartées, doigte ma chatte humide, tout en caressant mon clitoris tendu.
Cette double pénétration m'a mis dans un état d'excitation, que je désire la connaître avec deux étalons.
Je fais aller et venir le bijou et j'explose.
Charles me retrouve.
Il m'encule, l'anus libre. Je suis empalée sur lui, de face, puis de dos
Allongée sur le dos, les cuisses complètement relevées au niveau des épaules, pour une sodomie profonde que je ne peux refuser.
Il m'achève, en grand écart, les reins soulevés.
- Je souhaite être prise par deux étalons, dis-je pantelante, la bouche remplie de sperme.
- Tu as encore besoin d'être dilatée, pour ce plaisir.
- Encule-moi, j'aime ça.
Sans attendre, après que je l'ai sucé, il m'allonge sur le ventre, il s'allonge sur moi, m'encule, m'enserre par les hanches, en caressant mes seins. Je suis profondément enculée.
Sans débander, nous sommes allongés sur le côté gauche, il caresse mon sein droit, tout en m'embrassant, me pilonnant. Je tends mes fesses pour qu'il éjacule en moi.
Nous prenons une douche. Il me remet le bijou d'anus.
Je feuillette des livres illustrés de photos de couples faisant la sodomie, tout en me caressant.
J'en suis toute excitée.
23 juillet
Lors de mon petit déjeuner, je découvre Charles Alexandre en compagnie de Dan, qui font l'amour. Je suis excitée par ce spectacle. Nue, je me caresse, en les observant.
Leurs mandrins en érection se fouillant mutuellement.
Je rêve de les sucer à tour de rôle, tout en étant empalée sur chacun de leurs mandrins.
Le midi, je descends déjeuner au restaurant à deux rues de chez moi. J'ai choisi un tailleur strict fuchsia sur mes seins nus, sans aucun chemisier, avec juste un porte-jarretelles et des bas blancs, chaussée de mules blanches à talons de dix centimètres, fardée et parfumée, les cheveux libres.
J'attire les regards. J'ai mis du vernis rouge sur les ongles de mes mains.
Charles Alexandre et Dan me retrouvent, car ils ont réservé une table pour quatre.
En effet, ma chérie Aimée, une brune aux cheveux mi-longs, vêtue du même tailleur que moi, sur un chemisier noir cachant sa lingerie blanche transparente, des escarpins blancs, 1,75 m, à la poitrine plantureuse, est invitée.
- Tu es sexy, ma belle Shawn, me dit Aimée, en m'embrassant.
Aimée est une ancienne lesbienne du lycée, qui est devenue mariée avec Alban, le plus beau garçon du lycée. Je fantasmais sur Alban.
Aimée glisse sa main sous ma veste et caresse mes seins nus aux mamelons encore tendus par le spectacle offert ce matin.
- Je suis toute nue dessous, juste avec mon porte-jarretelles et mes bas, dis-je à Aimée à l'oreille.
- Oui, Shawn, ma chérie, dit Charles Alexandre est constamment nue sous ses tenues. Ses fesses, ses reins, sa chatte, son clitoris et sa toison sont accessibles à tous, elle désire s'offrir aux inconnus. Il m'embrasse sur la bouche langoureusement.
Nous déjeunons. J'ouvre discrètement la fente de ma jupe pour m'asseoir les fesses nues sur le cuir du canapé, cuisses écartées.
- Tu sais, que Shawn fantasmais sur Alban, mon chéri. Alban serait ravi de défoncer l'oeillet encore vierge de Shawn, dit Aimée.
- Non, Shawn n'est plus vierge, elle est doublement ouverte, dit Dan. Elle aime les bijoux d'anus.
Après le café, nous allons nous promener au parc non loin de là.
Ce déjeuner m'a excité et je fantasme sur un trio.
Aimée m'embrasse langoureusement, caressant mes seins nus aux mamelons tendus. Je mouille abondamment.
Nous allons chez Dan, à un quart d'heure de marche du parc.
Dan occupe un vaste et luxueux hôtel particulier.
Nous retirons nos tenues.
Aimée regarde le bijou d'anus que je porte.
- C'est un réaliste. J'imagine ce que tu dois ressentir quand tu es enculée ma chérie.
- Dan encule-moi et toi encule Aimée.
Aimée n'a jamais reçu un tel calibre dans son anus. L'étalon s'enfonce jusqu'aux testicules et Dan m'invite à m'empaler sur lui, de face, pour caresser mon clitoris et fouiller ma chatte humide. Un violent orgasme anal m'envahit.
Sans rien demander, je me retrouve remplie par leurs deux mandrins, Dan logé dans ma chatte et l'Etalon qui m'encule. Je coulisse sur les deux mandrins. Aimée prend un gode et encule l'Etalon. Cela m'excite davantage.
Puis ils inversent les rôles, avant une longue sodomie par chacun, tandis que je suce l'autre. Aimée filme la scène.
Mon corps est couvert de sueur, de spermes frais. Aimée me remet mon bijou d'anus et sous la douche, elle le fait aller et venir jusqu'à un nouvel orgasme.
L'anus libre après un nouveau lavement, l'Etalon m'encule une dernière fois.
- Je souhaite recommencer, quand vous voulez, messieurs.
- Tu es super dilatée, ma chérie.
Aimée me ramène chez moi, après une longue sieste masturbatoire lesbienne, où nous connaissons de nombreux orgasmes.
Je passe une nuit agitée, remplie de doubles pénétrations par des gros calibres.
25 juillet
Ce matin, Charles Alexandre me fait acheter quelques tenues coquines dans un sex-shop du centre-ville.
Je suis vêtue d'un chemisier semi-transparent blanc sur mes seins nus et une mini-jupe ample fuchsia sur mes fesses nues, avec mon bijou d'anus et des sandales blanches à talons de dix centimètres, fardée, parfumée, coiffée d'une queue-de-cheval. J'ai vernis en rouge mes ongles des mains et des pieds.
Le sex-shop est tenu par une amie de Charles Alexandre. Prudence est une brune aux cheveux longs, 1,80 m, vêtue d'une mini robe dos nu rose sur son corps nu, chaussée d'escarpins noirs à talons de huit centimètres.
J'y découvre des collections de godes anaux de divers calibres, des tenues en cuir, des colliers, des cravaches, des dessous dénudant les seins et la chatte et des films porno sur la sodomie, la double pénétration et le BDSM.
Je suis toute excitée.
Prudence m'aide à choisir.
- Tu as de superbes fesses, de superbes seins, une belle bouche de suceuse et une chatte velue que des hommes doivent envier. Tu te masturbes souvent.
- Oui, j'aime être enculée.
- Des clients sont là, pour te satisfaire. Voyons, mets-toi nue, que j'admire.
J'obéis.
- Je pense qu'un calibre six devrait la satisfaire. S'il te plaît, tu la gardes velue, sa valeur va monter. Un étalon africain devrait faire l'affaire. Caresse-toi, pour exciter les clients.
Je m'exécute.
Un superbe étalon Africain me rejoint.
- Je peux, la prendre, dit-il.
- Tu vas le sucer, puis il t'enculera.
Quel calibre, trente-deux par six, j'ai du mal à l'avaler.
Penchée en avant, les fesses écartées, je suis enculée. Je gémis un peu, peu habituée, mais les caresses clitoridiennes me font rapidement jouir. Je coulisse jusqu'au deux tiers, bien ouverte.
Un autre mandrin, de trente-quatre par cinq me remplit la bouche.
Ils se relaient pour me satisfaire, filmée par Prudence. J'avale leurs spermes et mon anus est rempli de leurs spermes.
Bien chaude, je me rends au sous-sol, regardez un film porno BSDM. Une jeune et belle soumise nue, se fait enculer par des dizaines d'étalons, qui la fouettent. Elle les suce, avale.
Un couple a mes côtés, me caresse, entre mes cuisses écartées. Je me synchronise sur l'actrice pour jouir.
L'homme me fait asseoir sur son gros mandrin, qui m'encule, tandis que sa femme me lèche la chatte et le clitoris tendu.
Je masturbe un autre mandrin et je suis recouverte de spermes, mon anus est encore rempli.
Je dois me soulager aux toilettes. Là, encore deux autres étalons m'enculent et se vident dans ma bouche.
Nous sortons du sex-shop, après une bonne douche avec Prudence.
Je souhaite découvrir davantage le SM.
Vers dix-sept heures, nous prenons une limousine blanche aux vitres teintées pour rejoindre un lieu secret à trois heures de route du centre ville.
Je retire mon chemisier, ma mini-jupe, mon bijou d'anus.
Charles Alexandre me bande les yeux, me met à mon cou, mes poignets et à mes chevilles, un collier et des bracelets réalisés en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Il attache ensemble les anneaux de ses bracelets dans mon dos.
Les cuisses écartées, je sens les mains sur ma chatte, mon clitoris tendu, mes mamelons pincés et tendus.
Même je m'empale sur le mandrin que j'ai sucé de Charles Alexandre, pour m'enculer.
Nous faisons une pause.
Allongée sur le dos, le chauffeur, musclé et bien monté, m'encule, sans aucune résistance.
Il éjacule un peu dans mon anus et se vide dans ma bouche. J'avale tout.
Nous reprenons la route vers une grande grille ouverte.
La limousine s'arrête une grande villa avec plusieurs annexes.
La première comprend au rez-de-chaussée, à droite d'un grand vestibule (sur lequel ouvrait l'une des grilles, la plus grande), la bibliothèque, un salon, un fumoir, un vestiaire, et à gauche, le réfectoire des filles et une pièce attenante réservée aux valets. Quelques chambres, au rez-de-chaussée, sont occupées par les filles. Les filles ne peuvent circuler qu'accompagnées ; elles sont absolument astreintes au silence, même entre elles, et aux yeux baissés; elles sont toujours nues.
Il y a une aile où logent d'autres filles sans aucune astreinte.
Enfin, il y a un restaurant, un bar, de petits salons au rez-de-chaussée, et aux étages, des chambres. Le restaurant et le bar où les filles font le service, nues.
Je monte quelques marches, franchis des portes et j'attends seule dans une pièce, les yeux bandés.
Deux jeunes femmes nues, portant une ceinture autour de la taille, des chaînettes, une qui suit le sillon des fesses et deux autres qui contournent le pubis et la chatte totalement épilées, pour maintenir le gode anal en place. Les chaînettes sont cadenassées. Chacune porte des marques au fer rouge sur les fesses et sur le pubis, des marques de cravache sur les fesses et les cuisses.
Avant de me libérer mes mains, je suis agenouillée, mais cette fois le buste reposant sur un pouf recouvert de fourrure, toujours les mains au dos, et les fesses plus hautes que le dos, cuisses écartées. Un des hommes que je ne peux voir, m'encule jusqu'aux testicules.
Puis il choisit un gode anal veiné, en érection, au gland décalotté, de trente par six.
Il l'attache à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laisse pendantes. Il me l'enfonce. Je gémis un peu, surprise par le réalisme.
Il est doté d'un puissant va-et-vient télécommandé depuis un téléphone portable.
Je me relève, on attache une étroite ceinture autour de sa taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suivait le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui contournent le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser la tige et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux me soulager de cette contrainte.
On voit les chaînettes et la ceinture, tout le monde sait que je porte le gode anal.
Les deux femmes me lavent, me refont une beauté. Je dois garder les cuisses écartées, assise sur un fauteuil de coiffeur.
Une grande glace reflète mon corps exposé. Les va-et-vient du gode anal font onduler mon bassin. Je me retiens de jouir.
L'eau a resserré mes carcans de cuir. Je porte juste des mules blanches à talons de dix centimètres. Je garde mes cheveux libres.
J'attends seule dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettant de me bien voir, cuisses écartées.
Un valet entre, juste vêtu d'un gilet en cuir sur son corps nu.
Je regarde uniquement son mandrin de trente par cinq, maintenu en érection, et son fouet à lanières. Je garde les yeux baissés comme me l'a appris Charles Alexandre.
Je dois le sucer, tandis qu'il s'attarde sur mes seins, ma chatte humide entre mes cuisses.
Il me retire un instant le gode anal, pour m'enculer, penchée en avant. Il le fait sans éjaculer en moi. Il éjacule dans ma bouche et me remet le gode en place.
Les mains menottées dans le dos, les yeux bandés, tenue en laisse, par le valet, escortée par les deux femmes, nous allons dans un long couloir jusqu'à la bibliothèque.
A la bibliothèque, quatre hommes musclés, bien montés, m'attendent. Je suis libérée du bandeau mais aveuglée par une lampe torche.
Puis on me remet le bandeau.
On caresse mes fesses, vérifie les attaches du gode, avant de me le retirer et je suis doublement fouillée dans la chatte et l'anus dilaté.
Un gros mandrin s'enfonce dans mon anus, en écartant un peu mes fesses. Je me retiens de jouir.
Une main me prend un sein, une bouche saisit le mamelon de l'autre.
Je me retrouve allongée sur le dos, les cuisses écartées, un mandrin en bouche, la chatte léchée, puis enculée ainsi par un autre gros mandrin.
Je ruisselle.
Je suis ensuite agenouillée, cuisses écartées, mes mains liées au dos me font pencher en avant. Je fléchis un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
- Elle aurait besoin de quelques fessées, le fouet va marquer sa belle peau, qu'il faut conserver pour les invités, dit un des hommes, que je suce.
Puis je me suis remise à genoux, mais cette fois le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et chacun m'encule avec plus ou moins de vigueur et de profondeur.
Quand on me lâche, je suis allongée sur le dos, pour sucer.
On me laisse captive, nue, cuisses écartées.
Soudain on m'enlève mon bandeau. La grande pièce avec des livres sur les murs sont faiblement éclairée par une lampe sur une petite table et par la clarté des flammes qui se raniment. Les hommes avaient mis des masques et sont encore en érection. Chacun m'a enculée.
On caresse longuement mes seins, ma chatte et surtout on doigte mon anus dilaté.
Je suis ensuite suspendue à un crochet, sur la pointe des pieds nus, les bras tendus, les mains au-dessus de la tête.
On alterne entre fessées et double pénétration, pour me soumettre. Je me retiens de jouir, les yeux baissés.
Les fesses brûlantes, je m'abandonne.
Je m'ouvre davantage pour mieux les recevoir.
- Mon anus n'est encore assez dilaté, selon l'un d'eux.
Détachée, je suis empalée sur un des hommes, enculée.
Les deux femmes m'habillent d'un corset seins nus, tenu rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendaient presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. Le corset est plus court par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Une jupe largement fendue devant et derrière, laissant libre accès aux fesses et au pubis complète la tenue, plus les mules à hauts talons.
On me remet le gode anal en place.
- Tu offres ton corps au premier venu, pour que ta bouche, tes seins, ta chatte et surtout tes fesses soient fouillés par quiconque. Tu gardes tes lèvres entrouvertes, les cuisses écartées, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte, et tes fesses. Ta jupe est ouverte, pour être utilisée. Tu seras fessée et une autre soumise sera fouettée à ta place. Tu fixeras nos mandrins que tu suceras. La nuit, tu dors nue, cuisses écartées, les mains liées dans le dos, pour sucer et être fouillée. A la sortie, tu porteras un anneau de fer à l'annulaire, qui te fera reconnaître : tu auras appris à ce moment-là à obéir à ceux qui portent ce même signe - eux savent à le voir que tu es constamment nue sous tes tenues, et que c'est pour eux. Tu porteras Anal Plaisir pendant huit jours, entre ton lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où finit ton service dans la bibliothèque et l'heure de la nuit, dix heures généralement. On fera usage régulièrement de cet accès.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules, comme les portes des chambres dans les grands hôtels.
Une des deux femmes lui annonce : « Tu es dans l'aile des jouisseuses anales, et ton valet s'appelle Etalon Eros.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
- Je m'appelle Anal O.
- Et moi Justine S », dit la seconde.
Les seins offrent davantage leur mamelons et le ventre est sailli et les fesses sont profondément cambrées.
La première reprend : « C'est le valet qui a les clefs, qui t'attache et te détache, te prend par les fesses.
- J'ai été dans l'aile des jouisseuses anales l'année dernière, dit Justine S, Etalon Eros y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Etalon Eros est un bel étalon musclé, 1,85 m, vêtu d'un gilet de cuir, brun, barbu, le mandrin imposant de trente-six par sept, maintenu en érection, botté, nous reçoit.
- Voici, Anal Nordique, la séduisante soumise, elle porte déjà Anal Plaisir. Suce-moi.
J'obéis.
Il me retire le gode anal et m'encule prosternée sur la banquette.
Il ouvre la porte et reste à m'observer nue.
Il y a une antichambre qui donne sur une fenêtre, près d'un grand lit carré, très bas, couvert de fourrures. Un crochet est fixé deux mètres au-dessus de la tête du lit, scellé au mur où passe une longue chaîne d'acier : l'une de ses extrémités s'entassait sur l'oreiller en formant une petite pile d'anneaux, tandis que l'autre est retenue à un crochet, sur le côté.
Nue, je rejoins la salle de bains, entièrement recouverte de glaces, avec une douche, où on peut me menotter les bras tendus.
On me fait un lavement, on me met en excitation pour la nuit.
Les deux femmes m'abandonnent.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis douchée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Etalon Eros joint mes deux mains dans les deux anneaux de mes bracelets et puis à l'anneau du collier.
Avant de m'enchaîner, il m'encule jusqu'aux testicules, les cuisses écartées et se vide dans ma bouche.
Enchaînée, il en profite pour caresser ma chatte velue et mon pubis.
Il me remet l'Anal Plaisir pour la nuit.
Le gode va et vient, télécommandé à distance par un téléphone portable dont j'ignore son propriétaire. Je ne peux ni masturber mon clitoris tendu, ni ma chatte tendu. Je fais de mon mieux pour ne pas hurler de plaisir.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Etalon Eros revient.
Il m'allonge sur le ventre, l'anus libre, se met dos à moi, enfonce son gros mandrin dans mon anus. Puis il m'encule, il est allongé latéralement. Je ne peux me dérober, agrippée à mes hanches.
Enfin, il m'allonge sur le dos, les cuisses relevées et bloquées par les cuisses de l'étalon, ses testicules claquent contre mes fesses brûlantes par les fessées subies.
Un orgasme anal violent me terrasse sous sa longue éjaculation. Il porte une gaine qui élargit son diamètre pour mieux me dilater.
Il m'encule encore, penchée en avant, les mains posées sur le lit. Il m'écarte bien les fesses et masturbe mon clitoris tendu.
Je me redresse, enculée, lui offrant mes seins aux mamelons tendus, la chatte et le clitoris masturbés.
Je le suce ensuite et j'avale son sperme.
Le tout a duré une demi-heure.
Il m'abandonne, pantelante, en sueur.
Jamais, je n'ai tellement autant de sodomies.
Mon anus retrouve sa forme initiale par un bijou d'anus de trois centimètres.
26 juillet
Les hommes portent à un anneau les clefs, celles des portes, celles des chaînes, celles des bracelets et des colliers, les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'un blouson de cuir, le mandrin bien monté et libre et botté.
Il me passe la main entre les jambes écartées. Il me caresse la chatte humide, le clitoris encore tendu, retire le bijou d'anus. Il m'allonge sur le ventre, m'encule sans prévenir, jusqu'aux testicules. Son mandrin est plus gros que celui de l'Etalon. Il éjacule en moi.
Il me libère enfin de la chaîne.
Anale O et Justine S regardent la scène.
Justine S tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
« Mange vite, dit Anale O, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à midi, et quand tu entends sonner il est temps de t'apprêter pour le déjeuner. Tu te douches, te coiffes, je viens te farder et te lacer ton corset.
- Tu es de service que dans l'après-midi, dit Justine S, pour la bibliothèque servir le café, les liqueurs et t'offrir. Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et toi non plus à nous.
Charles Alexandre me rejoint, le mandrin en érection, en compagnie d'un autre homme, nu, bien monté aussi, musclé, 1,85 m, lui aussi en érection.
Les deux femmes partent sans un bruit.
Je bois mon café, cuisses écartées, un croissant posé sur la table roulante.
- Tu es resplendissante. Ecarte un peu tes fesses.
J'obéis, mon anus est rougi par les sodomies nocturnes.
Charles Alexandre me met à disposition de l'inconnu, les mains menottées dans le dos.
Je dois subir la langue, les doigts de l'inconnu sur mon clitoris, ma chatte et surtout mon anus, les cuisses écartées.
Charles Alexandre me tient par la taille. Je garde les yeux baissés.
Je me retiens de jouir.
Je me retrouve étendue sur le dos, suçant le mandrin de Charles Alexandre tandis que l'inconnu m'écarte bien les cuisses et m'encule jusqu'aux testicules.
Il éjacule en moi ainsi que Charles Alexandre dans ma bouche.
L'inconnu repart.
Charles Alexandre m'encule, les mains libres, à quatre pattes, fessée jusqu'à l'éjaculation.
En tenant mon collier, il m'annonce que je suis offerte à tous les invités, soumise, offerte par tous les accès.
- On t'a dit hier que tu ne dois, tant que tu es ici, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Lève-toi. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser. »
Je me lève, me douche, me fait un lavement pour rester propre.
Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudre, et toujours nue, mais les yeux baissés, reviens dans la cellule.
Charles Alexandre me remet le gode anal en place, cadenassé.
Justine S m'habille. Mon anus s'est un peu distendu.
Charles Alexandre encule Justine S, qui ne porte pas de gode anal, sans éjaculer. Je le nettoie.
Les assauts du gode anal me produisent un discret orgasme.
Nous quittons la cellule, accompagnées d'un autre valet.
C'est un superbe étalon musclé, 1,75 m, bien monté lui aussi, avec une gaine.
Je reste silencieuse, au réfectoire, assise sur un tabouret rond recouvert de cuir, où je m'assois les fesses nues. Le valet de permanence prend soin de me retirer le gode anal pour le déjeuner. Une table longue en verre épais permet de voir les cuisses des soumises.
Inversement, à mon départ, je serais vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mes tenues, relever à chaque fois ma combinaison et ma jupe pour s'asseoir, à même la banquette d'une auto ou d'un café.
Je suis conduite dans la bibliothèque, pour y faire le service du café et du feu. Je suis la seule soumise présente. La bibliothèque est encore déserte. Les portes-fenêtres ouvrent à l'ouest, une commode des bouquets de roses rouges et blanches.
- Etalon Eros t'a prise par les fesses hier soir.
Je fais signe que oui.
Mon anus est bien ouvert, mes fesses encore rougies.
Je me retrouve sur le pouf, agenouillée, penchée en avant, comme la veille, le buste reposant sur le pouf. Un bel étalon blond, m'encule sauvagement, sans répit, après que j'ai fait le service.
Il possède un gros mandrin. Anal Plaisir m'a bien ouvert.
L'autre homme, doté du même calibre m'encule ensuite, me fesse, tandis que le blond éjacule dans ma bouche.
- Il faudrait un modèle plus large, pour l'ouvrir un peu plus dit l'un d'eux.
On choisit un modèle trente-deux par sept, veiné, décalotté, en érection.
Je le porte comme l'autre.
3 août
Au bout de huit jours aucun gode n'est plus nécessaire et Charles Alexandre est heureux que je sois doublement ouverte, et qu'il veille à ce que je le demeure.
En sept jours, je n'ai sucer autant de mandrins, mes mamelons et mes seins constamment caressés, pelotés, sucés, ma chatte et surtout mon anus honorés à plusieurs reprises. Je me prostitue.
A la nuit tombée, Etalon Eros et Charles Alexandre me prennent en double pénétration, me fessant. Ils éjaculent dans ma bouche et mon anus. Je suis nue.
Je rejoins ensuite le réfectoire.
5 août
Etalon Eros la douche, menottée, les bras tendus en l'air, l'encule profondément sans éjaculer.
Il joint mes mains dans mon dos, une fois sèche, nue.
Il me met un bandeau sur les yeux et attache la chaîne à l'anneau de mon collier et je l'accompagne.
Je marche pieds nus sur le carrelage, puis sur des pierres.
Nous franchissons deux portes, puis descendons un escalier.
Dans l'escalier, il me couche sur les marches et m'encule à nouveau, jusqu'à éjaculer dans ma bouche.
Sous mes pieds se trouve un épais tapis. Il me retire le bandeau.
Etalon Eros me menotte à un chevalet, pour m'offrir dans une pièce ronde et voûtée, petite et basse. À ma portée, dans une niche, un plateau de bois présente de l'eau, des fruits et du pain.
Les yeux bandés, les hommes m'enculent, me font sucer, me fessent.
8 août
Tout d'un coup le temps cesse d'être immobile. Dans sa nuit de velours on détache ma chaîne.
On m'enveloppe dans une étoffe épaisse, et quelqu'un me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
Je suis couchée nue, dans ma cellule, sur la fourrure, cuisses écartées, avec un bijou d'anus de calibre moyen, c'est le début de l'après-midi, j'ai les yeux ouverts, les mains libres, et Charles Alexandre me caresse les cheveux.
Je me douche, je me farde et me parfume.
Un des hommes entre, m'encule une ultime fois, allongée sur le ventre jusqu'à éjaculer en moi. Il me remet le bijou d'anus en place.
Il me retire mes carcans et je choisis la bague que je porte à mon annulaire gauche.
Charles Alexandre prend soin de caresser mes fesses, mes seins, de m'embrasser. Je garde les yeux baissés.
Je revêts mon chemisier semi-transparent blanc sur mes seins nus et une mini-jupe ample fuchsia sur mes fesses nues, avec mon bijou d'anus et des sandales blanches à talons de dix centimètres, je me coiffe d'une queue-de-cheval.
Nous rejoignons le parc.
Charles Alexandre est venu avec sa Ferrari Testarossa rouge. Je relève ma jupe pour m'asseoir, ouvre mon chemisier et garde les cuisses écartées.
Nous quittons les lieux.
La Ferrari roule jusqu'à un hôtel particulier à l'entrée de la ville.
Charles Alexandre n'a cessé de caresser mes seins aux mamelons tendus et mon clitoris tendu.
L'hôtel particulier est ma nouvelle résidence.
Je rejoins ma nouvelle chambre qui abrite mes nouvelles tenues réglementaires : aucun dessous, juste des guêpières seins nus comme à la villa, des tenues qui s'ouvrent facilement sur mon corps nu, des jupes très courtes, fendues par derrière, des hauts moulants et dénudant les épaules, des chemisiers semi-transparents, une collection d'escarpins, de sandales et de mules à hauts talons, plus le maquillage nécessaire, une collection de bijoux d'anus de calibre moyen.
Nue, je m'écarte les fesses, pour admirer mon anus assoupli par les assauts consécutifs pendant deux semaines.
Je porte juste une guêpière seins nus en dentelle, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches. Le busc , sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Il est lacé étroitement. Ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Mes mules complètent ma tenue, fardée et parfumée.
Je rejoins le salon. Des dizaines d'hommes m'attendent, pour me prendre.
Charles Alexandre m'encule en premier, tandis que je suce ses messieurs, les yeux baissés.
Cela dure jusqu'au souper. Je m'empale, enculée, assise entre leurs cuisses, partageant leurs repas.
Mes seins, mon clitoris sont très sollicités, mais je dois me retenir de jouir, sauf sur ordre.
Les doubles pénétrations se succèdent pour voir combien je suis doublement ouverte.
9 août
A l'aube, les invités me quittent. Je me douche, me repose des excès de la journée.
Je porte à la demande de Charles Alexandre, un godemichet anal en ébonite de calibre moyen, avec un œuf vibrant dans ma chatte humide, maintenus en place par une ceinture de chasteté cadenassée.
Je suis menottée à mon lit, cuisses écartées, en évitant de jouir, sans les vibrations.
Vers 10 heures, Dan vient me réveiller. Il me libère.
Mon clitoris est tendu, ma chatte est bien humide et ouverte, ainsi que mon anus dilaté.
Je me soulage, me douche, me farde, me parfume. Je reste nue, pieds nus.
Je rejoins une salle où une machine à plusieurs godes de divers calibres, me défonce la chatte et l'anus en alternance. Je suis menottée à la machine, devant une caméra qui filme mes vingt minutes d'orgasmes violents.
Dan et Charles Alexandre me prennent en double pénétration intense, jusqu'à l'orgasme, me remplissent la bouche, la chatte et l'anus de spermes chauds. Je suis rassasiée et heureuse.
D'autres invités viennent me satisfaire, me fessent.
Je porte de temps à autre, Anal Plaisir, trente-deux par sept, cadenassé, lors de pauses.
12 août
Charles Alexandre me conduit en bord de mer, dans une luxueuse résidence.
Je vis constamment nue, tenue en laisse par les domestiques, que je suce, en échange de longues sodomies par leurs mandrins bien montés.
Je porte maintenant des anneaux dorés à mes mamelons, aux lèvres de ma chatte épilée, mais je garde mon triangle pubien velu.
Désormais, je suis fouettée, cravachée, sur les fesses, les reins et les cuisses, comme une vraie soumise. Je porte mes carcans au cou, aux poignets et aux chevilles pour être attachée et livrée à des inconnus.
Je me sens plus vicieuse.
Nous prenons le yacht pour des soirées SM.
Je ne peux compter le nombre de partenaires, les yeux bandés, souvent avec un bâillon-boule.
25 août
Nous retournons à la villa, pour continuer mon dressage dans le lieu inconnu.
Intégralement bronzée, je suis payée par des clients pour mes services : sodomie, double pénétration, fouet, cravache, garcette.
J'aime cette vie de soumise.
Je suis devenue Anal Nordique du Désir.
J'ai hâte de vous rencontrer, futurs clients.

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