SHAWN ET LE RESEAU
Je m’appelle Shawn.
J’ai 25 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
SHAWN ET LE RESEAU
15 juin
Je suis enquêtrice pour la gendarmerie nationale, détachée dans le Sud de la France.
J'ai des soupçons sur un trafic de jeunes filles depuis le reste de l'Europe vers la France.
Je suis épaulée par Alban, un bel étalon brun de 30 ans, bien monté, 1,80 m, et Hermine, une grande blonde aux seins d'adolescents, de 28 ans, très élégante, 1,75 m.
Cela fait des mois, que des informations circulent sur ce réseau, mais personne n'a pu remonté le réseau, sans revenir vivant.
Je suis une lesbienne, mais j'aime aussi les hommes.
J'aime les tailleurs stricts et les tenues élégantes, quand je sors en civil.
Les hommes m'envient par ma beauté, mon charme.
Ce matin, à bord de ma 205 cabriolet noire, j'ai rendez-vous dans un port, où un yacht fait fréquemment relâche pour décharger sa cargaison la nuit.
Vêtue d'un tailleur fuchsia sur un chemisier blanc, sur mes dessous en dentelle, chaussée d'escarpins blancs à mi-talons, les cheveux libres, avec mes lunettes de soleil, je me fais passer pour une touriste.
Un bel étalon Italien me séduit :
- Tu es très belle, je suis Eros, l'Etalon du Plaisir. Tu es nouvelle. Tu sais, je donnerais tout ce que tu veux, pour te donner du plaisir.
- Non, merci, je recherche le yacht « Olympe Trésor », battant pavillon des Bahamas, un 125 mètres.
- Tu cherches le yacht du plaisir. Il se fait discret. Tu l'as raté, ma belle. Il doit revenir dans un certain temps. Le temps que je m'occupe de toi.
- Merci, du renseignement, je dois partir.
Je repars vers la brigade pour de plus amples informations.
Hermine me confirme qu'une amie d'un diplomate Français en Autriche est portée disparue depuis un mois et pense qu'elle serait peut-être en France.
Le yacht a quitté les eaux Françaises pour rechercher d'autres filles.
Je me rends le soir au casino, vêtue d'une robe bustier noire, chaussée d'escarpins noirs à talons de dix centimètres, maquillée, coiffée d'un chignon, avec d'autres agents.
Je joue à une table et je gagne une belle somme. J'en reverse 10 % à la banque.
Un jumeau d'Eros me rejoint.
- Je suis le Baron Saint Désiré de Mon Plaisir. Tu connais Eros. C'est mon jumeau.
- Ne suis pas intéressée par votre offre.
- Prends tes jetons, va les changer et allons au bar.
J'obéis.
Là, une jeune fille de 18 ans, brune, en tenue transparente blanche, chaussée de mules transparente à très hauts talons, les cheveux courts, aux seins d'adolescents, 1,70 m, nous rejoint.
Elle est intégralement épilée, porte des anneaux dorés aux mamelons et aux petites lèvres cadenassées.
- Fleur Lesbienne, voici, quel est ton prénom ?
- Prudence, je suis en quête de plaisirs lesbiens.
- Prudence, Fleur Lesbienne, coûte un certain prix pour toi. Ce sera 15 % de ton gain. Admire son corps. Elle a été cravachée pour avoir regarder les hommes. Ce soir, elle baisse les yeux. Fleur, caresse notre amie.
Elle glisse sa main dans mon slip en dentelle blanche et me fait jouir.
- Tu es très réactive. Fleur te rejoint demain soir. Tu donnes ton adresse à l'accueil. Retournes jouer, tu es une chanceuse.
Je fais comme le plan est prévu.
16 juin
Après une journée à recevoir Fleur, je l'attends nue, après m'être longuement masturbée, sous la douche.
Fleur arrive en corset noire seins nus et mules à hauts talons sous une robe transparente noire.
Elle surprise par ma chatte velue et mon refus de me doigter l'anus. Mais je suis excitée, lorsqu'elle me fesse.
Nous faisons l'amour. Je tente de mieux la connaître.
Elle me quitte vers une heure du matin.
17 juin
Vers 4 heures du matin, mon téléphone portable sonne.
- Prudence, je pense que vous dormez nue sous vos draps. Vous pouvez m'envoyer une photo de votre corps nu. Caressez-vous aussi. Je veux vous entendre jouir.
J'obéis, nue dans mon lit, cuisses écartées. Mes doigts fouillent ma chatte velue et mon clitoris jusqu'à l'orgasme, en mode vidéo.
- Tu es très obéissante. Je te rappelles si j'ai besoin de tes services. Tu aimes les fessées.
Au même moment, Fleur est exécutée, noyée, nue, le corps zébré, après une longue orgie anale, et son corps est déposée au pied d'une corniche escarpée, loin des regards.
Vers 6 heures, on sonne à la villa que j'ai louée, à une heure du casino.
C'est Hermine, en uniforme de major. Je suis capitaine en détachement et Alban est adjudant.
- Tu sais la fille que tu as rencontrée au casino. Elle est portée disparue peu après le départ de ta villa. Nous avons lancé les recherches. Tu te promènes à poil.
- Désolé, je vais m'habiller. La nuit a été courte.
Je revêts mon uniforme et nous allons à la brigade en voiture banalisée.
La gendarmerie maritime envoie des moyens maritimes pour accéder à la zone. Le corps est photographié et rapatrié pour autopsie.
L'ADN confirme bien l'identité de la personne disparue en Autriche.
Nous n'avons aucun suspect.
Ma sœur jumelle Diane, qui travaille pour une société de jets privés, sur un aéroport à proximité, me confirme que la fille a effectué plusieurs allers retours avec un de deux jumeaux et ses gardes du corps. Les vols viennent d'en dehors d'Europe pour la plupart, les filles viennent d'Europe en yacht, pour les faire entrer illégalement.
Europol et Interpol suivent le trafic de près.
L'après-midi, vêtue d'un chemisier blanc et d'un jean, de mules blanches à petits talons, je me rends avec Alban, dans une des villas surplombant la corniche où a eu lieu le meurtre.
Sa propriétaire, Anne Caroline, une grande brune plantureuse, 35 ans, 1,80 m, nous reçoit en bikini blanc, à sa piscine.
Elle déclare n'avoir rien entendue. Elle porte des marques de cravache sur les fesses et une mystérieuse pierre précieuse entre les fesses visible sous son string.
Elle est l'amie du propriétaire du yacht « Vénus Saphir », battant pavillon des îles Caïmans, un luxueux yacht. Celui-ci possède des suites et le frère jumeau du « Olympe Trésor », et aussi des salles de casino.
Nous la faisons venir pour une audition plus instructive. Car selon des informations, Anne Caroline est l'ancienne Justine de Vice, une des maîtresses du Marquis Brice Sévices et Mystères.
Le soir, de retour chez moi, nue, dans mon lit, je me caresse.
Le téléphone portable sonne. C'est le même interlocuteur de la nuit dernière.
- Prudence, vous m'intéressez. Je sais que vous rêvez de soumissions, de plaisirs divers. Votre corps le désire. Veuillez laisser tranquille Justine, elle n'est pas impliquée. Vous devriez chercher dans les amies de la morte. Ce soir, tu vois te doigter l'oeillet et te faire jouir. Tu auras un petit cadeau en retour.
J'obéis, mon anus est un peu serré, mais je fais de mon mieux. Je gémis, mais les caresses clitoridiennes me font jouir et je mouille abondamment.
La voix m'annonce :
- La prochaine fois, ce sera une vraie queue dans ton oeillet, qui t'attends.
Il raccroche.
Pendant la courte nuit, je me vois prise par plusieurs étalons bien montés, musclés, virils, des Européens, des Africains et même par Alban.
Ma chatte est toute trempée.
18 juin
Vers 9 heures, alors que je quitte ma villa, pour prendre ma 205, une limousine blanche aux vitres teintées est stationnée devant chez moi. Je suis vêtue d'un tee-shirt noir sur mes dessous transparents blancs et d'une mini-jupe ample blanche, chaussée de nu-pieds, les cheveux libres, fardée.
Un inconnu m'invite à monter à bord.
Je ne peux refuser.
Il est bien monté, musclé, viril, comme dans mon rêve, brun, 1,80 m, 30 ans. Il me caresse, retire mon tee-shirt pour dévoiler mon soutien-gorge où mes mamelons pointent sous l'excitation.
Je suis prise d'une terrible envie. Je libère son mandrin de trente-deux par six, qui bande déjà.
- Prudence, je m'appelle Dan, tu me plais.
Il m'embrasse et je le suce, une première pour moi.
Il libère mes seins, puis glisse ma jupe et retire mon slip trempé. Je suis nue.
Il doigte longuement ma chatte et mon clitoris tendu par les caresses.
Il m'allonge sur le dos, cuisses grandes ouvertes et me défonce. Je gémis un peu par la dimension, mais je prends du plaisir.
Sans attendre, sans débander, il me met à quatre pattes et je sens son gland bouillant sur mon cul descendre sur ma raie jusqu'à l'entrée de mon oeillet puis m'attrapant par les hanches.puis d'un coup je sens sa grosse queue me remplir centimètre par centimètre. Je veux protester, sous la douleur anale.
Il me remplit jusqu'aux testicules, contre mes fesses brûlantes par les fessées qu'il me donne. Il va et vient. Il bande davantage. Je coulisse sur sa queue.
La limousine s'est arrêtée non loin d'une autre villa, dans un chemin à l'abri des regards et le chauffeur doté d'un mandrin de vingt-cinq par cinq me fait sucer son mandrin pour étouffer mes râles de plaisir.
- Enculez-moi, dis-je entre deux fellations.
- Tu aimes. Hercules va bien te remplir. C'est un étalon Africain et je vais te défoncer en même temps la chatte en feu.
Je me retrouve en double pénétration.
Dan s'allonge et me défonce la chatte, je suis allongée sur le ventre tandis que Hercules m'encule avec vigueur.
Sans débander, je me retrouve allongée sur le dos sur Hercules, enculée, pour que Dan me baise. Je décuple mon orgasme.
Pour conclure, je m’accroche donc à Dan, les bras autour du cou de son partenaire et ses jambes autour de la taille. Hercules m'attraper par la taille et m'encule, mes fesses étant proéminentes dans cette position.
Ils éjaculent en moi et dans ma bouche ouverte.
Je suis en sueur. Toute la scène a été filmée.
La limousine me dépose dans un garage souterrain qui mène à une autre villa à deux heures de route de mon adresse.
Dan m'a glissé dans mon anus encore un peu dilaté, un bijou d'anus de calibre six, pour m'ouvrir davantage.
A la villa « Domaine des Biches », je suis nue, pieds nus, les mains menottées dans le dos, les yeux bandés, un bâillon-boule me rend aveugle et muette. Je suis tenue en laisse, dans une vaste pièce, les pieds nus sur le carrelage froid.
- La lesbienne a goûté à l'anal, à la double. Nous allons la transformer en beauté sexuelle soumise. Prenez-la en double, elle a besoin de sa ration.
L'anus libre, je suis à nouveau prise debout, par deux étalons au calibre six, puis deux autres et je dois sucer les quatre, toujours filmée.
Pantelante, les seins aux mamelons tendus à l'extrême, la chatte dégoulinante de mouille et de spermes chauds, l'oeillet distendu et rougi, la bouche bâillonnée remplie de spermes, en sueur, je suis offerte, cuisses écartées, allongée sur le dos. D'autres étalons me remplissent tour à tour ma chatte et mon oeillet. Menottée, je ne peux m'opposer.
Vers midi, je peux me soulager, me doucher, toujours menottée, les bras tendus en l'air. J'ai droit à un lavement anal pour rester propre. Je me restaure.
Je suis ensuite menottée sur le lit, bras et jambes écartés, accessible à tous.
Un bijou d'anus de calibre six me permet de me dilater.
Ma bouche, ma chatte sont fouillées par divers étalons de calibre moyen.
On pince mes mamelons avec des poids pour les étirer quand je suis en levrette.
On adore ma chatte velue, qui va plaire aux futurs clients.
Dans un domaine « Palais des Vices » à deux heures de route de la résidence où je suis logée, de nouvelles filles sont défoncées par des étalons en rut, les transformant en de dociles soumises.
Le domaine et la résidence sont étroitement surveillés par des vigiles armés et des maîtres chiens, des caméras de surveillance et les accès sont filtrés.
Jusqu'au coucher du soleil, libre, je dois porter mes carcans en cuir faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le refermait, et ne pouvait s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet.
Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
On assujettit mes carcans à mon cou et à mes poignets et à mes chevilles.
Dans un coffret en bois, sur un lit de velours brun, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un choix de godes réalistes, veinés, avec un gland bien dessiné et des testicules réalistes, en érection.
Offerte en levrette, un des étalons choisit un gode de trente-quatre de long dont vingt-six insérables et six de diamètre, avec trois trous percés dans la base, avec trois chaînettes qui laisse pendantes.
Il me l'enfonce. Je sens les veines, le gland.
Il m'attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser la tige et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tenté de se soulager de cette contrainte. Le gode est muni d'un puissant va-et-vient, me rappelant mes sodomies que je venais de subir.
Mon bassin ondule sur ce gode.
Nue, pieds nus, je suis promenée en laisse dans la résidence, offrant ma bouche et mes seins aux étalons.
J'avale le sperme de leurs éjaculations.
A la tombée du jour, je suis empalée, assise entre les cuisses des invités, pour me restaurer, avant d'être prise en orgie de double pénétration, la bouche remplie de mandrins de divers calibres.
Je rejoins ma chambre à l'aube, avec mon bijou d'anus pour la nuit, menottée.
La gendarmerie tente de me localiser avec mon téléphone portable là où la limousine m'a conduit. Mais en vain, toutes les résidences sont vérifiées, celle où je me trouve est cachée des regards.
19 juin
Vers 7 heures, libre, après une douche, je me soulage, tenue en laisse, un des étalons m'encule, pour me dilater un peu plus. Le gode anal me donne encore plus de désir anal.
Je dois m'exercer sur un ballon avec un double gode, l'anal mesure trente par sept et le vaginal mesure trente-deux par cinq, réalistes, veinés, avec un gland réaliste.
Je fais le tour de la piscine, en sautant, décuplant mes orgasmes.
Pour me récompenser, je suis offerte, en double pénétration, avec mon bâillon-boule. Un des étalons bien montés, un calibre sept m'encule avec une gaine à picots et l'autre, un étalon Africain, un calibre huit me baise. J'explose en un violent orgasme.
Je dois porter des pompes à tétons et une pompe pour ma chatte, qui deviennent plus sensibles, turgescents.
Il est midi, quand je peux me restaurer, nue, après une nouvelle douche et un lavement anal. Je porte un gode anal plus imposant de sept pour me dilater davantage.
Je suis constamment filmée et photographiée.
Nous rejoignons le domaine, à bord d'un minibus aux vitres teintées. Je suis juste vêtue d'un soutien-gorge demi-seins et d'une minijupe transparente blanche, chaussée de mules blanches à talons de dix centimètres, coiffée d'un chignon, avec mes carcans de cuir.
Nous passons les barrages routiers sans aucun problème.
Au domaine « Palais des Vices », je découvre des dizaines de jeunes filles entièrement épilées, portant des anneaux aux mamelons, aux petites lèvres et au capuchon du clitoris, fraîchement fouettées, nues, offertes à des étalons en rut.
- Voici la nouvelle Vicieuse Anale, doublement ouverte par Dan, c'est une ancienne lesbienne. On la garde velue, nous avons des amateurs, dit l'homme qui m'accompagne. Elle sera l'objet d'attention, pour Brice.
Je rejoins le premier étage, une luxueuse chambre, avec une grande collection de godes, d'objets pour punir. Libre, j'écarte mes fesses pour découvrir mon anus un peu plus ouvert.
Brice me rejoint.
- Voici mon bijou, personne ne sait que tu es ici. Ta venue est secrète. Des clients raffolent de te rencontrer. Je suis Brice, ton Maître. Tu es docile, tu es doublement ouverte, vicieuse, soumise. Tu n'as pas goûter à la cravache.
Brice est un imposant étalon blond, musclé, doté d'un mandrin de trente-six par sept, 1,85 m, 40 ans.
- Tes vidéos se vendent bien, le nombre de vues augmente chaque minute. Tu rapportes une belle somme pour ta première journée.
Je dois le sucer, avant d'être longuement enculée, sans répit, jusqu'à des orgasmes violents, tellement mon anus est devenu sensible.
Je me farde, me parfume, mettant en valeur mes mamelons, ma bouche, mes paupières, les lèvres de ma chatte et mes ongles sont vernis de rouge. Je suis coiffée d'une queue-de-cheval dévoilant mon collier.
On remplace mes carcans de cuir par d'autres carcans de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils sont larges de près de deux doigts et ont chacun un anneau de même métal. Le collier de fer m'entoure exactement le cou dans son milieu, sans le serrer mais suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui était laissée libre, les bracelets. Je les garde jour et nuit, même pour me baigner.
Je descends à la piscine, nue, en tongs à petits talons, pour me restaurer avec les autres filles, empalées et enculées sur des godes de divers calibres sur des tabourets. Je baisse les yeux et je garde le silence. Les ondulations de mon ventre trahissent mon désir anal intense.
Les clients peuvent nous caresser, en échange nous les suçons et avalons leurs spermes.
Ils peuvent aussi choisir, nos colliers portent un code, pour moi c'est VA6569. Ils notent le code sur un ordinateur, pour que Brice connaisse les filles qui seront sélectionnées pour d'autres désirs.
A la piscine, je peux me baigner, avec un bijou d'anus large, bien visible.
En fin de soirée, après de nombreux doubles pénétrations par les invités et des show lesbiens avec sodomie par de gros godes ceintures, douchée, fardée, parfumée, je défile avec les autres filles.
A l'extérieur, les gendarmes et d'autres services tentent de connaître les invités du domaine, mais rien ne filtrent.
Dans un coin voyeur, je suis offerte par Brice à trois étalons bien montés, un Espagnol José avec un mandrin de trente par six, un Australien James avec un mandrin de trente-deux par sept et un Africain Désiré avec un mandrin de trente-cinq par sept, tous sont musclés, virils.
Mon anus, ma chatte et ma bouche sont bien remplies, décuplant mon désir.
Mon anus est rougi et dilaté par ces superbes étalons.
D'autres étalons prennent le relais.
Le yacht « Olympe Trésor » stationne au large du domaine. Un Ecureuil et un Dauphin se relaient pour conduire les plus belles soumises aux invités.
Je fais partie du lot, nue, menottée dans le dos, avec un bâillon-boule, les yeux bandés, pour ne pas voir mes partenaires.
Dans le yacht, je suis longuement enculée par Etalon du Plaisir, un colosse de 2 mètres, musclé, doté d'un mandrin de trente-six par huit.
Je fais de mon mieux pour me dilater.
Je le suce, avant d'être à nouveau.
Je dois porter un gode anal réaliste moulé sur son mandrin, cadenassé, quelques heures.
Peu avant le coucher du soleil, Etalon m'encule une ultime fois, avant d'être ramenée dans une des suites du domaine. Ma pilosité plaît à ces messieurs. Mon anus se referme tout doucement par les assauts de la journée.
25 juin
A l'aube, je découvre mon nouveau corps au « Domaine des Biches ». Des anneaux dorés percent mes mamelons constamment dressés par un mystérieux breuvage, mon capuchon du clitoris est lui aussi percé d'anneau doré, visible dans ma toison. Mon clitoris est constamment dressé lui aussi.
Mon anus est bien dilaté par les assauts quotidiens au domaine. Je suis de retour à la villa. Je ne porte plus de dessous.
Je suis constamment cravachée.
Je suis devenue docile, soumise à tous les vices. Même un berger allemand m'a enculée, avec sa belle queue.
De lesbienne, je suis devenue bisexuelle.
Je suis échangée contre Justine du Vice, qui a besoin d'un dressage.
Je recouvre la liberté.
Mais je ne peux rien dire sur les lieux de ma détention.
Alban est surpris de me voir jouir, enculée par ses soins. J'annonce que je porte des anneaux pour mettre en valeur mon corps.
J'hésite à épiler mon pubis et ma chatte.
Brice m'a dit que je plaisais ainsi.
Je suis déchargée de l'enquête sur le réseau.
Mais on me charge d'élucider un mystérieux suicide du huitième étage d'un immeuble de bureaux. La victime est une ancienne soumise de Brice, devenue experte comptable pour une société ayant des actifs dans les paradis fiscaux.
Il n'y aucun témoin de la scène, qui a eu lieu de nuit.
J'aime me promener seins nus, les fesses nues, les jambes nues sous mes tailleurs, sans chemisiers, par mes anneaux à mes mamelons.
A l'immeuble, à trois heures de route du « Domaine des Biches », un des vigiles me reconnaît, malgré ma queue-de-cheval. Il est brun, barbu, 1,80 m, musclé.
Il me conduit aux toilettes. Je dois baisser ma jupe et m'offrir à son imposant mandrin, un quarante par six. Il me baise avant de m'enculer.
Il me confie les relations SM de la victime, avec des clients spéciaux, des chiens.
- Tu es prise tous les jours par le cul, Vicieuse Anale.
- Oui, elle est un peu grosse, j'aime ça.
Un autre vigile nous rejoint, bien monté, lui aussi, un vingt-sept par huit, sur un corps féminin. C'est le transsexuel Albane, 1,75 m, des seins plantureux.
- Prends-la, elle est prête.
- On peut la prendre à deux, dit Albane. Son cul est bien ouvert.
Nue, je m'empale la chatte sur le vigile, l'entoure avec ses jambes. Albane m'encule.
Nous jouissons ensemble.
Ils me confessent d'autres révélations.
Je repars comblée de mes informations.
Brice a été vu de nombreuses reprises à bord du yacht « Olympe Trésor ».
Les filles achetées sont transférées dans les pays environnants, pour leur dressage.
Le domaine « Palais des Vices » continue à recevoir de nouvelles filles.
Elles sont ensuite vendues après leur dressage, et repartent à bord de voiliers qui sont amarrés au débarcadère, qui rejoignent ensuite des yachts dans les eaux internationales.
28 juin
A l'aube, nue, après une nouvelle série d'orgasmes anaux violents, avec mes godes, je me douche et me masturbe longuement.
Dan me rejoint et me donne un dossier confidentiel sur de nouvelles recrues Françaises que je dois transformer en soumises bisexuelles.
Elles ont du potentiel, elles sont vierges.
Je passe une partie de la journée à la villa « Domaine des Biches », avec un gode-ceinture, portant un masque rendant impossible de m'identifier, j'encule les nouvelles recrues, puis Dan et Hercules les élargissent un peu plus. Les rebelles sont cravachées et soumises à un double gode réaliste avec picots.
Elles portent tous un gode anal cadenassé pour la première journée.
Les filles sont filmées et leurs vidéos sont diffusées auprès de Brice pour la sélection.
Je jouis, longuement enculée avec de nouveaux étalons en rut et Albane.
Justine du Vice est offerte à une orgie anale intense, cravachée et fouettée par mes soins.
Je passe la semaine à dresser Justine du Vice aux désirs de son nouveau Maître, le Baron Désiré des Sévices et du Mon Plaisir.
5 juillet
A l'aube, après une ultime saillie anale par un des bergers allemands, qui a aussi enculé les nouvelles filles, dans le salon, nue, je découvre le Baron Désiré. C'est un colosse musclé de 2 mètres, doté d'un mandrin de trente-huit par huit, barbu.
- Vicieuse Anale, vient me sucer. Tu es régulièrement enculée.
- Oui, Maître, tous les jours et j'aime surtout par les chiens.
Il me fait empaler sur son mandrin qui m'encule. Je suis bien dilatée.
Justine du Vice m'aide à coulisser sur son mandrin, qui bande davantage à chaque assaut.
Puis je fouette Justine du Vice devant lui, nue, la chatte et l'anus fouillés par les doigts du Baron. Je me retiens de jouir, sur son ordre.
Je fais l'amour en double pénétration avec un berger allemand qui me baise tandis qu'un doberman m'encule. Je perds connaissance.
Je peux me reposer.
L'après-midi, le Baron Désiré me conduit à bord de son A320 privé, pour recruter des filles de l'Est, pour son réseau.
Les filles reviennent le lendemain, déflorées et vendues à des nouveaux acheteurs.
Je touche une part du marché.
Chaque nouvelle double saillie me conduit à un désir plus puissant. Les queues canines me font un bien fou. Je mouille en sachant que je suis saillie.
Mon anus s'adapte aux calibres.
Le Baron Désiré fait de même pour toutes les soumises qui viennent au « Domaine des Biches ».
11 juillet
Un rival du Baron Désiré arrive à bord de son yacht « Perle de Vénus », battant pavillon des Bermudes, un yacht de 130 mètres, doté d'une plate-forme hélicoptère, de luxueuses suites et d'une piscine à l'abri des regards. Il possède une salle BDSM.
Il veut absolument mes services.
Le Baron refuse.
Dans la journée, les sbires du rival violent et tuent une des filles qu'ils ont enlevées.
Hors cette fille, est une des alliées dans le réseau.
Je dévoile mon identité au Baron.
Je dois agir avant qu'il n'arrive un autre désastre.
La gendarmerie a repéré les sbires.
Alors que je suis à la piscine, nue, à bronzer, tout en masturbant, avec mon bijou d'anus de calibre moyen, un bel étalon bien monté me séduit, 1,80 m, 40 ans, brun, musclé.
Il me retire le bijou d'anus et m'encule sauvagement, en levrette, puis je m'empale sur lui. Son mandrin mesure vingt-deux par six. Je jouis rapidement.
Le Baron Désiré me laisse partir avec Nathan, un des sbires du rival.
Je me retrouve à bord du yacht, nue, menottée, avec un bâillon O. Des étalons aux mandrins imposants m'enculent sans relâche, je dois avaler leurs spermes. Je suis fessée et cravachée, pour mouiller davantage.
Le rival me rejoint. C'est un étalon Australien, Sir Alban de Sévices du Désir. 1,85 m, 50 ans, élégant, musclé, doté d'un mandrin de vingt-cinq par sept.
Il m'encule, j'ai l'habitude de ce calibre. Puis un dogue allemand prend le relais. Je suis pantelante.
Au coucher du soleil, je suis libérée et je peux me doucher. Le yacht a rejoint les eaux internationales.
Alban a gardé ma toison pubienne, en plus de mes anneaux au clitoris et à mes mamelons, je reçois quatre anneaux, deux sur mes petites lèvres et deux sur mes grandes lèvres. Je mange nue, empalée sur Sir Alban, toujours enculée.
Jusqu'à l'aube, aveuglée par un bandeau, je suis prise par tous les orifices, avalant le sperme des inconnus. Justine du Vice a une sœur jumelle Hermine des Sévices, à bord du yacht.
A une distance raisonnable, le yacht « Olympe Trésor » surveille la traversée. Les services de l'Etat surveillent aussi le yacht. En effet, mes anneaux portent de minuscules émetteurs pour me repérer.
12 juillet
J'émerge dans un luxueux domaine isolé, en Europe de l'Est.
On parle slave. De jeunes étalons me fouettent et m'enculent sans répit.
Je suis nue, bien nourrie. On garde ma toison pubienne, pour ma valeur d'esclave sexuel.
Europol envoie des agents dans le pays pour me retrouver.
Je suis régulièrement saillie par des dizaines de chiens, en double pénétration et filmée. Mes vidéos sont largement diffusées auprès de Maîtres Européens éventuels.
15 juillet
A l'aube, je suis debout au milieu du salon, et mes bras levés et joints, que les bracelets maintiennent par une chaînette à l'anneau du plafond, font saillir mes seins.
Un bel étalon cagoulé, nu, le mandrin en érection, bien monté, 1,85 m, me les caresse, puis les baise, puis m'embrasse langoureusement, tout en doigtant mon anus encore rougi par les sodomies subies. Je porte une ceinture de chasteté laissant libre mon anus et une fente pour me soulager, un bâillon O. Balancée par la chaîne, je chancelle sur mes pieds nus.
Il cingle à la cravache, au fouet et à la garcette mes fesses, mes cuisses, mes seins, l'intérieur de mes cuisses, sans répit.
Je porte d'épaisses balafres violettes faisaient comme des cordes en travers des épaules, du dos, des fesses, du ventre et des seins, et parfois s'entrecroisent.
Les balafres, sur mon corps, mettent près d'un mois à s'effacer. Encore me reste-t-il, aux endroits où la peau a éclaté, une ligne un peu blanche, comme une très ancienne cicatrice.
Je suis fouettée tous les matins, avant de recevoir le spermes de mes amants cagoulés, qui se relaient pour m'enculer avec leurs gros calibres.
Je suis satisfaite par la bouche et enculée par de riches clients, qui me fouettent.
20 juillet
A l'aube, je quitte le domaine pour rejoindre un club équestre de filles poney.
Je suis coiffée d'une natte, les mains menottées dans le dos par un harnais en cuir, fardée, parfumée, mes mamelons tendus sont pincés par des pinces munies de poids pour les étirer, ainsi que les lèvres de ma chatte humides. Je porte des entraves à mes chevilles et à mes cuisses pour les garder bien ouvertes. Je porte un bijou d'anus de calibre sept, pour m'exciter. Je suis pieds nus.
Le trajet dure une bonne heure.
Je suis enculée par les onze étalons présents. Je les suce et j'avale leurs spermes.
Au bout d'une demi-heure, pantelante, je peux boire un peu d'eau.
Je chausse des sandales à hauts talons, un corset seins nus est étroitement lacé, pour mettre en valeur mes seins nus offerts, une large ceinture de cuir serre ma taille. Le bijou d'anus est maintenu en place par des lanières dont une passe entre mes jambes, entre les lèvres de ma chatte, le sillon fessier pour s'accrocher dans le dos. Deux autres se croisent entre mes seins et rejoint celle du dos, mes bras sont reliés dans le dos, repliés avec les poignets attachés entre les omoplates aux lanières.
Un harnais entoure mon front, mon menton et s'attache à mes poignets dans le dos.
Je suis mis en valeur, le buste en avant, cambrée, les fesses en arrière.
Je porte un mors qui remplace le bâillon-boule.
Je parade tenue par la longe, Sir Alban.
Je suis attelée à un sulky.
Je suis fouettée par Alban, pendant l'entraînement. Je marche au trot. Je subis de longues séances de fouet.
En fin d'après-midi, je suis enculée par ces messieurs et un gode équin pour combler ma chatte en feu, tout en restant dans mon box. Le gode équin mesure trente par cinq, réaliste, que l'on essaye pour m'enculer. Je gémis un peu.
Le lendemain matin, après une douche rapide au jet, je suis préparée, coiffée, fardée, parfumée. Harnachée, je suis présentée.
Une sélection est réalisée par des masturbations de nos chattes, enculées par divers calibres et nous sommes fouettées sur les seins et la chatte.
Je suis parmi les deux finalistes.
Je suis libérée après une ultime séance de sulky.
Nue, je suis offerte aux autres filles, qui me font jouir, devant ces messieurs.
Je revêts ensuite un corset seins nus, une cagoule couvre mon chignon, reliée au corset, ma chatte et mon anus sont accessibles. Je porte des bas nylon avec des mules à très hauts talons.
Mes bras attachés étroitement dans le dos tirent mes épaules en arrière et font ressortir mes seins nus et libres.
Après le déjeuner, revêtue de ma tenue de pouliche, les bras immobilisés, avec mon mors, une cagoule et un collier de maintien, un bustier seins nus, je reste les jambes nues, chaussée de sandales à hauts talons, plus le bijou d'anus de calibre sept à picots.
Nous faisons une course de sulky.
Après la course, nue, l'anus libre, je suis à nouveau enculée, l'anus rougi.
J'ai même droit à une saillie équine anale. Je prends du plaisir.
De retour au domaine, je suis récompensée par des doubles pénétrations canines jusqu'à l'orgasme.
Sir Alban me verse de belles sommes pour chaque saillie et sodomie que je reçois.
5 août
A l'aube, je suis embarquée à bord du yacht « Perle de Vénus » devenu « Eros des Désirs ». Je loge dans une petite suite, menottée, nue, offerte à l'équipage.
Un bel étalon Grec, le commandant, doté d'un imposant mandrin de trente-quatre par huit, m'enduit bien l'anus.
Je suis offerte, les jambes relevées en arrière, pour offrir mon anus.
Il m'encule à plusieurs reprises ainsi que des étalons Africains bien montés. Je suis nourrie de leurs spermes.
12 août
En approche des eaux Françaises, au bout d'une semaine de traversée, j'ai l'anus en feu.
On me relâche sur un zodiac, non loin du Domaine « Palais des Vices », en bikini, au lever du soleil.
Je suis récupérée par le Baron Désiré. Je subis un examen gynécologique. Je mets une semaine à me remettre de mes sévices subis.
Europol a démantelé une partie du réseau, mais pas Sir Alban, qui est porté disparu dans l'explosion de son yacht dans les eaux internationales.

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