GARDE DU VICE

 

Je m’appelle Pénélope et mon surnom est Shawn.

J’ai 25 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.


BODYGUARD DU VICE


10 octobre

Je suis affectée à la protection de séduisantes femmes d’hommes d’affaires, d’avocats en visite en France, depuis près de cinq ans. Je suis le meilleur élément de mon agence Sécurité Protection Hadès, selon mon patron, le séduisant Alban, un beau brun athlétique de 60 ans, un ami de mes parents.

Attention, je suis encore vierge, tant que je n’ai pas trouvé l’homme de mes rêves, selon mes critères et mes désirs. S’il est marié, je le laisse à sa chérie.

Ce matin, vers 10 heures, j’ai rendez-vous dans une discrète villa à trois heures de route de l’agence. C’est un homme, le premier pour moi, élégant, raffiné, de 40 ans, célibataire d’après mes informations, qui recherche un agent pour sa protection. Aucun homme n’est à son goût. Je suis la seule femme disponible ce jour-là.

Je prends ma 205 cabriolet, pour m’y rendre. Je suis vêtue de mon tailleur avec un pantalon blanc, sur un chemisier noir cachant mon soutien-gorge et mon slip de dentelle blanche transparente, chaussée d’escarpins blancs à talons de dix centimètres, les cheveux libres, maquillée.

J’arrive à 13 heures, après une courte pause déjeuner dans un petit restaurant non loin de la villa.

Je dois passer par un chemin forestier puis par deux postes de contrôles où je dois montrer mes papiers et mon ordre de mission. Je porte mes lunettes de soleil.

- Tiens, c’est la nouvelle soubrette, elle a le physique pour l’emploi, dit l’un d’eux, en me toisant. Il faut franchir la grille et faire encore une centaine de mètres jusqu’au pavillon de chasse. Là, vous irez à pied jusqu’à la villa, Sir Edouard vous attend. Je l’ai prévenu de votre arrivée.

- Merci, messieurs, je suis ici pour une mission confidentielle à la demande de Sir Edouard.

Je fais le trajet sur un chemin goudronné, escortée par des gardes montés jusqu’au pavillon de chasse. J’aime l’équitation. Je pourrais monter un de ses superbes chevaux.

Au pavillon de chasse, je dois descendre et marcher sur une allée en gravier, escortée par des maîtres-chiens, avec de superbes bergers allemands.

Je dois attendre sur le perron.

Un orage éclate. Je suis bien abritée. L’attente dure une éternité.

Vers 13 heures 45, je suis conduite par un élégant majordome, de 30 ans, nu, sous son gilet, le mandrin de gros calibre en érection. Je ne suis pas trop amatrice, mais cela m’excite. Mes mamelons sont tendus et mon clitoris aussi dans mon slip trempé par mon abondante mouille soudaine.

- Sir, c’est Shawn, le nouveau…

- Qu’il entre, faisons connaissance, Jason. Il attend de recevoir tes hommages.

Mon entrée comme femme surprend le Sir.

- Vous… Tu es Shawn…

- Oui, Sir, je suis Shawn. Prenez mes papiers, s’il y a erreur, je repars à l’agence SPH et un homme viendra me remplacer, mais qu’à partir de demain. Je suis désolée.

- Non, tu restes. Tu es séduisante. Déshabille-toi, si tu as l’écrin velu, tu as des chances de rester.

Je me déshabille. Nue, je reste debout, les yeux baissés par timidité. Je cache mes seins et ma chatte velue.

- Jason, mets les bras dans le dos. Elle doit apprendre à s’exhiber devant des hommes. Elle a toutes les qualités de garde du corps et aussi d’être une femme facile. Je saurais rapidement si tu es vierge, ou si tu as percée ton hymen en te godant, comme mes soubrettes, toutes des gouines devenues de vraies reines du désir.

- Je suis votre garde du corps avant tout, Sir. Je connais mon métier.

- Vous avez les qualités physiques mais pas comme vous devrez être en compagnie d’un galant homme, comme au Palais. Une femme seule vient pour l’emploi de soubrette ou de belle de jour, vous me comprenez.

- Je suis bonne à rester à mon appartement, à attendre mon amant et à me donner à lui. Ce n’est pas mon style, j’aime le contact. Libérez-moi sur le champ.

- Shawn est capricieuse, aimant les caresses, cherchant son amant inconnu, mais mouillant de désir sur Jason.

- Oui, elle mouille, son excitation est au summum, je présume. Elle baisse les yeux, pour admirer votre bel engin, pour le sucer et pour qu’elle soit prise par les fesses, comme toutes les femmes qui viennent seules ici, dit Jason, en frottant son mandrin contre mes fesses.

- Viens, tu vas me sucer, belle Pénélope. D’ici ce soir, tu as présentée à tes nouveaux amants. Dans deux semaines, tu seras une autre. Suçant, offrant tes reins au premier venu, même à Alban, ton patron, punie au fouet, si tu lèves les yeux, prise à toute heure par plusieurs, prenant du plaisir, nue ou dans ta robe du palais, même à ta sortie, nue sous tes élégantes tenues, cuisses écartées à toute occasion, fardée, parfumée, finis les pantalons, les dessous, mais des robes, des jupes assez courtes, des corsages moulant tes superbes seins, cambrée sur de hauts talons, avec tes corsets et guêpières seins nus. Tu devras garder en mémoire ces règles au Palais et en dehors. Ici, tu seras promenée en laisse, remise à qui te désire, on fera élargir ton puits pour te rendre plus accessible. Ton amant viendra te chercher ensuite. Tu lui obéiras. Les hommes aimeront savoir que tu es nue pour eux.

Agenouillée, nue, je dois sucer le mandrin de calibre huit. C’est la première fois. Je ne peux utiliser mes mains enserrés par des bracelets de cuir, menottées dans mon dos. Je dois le recevoir jusqu’aux testicules velus.

- Elle a du progrès à faire. Tu vas me faire éjaculer dans ta superbe bouche et avale tout.

Je fais de mon mieux, m’étouffant sous les longs jets de sperme, surtout que Jason me fais sucer dans l’instant son calibre neuf et plus long que Sir. Je suis prête à recracher l’excédent.

- Tu avales, ma belle, m’ordonne Sir à l’oreille. Cambre-toi un peu, que je m’occupe de ton superbe écrin.

Sir bande à nouveau et il me baise profondément jusqu’au fond de ma chatte trempée.

- Elle est en partie vierge, mais elle aime ça. Les godes lui font beaucoup de plaisir.

Je suis au bord de l’orgasme, le clitoris tendu sous les doigts experts de Sir.

- Retiens ton orgasme, ma belle.

Il se dégage et m’encule sans me laisser le temps de réagir.

- Elle est bien étroite, le gode va l’ouvrir bien. C’est sa première, tu vas aimée tous les jours. Jason, tu la prends ensuite, elle va me nettoyer.

Cela dure une éternité, j’avale le sperme chaud jusqu’aux testicules épilés de Jason.

Jason prend le relais. Mon anus est humide par quelques giclées de sperme de Sir, bien ouvert, le calibre neuf me fait gémir un peu. Jason m’encule dans diverses positions.

Mes gémissements étouffés deviennent des râles de plaisir inconnus pour moi.

Je reçois jusqu’à six éjaculations consécutives, qui m’épuisent, par mes vagues de plaisir.

Ma bouche nettoie Sir.

Je sens un objet froid de petit calibre dans mon anus encore un peu ouvert.

- Elle va s’habituer, Sir. Elle a très envie, mais elle n’a pas encore assez joui par son œillet de pute. C’est une pute anale, les invités seront ravis de cette nouvelle.

Je nettoie Jason aussi, je suis épuisée.

L’horloge indique 16 heures. Cela a duré une éternité. J’espère assurer ma mission maintenant.

Je quitte les tapis, sur lesquels je marche pieds nus,

Le valet Pilon Anal, un étalon européen de 35 ans, 1,80 m, musclé, nu sous son gilet, le mandrin en érection nous accompagne.

Je suis entre les mains des soumises la brune aux cheveux mi-longs Justine Anale, 1,70 m, aux petits seins et la blonde aux cheveux courts Orgasme Vice, 1,75 m, 95C, toutes les deux sont intégralement épilées, avec des anneaux au clitoris et aux grandes lèvres, élégamment vêtues de robes seins nus, les fesses et les jambes nues, par une grande fente ouverte devant, chaussées de mules à talons de douze centimètres, avec leurs carcans de cuir. Elles portent aussi un bijou d’anus de calibre huit alors que je porte un calibre six pour m’élargir.

La salle de bains est au rez-de-chaussée après un long couloir recouvert de marbre froid sous mes pieds nus. Je porte un collier auquel est fixé une longue laisse tenue par Pilon Anal, mon valet. Je garde les mains menottées dans le dos.

Les carcans de cuir sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionnait automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y avait un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Mon collier de cuir est fixé à mon cou. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.

Je suis baignée, accroupie, cuisses écartées, les poignets suspendus au-dessus de ma tête, sur la pointe des pieds, dans l’eau froide, après avoir monté deux marches jusqu’à la baignoire. Je suis constamment visible par les nombreuses glaces et miroirs de la salle de bains sur les murs et au plafond. Les deux femmes me lavent, me rincent et me lavent longuement mes cheveux. Je suis excitée par cette exhibition. Pilon Anal bande en me voyant. L’eau a durci mes carcans de cuir, qui me serrent davantage.

Je suis fardée avec les paupières légèrement ombrées, ma bouche peint au pinceau avec un rouge clair, un peu liquide, et qui fonce en séchant, me peint du même rouge l'aréole et mes mamelons, et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. On me poudre le visage. On mets une goutte sur mes mamelons et mon clitoris. On passe un glaçon sur mes mamelons fardés. Le parfum est longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Je reste devant un grand miroir. Je garde la laisse fixée à mon collier.

Pilon Anal m’encule, lors de ma mise en beauté, cuisses écartées, après avoir reçu un gode anal de calibre six pour m’écarteler. Je me retiens de jouir, mon pubis recouvert de son sperme et quelques gouttes dans ma bouche maquillée.

J’entre dans une pièce mitoyenne où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf, cuisses écartées au milieu des miroirs, et j’attends. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu. Je suis chaussée de mules blanches avec de la fourrure dessus, à talons de douze centimètres à plate-forme de six centimètres, à mes pieds nus. Sur une des parois, il y a une grande fenêtre qui donnait sur un beau parc sombre.

Je mange avec les doigts un bol de taboulé, agenouillée, cuisses écartées, sur le pouf devant les miroirs. Pilon Anal m’a remis mon bijou en place. Je joue avec, provoquant un jet de mouille.

Une fois prête, vers 19 heures, je quitte la pièce du pouf, aux trois miroirs, tenue en laisse, escortée par les deux femmes, qui ont été sauvagement enculées devant moi, et un autre valet, nu, en gilet, bien monté, Européen de 40 ans, 1,85 m. Je regarde sa belle queue et le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, il est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle dissimule même les yeux - et enfin, qu'il a des gants, et de fin chevreau.

- Belle du Désir, tu es prête pour ta présentation, jeune soumise anale.

Nous rejoignons par un labyrinthe de couloirs, montant des escaliers en marbre menant au premier étage, la salle des plaisirs.

Je suis laissée seule avec les quatre étalons.

Je suis caressée sur les seins, les fesses, subissant une double pénétration digitale, qui me fait gémir un peu et les mains me masturbent juste ce qu’il faut pour que je ne puisse pas jouir.

Je m’offre ensuite, nue, agenouillée, le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et les quatre m’enculent jusqu’aux testicules, ignorant mes gémissements attendant mes râles, mes ondulations de mon bassin, bercés par mes orgasmes anaux. Je jouis à la fin de la première sodomie, la suivante se fait dans l’instant jusqu’à la quatrième, je dois nettoyer leurs queues sans perdre une goutte.

On me prend en double pénétration, pour vérifier ma chatte déflorée.

Je suis ensuite suspendue, sur la pointe des pieds, cuisses écartées, devant un miroir à trois faces, à un crochet dans la pièce.

Les coups de cravache alternent avec la garcette humide. C’est un fouet de cordes assez fines, qui se terminent par plusieurs noeuds, et trempées dans l'eau, on m’en caresse le ventre, la chatte et l’intérieur de mes cuisses. Les cordes sont humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.

Je reçois un gode anal réaliste cadenassé, pour m’élargir. Je porte un gode anal cadenassé, qui m’encule comme un vrai étalon, mon bassin ondule, mes mamelons et mon gros clitoris sont tendus à l’extrême.

Un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit avec son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Je porte une étroite ceinture autour de ma taille, et avec trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Elles sont ajustées au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser la tige et permettre de se resserrer à l’anus qu'il doit forcer et distendre, et elles sont attachées avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne puis être tenté de me soulager de cette contrainte. Le gode m’excite, une connexion de mon téléphone portable le fait bouger en moi, son diamètre s’ajuste entre six et neuf de diamètre en moi, pour m’écarteler. Mon bassin ondule sur ce gode. Je prends plaisir.


11 octobre

A l’aube, je suis menottée nue, après mon bain, l’anus libre, des pinces à seins avec clochettes aux mamelons constamment tendus et à mes grandes lèvres de ma chatte humide.

Je reçois aussi mes anneaux à mon gros clitoris et aux grandes lèvres de ma chatte épilée, je garde mon triangle pubien.

Je suis offerte à des invités, suspendue les bras et les jambes écartées, peu après la pose, enculée sauvagement, le corps recouvert de sperme.


20 octobre

Mes reins sont tatoués à l’encre noire « S votre dévouée ». J’ai droit au même rituel.


25 octobre

Vers 15 heures, nue, libre, dans un grand lit, je reçois la visite de mon « amant ». Il est fier de moi. C’est le propriétaire d’un luxueux hôtel, à une heure de route du Palais. Il est brun, barbu, 45 ans, 1,85 m, musclé.

Après une ultime douche, je suis remise à lui, reçoit ma bague sertie d’un anneau.

Libérée de mes carcans, je revêts un chemisier blanc sans les trois boutons, donnant un accès à mes seins nus fardés, une jupe éventail beige, des sandales blanches à talons de dix centimètres, mes cheveux sont coupés pour couvrir juste mon cou, fardée et parfumée.

Nous quittons la cellule, pour le pavillon de chasse à pied.

Je découvre une superbe BMW cabriolet blanche, sans sa capote. Je m’assois, en relevant ma jupe, cuisses écartées. Je suis toute excitée et mouillée de désir.

Nous quittons le Palais par la même route que j’ai prise pour venir.

Après le franchissement de la grille, il m’embrasse langoureusement sur la bouche :

- Je suis Alexandre Oscar, ton « amant ». Tu n’aurais pas du venir seule au Palais, surtout comme garde du corps. Tu n’es pas faite pour ce métier. Tu devrais être une soubrette.

- Tu es comme Sir Edouard. Soubrette est rien d’autre, pute anale, soumise à tes désirs, tu rêves. Je suis indocile à ton goût, laisse-moi au Palais.

- Non, ta suite nous attend dans un luxueux hôtel. Tu mérites mieux que ton appartement. Tu vivras nue, tout en assurant ma protection.

- Tiens, tu changes d’avis sur moi. Nue, armée, j’imagine la réaction de ton personnel qui viendra à la suite. Oui, c’est la pute de monsieur, on peut la prendre aussi.

Un vent frais provoque une excitation comme dans ma cellule. Je mouille pour lui.

Vers 17 heures, arrivée à la réception de l’hôtel, j’apprends que ma 205 cabriolet est au garage souterrain, elle roule tous les jours depuis mon arrivée au Palais.

Une séduisante réceptionniste brune aux cheveux courts, 30 ans, nous accueille, elle ressemble à Justine Anale, en uniforme.

- La suite du couple Hauts de Bon Plaisir est prête, Alexandre. Elle est très belle, ton épouse. Le groom Brice va s’occuper des bagages de ton épouse.

Tiens, je suis l’épouse aussi, garde du corps, soumise, quel programme.

En effet, j’ai droit même à une valise à mon nom.

Nous montons par l’ascenseur au septième étage, avec vue panoramique, tout confort.

Alexandre soulève discrètement ma jupe, pour exhiber mes fesses et mes cuisses zébrées au groom, tout en glissant sa main sous mon chemisier dans un long baiser. Le groom va me prendre. Non, c’est juste pour l’exciter. Il bande lui aussi.

La suite ne m’enchante guère pour sa sécurité, nombreux angles de tir, je ne suis pas au courant des antécédents du personnel, il veut me tester.

Je remet un billet au groom, pour le remercier.

- Tu es ici chez toi. Une grande salle de bains pour te faire belle, ta luxueuse garde-robe sur mesure, désolé, plus de pantalons, ni de dessous sauf des dessous seins nus et permettant l’accès à tes fesses, dont tu raffoles. Notre chambre, tu devras coucher en ma compagnie. Tu n’as pas d’arme de service, désolée. Tu devras faire sans. Le salon, pour le service, tu n’as qu’à composer le numéro.

- Bien, sans arme, je dois vous protéger, bon, j’ai fais des arts martiaux cela va m’aider. Je vais me déshabiller, me faire belle, comme vous dites. Je reste nue, pour que tu me regardes, en faction. Vous pouvez me baiser, me faire l’amour, mais je garde un œil sur la porte, me fesser, libre à vous. Alban va être ravi de ma nouvelle mission sans arme.

- Alban est un ami. Il te confie à moi, après ton dressage par Sir Edouard.

- Oui, prise par plusieurs étalons, pendant deux semaines, silencieuse, acceptant tout. Quel dressage, je porte des anneaux, mes reins sont tatoués, je suis ton épouse, quel tableau, la pute anale d’un propriétaire d’un hôtel. Je présume que les étalons qui m’ont prise, logent dans l’hôtel. Dès que je me rends au rez-de-chaussée, on me baise sans problème, car je suis à leur disposition. Joli spectacle et vous, vous me laissez entre leurs mains, éjaculant en regardant le spectacle offert par ton épouse. Ta vraie chérie, elle sait que tu la trompes.

- Ne parle pas de ma vraie chérie, je suis trop occupé pour avoir une femme.

- Je suis une pute anale à votre service, en somme, qui doit vous protéger sans arme. Bien sûr, je ne peux me baigner à la piscine, que nue devant tout le monde. Le massage, nue, cela passe. J’ai droit d’aller au coiffeur, de sortir de la suite et de faire du sport en salle.

- Tu m’accompagnes là où je vais. Tu me tutoies, ma belle…

- Je suis ta belle soumise, suceuse, beauté anale et autre compliment sur moi. Assez parler, je me douche, me masturbe, je fantasme sur ta belle queue. Cela te va, mon chéri. Tu pourras soit rester derrière la porte fermée ou tu me regardes ou tu me laves, j’aime les caresses d’un homme. Si avant, j’étais une lesbienne, une belle gouine, j’aime désormais les étalons bien montés. Si tu es bien monté à mon goût.

Alexandre ne sait quoi répondre.

Dans la luxueuse salle de bains avec une grande douche, une baignoire immense, une cuvette de toilette, le tout recouvert de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, comme au Palais. Nue, je m’admire, écartant mes cuisses. Je suis toute mouillée.

Je me douche. Alexandre me rejoint, il bande.

- Je peux te laver avec cette grosse éponge. Je commence par tes épaules, tes seins, tes fesses, tes cuisses, ta chatte, tes jambes.

- Fais-moi jouir sous les caresses de l’éponge, tu aimes me voir nue. Je vais te sucer ensuite.

Alexandre le fait avec délicatesse. Je jouis à chaque caresse de mes zones sensibles.

Il me rince à l’eau froide, me nettoie mon anus avant usage. Je jouis.

- Tu as un œillet bien ouvert pour me recevoir.

- Oui, prends-moi par les fesses, sous le jet d’eau. Je me penche pour te recevoir. Tu as une superbe belle queue, un calibre huit, j’aime.

Il m’encule, penchée en avant, cuisses écartées, me tenant par les hanches, jusqu’aux testicules, comme Sir Edouard. Je suis libre de jouir, inondée par son sperme chaud, que j’avale, à la fin de mon double orgasme anal. C’est un calibre huit.

- Viens, je te sèche et tu choisis ta tenue, bien sûr, sans aucun dessous.

- Tu me séduit. Voyons cette garde-robe.

Vers 18 heures, Brice frappe. Je suis encore toute nue, dans ma chambre à choisir. Je suis fardée et parfumée comme au Palais.

- Merci, pour le goûter de ma chérie, elle va arriver. Elle s’habille.

Une robe fuchsia au décolleté en V, avec un discret dos nu sur mes reins, très courte jusqu’à mi-cuisses et chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres.

- Alexandre, je suis prête, j’arrive. J’ai une faim de loup.

- Brice, regarde-la comme elle est superbe, ma chérie, Shawn. Tu peux lui réserver le coiffeur, un bijoutier et une demi-heure de massage pour la fin de l’après-midi. Disons, dès qu’elle a pris son goûter. Je l’accompagne. Tu es sublime.

- Chéri, tu me gâtes. Je suis une vraie poupée pour toi.

Arrivée chez le coiffeur, dans ma robe fuchsia, je suis accueillie par Prisca, une séduisante brune aux cheveux mi-longs, 35 ans, 1,80 m, aux petits seins dans sa robe bleue, sur des bas noirs, chaussée d’escarpins noirs à talons de dix centimètres.

- Shawn, je présume. Attendez, ma cliente Anne Caroline vient me déranger. Le salon est fermé, rien que pour vous, ma belle cliente. Asseyez-vous au bac pour le shampooing.

Dans le miroir, assise, cuisses écartées, la jupe relevée, les fesses nues sur le cuir, je vois Anne Caroline, une grande blonde en tailleur pantalon blanc sur un bustier jaune, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’un chignon, 95C, 1,70 m.

- Désolée, le salon est réservée pour l’instant. Je dois m’occuper de ma cliente. Je ne veux pas d’autres clientes pour l’instant.

- Cette cliente a des privilèges. J’ai mon chéri qui m’attend, je vais être aussi coiffée en même temps que cette belle inconnue. Elle est la fille du patron, sa chérie, pour s’offrir le luxe de fermer le salon rien que pour elle. Je vais en parler à Jean Hubert, le réceptionniste. Je vais aller au salon de massage, pour me détendre. Je reviens dans trois quart d’heure, le salon sera à moi ensuite.

- Nous verrons. Cette cliente a besoin de remise en beauté, soins des ongles des mains et des pieds et peut-être de calme.

Anne Caroline repart, énervée. Qui est ce Jean Hubert ?

- Prisca, qui est ce Jean Hubert, un personnel de l’hôtel ? Je suis la chérie d’Alexandre, d’où ce privilège. Je teste les hôtels de la chaîne, je suis ici incognito, mais cela est raté.

- Désolée, je vous fais une remise alors. Quel superbe regard vert, les hommes tombent sous votre charme, Shawn ? Jean Hubert est le réceptionniste de jour, un bel homme, 30 ans, les clientes n’attendent que lui et ces messieurs sont plus attirés par Svetlana, celle qui vous a du vous accueillir tout à l’heure. Svetlana est une lesbienne, mais elle aime la galante compagnie.

- Appelez-moi Belle du Désir, entre nous, cela rendra ma visite plus intime. Svetlana…

- Belle du Désir, votre coupe a besoin d’être plus attirante. Vous devez avoir une superbe crinière auparavant. Elle va repousser. J’aime votre maquillage.

Elle coupe quelques longueurs pour me rendre plus désirable. Je me déchausse, mes ongles des mains et des pieds sont longuement mis en valeur, un nouveau vernis est peint, remplaçant l’ancien que je porte depuis le 10. Je me suis négligée pendant quinze jours.

Je reste immobile, pendant toute la durée de mes soins, silencieuse.

- D’habitude, mes clientes me parlent de leurs chéris. Au fait, vous connaissez Alexandre depuis combien de temps, il fait bien l’amour avec ses galantes compagnies qu’il gâte comme vous, combien de femmes sont venues au salon, comme amies d’Alexandre, ne soyez pas jalouse.

- Je suis sa chérie depuis cinq ans, j’espère avoir un enfant avec lui, mais il aime d’autres, je ne suis pas jalouse. Si les autres veulent l’épouser, je leur laisse, pour mon bébé, nous verrons plus tard. Monsieur le séducteur, qui m’a désarmée. Je ne suis à la hauteur de ses désirs. Je suis sa Belle du Désir, docile. Nous verrons, Prisca. Laissons quelques jours à mon Alexandre pour voir ses réactions.

- Vous voici prête, le résultat vous plait.

Le rouge de mon vernis est assorti à ma robe. Il me faut une bague pour notre union avec mon Alexandre. Il y a un bijoutier dans l’hôtel.

- Oui, il peut vous faire, sur mesure, votre bague, avec la pierre désirée, pour vos superbes mains.

Alexandre doit m’attendre. Anne Caroline risque d’avoir des soucis si j’en parle à mon chéri.

Chez le bijoutier, Alexandre m’a devancée.

- Tiens, voici un choix de bagues, elles sont sur mesure, comme celle à l’anneau serti.

- Voyons, au fait Anne Caroline, tu la connais. Elle a déjà…

- Choisis ta bague, ma chérie. Saphir et opale, diamant, or…

- Anne Caroline, tu me réponds. Je choisis saphir et opale entouré d’or, elle est prête quand, Emmanuel ?

- Dans l’heure, mademoiselle Shawn, vous êtes séduisante, Prisca a fait des miracles. Vos yeux verts vont à merveille avec cette bague, dit Emmanuel.

- Elle est l’amie d’un avocat, qui vient au Palais. Cela te suffit.

- Je vais me renseigner. Alban doit passer, j’ai des documents à récupérer. Je suis ton garde du corps, tu as oublié. Si Anne Caroline souhaite t’épouser, je te laisse et fini notre union et mon futur bébé si le désire.

Nous quittons discrètement le bijoutier. Alexandre est embarrassé, tout comme moi. Il m’embrasse sur la bouche devant les clients. Je suis sa chérie pour tout le monde.

Anne Caroline sort rapidement de chez Prisca, les cheveux libres, l’insultant.

- Tiens, mon chéri, c’est elle Anne Caroline. Madame a des privilèges plus supérieurs que les miens on dirait, je lui ai pris son rendez-vous. Tu règles le problème pendant que je suis massée. Tu as compris, mon chéri. Réfléchit à ta Belle du Désir enceinte, si cela m’arrive.

Au salon de massage, nue, je suis offerte à une séduisante beauté asiatique brune, Orchidée, qui me fait jouir sous ses doigts, en fouillant la chatte et l’anus libre. J’en ai très envie, ponctué par des séances de caresses torrides.

Il est 21 heures, quand je sors du salon de massage, Anne Caroline a l’accès refusé et devant Alexandre :

- Encore, elle, tu monopolises les services de l’hôtel, le coiffeur avec Prisca, le bijoutier avec le séduisant Emmanuel, le salon de massage avec Orchidée, je présume le restaurant. Je vais me renseigner sur toi, ma belle.

- Je crains que vos recherches soient vaines, ton avocat est au courant de tes aventures avec J H et d’autres hommes pendant qu’il doit gérer ses dossiers, non. Tu as couché avec mon A O, bien sûr, ton avocat le sait. Cela coûte cher un divorce, surtout si tu as une réputation à sauvegarder.

- Alexandre, dit à cette pute, de me laisser souper à ta table tous les deux, elle fera le service en cuisine.

- Anne Caroline, ce n’est pas une pute, mais ma future épouse, Désirée, la fille de mon ami Alban. Elle est très attirante, avec son caractère. Ton avocat est déjà au fait de certaines aventures dans mon hôtel, dont J H. Il attend le moment pour divorcer, Désirée a raison.

- Tiens, tu vas l’épouser. Elle n’a pas la carrure, elle déteste les enfants, elle aime tromper son chéri et elle est une biche du Palais, cela se voit.

Une biche du Palais, comment Anne Caroline le sait ?

- Les biches du Palais sont juste là pour le plaisir de s’offrir, elle te drague pour se donner à d’autres. Brice la désire, Svetlana aussi, elle va s’offrir aux deux. Je la connais.

- On se connaît, dis-je, surprise, Anne Caroline. Le Palais ne reçoit pas de femmes, sauf les chéries de ses messieurs. Je suis en mission, vous gênez mon travail. Je ne suis pas votre servante, aux dernières nouvelles. Non, c’est J H ton amant.

Anne Caroline nous quitte et soupe seule.

Alban me rejoint discrètement au bar avec mon arme de service et la liste condensée des personnels.

- Alban, tu peux me fournir une fiche sur Anne Caroline, que je lui indique discrètement.

- Ton mari Alexandre te chérit, on dirait. La bague, bientôt tu es au lit avec lui.

- Nous verrons, en fonction des comportements du personnel. En tout cas, il aime me prendre par les fesses, donc pas de bébé possible avec lui, à moins que…

A ton âge, tu dois penser à ton avenir, bébé ou non, mariage ou non, un chéri pour ta vie. J’ai fait transférer ton courrier à ta suite, pour la mission. Il y a un courrier avec le logo de l’hôtel, il faudra vérifier.

Je le ferais, mon Alexandre m’attend. Je vais le surveiller de près, le séducteur.

Le souper se passe sans problème, les hommes me font des regards concupiscents sur mes jambes, mon décolleté et tentent de me faire lever les yeux, mais je les garde baissés comme au Palais.

Vers 23 heures, j’annonce :

- J’ai besoin de prendre l’air, tu m’accompagnes, mon chéri.

- Il y a un jardin à l’abri des regards, c’est le jardin des Plaisirs, dit Alexandre.

- Allons-y. Anne Caroline est à la réception, elle attend son J H. Il paraît que c’est un bel homme.

Au jardin des Plaisirs, se trouve une fontaine, des rangées de fleurs et un banc.

- Marchons, je veux être franche avec toi. J’assure ma mission jusqu’à la date fixée. On se revoit plus ensuite, à moins que…

- Tu es différente des autres. Tu es une biche, mais aussi une femme amoureuse, qui respecte les règles du Palais, en dehors. Tu n’as cessé de baisser les yeux devant ces messieurs, tu les désires secrètement. Tu n’es pas une pute, mais une belle du Désir avant tout. Tu dois satisfaire mes désirs.

- Si jamais je suis enceinte, suite à une baise désirée, je garde mon bébé ou je…

- Tu le gardes, nous ferons son éducation tous les deux. A ton âge, tu dois avoir un désir d’enfant, malgré tes années de gouine, tu es belle.

- Mes années de gouine, j’ai aimée des hommes, mais je n’ai pas franchie le pas avec eux.

- Désolée, rentrons, tu dois me protéger, je suis vulnérable ici.

A l’ascenseur, je vois Anne Caroline en discussion avec Svetlana, qui finit son service et le fameux Jean Hubert, un homme simple, brun, 25 ans, un jeune amant pour Anne Caroline. Laissons-lui.

- Embrasse-moi encore, Alexandre…

- Maintenant…

Le baiser langoureux devant le trio fait de l’effet, surtout que je les regarde discrètement.

Le baiser dure une éternité.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et nous montons nous coucher. Il est presque minuit.

- Bon, je dors sur le canapé, juste un tee-shirt long est c’est tout, sur mon corps nu, comme cela, si tu as me caressée, je suis prête. Je peux surveiller la porte que j’ai fermée avec la chaîne. Le petit déjeuner à sept heures, j’ai prévenue le chef, cela te va.

- Non, tu vas dormir dans mon lit. Il est assez grand pour nous deux, nous formons un couple, ma chérie.

- Non, je reste sur le canapé. Nous formons un couple au petit déjeuner jusqu’au coucher. Tu vas me désarmer et ta sécurité tu l’oublies.

- Alors, tu prends la chaise longue sur la terrasse, tu la mets devant la porte entrouverte de ma chambre et tu te douches avant.

- Bien, tu me prends alors sous la douche, mon chéri.

Je dois subir ses assauts non pas dans mon anus mais dans ma chatte, multipliant mes orgasmes, me laissant pantelante. Il éjacule abondamment, il veut me mettre enceinte.


26 octobre

Il est une heure du matin, quand je m’allonge pour surveiller Alexandre. Je reste éveillée, mais j’ai encore envie, ma chatte est humide, quand je passe mes doigts et mon clitoris est tendu, gros comme une cerise, mes mamelons sont tendus sous mon tee-shirt blanc. Je suis excitée, alors que je dois me concentrer sur ma mission.

Je lis les résumés, Brice et Nathan ont des soucis avec Anne Caroline, même Prisca pas Jean Hubert. Voyons pour Alexandre, coureur de jupons, dragueur, offre les plus beaux cadeaux dans ses hôtels à ses petites amies et aux chéries des gardes du corps masculins. Voyons si je peux être jalouse, monsieur l’époux. La gouine, la pute, j’aime ces mots. Mes amies vont être jalouses, avec mon Alexandre.

J’ai du mentir à Prisca. Anne Caroline va le découvrir.

Vers trois heures du matin, n’arrivant pas à dormir, trop excitée peut-être, je met la chaise longue devant la porte de la chambre entrouverte. J’ai une envie de me soulager. Je file aux toilettes de la salle de bains, retire mon bijou d’anus. Je m’assois, fesses nues, cuisses écartées et je me laisse aller à me caresser mon clitoris tendu pendant tout le temps.

Je sens un baiser sur mon front.

- Eh bien, quelle vue, tu viens dormir dans notre lit, ma chérie. Fais ta toilette intime, je t’attends, nue s’il le faut.

Je suis prête à dire non, mais j’ai encore envie. Encore quatre heures à attendre, je me laisse séduire, sans un mot.

Nue, je me laisse juste caresser, doigter, jouir, j’ai mon arme à proximité dans mon sac à main. Cela me tient éveillée.

J’ai pris un pull bleu et une jupe longue noire fendue derrière, mes mules blanches à petits talons pour le petit déjeuner et accueillir le groom.

Vers six heures, je me douche longuement, enduisant longuement ma chatte de son sperme chaud, m’habille et je remets le salon en place.

Vers sept heures, on frappe. J’ouvre la porte, une fois la chaîne retirée.

Je rêve, c’est le sosie de Brice, même physique et même âge.

- Madame Shawn Hauts de Bon Plaisir ou Désirée, je suis Nathan, à votre service. Le petit déjeuner de la suite vous attend. Alexandre a du goût. Disons 22 ans, doublement ouverte et follement amoureuse de lui. Une élégante future épouse, j’espère que la nuit a été courte.

- Merci, Nathan, vous ressemblez…

- Non, chérie, tu ne fais pas erreur, Nathan et Brice sont frères jumeaux. Pour l’âge, cette élégante beauté, ma future épouse, 25 ans et le reste est authentique, quel talent.

- Au fait, Anne Caroline vous importune, messieurs à chacune de ses venues, dis-je.

- Oui, cette Anne Caroline, son avocat se plie en quatre pour régler ses factures, une chambre simple pour elle seule, mais pour deux, son J H, dès qu’il a fini le service. Si elle a un enfant de lui, le divorce sera à la hauteur de ses nombreux amants.

- Tu as peut-être un bébé, toi aussi, ma belle Désirée ou madame Désirée, dit Alexandre, en mettant les mains sur mon ventre qu’il dénude, en soulevant mon pull, dévoilant une partie de mes seins nus.

- Quelle splendeur, elle est votre garde du corps, votre amoureuse et la future directrice adjoint de l’hôtel, pensons à son avenir, dit Nathan. Déjeunez, au fait, Désirée, le chef t’a mis une part du gâteau d’hier soir, car vous avez donné une excellente note.

Je rêve, je fais partie de la maison.

La table roulante est vidée de son contenu sur la table du salon, dont je dispose les couverts. Nathan m’aide.

- Tu peux me caresser, si tu le désires, je suis la future épouse, dis-je. Je mouille d’avance. Brice n’a pas pu hier soir, il aurait été ravi.

Il se retient.

- Ne fais pas le timide, je suis là pour toi, aussi et le personnel de l’hôtel, même Svetlana, dis-je.

Je reviens pour desservir.

Nous déjeunons, Alexandre aime caresser mon ventre.

- Tu as vu comment Nathan t’a regardée, c’est ta coupe, ton pull ou tes fesses nues sous ta jupe.

Je n’ose répondre.

Je laisse Alexandre se laver, j’observe nu, le mandrin en érection. Je n’ose le sucer, pour ne pas refaire mon maquillage.

- Tu m’avais caché pour Nathan et Brice, je l’aurais su. Tu as vu que je n’ai pas de téléphone portable, je suis pour le téléphone fixe. Si j’ai un appel, ce sera sur le téléphone de la suite ou à la réception. Tu as passé une partie de la nuit à lire tes messages. Tu es très occupé. Si on pouvait mieux se connaître, dans un lieu plus discret, non pas au restaurant, dans un club privé ou un centre équestre, je suis une excellente cavalière, même si enceinte, je dois me ménager.

- Je finis de me préparer. J’en ai pour cinq minutes, Nathan va venir débarrasser.

- Je vais l’aider, il pourra me caresser, tu n’es pas jaloux, dis-je, en faisant un discret sourire et un clin d’œil coquin.

J’ouvre. J’ai droit à Svetlana en personne.

- Svetlana, tiens, vous n’êtes pas à la réception. C’est vrai, c’est ce soir. Vous êtes aussi servante, comme l’a dit Anne Caroline ou c’est pour surveiller la pute d’Alexandre, voir si j’attends un heureux événement. Non, c’est pour un baiser lesbien, je suis une gouine.

- Non, madame, je suis là pour vous avertir que le tarif de la chambre d’Anne Caroline est passée depuis hier soir au niveau tarification suite deux lits, suite à un courrier de la direction.

En parlant de courrier, j’ouvre ma lettre de l’hôtel.

Une écriture féminine qui annonce :

« Alexandre, ta pute Belle de Désir est ta nouvelle chérie. Je lui promets à ton couple, des disputes, Belle te quittera et je serais ta promise.

J H la désire, tu sais. Elle n’a pas la carrure, elle est juste bonne comme soubrette dans ton luxueux domaine avec tes biches, livrée à d’autres et surtout, soumise à mes désirs.

Anale Câline ta chère. »

Je suis troublée, prête à perdre mon sang-froid. Je me retiens, la mission d’abord. Anale Câline ou Anne Caroline, va avoir de mes nouvelles à ma façon. Comment elle connaît mon adresse personnelle de mon appartement ? C’est une ancienne de SPH ou d’un concurrent.

Je téléphone à Alban.

- Douceur Vénus à Faucon, vous avez des informations sur l’épouse de l’avocat.

- Oui, un dossier t’attends dans ta 205 cabriolet, dès que tu la prends.

- Merci.

- Douceur Vénus, c’est élégant, ma belle Shawn, dit Alexandre. Anne Caroline veut se mettre à dos, ma future épouse et mon personnel, nous verrons. Je n’ai pas eu besoin de lire cette lettre. Madame aime faire son numéro à chacune de ses venues, Svetlana.

- Ah oui, elle voulait que je te prenne en photo, baisant ta chérie, pour dire que c’était une biche, dit Svetlana.

- Allons-y, je me déshabille, tu nous photographie et l’affaire est conclue, dis-je. J’ai mes reins tatoués, ma chatte percée et mon clitoris, je suis une biche.

- Non, tu es libre de ton corps. Anne Caroline paiera la facture, Madame Shawn.

Alexandre conduit ma 205, tandis que je lis les informations sur Anne Caroline. Je ne prête pas attention aux paysages. Nous roulons non loin du Palais, je reconnais le restaurant. Alexandre prend une autre direction.

- La villa est par là, mon chéri.

- Non, c’est une surprise pour toi. Olympe, cela t’évoque quoi ?

- Olympe, tu la connais. On est de grandes amies depuis le collège, mon initiatrice sexuelle, mais pas les hommes, juste pour les caresses et les baisers.

- Tu sais qu’elle est la fille de Sir Oscar, le directeur d’un centre équestre, où tu allais souvent, avant de devenir garde du corps.

Comment il sait cette information, c’est confidentiel et je n’en ai jamais parlé à quiconque.

- Au fait, Pénélope a rendez-vous avec Alizé le meilleur étalon de ces juments, une belle queue comme elle les aime.

- Pénélope, c’est mon prénom. Un prénom pour une jument que je ne connais pas.

Nous entrons par un long chemin abrité, dans le centre équestre. Je suis en admiration devant les étalons et les juments.

- Cela fait longtemps que je n’ai pu monter, mais je n’ai pas perdu la main, dis-je.

Nous arrivons enfin sur un point haut, donnant sur deux superbes chevaux et une superbe blonde aux longs cheveux, en tenue de cavalière, ma Olympe. Elle a bien changée. Un hangar abrite les deux chevaux avec Olympe, plus j’aperçois un homme de dos.

- Installe-toi et admire le paysage, surtout vers la saillie. Pénélope attend Alizé, regarde cette belle queue.

Sans attendre, penchée en avant, à la rambarde, les fesses dénudées, l’anus libre, je sens un mandrin me fouiller ma chatte humide.

- Cambre-toi bien, je vais te prendre jusqu’aux testicules. Oscar regarde comme elle aime ça.

Les yeux baissés, je sens le plaisir m’envahir. Je me sens comme Pénélope saillie par Alizé.

Alizé éjacule tandis qu’Alexandre inonde ma chatte.

- Oscar, tu la prends par les fesses, elle a besoin de moi pour son écrin.

- Quelles splendides fesses, elle a très envie, ma belle pouliche, me susurre Oscar, en m’enculant, d’une seule traite, jusqu’aux testicules.

A 60 ans, je suis surprise par sa vigueur, c’est un élégant brun barbu, 1,75 m, musclé.

- Que tu es chaude, je vais t’inonder toi aussi.

- Oui, Oscar…

- Olympe, regarde cette beauté, elle aime ma queue entre ses fesses. C’est ta Miss Caresse, tu t’en souviens.

Je reste submergée par la vague de plaisir anal, inondée par son sperme chaud.

Il se retire. Olympe m’embrasse langoureusement sur la bouche.

- Alors, ma chérie, tu as aimé ces deux hommes en toi, dit Olympe. Tu as beaucoup changée, ta coupe, le plaisir avec un homme. Attends, tu as encore deux à recevoir.

Je rêve, quatre étalons pour moi.

C’est Brice et Nathan qui m’épuisent, en m’enculant sauvagement.

- Elle vous plait, votre future directrice de l’hôtel, dit Olympe. Au fait, Brice est mon chéri, tu peux prendre Nathan si tu n’es pas encore en couple.

- Désolée, ma chérie, c’est Alexandre mon chéri. Je dois avoir la confirmation pour une décision future, dis-je, en surprenant Olympe et Sir Oscar.

- Déjeunons, tu m’en diras plus, ma chérie. Rhabille-toi, tu vas te promener les fesses nues, va te doucher.

Olympe me passe un de ses pulls au décolleté en V, blanc et une jupe éventail blanche, avec mes mules à petits talons. Je me farde et me parfume avec mon nécessaire dans mon sac à main.

Pendant le déjeuner, je ne dis rien.

- La future directrice ne dit rien. Pourtant, je t’ai connue plus bavarde au lit et en dehors, sur mes partenaires masculins. Du style, beau mec, bien monté, caresses sur moi à revoir, pense à me prendre…

- Ah bon, tu notais les partenaires de ma fille, Shawn. Tu me surprends et tu jouais les voyeuses, en te caressant, dit Sir Oscar.

- Tu donnes combien pour Brice et Nathan, ma chérie.

- Ils se sont retenus à l’hôtel, donc je ne peux noter, mais pour tout à l’heure, la note maximale pour le plaisir, j’ai aimé les sucer tout comme mon Alexandre et Sir Oscar, ils ont bon goût.

- C’est tout, dit Alexandre. C’est vrai, il faut passer par diverses étapes, les caresses, les doubles plaisirs, la docilité et enfin, les prochaines rondeurs. Bon, il reste encore la dernière étape, mais cela fait quand même depuis le 25 peu avant minuit, sans compter peu avant six heures et lors de la saillie de Pénélope. Cela augmente les chances que ta belle chérie Shawn tombe enceinte. Elle en a très envie à chaque fois.

- Alexandre…

- Tu vois, elle en veut encore. La saillie l’a excitée, dit Alexandre. Je te taquine. Il faudra bien un jour, dès la confirmation, que certaines personnes l’apprennent de ta superbe bouche. Tu fais la Shawn des mauvais jours, on dirait.

- Tu n’aurais pas du. Olympe l’aurait su et vu, lors de nos sorties entre copines. Je peux avoir un peu d’intimité avec mes copines.

Je quitte la table et me réfugie dans un coin du hangar, non loin du box d’Alizé. Je suis en admiration devant cette belle queue qui a rempli la belle jument Pénélope.

Olympe me rejoint.

- Viens, tu es très élégante. Alexandre est amoureux de toi, tu le protèges, il paraît. C’est vrai, tu es garde du corps. Finie, la jeune femme timide, capricieuse, tu vas devenir une femme heureuse avec ton ou tes bébés. Avec Brice, on prévoit d’en faire un, prochainement. C’est toi, qui nous a donné l’idée.

- Olympe, j’aurai du l’annoncer pas ici, dans un autre lieu.

- Je suis passée à ton appartement, il était fermé à clé. Tu vis à l’hôtel, c’est pour ta mission. Après, tu retournes à ton appartement. Tu devrais la jeune femme la plus heureuse, l’homme que tu protèges te donne du plaisir pour un bébé et toi.

- Je suis grande. Je ne suis pas encore prête…

- Eh bien, si les biches du Palais attendent le prince charmant, en se faisant prendre par les fesses, les chances d’avoir un bébé sont minces, dit Olympe. Je sais Belle du Désir, tes reins tatoués, ta chatte et ton clitoris percés, ta bague, c’est officieux, mais tu es la preuve du Palais. Combien d’hommes t’ont fait jouir, tu n’es plus vierge, ta chatte a été déflorée lors de cette fameuse nuit où tu m’as réclamée d’enfoncer le plus gros gode bien au fond de ta chatte trempée.

- Elle n’était plus vierge en entrant au Palais, juste entre les fesses, dit Alexandre, en nous rejoignant. Ce n’est pas grave, elle n’a pas avoir de spermes dans sa chatte avec ses godes. Au fait, on se connaît depuis une quinzaine de jours, tu as une excellente couverture, mon épouse, pour ma sécurité. J’aurai pu te renvoyer, mais je te garde. Tu es trop précieuse. Sir Edouard a juste, tu plait beaucoup.

- Alexandre, je m’excuse. J’ai du dire à Prisca, que nous sommes connus depuis cinq ans, pour ma couverture. Si on découvre la vérité, il faudra prouver par un document officiel.

- Donc, tu envisages une union avec moi, même si cela ne fait pas partie de ta mission ou cela est inclut.

- Mais, Alexandre, ma chérie t’adores, mais elle ne sait comment le dire, c’est sa timidité qui la gêne, mais avec mes partenaires, elle n’osait pas leur dire, son envie de faire l’amour avec eux, dit Olympe.

Je prise de pleurs soudain, de nausées inexpliquées.

Respire, ma chérie, tu vas bien. Tu vas te reposer dans ma chambre, l’air t’a fait du bien. Laissons-la tranquille, elle doit être enceinte, mais il faut attendre les résultats. J’ai une amie gynécologue, qui va l’examiner dès demain. Je la conduirais moi-même. Alexandre, tu peux rester. Elle te protège. Elle est très sensible.

Je reste dans la chambre, assoupie, nue sous les draps frais, n’osant même pas me caresser. Je suis dans une situation non prévue dans ma mission, enceinte d’Alexandre, ma chérie Olympe avec Brice, j’ai menti à Prisca et Alban va m’évincer de la mission, qui a échouée.

Vers 22 heures, Olympe vient me voir.

- Il faut te nourrir, tu n’as pas bougée de ton lit. Tu es brûlante, fiévreuse et tu as la chair de poule. Tu es bien bordée.

Je mange un peu, mais sans trop forcer.

Je me soulage, mais sous la douche, je manque à m’évanouir, prise de vertige. Olympe me recouche.

- Mon amie Aimée, tu la connais, la reine des bouffeuses de chatte.

Je suis au bord de la nausée.

Je me soulage.

- Tu appelles Aimée, je veux savoir ce qu’il passe. Je m’offre nue à elle, dans ton lit, elle m’examine et si besoin, je vais dans une clinique…

- Tu tiens à garder ton bébé, penses à être heureuse. Tu es déprimée, tout cela car Alexandre n’est pas le prince charmant attendu. Tu dois être heureuse, tu n’as pas choisie.

- Merci, du conseil, je le protège, me couvre de cadeaux et je suis enceinte de lui.

- Repose-toi, si besoin, tu sais où sont les toilettes. Tu dois retrouver des forces et je veux te voir sourire, pas la Shawn des mauvaises jours, qui échoue à ses nouvelles épreuves. Comme celle de la séduction, combien d’hommes ont eu ton refus de ta part ?

Je me rendors.


27 octobre

Je passe la matinée, les cuisses écartées, avec un spéculum, un tube dans la chatte pour l’échographie, je suis très excitée.

Aimée, la grande brune aux cheveux longs, 30 ans, avec sa blouse, 1,85 m, m’annonce :

- Tu es bien enceinte. Trois tentatives qui sont en réalité trois succès, le sperme a rempli sa mission. Il faudra encore un peu, pour connaître le sexe. Le père est le bel étalon que j’ai vu, près de ta chambre. On dirait, l’étalon que tu nous racontais lors de tes rêves coquins. Directeur d’hôtel, disons d’une grande chaîne d’hôtel, j’aime tes bijoux intimes, ce clitoris je passerais des heures à m’en occuper, tes reins tatoués, tu es sublime à 25 ans.

- Tu me dragues, Aimée. J’aime…

- Tu aimes Alexandre, Olympe m’a dit que quand il t’a pris, pendant que tu regardais la saillie, tu étais très excitée, la mouille dégoulinait le long de tes jambes. Tu avais une très grande envie.

- On parle de moi, ma chérie, dit Olympe. Je ne suis pas encore à des succès, mais Brice m’a dit qu’il fantasme sur toi et cela l’encourage à me donner plus de plaisirs. Ton Alexandre a veillé sur toi, toute la nuit. Il se repose. Il est bien monté, calibre neuf.

- Non, du huit et bien long, car il me remplit bien la chatte, dis-je, tout en conservant mes cuisses écartées, humides.

- Tu vois, elle l’aime. Si elle l’aimait pas, elle n’aura pas fait une telle description, ma Miss Caresse, qui devient Miss Désir ou Plaisir du Vice, j’hésite, dit Aimée.

- Plaisir du Vice, dit Alexandre, en m’embrassant sur la bouche, non pas Belle du Désir, ce titre n’est pas le bon. Je vais devoir te laisser, j’ai un rendez-vous de deux semaines à Monaco, je te retrouve plus tard. La suite est à ton nom, tout est déjà payé. Tu prends soin de toi. J’ai demandé que l’on te dérange sous aucun prétexte, Prisca va s’occuper de ta beauté, tu seras massée, les grooms sont mis au secret, même Svetlana, mais pas J H, ni Anale Câline elle va payer le tarif, trois mois au Palais, prise par son avocat.

- Tiens, je suis à tel titre dans l’hôtel, garde du corps sans son protégé, directrice, épouse sans son chéri, non mieux, pute attendant ses amants. Tu m’as dit que j’étais une pute le premier jour.

- Non, tu plaisantes, Shawn, dit Alexandre. C’est une erreur de ma part. Tu es ma déesse, garçon ou fille, jumeaux ou jumelles, laissons faire la nature.

- Tu t’intéresses à mon ventre, c’est nouveau, dis-je, tout rouge. Trois tirs réussis, bravo, mon chéri, tu vises juste et presque autant entre mes fesses, sans compter ceux de mes inconnus de la villa.

- Le Palais devient la villa, la couverture est parfaite, dit Alexandre. Alban va adorer. Au fait, tu es mise…

- Je suis virée, car je suis enceinte…

- Non, tu es mise membre honoraire du comité de direction de l’hôtel, tes suggestions, tes idées et celles de tes amies seront étudiées avec soin. Un regard féminin peut être utile. Tu comptes, ma chérie, je te quitte. Mon jet pour Monaco, m‘attends. Je t’appelle dès que tu es dans ta suite, tous les jours s’il le faut, pour entendre ta voix, tes râles de plaisir lors de tes plaisirs solitaires ou avec un homme ou une femme ou les deux. Tu gardes ta chatte libre en attendant mon retour.


Je passe deux semaines à la suite. Je m’ennuie, mais j’arrive à m’occuper. Je m’occupe des nouveaux gardes du corps sur le personnel, les invités. Je dirige tout de la suite. Cela m’évite de trop me fatiguer, mais je vais au jardin des Plaisirs me ressourcer, Prisca est à mes côtés, nous sommes de grandes amies, malgré mon mensonge. Je surveille chaque signe de ma grossesse.

Ma garde-robe s’adapte à mes rondeurs. Je suis aidée pour ma douche, par crainte d’un nouveau malaise.


12 novembre

Tiens, mon Alexandre ne m’a pas téléphoné. C’est curieux.

Alban m’offre chaque jour des fleurs, des livres pour mon futur enfant, des idées pour la chambre qui sera dans une villa dont je suis la propriétaire, avec les affaires de mon appartement, j’ignore son emplacement. Même Alexandre ne me dit rien. Si je sors, j’ai droit à la BMW cabriolet d’Alexandre, conduite par un des grooms, pour mes rendez-vous chez Aimée, mon couturier et mes futures activités.

Vers 17 heures, je suis intriguée, mon Alexandre me prépare une surprise.

L’ascenseur arrive à mon étage. J’ai l’habitude. C’est l’heure de mon massage.

Je suis nue sous mon peignoir, pieds nus, douchée, parfumée.

J’ouvre la porte. Non, c’est pas Orchidée, mais Sven, un bel Adonis Scandinave, musclé, athlétique, 35 ans, 1,85 m, en costume. Il n’est pas sur ma liste, il a franchi mes contrôles, il est rusé.

- Je suis Sven, tu es Shawn. Tu es très élégante en peignoir.

- On se connaît. Tu quittes la suite, je suis attendue. Je suis enceinte, je dois rester calme.

- Belle du Désir est enceinte, Pénélope est aussi enceinte au centre équestre, tu étais très belle sur le point haut, je ne voulais pas rendre jalouse Olympe. Dire qu’à 18 ans, j’ai découvert une jeune voyeuse nue, qui se caressait en me regardant donner du plaisir à ta Olympe. Tu sais, j’avais très envie de toi, mais maintenant que je suis marié avec Aimée, qui attends un bébé comme toi. Olympe, c’est pour bientôt, Brice a fait le nécessaire.

- Le Sven près d’Olympe au hangar, je te préfère de face. C’est Alexandre qui t’envoie me chercher. Tu es mon chauffeur, mon garde du corps, non tu es là pour me prendre par les fesses. Tu attends que cela.

- Non, Charles t’a prise lors de ta présentation et surtout a honoré ta chatte, mais Sir Edouard, moi, ainsi qu’un quatrième homme que tu connais, nous t’avons prise par les fesses. Au moins à plusieurs reprises, Charles a souhaité te prendre en double, pour te faire jouir de la chatte et il t’a bien inondée. Donc, tu es enceinte depuis le 10 octobre, non pas depuis le 25 octobre. Cela change tout, surtout pour Aimée. Tes nausées au centre équestre sont bien réelles. J’espère que tu attends des jumeaux. Bien sûr, Douceur Vénus, ton chéri était là pour te surveiller, même s’il était à Monaco pour affaires. Tu es directrice adjoint de l’hôtel, enceinte et garde du corps, il faudra te ménager.

- Tu viens me voir, pour juste me dire que je suis enceinte depuis le 10 octobre, mon statut de directrice et tu veux me prendre dans la suite, dis-je. Cela change tout, en effet. Je dois me fiancer et me marier aussi, pour sceller l’union avec mon chéri.

Alexandre arrive à l’improviste.

- Sven, elle est mise au courant. Sa nouvelle villa l’attend. Ma chérie, tu mets ta petite robe noire, de grossesse, celle qui met en valeur tes superbes jambes, tes mules noires à petits talons et c’est tout.

- Ma nouvelle…

- Hâte-toi, il est presque 18 heures. Il faut deux heures pour s’y rendre en limousine. Je dois te bander les yeux pour le trajet.

Je m’habille devant ces messieurs, nue sous ma robe noire au discret décolleté en V bordé de dentelle blanche, que je ne peux relever pour m’asseoir du à mes rondeurs. Mes seins ont pris du volume, leurs mamelons sont constamment tendus et sensibles. J’ai mis mon bijou d’anus calibre six au cas où.

Nous descendons, je suis bien protégée par un cercle autour de moi, avec mon chéri. Sven nous laisse en retrait.

Je monte en premier, les yeux bandés à l’intérieur, les seins caressés par le décolleté par Charles, pour me détendre.

La limousine rejoint la villa au bout de deux heures.

Il m’aide à descendre, près d’un portail ouvert.

Il me retire le bandeau quelques instants. La villa est immense avec une fontaine comme au jardin des Plaisirs, des fleurs et un double garage avec ma 205 cabriolet et une DS bleue pour transporter mes jumeaux.

- Chéri, tu sais…

- Ne dit rien, regarde, nous allons passer par la cuisine, puis je te remets le bandeau sur les yeux.

- Tu joues à quoi, la villa est louée au nom de l’hôtel.

- Non, tu es la directrice de la chaîne d’hôtel, Shawn Hauts de Bon Plaisir, à titre officiel, ma future fiancée et épouse. La villa est à ton nom, elle est mieux que ton appartement. Non, tu n’entres pas dans cette pièce, que les yeux bandés, comme à la villa.

- Je serais prise ici. Mais je me réserve à toi, mon chéri.

Les yeux bandés, je quitte la cuisine où se trouve le chef et les servantes de l’hôtel, venus spécialement.

J’entends des voix féminines que je semble reconnaître et des voix masculines connues.

Prise par des couples, je rêve.

Il retire le bandeau. Je découvre Aimée et Sven, Brice et Olympe, Sir Edouard et un bel inconnu de 60 ans, Prisca, Svetlana et Nathan. Tiens, mes amies sont enceintes aussi.

- Tu sors de ta suite, ma chérie. La villa est au-delà de tes désirs, de nombreuses chambres, une piscine, un grand salon, une double cuisine, sans compter les futures aides pour… dit Olympe.

- Chéri, j’allais te dire que cela est confirmée, je vais avoir…

- Tiens, prends un jus de fruit et nous en parlerons plus tard. Fais le tour, Prisca tu l’accompagnes. Toutes portent la même robe noire de grossesse comme toi, mais avec des hauts talons.

Prisca me guide dans le grand salon, où sont exposés mes dessins, que je réalise pour m’occuper. Qui les a fait publier ?

Le grand salon abrite une table basse avec des canapés, une grande table à manger, avec des chaises, une cheminée et des coussins.

- Viens, voir ta superbe piscine, tu pourras te relaxer sur les chaises longues. Elle te plait, cette villa. Nathan m’a mise enceinte, sur les conseils de Brice. Il faut revoir la décoration de mon salon, tu as de bonnes idées. J’ai approuvé tes dessins.

- Quels dessins, de ton salon, je ne me souviens pas.

- Si, ceux que tu réalises aux réunions du comité de direction, tous ont approuvés à l’unanimité. Le budget est déjà voté, signé S H B P en personne.

- J’ai dit oui. Tu sais je signe tellement de documents. J’ai besoin de repos, pour mes jumeaux, Prudence et Octave. Je ne sais si Alexandre va les approuver.

Soudain, je perds l’équilibre, près de la piscine. L’inconnu de 60 ans me rattrape, juste avant de tomber dans la piscine.

Je connais un soudain fou rire, assise sur une des chaises longues.

- Tu dois être l’avocat, l’ancien époux de Anne Caroline, qui m’a prise lors de la présentation.

- Ma chérie, tu as cassé ton talon, tout…

- Rien de grave, dit Alexandre et l’inconnu. Douceur Vénus vient nous rejoindre.

- Je suis Hubert Donatien. Enchantée de voir vos superbes yeux verts, votre éclatant sourire et j’espère que la villa vous plait. C’est du mesure, selon vos goûts, Shawn ou Douceur, Belle ou Pénélope qui a trouvé son Ulysse. Il me fait un baise-main. Anne Caroline a été remise à un nouvel amant, qui l’a mise enceinte à qui elle est sa soumise. Votre offense à votre encontre lui a fallu d’autres soucis juridiques et financiers. Venez, marchez pieds nus, le marbre est froid comme à la villa, vous avez de superbes pieds et de très belles jambes. Tu es frileuse un peu, viens à l’intérieur. J’ai fait allumer la cheminée, pour te réchauffer. Nathan, porte Pénélope à l’intérieur.

Je suis aux anges, enceinte portée par Nathan.

Il me fait allonger sur le divan. Il inspecte mes chevilles. Je n’ai rien. Mes mules sont à réparer. Je resterais pieds nus alternant sur le tapis et le marbre froid du salon, me rappelant le Palais.

- Ne bouge pas, Albane et Belle, venez vous occuper de la jeune beauté enceinte. Petits fours et autres plaisirs et son verre de jus de fruit, dit Nathan.

Je crois reconnaître les deux femmes du Palais, mais élégamment vêtues d’un chemisier noir sur les seins nus, une jupe mi-longue blanche et des mules blanches à talons de douze centimètres. Elles portent aussi la bague sertie d’un anneau.

- Justine et Orgasme, je présume, dis-je devant Hubert. Ce sont elles.

- Quelle observation, Belle du Désir, dit Justine. Nous sommes à ton service. Tu es resplendissante, enceinte. Un mois déjà que l’on s’est vue.

- Tu connais les deux servantes, dit Prisca. Elles sont des habituées de mon salon. Ce sont des…

- Des Biches comme moi, messieurs, vous avez certainement prévus des cadeaux pour la future maman et ses…

- Chéri, tu attends des jumeaux, je le sais. Si tu veux te soulager, il y a une salle de bains, au cas où.

Dans l’heure, je suis contrainte de me soulager et je connais une soudaine nausée. Je dois tout rejeter aux toilettes.

Albane me rejoint.

- Je vais t’aider. Viens, te nettoyer le visage. Ta robe est tâchée. Tu as besoin d’un bol d’air, la chaise longue sera idéale. Je vais demander à te faire servir dehors, une couverture et tu vas manger un peu. Nathan, on la laisse dehors, elle n’est pas dans son assiette.

Je retrouve la chaise longue, avec une grande couverture, entourée par les invités. Je fais déshonneur de la cheminée. Mais ce sont les aléas.

Le chef m’annonce vers 23 heures.

- Madame la directrice, le gâteau est à l’intérieur. Il faut que vous le coupiez pour les invités.

Je viens, réchauffée, tenue par les épaules par Nathan et Brice, pieds nus.

Je fais les parts, mais il en reste. C’est mon péché mignon, un combiné Trianon, Palais Royal et Opéra. Je me coupe une petite part.

Je rejoins ma chaise longue et je remets ma couverture.

Je m’endors, après avoir mangé ma part.


13 novembre

Vers 5 heures, j’émerge. J’ai une faim de loup.

Je suis dans une luxueuse chambre, seule, nue sous mes draps. C’est vrai, ma robe a été tâchée.

Nathan me rejoint :

- Tu as besoin de quelque chose, à manger. Alexandre est parti pour la matinée, pour quelques rendez-vous. Ces dames sont rentrées, tu as bonne impression à l’avocat, Brice et Sir Edouard ont mis des cadeaux dans la chambre de Prudence et Octave.

-Tu connais les prénoms de mes jumeaux, je n’ai parlé qu’à Prisca, ma chérie.

- Non, ils sont notés sur leurs lits. La chambre est entièrement équipée. Ne bouge pas, je t’amène quelques plaisirs gourmands.

- Merci, tu es un amour. Nathan, tu n’as pas encore de chérie. Un galant homme devrait en avoir une.

- Disons, que…

- Je vois tu es puceau, mais tu aimerais me prendre pour ta première fois.

- Non, je suis l’ami de Sir Edouard. Je suis son préféré. Sir Edouard aime aussi les hommes.

- Deux hommes qui font l’amour, j’en ai toujours rêvé, même comme lesbienne. Je raffole des DVD avec deux ou plusieurs Adonis bien montés entre eux. C’est comme cela, que j’ai appris à sucer. Pour me prendre par les fesses, c’est au palais que j’ai débuté.

- Tu acceptes que je sois l’ami de Sir Edouard. Tu es très belle, nue, même enceinte. Quand tu auras accouchée, tu seras encore plus désirable.

- Tu es libre de tes amours. Moi, c’est le hasard et l’amour, qui m’a guidée vers Alexandre. Tu me taquines, je présume. J’éclate de rire puis je fais un sourire coquin avec un discret clin d’œil.

Nathan revient et nous parlons de divers sujets, jusqu’à ce que je me replonge dans un long sommeil réparateur.


Deux ans après

Prudence et Octave ont désormais un an, j’attends des jumelles Pénélope et Olympe de Nathan, en accord avec Alexandre.

Aimée a eu Alexandre avec Sven, Olympe a eu Shawn, une fille avec Brice, Svetlana attend un bébé de Nathan, car je l’ai dépucelé.

Ma villa est très active. Je suis toujours directrice de la chaîne d’hôtels, d’autres éléments féminins sont autorisées par Alexandre pour des missions dans les hôtels de la chaîne. Mon exemple a servi.

Anne Caroline a quitté l’hôtel, après le paiement de l’ensemble des nuitées non honorées au nouveau tarif. Elle n’a pas portée plainte contre moi.

Au fait, je suis officiellement l’épouse de mon Alexandre peu avant la naissance des jumeaux.

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