SHAWN ET LE COUPLE LIBERTIN
Contenu sensible
Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
SHAWN ET LE COUPLE LIBERTIN
1er jour
Je suis étudiante en université, section photo. Je préfère posée en bikini ou en lingerie que nue et j’aime fantasmer sur les modèles masculins nus bien montés, musclés, athlétiques, mon style d’hommes. Je suis encore vierge, malgré mes amours lesbiens où mes copines me godent la chatte et surtout me lèche mon clitoris, pour me faire jouir.
Vers 14 heures, je flâne dans les environs de l’université, en région Parisienne, avant de rejoindre mon studio où je vis seule. Je suis vêtue de mon tailleur fuchsia avec une jupe droite, cachant un tee-shirt blanc, un soutien-gorge assorti en dentelle blanche dénudant partiellement mes seins, un string assorti et un porte-jarretelles avec mes bas blancs. Je suis maquillée, parfumée, coiffée de ma queue-de-cheval et chaussée de sandales blanches à talons de huit centimètres. J’attire les regards masculins. Je suis toute excitée.
Non loin, lors d’une halte à une boutique alimentaire, je croise un visage qui ne m’est pas inconnu.
- Charles Honoré, mon Adonis chéri…
- Shawn, que fais-tu là ? Tu es élégante dans ton tailleur fuchsia. Je te présente Diane Eléonore, dite Vénus Anal. Toi, ton surnom c’est Hermine la gouine, quand on s’est vue la dernière fois à Fuerteventura. C’est la fille de mes amis en Provence. Elle étudie ici à l’université.
- Elle est une gouine, ta chérie, dit Diane.
- Oui, je me refuse aux hommes, suite à une tentative de viol. Je ne souhaite pas en parler.
- Viens, voir la villa de tes souvenirs, nous sommes à une demi-heure de l’université.
Je ne peux refuser. Diane est vêtue d’une robe dos nu, avec un décolleté en V sur ses seins nus plantureux, âgée de 40 ans, brune aux longs cheveux. Charles est l’homme que je rêve, athlétique, musclé, sportif, brun de 45 ans, bien monté.
Nous prenons la BMW cabriolet, je monte à l’arrière.
Diane me questionne sur ma vie intime sexuelle, sans parler du viol.
Vers 15 heures, la villa est très sécurisée, bien gardée par des maîtres-chiens et arrivés au garage, je découvre le salon donnant sur une grande piscine entourée par le grand parc, une cuisine, une salle à manger au rez-de-chaussée, la chambre du couple, une bibliothèque.
Au premier étage, se trouve ma nouvelle chambre, une salle de sport et une salle de cinéma.
La villa est surveillée aussi depuis l’intérieur, sans que je le sache.
Nous déjeunons.
- Allez, ma belle. Tu seras mon chaton, Shawn. Shawn, c’est trop masculin. Tu seras Hermine entre nous et Prudence, la fille de ton Adonis. Choisit ton bikini ou ton string de bain au choix ou toute nue. Je préfère être toute nue. Tu n’as jamais exhibée ton corps nu à ton Adonis.
Je reste silencieuse. Cela m’évoque la soirée, où un des amis de Charles a tenté de me baiser nue, sans mon accord. Je suis partie en larme dans ma chambre de la villa louée à Fuerteventura.
Je me déshabille dans ma chambre, avec de nombreux miroirs sans tain et glaces aux endroits stratégiques, sans porte tout comme la salle de bains, étrange.
- Très jolis dessous, superbes petits seins, superbes fesses musclées, tu es élégante et sportive. Tu me plais, Hermine la déesse du sexe.
- Tu aimes mon corps. J’ai hâte de faire l’amour avec toi.
Je reste nue.
- Tiens, ce string blanc fera l’affaire, tu dois exhiber tes seins aux mamelons tendus.
En effet, Diane m’a déposée discrètement sur mes mamelons et mon clitoris, des gouttelettes qui les transforme. Mon clitoris devenu gros comme une cerise, volumineux et saillant sous mes doigts, quand je me caresse, mes mamelons sont aussi volumineux, gros et longs. Je suis longuement excitée.
Le string épouse mes formes. Je reste pieds nus, mais Diane est plus grande que moi. On devine mon pubis velu et surtout ma chatte velue.
La grande salle de bain possède un baignoire à bulles et une grande douche à l’italienne pour ma chambre.
Seule, j’ouvre un placard, retire mon string, m’admirant nue devant un miroir d’un seul tenant, cachant des caméras. J’exhibe mes fesses, les écarte, dévoilant ma chatte velue, mon gros clitoris bien tendu et mon anus encore vierge.
Je découvre un bijou d’anus, le porte à mes lèvres pour le sucer, comme dans les films hard que je regarde seule. Bien humide, je le fais passer sur mon gros clitoris et je jouis, tout en pinçant mon mamelon droit bien tendu et durci. Je le suce, le passe sous l’eau et le nettoie bien.
Je le range dans l’armoire et je referme l’armoire. Je remets mon string après avoir essuyé ma mouille de ma chatte. Je tire la chasse.
Vers 16 heures, je retrouve le couple nu à la piscine. Charles est déjà en érection, regardant son téléphone portable qui m’a filmée discrètement. Il possède un trente-huit par neuf. Diane m’a pris le mien par sécurité.
- Tu fais ta timide, devant ton chéri, dit Diane.
- Retire ton string, montre-moi ton écrin velu, dit Charles.
J’obéis.
Je plonge la première, suivie par Diane.
- Il t’excite, mon chéri. Le petit jouet te plaît, on dirait. Laisse-moi caresser ton superbe corps nubile. Tu mouilles d’avance, ma gouine chérie.
Je m’abandonne à ses caresses, tandis que Charles nous rejoint et j’effleure la queue dressée de Charles. Une vague de chaleur m’envahit. La force de Charles me parait incroyable, me sentant comme une poupée fragile dans ses bras. Je jouis très fort, la chatte doigtée profondément par Diane et mon clitoris caressé par Charles.
Après une heure de baignade, je rejoins la douche pour me rincer. Je me caresse, la chatte en feu, que je dois satisfaire immédiatement.
- Viens, ma belle, tu vas sucer mon chéri, dit Diane. Mon chaton, tu dois le faire jouir.
J’obéis. Je fais de mon mieux, me rappelant mes films hard que je regarde seule, en me caressant.
- Je vais te mettre de la crème solaire sur ton corps. Tu ne dois attraper un coup de soleil.
Les caresses féminines et le mandrin dans ma bouche, je connais un nouvel orgasme.
- Tu jouis encore. Tu as très faim de sexe, dit Diane.
- Tu vas me faire jouir dans ta jolie bouche. Tu avales tout.
Je fais de mon mieux.
- Examen réussi, tu pourras recommencer, dit Diane, qui me filme avec son téléphone portable. Tu seras bien payée pour la semaine de ton séjour dans la villa, comme soubrette de charme. Vas te doucher, je te rejoins dans ta chambre, avec de quoi t’occuper. Ma chambre est interdite lors du ménage. Tu seras punie si je te trouve, mais tu devras trouver le code d’accès et d’autres idées pour y entrer. Va dans l’armoire à plaisir, prendre le petit jouet et met entre tes superbes fesses, c’est cela son usage, ma coquine.
- Je pensais…
- Tiens, tu vas lire ces livres sur la sexualité, le BDSM, le sexe anal, les partouzes et gang bang, les jouets sexuels et, bien sûr, l’échangisme. Ils décrivent cette sexualité de partage comme branchée et tendance. Plus un livre sur les fessées si tu aimes être fessée, pour tes punitions.
Vers 18 heures, arrivée à la chambre, nue, pieds nus, les cheveux libres, tenant mon string, Diane me suit.
- Ecarte tes superbes fesses, mon chaton, je vais te mettre ton jouet pour la soirée. J’ai mis tes livres sur ton lit, tu es libre de les lire, d’admirer les photos et de te caresser si tu en éprouves le besoin. Ainsi tu auras moins mal si tu es enculée ta première fois, c’est très excitant de le conserver.
Le bijou d’anus de calibre quatre centimètres s’insère jusqu’à la butée tout de même lentement. Comme pour ne pas l'effrayer et lui faire apprécier le moment. je lâche un petit râle tout mignon, entre peur, surprise et plaisir de me sentir ainsi m’ouvrir sous la pression et me refermer sur cet objet froid.
La sensation d’avoir un objet pourtant très petit dans mon anus me fait tout bizarre. C’est désagréable et plaisant à la fois, mais au final, j’aime bien. Mes mamelons sont constamment tendus par les nouvelles gouttelettes déposées, tout comme mon gros clitoris et je mouille abondamment.
Je reste nue et je me douche rapidement, me farde en suivant les instructions, comme celles de mon emploi de soubrette.
Mes paupières sont légèrement ombrées, ma bouche fardée avec un rouge clair, un peu liquide, au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins du même rouge l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage, me parfume trois fois, avec un vaporisateur, laissant à chaque fois le parfum sécher sur moi.
Je regarde chaque livre et je suis sous le charme d’un superbe Adonis nu qui se masturbe, avec un mandrin du même calibre que celui de Charles, qui pénètre ensuite une superbe beauté qui me ressemble, d’abord dans la chatte. Je reste quelques instants allongée sur le lit, cuisses écartées à me caresser, en pensant au mandrin de Charles dans ma chatte trempée. Puis d’autres photos de sodomie me surprennent, me choquent et m’excitent simultanément. Je fais quelques va et vient avec le bijou d’anus et je jouis. Je suis constamment filmée. J’ai un nouvel orgasme.
- Mon chaton vient préparer le souper. Mets tes sandales à hauts talons, les blanches à talons de douze centimètres dans ta garde-robe.
Dans ma garde-robe, il n’y a plus mes dessous, sauf mon porte-jarretelles, des tee-shirts, des jupes très courtes, des hauts très décolletées en V et dos nu, des chemisiers sans boutons, des paréos, mais aucun short, ni même des bikinis, plus une collection de godes réalistes, certains avec des prépuces, comme des vrais mandrins. Je suis aux anges. Il y a aussi des escarpins, mules et sandales de diverses couleurs, mais avec des talons de douze centimètres, mais pas mes sandales à talons de huit centimètres.
Je mets mes sandales. Je suis un peu mal à l’aise sur cette hauteur de talons, mais je fais de mon mieux en descendant l’escalier.
- Bravo, la star, sa silhouette est plus élancée, ses chevilles et ses mollets sont tendus, cela lui fait des jambes superbes ! En accentuant ton déséquilibre en avant, tes talons te forceront à redresser le buste et à creuser les reins. Tu vas les rendre fous ! Mon chaton, je te montrerai aussi comment te déhancher.
- Tu as raison, ma chérie. Elle est très sexy, en hauts talons, Hermine la déesse. Les hommes vont encore plus envie de te prendre. Tu sais, elle rêve d’être prise par plusieurs queues, cette coquine.
Je prépare le souper pour trois, m’offrant aux caresses du couple.
- Mais elle ondule son bassin, elle a compris son utilité. Ton clitoris est très gros, tu es très excitée. Tu penses à la queue de Charles qui t’encule, coquine, dit Diane.
- Non…
- Tu mens, mon chaton. Tu es toute excitée, tes mamelons te trahissent. Embrasse-moi, la coquine devant mon chéri. Mon chéri t’as déjà embrassée.
- Oui…
- Mon chéri t’a embrassée où ?
- A Fuerteventura, dans ma chambre…
- Elle mouillait déjà, mon chéri, mon chaton.
- Oui, beaucoup, j’aurai pu mettre ma queue dans sa chatte, mais elle a mis sa main devant.
- Tu fais ta pudique. Maintenant, tu dois exhiber ton corps à tout instant, avec du respect, mon chaton. Elle sera punie demain. File dans ta chambre après avoir rempli le lave-vaisselle et ranger la cuisine.
- Oui, Diane, je rejoins ma chambre. Vous avez besoin de quelque chose, Charles ou Diane.
- Non, montes dans ta chambre et va te caresser, si tu en éprouves l’envie. Nous allons faire l’amour, ma chérie.
- Bien, Charles, je m’excuse pour mon comportement. J’ai trop envie de jouir d’une queue.
- On verra plus tard, la coquine, mon chaton.
Vers 22 heures, dans ma chambre, démaquillée, douchée rapidement avec quelques caresses de ma chatte et mon gros clitoris, je reprends ma lecture, me caresse, multiplie mes orgasmes violents, même en enfonçant mes doigts dans mon anus lubrifié par les va-et-vient du bijou. Je me surprends par mes mamelons constamment tendus. Je suis tellement excitée sexuellement.
Je m’endors que vers minuit, après un ultime orgasme, en me doigtant la chatte et l’anus simultanément.
Jour 2
Vers 3 heures du matin, je me soulage et je descends à la cuisine boire un verre d’eau, nue, pieds nus.
Charles me surprend.
- Ta chatte brille. Tu t’es encore caressée, en pensant à nos ébats, Diane te punira à sa façon. Tu préfère les fessées ou la cravache, réfléchis. Debout, huit heures pour préparer le petit déjeuner, n’oublie pas.
Je remonte dans ma chambre, Charles ne m’a même pas caressée. Je suis très jalouse des plaisirs de Diane à mon Charles. Je suis très capricieuse, on me donne ce que je veux.
Vers 7 heures, je me réveille. Je descends à la cuisine, en tenant mes mules à la main, pour ne pas faire de bruit. Je vais préparer le nécessaire du petit déjeuner.
- Tiens, mon chaton, tu es rayonnante, sans maquillage. Mets tes mules, Charles finit de se préparer. Tu es matinale.
- Charles m’a dit huit heures. Le temps de préparer le petit déjeuner, une heure devrait suffire.
- Non, voici la liste des produits pour le petit déjeuner et à toi de les préparer comme hier soir. Tu as réfléchis, fessée ou cravache, mon chaton.
Je suis troublée.
- Tu fait ta chipie. Tu nous as vu faire l’amour dans notre chambre, c’est cela. Tu connais la combinaison secrète, mon chaton.
- Non…
- Hermine tu marques un point. Je lui donnerai en temps utile. Elle a besoin de se comporter en adulte. Surveille ta cuisson, ma belle.
J’obéis.
- Non, elle connaît la combinaison du panneau. Elle aura sa punition à la cravache dans ce cas. La vidéo prouvera la vérité. Chéri, mets le grand écran en route, que l’on observe le délit.
Dans le salon, le grand écran s’allume et apparaît une beauté allongée sur le lit, c’est-à-dire moi, me caressant. On entend mes râles de plaisir.
- Qui est sur la vidéo, dit Diane.
- C’est une pornostar qui se caresse, dis-je.
- Madame l’actrice, en connaît un rayon, réplique Diane. Tu te caresses en regardant la vidéo de notre chambre, avec ton téléphone portable. (les images montrent les photos de sodomie par l’Adonis). Je t’ai privé de téléphone portable. Tu l’as rangée où dans ta chambre.
- Non, ce n’est pas vrai… dis-je apeurée.
- Tu nous manques de respect, mon chaton. Charles a beaucoup misé sur la sécurité de la villa.
Une double fessée pleut sur mes fesses nues, tandis que je surveille les cuissons.
- Diane, va dans ta chambre. Je m’occupe de Shawn.
Diane s’éclipse.
- Oui, je sais que c’est toi sur la vidéo. Tu es très photogénique. Tu pourrais exciter des voyeurs avec tes vidéos.
- Tu ferais cela pour moi, dis-je.
- Oui, même davantage, avant de te déflorer à fond ton écrin et ton œillet.
- La chienne s’est calmée, dit Diane, quelques instants après.
Le petit déjeuner est servi.
La fessée m’a fait mouiller comme jamais auparavant. J’ai une folle envie de me goder l’anus avec ces godes à prépuce.
Je fais le ménage dans le salon, la salle à manger, la bibliothèque, tandis d’autres vidéos de mes orgasmes passent avec le son de mes râles, dos à la caméra ou en cachant mon visage. Je découvre une partie de la bibliothèque fermée par un rideau.
- Non, mon chaton, cette section contient des livres très osés et tu es trop jeune pour les regarder.
- Trop jeune, je veux tout connaître de la sexualité, même ses dérives, dis-je, surprise. Même des photos de couples de même sexe entre eux, ou de domination, m’excitent.
Je me résous à nettoyer ma chambre, ma salle de bains, la salle de sports avec divers objets comme un rameur, un vélo d’appartement et des objets recouverts de draps.
Je nettoie la salle de cinéma qui diffuse la même vidéo qu’au salon. Je suis excitée de me voir.
C’est la scène de la salle de bains où je me caresse derrière les vitres.
Vers 11 heures, je suis toute recouverte de poussières, sur mon corps nu.
- Mon chaton, va te doucher. Je vais te cravacher les fesses, avant notre sortie. Je dois régler quelques problèmes à ma boutique, ainsi je pourrais te mettre au diapason des tenues qui excitent Charles.
Douchée, fardée avec mon pinceau recouvert de gouttelettes, pour mes mamelons, je revêts un tee-shirt blanc sur mes seins nus, une jupe ample blanche arrivant à mi-cuisses, sur mes fesses nues, avec le bijou d’anus de calibre cinq centimètres.
Je présente mes fesses nues pour quelques coups de cravache que je compte et je mouille.
- Tu aimes ce plaisir d’être fessée ou cravachée. Tu es une véritable soumise. Tu te plains mais tu aime ce plaisir, ma belle pute.
Nous prenons la 205 cabriolet de Diane. Je dois m’asseoir, la jupe relevée, fesses nues sur le fauteuil.
- Tu es très excitée. Tes mamelons pointent encore. Tu as envie de moi.
Dans la boutique de chaussures de la galerie commerciale, à un quart d’heure en voiture, elle choisit des mules, des escarpins et des sandales avec douze centimètres de talons.
Pour les tenues, trois tenues avec une rapidité déconcertante, puis dans la première boutique de lingerie, plusieurs ensembles soutien-gorge et slip, autres variantes brésiliennes ouvertes sur les mamelons et sur la chatte. En fin de parcours, nous allons dans un magasin spécialisé en vêtements professionnels pour retirer une commande bien mystérieuse.
Vers 17 heures, nous rentrons.
Je me change et je défile dans les trois tenues achetées, dénudant davantage mes seins nus, mes fesses nues, mon dos, mes jambes nues.
Puis je défile en lingerie, dans une ambiance sensuelle, les volets baissés. Les hauts talons me font un peu pute.
Je dois finir avec un chemisier blanc très court sans boutons, dévoilant mes seins nus, avec un tablier nu sur mes fesses et mes jambes nues et une coiffe, sans jupe et en mules, coiffée de ma queue-de-cheval.
Diane masturbe Charles devant moi.
Diane me remet les clés et Charles m’explique le fonctionnement de l’alarme et me donne les codes.
Je garde ma tenue sexy de soubrette et nous soupons.
Je dois me caresser en leur présence jusqu’à une série d’orgasmes, tout en gardant mon bijou d’anus.
- Elle est très belle dans le désir, mon chaton.
- Oui, elle pense à son prochain amant, peut-être moi, mon gland dans son œillet de pute.
Pantelante, après une série d’orgasmes, je monte me doucher. Mes fesses sont encore brûlantes par les claques magistrales de Charles et la cravache de Diane.
Je m’éponge sans frotter.
Je découvre une poire de lavement et je me retire le bijou et me l’insère. C’est de l’eau froide. J’aime ça.
- Tiens, tu te laves l’œillet. Tu es toute mouillée aussi par-là, mon chaton. Ton clitoris est encore toujours tendu. Tu es très excitée des vidéos de Fleur, qui sont visibles et déjà vues de multiples fois par des voyeurs, qui ont déjà éjaculés en les regardant. Tu es très bandante pour les voyeurs, une beauté naturelle c’est rare de nos jours. Va te coucher, tu as besoin de te reposer de ta longue journée, mon chaton. Tiens, essaye ce gode, il va te plaire, pour ton œillet. Il te fera penser à Charles.
Mon anus n’attend que ce plaisir.
Nue, l’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Diane attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Diane les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
Je suis enculée par cet infatigable étalon, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus par l’excitation sexuelle que je ressens.
- Tu pourras jouir enculée autant que tu le voudras. Même si tu es encore un peu étroite, tu es une vierge anale. C’est un peu douloureux avec ce gros calibre. Tu me remercieras demain matin.
J’avoue dès le départ de Diane que mon plaisir anal concentre toute mon attention. Toute tentative pour l’ôter est vaine. Les va-et-vient me mettent dans un état d’orgasme permanent, par mes caresses de mon clitoris et de ma chatte resserrée par le gode anal.
En quelques heures, mes hanches deviennent douloureuses, ma sensibilité anale s’accroît, je jouis en quelques va-et-vient, puis c’est le calme, avant une vague de plaisir. Mon anus écartelé se soumet à cette belle queue.
Jour 3
J’arrive à peine à me réveiller vers 8 heures.
Je me regarde dans un des grands miroirs, cuisses écartées, le gode continue à me pilonner avec puissance. Je connais encore un orgasme. Ma chatte brille de mouille abondante. J’ai du mal à pisser, mais je réussis quand même. Je me masturbe un peu, juste ce qu’il faut.
La maison est silencieuse.
Charles et Diane m’ont laissée toute seule.
Je descends à la cuisine, nue, fardée, parfumée, tenant mes mules à mes mains, coiffée de ma queue-de-cheval.
« Pas de repas, mon chaton, je vais te retirer ton gode. Une surprise t’attends. »
En effet, mon petit déjeuner est sur la table, avec Charles et Diane, habillés en tenue estivale : tee-shirt sur les seins nus et paréo, mules à hauts talons pour Diane.
- Nous allons faire du naturisme, mon chaton. Laisse-moi te retirer ce sexe en toi. Tu mouilles, tu as hâte d’être enculée, ma pute.
- Quel œillet bien lubrifié et bien ouvert. Le neuf fait des ravages. Ton œillet doit être très sensible. Combien de va-et-vient cette nuit ?
- 50, je pense, mes hanches sont douloureuses. Tu n’as pas encore pris l’habitude d’être enculée. Tes futurs amants auront accès à ta porte secrète, ma pute. Chéri, mets juste ton gland dans son œillet. Toi, mon chaton, détends-toi.
En effet, le gland qui m’encule, me provoque un rapide et violent orgasme anal, que je ne peux maîtrisée.
- Tu vois, plusieurs sodomies avec ce gode et tu seras bien ouverte, dit Diane. Mets ton dos nu blanc et ton paréo, ce sera tout et tes sandales blanches, les cheveux libres s’il te plaît, pour séduire. Brice et Désiré viennent nous prendre dans leur 4x4. Ils sont charmants et ils aiment les beautés comme toi. Ils adorent tes vidéos.
- Je pourrais…
- Bien sûr, tu portes le gode dès notre retour. Tu pourras jouir encore avec, dit Charles
- Non, je voulais dire, je vais devoir me promener là où nous allons.
- Oui, toute nue, t’exhiber, te faire caresser, te baigner devant des couples nus, voir peut-être caresser des queues, mais interdiction formelle de t’empaler sur elles, tu dois garder ta chatte vierge, même si ton œillet est déjà défloré.
- Je viens de perdre ma virginité anale. C’est super. Il paraît que les filles se font enculer, pour rester vierge de la chatte, c’est une légende.
- Non, Diane m’a épousé, alors qu’elle avait eu plusieurs amants qui l’ont enculée avant de m’offrir sa chatte vierge.
- Coquine, tu es libre de te faire enculer, si cela te plaît, mon chaton, dit Diane. En route, voici tes chevaliers servants qui t’attendent.
Vers midi, en effet, un superbe 4x4 sans capote nous attend. Il y a un superbe brun de 30 ans, musclé, athlétique, bronzé, qui me toise.
- Dis donc, Diane, tu nous as caché ce magnifique bijou. Mademoiselle, ou Madame, je suis Brice, commercial dans la sécurité. C’est toi sur les vidéos de la chambre, qui se caresse, devant une photo d’un Adonis qui encule une beauté qui te ressemble, du livre « Sexualité, Plaisir et dérives ».
Comment il connaît le livre ? Voyeur, pervers. Je vais le tuer.
- Oui, Brice, c’est la nouvelle pute, modèle pour ma boutique. C’est Prudence, la fille de Charles, dit Diane, alors que je commence à ouvrir ma bouche.
- Prudence, mes hommages, mademoiselle, préférence anale, dit un superbe étalon Africain noir, très imposant, musclé, de 25 ans, Charles a bon goût. Elle fait l’amour aux superbes beautés à l’université. Elle est très pudique. Donne-toi ton slip, ma belle.
- Allez, mon chaton, montre ta chatte à ses messieurs.
Je dois retirer mon paréo et dévoiler ma chatte nue.
- En plus, les fesses nues, quel superbe pubis velu, j’adore, dit Brice. Elle doit se caresser souvent, ses mamelons sont tendus par nos paroles.
Je vais le tuer.
- Non, j’aurai la rencontrer à l’université plus tôt. Elle me plait, dit Désiré.
Lui, je l’adore.
- Prudence, tu t’assois devant avec Brice, cuisses écartées, sans ton paréo, mon chaton.
Avec ce pervers, je dois obéir, sous peine de décevoir.
- Caresse-toi Prudence, pour que Désiré, Charles et moi t’admirent.
J’obéis. Je mouille comme jamais auparavant.
Le trajet dure une petite heure, entre la villa et un parc non loin d’un discret hôtel particulier avec une terrasse donnant sur la piscine privée.
- Quelle pute, dit Brice, j’aime cette odeur parfumée.
- Déjà enculée, mademoiselle, dit Désiré, je présume. Elle aime ça, comme moi avec Brice. Tu sais que je bande quand il m’encule. Toi, c’est ton clitoris et tes mamelons qui sont tendus quand tu jouis.
Arrivés au club « Palais du Désir », j’attire les regards, en descendant, tenue par la main par Charles, sans mon paréo.
- Dis donc, Charles, tu nous amènes la pin-up de l’après-midi miss Désir, dit un bel étalon Antillais, du même gabarit que Désiré, 40 ans, bien monté.
- C’est ma troisième fille, Prudence. Elle est encore vierge, mais elle a des dispositions pour son œillet.
- Bien, elle a ses chances. 18 ans, 20 ans, peut importe ce qui compte qu’elle prenne son plaisir devant ces belles queues. Une jeune beauté pute va rehausser le niveau sexuel. La table sur la terrasse vous attend. Il y a déjà du monde.
En effet, les couples nus déjeunent. Je dois me promener nue, un peu gênée, osant cacher mes seins aux mamelons tendus et mon pubis, mais je me montre intégralement.
Bien sûr, à la piscine, je fais l’objet de l’attention plus de Désiré, que Brice qui veut absolument me doigter l’anus. Désiré et Brice font l’amour devant moi, je montre mes talents de suceuse, entourée de voyeurs. Cela m’excite.
Charles et Diane s’offrent à d’autres couples nus. Je suce ses queues en leur compagnie. Je me baigne en compagnie de mes admirateurs, qui bandent. Je suis aux anges. Je suis élue Miss Désir, avec une enveloppe contenant un gros chèque et des bons cadeaux dans un sex-shop.
Après un apéro dînatoire avant de partir, je revêts sur mon corps nu mon paréo et la chemise de Charles. J’embrasse les hôtes de cette journée et les remercie de les avoir tant gâtés. Ils portent sur moi un regard différent, pour ne pas dire très chaud. Mais je décide de n’y pas prêter plus attention que cela, ne sachant pas si cette excitation vient de moi ou d’eux.
Vers 18 heures, lors du retour, je m’assoupis sur la banquette arrière, entre Charles et Diane. J’échange des regards avec Désiré.
Désiré m’observe dans son rétroviseur. Sans mon paréo, j’offre une vue imprenable sur ma chatte velue entre mes cuisses écartées, mes mamelons sont tendus sous la chemise de Charles. Je me caresse le corps, de mes seins jusqu’à mon gros clitoris. Désiré exhibe son mandrin de quarante par huit, sur le siège conducteur et se laisse masturber par Brice. Je suis excitée par la masturbation de Désiré. Je me cale sur la vitesse de sa masturbation, sans que Charles et Diane ne m’observent, jusqu’à mon discret orgasme. Désiré a éjaculé.
Désiré nettoie son mandrin et je m’endors en rêvant de me blottir dans les bras de cet homme. Je referme la chemise et m’endors.
- Eh la belle, on se réveille, on est arrivé, dit Diane.
- Oh pardon, je me suis endormie, c’est trop court, dis-je.
A la villa, il est 19 heures.
- Vous restez à la villa. La pornostar va vous sucer, mais avant, elle doit se doucher, se faire belle et je te mets ton jouet ensuite, dit Diane.
- Oui, je t’attends à la salle de bains.
Les hommes se déshabillent et se sucent mutuellement, pendant ma douche, ma remise en beauté.
Je descends nue, fardée, parfumée, en mules, l’anus propre.
Je les suce à tour de rôle, jusqu’à leur érection.
Je cède à la tentation, je glisse le gland de Brice dans mon anus, pour m’exciter. Brice possède un trente-huit par sept.
Pour Désiré, je m’empale sur vingt des quarante, enculée et je jouis discrètement.
- Tu me serres la queue, je vais jouir, Prudence.
- Prudence, tu te retires, s’il te plaît, mon chaton, dit Diane.
- Je n’ai pas fais attention, son gland s’est enfoncé plus profondément, dis-je.
Désiré éjacule en moi et aussitôt l’anus libéré et lubrifié, je sens le gode anal me remplir, aussitôt cadenassé.
- Te voilà punie, allumeuse, dragueuse, tu es follement amoureuse de Désiré, tout comme de Charles. Tu nous manques de respect, la gamine.
- Non…
- Va t’habiller, nous allons au cinéma. Tu gardes ton gode pendant toute la séance. Il est 20 heures, retour ici à 23 heures. Mets ta robe noire courte avec un porte-jarretelles et tes bas blancs, mules de rigueur, coiffée d’un chignon.
- Quel cinéma…
- Tu verras, cela va calmer tes envies. Si tu continues, ton manque de respect ou nous offense, tu retournes à ton studio, sans l’argent que tu gagnes avec tes vidéos. Tu as compris. Surtout ne dit rien à Charles, tout cela est entre nous c’est clair ? Et surveille ta messagerie pendant le film, je te rends ton téléphone portable, j’ai nettoyé les messages antérieurs de tes anciens amants. C’est clair ? Tu dois faire tout ce que je te demande dans mes messages
- Oui Diane, je m’y engage. Et excuse-moi encore pour ma conduite.
Nous montons à bord de la BMW berline conduite par le patron de Charles, Sir Sven, un élégant étalon athlétique, de 60 ans et de son épouse, une superbe brune aux petits seins, de 25 ans, Claire Valérie.
- Voici, ma fille Prudence, Sven, elle te plaît, dit Charles. Elle n’a pas l’habitude des ses hauts talons.
En réalité, les va-et-vient du gode me font jouir et je me retiens de le montrer.
La transparence de la robe, dévoilant mes seins nus, ma ceinture de cuir, mon pubis velu, mes fesses nues, tout est visible, sans que je le ne vois.
Je m’assois à l’arrière avec un maximum de précaution.
Le trajet de deux heures est une succession de pilonnages légers puis violents. Je ne peux me retenir de jouir sous mes orgasmes.
Nous stationnons près l’entrée. Brice et Désiré sont partis devant.
C’est une salle de cinéma porno discrète reliée à un club libertin « Vices Eros ».
La salle est toute petite et il y n’y a que six spectateurs, tous devant eux. Nous prenons une allée, je suis assise entre Charles et Sven, Diane et avec Claire Valérie, à se caresser.
En pleine séance, Sven m’invite à le masturber et Charles aussi, les va-et-vient se font plus violents, mon bassin ondule à la même vitesse.
Je reçois un message de Diane :
- Branle ton clitoris tout en masturbant ton chéri.
J’obéis, relève ma robe, que j’ai déjà relevée pour m’asseoir, dévoilant mes bas davantage et mon porte-jarretelles, cela plait aux hommes. Je caresse mon gros clitoris, sans trop jouir, mais mes orgasmes anaux me trahissent.
Diane et Claire Valérie m’observent.
- Branle-les, ma belle pute.
Je quitte mon clitoris pour les deux mandrins en érection, par la vue de mes cuisses. Sur l’écran, une jeune vierge fait de même avec deux acteurs, toute nue, intégralement épilée, le clitoris tendu comme elle.
Je descend du gland jusqu’aux testicules des deux amants, tandis que les deux caressent mon clitoris tendu.
Les deux amants m’apprennent à mieux les masturber. Mon clitoris est prêt à exploser quand je me caresse seule. J’alterne entre Charles et Sven pour les masturber, tandis que Diane me caresse le clitoris et les seins aux mamelons tendus.
J’ai un orgasme violent, en plein va-et-vient violent dans mon anus en feu, Sven et Charles éjaculent chacun dans mes mains.
Avant de quitter la salle, Charles me conduit aux toilettes. Les clients se délectent de ma présence, voyeurs.
Un des clients m’aborde.
- Je peux l’enculer, si elle veut.
- Oui, je lui retire son gode et elle est toute à toi.
Je ne sais pas que c’est Brice. Il m’encule jusqu’aux testicules et éjacule en moi, avant d’avoir le gode anal remis en place.
L’inconnu disparaît. Je suis toute embarrassée, gênée par cette sodomie au cinéma.
En quittant la salle, les couples Charles et Claire Valérie s’embrassent langoureusement et Diane avec Sven, devant moi, déçue.
Jour 4
Je monte dans ma chambre, il est deux heures du matin. Je me douche, m’endors nue, cuisses écartées.
- Mon chaton, je vais menotter tes mains dans le dos, pour que tu puisses jouir sans te caresser, enculée.
Je subis ainsi les sodomies sans relâche. Je repense à cet inconnu et à Désiré qui m’ont enculée.
Vers 7 heures, j’émerge, en sueur, les larmes aux yeux, frustrée de ma soirée cinéma. Je me rends à la cuisine, pour libérer mes mains ankylosées.
- Tiens, l’allumeuse, mon chaton, enculée par Désiré puis par Brice. Tu manques de respect à Brice, il paraît. Tu dois lui présenter tes excuses.
- Je le ferais devant Brice. Mais avant…
- Oui, je dois te libérer. Tu as dormi comme un loir, mais tu as pleurée. Tu as du sperme qui coule de ta bouche. Charles a joui dans ta bouche, mon chaton.
Je n’avais pas fait attention que Charles a profité de ma bouche pour que je le suce.
- Non…
Je dois attendre huit heures, le lever de Charles, silencieuse, agenouillée, cuisses écartées, les mains sur la tête, punie, sur la terrasse, au soleil.
Charles arrive, prêt à rejoindre Sir Sven.
- Tu as joui dans la bouche de ta belle vierge, mais non vierge anale, dit Diane.
-Oui, je me suis offerte sa bouche, car elle avait envie d’avoir mon sperme en bouche. Elle le fait très bien, ma chérie.
- Je vois, la vierge t’a déjà sucée à Fuerteventura. N’est-ce pas mon chaton ? ou ma pute anale, dois-je t’appeler. Reste agenouillée. Regarde comme la mouille perle entre ses cuisses, elle attend depuis une heure, sa punition.
- Je n’ai pas sucé Charles, mais un autre m’a contraint à le sucer, avant de m’enculer violemment. Mon anus a été douloureux pendant trois jours, par une longue orgie anale sans mon accord.
- Je vois, tu te rattrapes avec Désiré et Brice, ma pute anale, dit Diane.
- Elle a raison, mais j’ai des échos de cette folle nuit de ses 15 ans, dit Charles.
- Mineure, prise en orgie anale, mademoiselle la vierge, tu me mens encore, dit Diane.
- Non…
- Tu manques de respect à ces messieurs, en échange ils t’enculent, dit Diane.
Brice arrive, en tenue élégante et annonce :
- Alors la garce, tu as aimé hier que je t’encule au cinéma. Tu me dois des excuses sur ton plaisir donné à Désiré.
- Je m’excuse Brice, de mon comportement. Tu veux m’enculer encore. Je suis toute à toi, je peux Charles et Diane.
L’excuse est acceptée et je dois être enculée, allongée sur le ventre, cuisses écartées, sans ménagement, fessée magistralement, jusqu’à l’épuisement, submergée par mes orgasmes
Je peux enfin déjeuner, toujours nue, avant de me doucher, faire mon lavement avec la poire, me faire belle.
- Tu es exempte de ton gode anal exceptionnellement aujourd’hui. Mais tu le portes demain. Tu vas mettre ton bijou calibre sept pour aujourd’hui. Oui, tu te faut du gros calibre et un peu plus lourd.
Vers 10 heures, nue, fardée, avec mon bijou d’anus en place, Diane vient me choisir ma tenue pour la sortie. Brice est resté. J’ai du m’excuser pour lui, le pervers et voyeur. Il doit me regarder dans ma chambre.
C’est le paréo avec un dos nu, dénudant mon ventre et mes sandales blanches à talons de douze centimètres, ma queue-de-cheval que je porte.
- Brice, tu la conduis au « Saveurs Nordiques ». Là, elle se met directement seins nus avec sa serviette autour de la taille, dans les vestiaires des hommes, déchaussée. Nous arrivons ensuite.
Encore, je suis avec ce pervers.
- Tu mouilles, ma belle. Tu aimes être assise à mes côtés dans ma Ferrari F8.
- Oui…
- Tu as envie que je te prenne. Mes amis de « Saveurs Nordiques » aiment les superbes beautés nubiles, un peu garces, soumises et chiennes, surtout dociles. C’est vrai tu as été prise en orgie anale. Tu aimes ça, plusieurs queues en toi.
Il est au courant. C’est Diane qui lui a tout raconté. Je vais le tuer.
Le lieu est caché à une heure de la galerie commerciale.
Une fois dans le vestiaire pour hommes, je suis gênée.
Nous croisons deux superbes étalons, un comme Désiré et un Suédois bien monté, musclé, tous les deux ont 35 ans.
- Qui est cette beauté, Brice ? C’est ta nouvelle chérie.
- Non, c’est la fille de Charles. Faites attention, elle fait sa chipie à 18 ans, reine de l’anal, suceuse à souhait. Une parfaite pute, c’est l’exclusivité de Charles, qui peut la prendre. Déshabille-toi et mets ta serviette.
Vas-y raconte ma vie privée, te gêne pas, Charles va l’apprendre.
Nue, devant le trio, heureusement que Charles arrive. J’évite de mettre en colère.
- Elle est déjà toute humide, mon chaton, dit Diane, nue très rapidement.
- Toi, aussi, Diane, tu mouilles comme moi, dis-je un peu jalouse.
- Allons au sauna, vous nous rejoignez messieurs. Prudence est à vous, caresses uniquement.
- Elle ne va pas nous sucer, dit le Suédois.
- Non, sauf accord de ma part, dit Charles, surpris de la réaction du Suédois.
Je dois me confesser sur les mots de Brice à mon encontre. J’espère que Brice sera puni.
Je dois me caresser ces hommes nus, comme moi, fermement maintenue par la cuisse par Charles, jusqu’à mon orgasme.
Diane suce les deux hommes, bien montés, plus Brice. J’ai envie qu’ils me prennent.
Mais je dois me doucher, pour apaiser ma chaleur, surtout que Charles m’a doigté l’anus.
Nous faisons l’amour sous la douche, caressant nos corps mutuellement, nous léchons nos seins, nos clitoris et nos chattes jusqu’à un nouvel orgasme violent pour moi. Charles vient me caresser aussi sous la douche.
Nous quittons les lieux vers midi, pour un déjeuner nu à la villa.
Je retrouve mes goûts lesbiens avec Diane. Je suis aux anges. Mais Brice va être puni.
A la villa, Brice me tend discrètement un cadeau.
Je l’ouvre devant le trio.
Mon journal intime non cadenassé, il l’a certainement lu et il connaît tous mes secrets intimes. Je vais le tuer.
- Au fait, tu loges dans un nouvel appartement à un quart d’heure de la villa, dit Diane. On a déménagé ton studio. J’ai retiré tes dessous non sexy de ta garde-robe et toutes les tenues non libertines. Brice nous a aidé.
- A bon, Brice, tu es allée dans mon studio et mon appartement. Tu as osé.
- Pute de luxe Râle de plaisir Cul de Soumise Désir Dressage Enculée aNal Chienne Education, je lis à haute voix, un mystérieux poème à la fin de mon journal intime, sans connaître son auteur.
- C’est toi, mon chaton qui a écrit ceci, dit Diane.
- Non, c’est sûrement Brice.
- Brice est un homosexuel respecté. Il ne ferait jamais ceci, dit Diane. Non, c’est Charles.
- Non, c’est Brice. Il l’a écrit sur mon journal intime.
Vers 14 heures, Brice s’éclipse. Mais il est interpellé par deux policiers en tenue et une beauté blonde aux cheveux courts, de 23 ans, en chemisier blanc et jupe longue noire, sur ses petits seins, chaussée d’escarpins noirs à talons de huit centimètres.
- Tiens, on se connaît, ma chérie, dit la blonde.
- Oui, Astrid, ma chérie de Mykonos, tu travailles dans les environs.
- Oui, à la brigade des mœurs, section vices et dressage, tu as échappé au pire, ma chérie. Brice est le complice d’un réseau de dressage de jeunes filles comme toi, encore vierges, pour des castings hard. C’est le Marquis Hubert qui m’a averti. Il tient à ta sécurité. Cela fait quatre jours que tu ne lui a pas donné de nouvelles.
- Désolé, je suis tellement occupée comme soubrette pour ce couple Charles et Diane.
Alors que je monte m’habiller, le talon gauche de ma sandale se casse et je tombe dans l’escalier.
Je hurle sous la douleur de ma cheville.
- Tu es maladroite, mon chaton. Je vais t’aider à te relever.
- Non, il faut l’allonger sur un divan. Je préviens, Aimée, qu’elle l’examine. Tu as la chatte rasée, maintenant, dit Astrid.
- Cela te plaît, ma chérie, en Danois.
- Oui, j’aime, répond Astrid en Danois.
Allongée sur le canapé, déchaussée, Aimée, la brune au même physique, du même âge, prend ma cheville, me fait quelques mouvements et je gémis.
- Tu me joues la comédie, mon chaton, dit Diane.
- Non, elle a une foulure et trois jours de repos seront nécessaire. Je vais lui faire un bandage et elle va prendre des calmants pour la douleur. Evite de marcher, pour soulager la cheville.
Aimée donne la liste de médicaments à prendre.
- C’est normal, que le talon se soit cassé, dit Astrid. C’est un défaut. Ma chérie n’est pas fautive.
- Désolé, mon chaton, je dois me plaindre auprès du vendeur. Je te rembourses, dit Diane.
- Brice est pervers, tu ne me crois pas. Mon talon qui se casse, c’est faux. La liste des fautes de ma part est très longue. A chaque fois, c’est Prudence, c’est pour me mettre dehors. Je suis une gamine et je n’ai pas un comportement responsable d’une adulte.
- Mon chaton, tu te calmes.
- Non, ma chérie a raison, dit Astrid. Elle est très observatrice, intelligente et sait déceler certaines choses. Si je ne l’avais pas aidée à se reconstruire après les événements de Fuerteventura, notre liaison lesbienne serait restée sans issue. En nous aidant mutuellement, nous avons beaucoup apprises l’une de l’autre. Je sais quand ma chérie est en danger. Vous êtes un couple libertin, apprenez-lui vos connaissances. Elle a été accidentellement déflorée par plusieurs mâles vicieux qui l’ont enculée, mais Charles n’a pas réagi. Mais il s’est rattrapé à Mykonos, pour les 16 ans de ma chérie, en lui apprenant à embrasser. Ma chérie est devenue lesbienne et moi bisexuelle. Elle veut devenir bisexuelle, il faut la préparer.
Astrid a raison. Ma fille a besoin d’amour et non de sermons de ta part, Diane. Tu la détestes, tu ne veux pas qu’elle soit avec moi, dit Charles. Elle est un boulet pour toi.
Vers 15 heures, je plonge dans un profond sommeil.
- Amène-la à la chambre, je dois la punir, dit Diane.
- On ne touche pas à Shawn, dit un bel athlète de 65 ans. Merci Astrid de m’avoir fait escorter à la villa. Qu’elle reste sur le canapé, elle doit se reposer.
- Qui êtes-vous ? Vous entrez dans ma villa, sans prévenir, dit Diane.
- Marquis Hubert, l’ami très intime de Shawn ou Prudence ou Hermine selon les prénoms que vous lui donnez. Je l’ai éduqué peu après ses 6 ans, suite à un événement dont je ne peux révéler la teneur. Elle est un peu ma fille adoptive. Elle a bien rencontré Charles à Fuerteventura, Mykonos et cette année avec Astrid.
- Tu m’as caché, chéri, que tu l’as vu cette année, dit Diane.
- Je suis choqué d’apprendre que ce pervers Brice a aussi joui dans les draps du lit de Shawn à son nouvel appartement. Les draps sont en cours d’examen. Depuis quatre jours, pas de réponses à mes messages ni à ceux d’Astrid. Donc, Astrid en déduit que Shawn a des soucis.
- Désolé, j’ai effacé vos messages, dit Diane. Ils n’étaient pas importants. Je lui ai retiré son portable pour ne pas la perturber. C’est une vraie gamine, qui fait des erreurs de jeunesse.
- Ah bon, ma fille adoptive n’a pas le droit de communiquer. Shawn est une adulte désormais, même si elle est vierge de la chatte. Vous allez devoir l’amener vers une sexualité libertine par tous les moyens. Elle va se reposer trois jours, puis elle viendra à son appartement une journée, pour un cours de soumission. Elle aime les fessées, elle a été cravachée sans son accord. Elle est filmée sans son accord.
- Oui et non, je voulais l’offrir à d’autres hommes par les vidéos intimes, dit Diane. Elle est très douée en solitaire, même en groupe.
- Elle signera un accord pour être fouettée et filmée, dit le Marquis. Astrid, tu la veilles à la villa. Charles, Sven a signé un accord financier avec moi. Je tiens au respect de cet accord, avec pour condition, la défloration de la chatte de Shawn. Attention, il y a une forte somme en jeu. Combien elle a déjà touchée pour les vidéos ?
- 500.000 depuis le premier jour, moins le pourcentage pour moi, dit Diane.
- Non, elle recevra l’intégral dès aujourd’hui, plus si elle reçoit des cadeaux financiers, l’argent sera versé sur son compte bancaire personnel. Les sommes seront mises sous bonne garde avec juste la signature de Shawn pour son usage personnel.
Diane avait déjà dépensé l’argent pour habiller Shawn, l’offrir à Brice en la prostituant et divers suppléments qu’elle allait devoir rembourser.
- C’est moi, personnellement, qui me charge de la punir. Si les fautes sont justifiées, elle sera punie, dans le cas contraire, l’auteur devra dédommager Shawn.
Vers 18 heures, Diane est dans l’embarras, car la plupart des fautes venait de sa part.
- Marquis…
- Oui, mon chaton, dit Diane.
- Shawn, tu émerges. Reste allongée, tu es en sueur, fiévreuse, tu as froid.
- C’est le contrecoup de la foulure, dit Astrid.
Je me retrouve bordée d’une fourrure sur mon corps nu, ma cheville est moins douloureuse.
- Diane, donc tu m’as fait commettre des fautes volontairement pour me punir.
- Que tu es…
- Non, Diane, j’ai vu que tu es jalouse de ma présence. Charles t’appartient et tu m’as confiée à Brice, pour m’éloigner de lui. Charles me protège lui, pas toi.
- Je vais rectifier mes erreurs.
- Tu le feras, sinon je ne suis plus ton amie lesbienne. Je ne fais rien en cachette, je suis constamment surveillée par tes caméras. Donc, tu m’as menti. Astrid, tu vas assurée l’intérim comme soubrette. Charles en a besoin d‘une. Marquis, je mérite les punitions qui seront justifiées. Les vidéos permettront de déceler la vérité.
- Oui, il me faut toutes les vidéos et je trancherai en les regardant, avec Charles en lieu sûr, sans les auteurs, Shawn et Diane. Le verdict tombera cette nuit par une première partie.
- Donc, si Prudence a réellement commis la faute, le Marquis te punit, mon chaton et dans le cas contraire, je vais devoir payer.
- C’est raisonnable, dit Charles.
Au moment du souper, vers 20 heures, j’émerge d’un long sommeil, avec une grosse faim.
- Ma chérie, tu as retrouvée un peu de couleurs. Je vais t’apporter un bon repas, dit Astrid.
- La fièvre est tombée, mais tu restes allongée, dit le Marquis. Tu sais, tu vas touché déjà 10.000 pour les erreurs de Diane, d’après les vidéos. Ne dit rien.
Lors du souper, Diane tente d’en savoir plus ma relation avec Astrid et le Marquis, tous les deux ne disent rien.
Peu après le dessert, que Charles annonce :
- Ma chérie, tes fautes vont coûter très chères et tu devras les payer sur le compte de ton chaton.
- Non, c’est elle qui doit les payer…, dit Diane.
- Vous êtes indocile, Diane. Quelques corrections seraient très utiles, dit le Marquis.
Il reprend ses recherches et découvre la fameuse dispute qui a lieu entre 18 heures et 20 heures dans la chambre du couple, que j’ai regardé sans le son par une astuce sur la télécommande du téléviseur.
Je me rendors. Le Marquis m’a enserrée dans ses bras pour me réchauffer et il a discrètement caressé mes seins et mon gros clitoris. J’ai discrètement joui.
Jour 5
Vers 3 heures, Charles me rejoint, me donne un grand verre d’eau. Cédant à la tentation, je le suce à nouveau jusqu’à recevoir son sperme en bouche, comblée. Il disparaît.
Vers 8 heures, j’émerge, réveillée, allongée nue sur le dos, sur la chaise longue de la piscine. Astrid m’apporte mon petit déjeuner.
Charles me fait encore sucer son mandrin.
- Allonge-toi sur le ventre. Je vais t’enculer, tu dois avoir très envie.
- Oui, pine-moi l’œillet. Je suis chaude.
Charles s’exécute, devant Astrid et le Marquis. Il m’enserre par les hanches, les mains autour de mes seins, en m’enculant profondément.
Je connais un long orgasme anal qui le fait éjaculer en moi.
Le Marquis le remplace et j’agite ma croupe pour qu’il bande davantage en moi. Son trente-huit par huit me comble.
Diane est jalouse, de me voir enculée et sucer Charles jusqu’à la dernière goutte, comme le Marquis.
Le Marquis me ramène sur le canapé où je m’allonge sur le dos, sans ma fourrure, avec un bijou d’anus de calibre sept mis par Astrid.
- Tu me joues la comédie, pour satisfaire tes désirs sexuels, mon chaton. Tu mérites une bonne punition, mademoiselle l’actrice, la pute à bites dans ton œillet. Tu fais ta malade, pour t’exempter de ton emploi de soubrette, mais c’est pour mieux t’offrir à mon chéri. Ta cheville va bien, tu simules. Tu es une vicieuse…
- La jalousie vous emporte, Diane. C’est une offense à Shawn.
- Oui, Marquis, elle m’offense mais je n’ai pas de l’offenser ou par manque de respect vis-à-vis d’elle.
- A bon, mais Shawn est une femme bien élevée, future Duchesse, par nom de naissance et surtout, jamais, elle n’aurait un tel comportement, dit le Marquis. Je la connais trop bien.
- Bien sur, vous l’enculez souvent. Elle est votre chienne.
- Ma chérie, tu arrêtes ton comportement de jalousie, dit Charles. Ma fille est irréprochable, surtout que tu lui dois 700.000 dès aujourd’hui. Marquis te conduis à la banque toute proche, depuis ton compte personnel.
- Je lui ferais rembourser cette somme quand elle sera déflorée, dit Diane.
- Désolé, le contrat que vous avez signée hier soir, sur la punition au fouet et les vidéos, stipule que tout remboursement des sommes versées est puni par la loi, dit le Marquis. Shawn respecte la loi.
- Mais, c’est donc de l’inceste qu’elle pratique avec vous, dit Diane.
- Mesurez vos propos, je n’ai aucun lien de parenté avec elle, dit le Marquis. Allons de suite à la banque, Diane.
Le couple s’éclipse et le Marquis la corrige à son appartement mitoyen du mien dans l’immeuble jusqu’à 14 heures.
Je peux manger nue, en compagnie d’Astrid et de Charles. Nous le suçons, nous offrons nos anus à son mandrin que nous nettoyons, à la piscine.
Vers 14 heures, Diane revient avec le Marquis. Elle se déshabille et exhibe ses marques à la cravache et à la garcette par le Marquis sur ses fesses, ses cuisses, ses reins et ses seins et elle porte des pinces à clochettes à ses mamelons constamment tendus.
Je suis aux anges. Diane a été punie.
- Shawn, Diane a goûté ton gode spécial anal. Elle a gémi, mais toi, tu connais l’orgasme.
- Oui, j’aime ce gode, quand je le reçois, je suis aux portes du plaisir anal, dis-je.
- Il a une forme particulière, je préfère une vraie queue, dit Diane, embarrassée.
- Non, une chienne doit apprendre à se faire monter, Diane, dit le Marquis. Hors, Shawn n’est pas une chienne, mais une femme qui aime l’anal depuis son viol.
Diane se réfugie dans sa chambre, mais Charles la cravache jusqu’au soir, pour les nombreuses fautes qu’elle m’a dis à mon compte. Elle n’arrête pas de gémir.
Ma cheville redevient progressivement à sa forme initiale, par les soins prodigués par Charles, Astrid et le Marquis. Je suis portée dans les bras du Marquis ou de Charles, pour me soulager aux toilettes ou prendre le soleil.
Jour 6
Je reprends mes sodomies à la piscine, en compagnie de Désiré, mon amant, qu’accepte le Marquis.
Désiré a l’autorisation d’enculer Diane avec une gaine à picots et de la cravacher.
Le Marquis invite Charles à enculer Désiré, devant Diane, soumise, nue.
Elle doit avaler le sperme du trio, mais moi aussi, en alternance.
Diane devient la soubrette nue, avec les divers godes que le Marquis lui a fait acheter, des gros calibres, sous la menace de la cravache et de la garcette, pour la punir.
Jour 7
Je retrouve l’autonomie. Ma cheville est opérationnelle, mais je la ménage en me baignant, par de courtes marches avec des petits talons pendant quelques temps, tout en m’habillant sexy, sans aucun dessous sous mes tenues, comme des jupes longues de vingt centimètres sur mes fesses nues.
La villa est surveillée par des amis d’Astrid à l’extérieur. Mon compte bancaire gonfle, après les premiers dédommagements de Brice. Toutes les preuves sont contre lui. Il a lu mon journal intime, mis du sperme sur mes draps à l’appartement et a vendu mes strings, mes slips avec mon odeur intime.
Je me comble d’une série d’orgasmes, en me godant dans ma chambre, en compagnie d’Astrid et ma soumise Diane, qui me gode l’anus avec un bâillon-pénis extérieur de gros calibre. Elle doit respirer l’odeur de ma chatte en feu.
Le trio masculin éjacule sur mon corps en sueur, pantelante, de mes ébats lesbiens.
Le soir, après une longue douche, je m’empale sur chacun d’eux, assise entre leurs cuisses, enculée, à chaque plat, profondément jusqu’aux testicules.
Diane est remise à Désiré pour la suite de son dressage pendant trois jours consécutifs, en tant que soubrette docile.
Jour 8
Vers 8 heures, après le petit déjeuner pris à la villa, vêtue d’un tailleur avec jupe éventail fuchsia, en sandales blanches à petits talons, fardée, parfumée, coiffée de ma queue-de-cheval, je me rends avec le Marquis, Astrid et Charles à mon appartement, escortée par deux amis d’Astrid, pour ma sécurité personnelle.
Nous montons au huitième étage, avec vue sur l’université. Je suis aux anges, nue, livrée aux voyeurs.
- Voyez, Shawn a été déflorée de l’œillet, à ses 14 ans, pour rester vierge. Je l’ai initiée lors de ses vacances. Malgré son œillet étroit, ses caresses de son clitoris, elle a appris à gérer son premier orgasme anal. Depuis, à chacune de nos rencontres, elle accepte de se faire enculer, telle une soumise docile. N’est-ce pas, ma chérie ?
- Oui, Marquis, Maître, je suis toute à vous. Vous aimez ma chatte épilée.
- Oui, tu vas garder encore ta toison pubienne, pour les amateurs, ma belle soumise.
Le Marquis sort un superbe gode de forme particulière.
- Le nœud mesure huit de diamètre et le reste du gode mesure six, ce qui est largement jouissif pour Shawn. Elle s’est habituée à être enculée avec dès ses 18 ans.
- Oui, j’ai hâte d’être prise par un vrai sexe similaire, qui me prendrait en saillie anale canine, comme dans certaines revues. Je suis toute excitée, en fantasmant dessus. Charles, mets-le moi dans mon œillet de soumise.
Le gode me remplit jusqu’au nœud, je jouis rapidement sous les va-et-vient de Charles. Je suce Charles et le Marquis, les fesses bien écartées par Astrid.
Cela dure une bonne heure car je connais de nombreux orgasmes et je suis bien trempée, la bouche remplie du sperme de mes amants.
L’anus bien ouvert, lubrifié, je reçois un superbe gode, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Charles attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Astrid les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
J’aime ce gode sans picots, cela me soulage du suicide par les picots, mais je suis une soumise, je dois obéir.
Je reste nue et Charles prend le gode et le pose sur mon gros clitoris. Je dois m’allonger sur le dos, cuisses écartées, pour jouir à de nombreuses reprises, enculée par cet étalon infatigable et les orgasmes défilent, jusqu’à l’épuisement total, filmée par le Marquis. Mon gros clitoris est très douloureux sous le gland, mes fesses se contractent sur le gode anal, qui me garde écartelée. Je m’endors deux bonnes heures jusqu’à midi. Charles a les doubles des clés que lui remet le Marquis.
Puis je me douche, devant le trio. Le Marquis m’a trouvée une séduisante robe blanche pour ma sortie au restaurant avec le trio.
C’est une robe estivale composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, à corselet, étroitement lacée, montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Par transparence, on voit ma ceinture, mes chaînettes et surtout que j’ai les fesses et les jambes nues pour séduire. Je garde mes sandales, laisse mes cheveux libres, fardée et parfumée. Je dois subir les assauts de mon amant jusqu’au restaurant à une demi-heure de marche du restaurant vers l’université.
Pendant le trajet, je suis caressée sur les seins aux mamelons tendus par le tissu sous mon boléro et ainsi que mon gros clitoris encore tendu à l’extrême, tantôt par le Marquis tantôt par Charles, qui m’embrasse chacun langoureusement, comme mes amants.
Au restaurant, nous déjeunons à une table près de la fenêtre. Je dois relever ma jupe, dévoilant mes fesses nues au premier regard masculin. Je baisse les yeux dès que je croise un homme, par obéissance.
Le Marquis avait déjà tout réservé. Je n’ose retirer mon boléro devant les clients. Je le ferais aux toilettes. Je mords mes doigts ou mes lèvres, lors de mon orgasme anal, je ne les compte plus.
Peu après le dessert, je descends aux toilettes, l’anus en feu, malgré les rares pauses des va-et-vient. Charles me suit et me conduit aux toilettes pour hommes. Là, je trouve trois superbes étalons de 25 à 35 ans, bien montés, qui se soulagent. Charles me filme avec mon téléphone portable et envoie la vidéo directement au Marquis.
- Ma chérie, tu vas les sucer et les avaler.
- Oui, je suis tout à eux.
J’obéis. Ils me remplissent la bouche et éjaculent rapidement, excitée, par mes seins nus, sans mon boléro.
Un autre homme, un Africain noir, de 45 ans, qui assiste au nettoyage du dernier mandrin, un trente-huit par huit, comme celui qui m’encule. Je ressens ses assauts du gode anal.
- Tu as envie de cet Adonis, ma pute anale.
- Oui…
L’anus libéré du gode, Horace m’encule jusqu’aux testicules, penchée en avant, cuisses écartées. Je ne peux m’offrir un violent orgasme anal, avec une longue éjaculation. Je finis d’avaler les dernières gouttes de sperme du trio.
- Suce-le, il est très gros, ma pute.
- Oui, je l’ai bien sentie dans mon œillet de pute.
Horace éjacule le surplus dans ma bouche et sur mes seins que je lui tends, comblée.
Il me laisse ainsi que les trois inconnus, leurs cartes de visite de la même société que Charles.
Je me refais une beauté dans les toilettes pour femmes où m’attend Astrid.
Je lui raconte en détail la scène des toilettes pour hommes. Je suis au bord du plaisir, sous les caresses de mon clitoris par Astrid.
Nous retrouvons nos hommes.
Le Marquis a tout vu en direct. Il est satisfaite de moi, sa fidèle soumise. J’ai hâte qu’il m’encule ou qu’il me fouette.
Ce qu’il fait de retour à l’appartement, nue, menottée à mon lit, sur le ventre, offrant mes fesses, je suis cravachée, punie à la garcette, en alternance par Charles, aussi. Je mouille de plaisir, repensant aux quatre inconnus qui m’ont prise.
Le Marquis m’encule en premier, dans la même position, je me retiens de jouir, mais je connais un violent orgasme avec Charles, sans être punie.
Nous rentrons à la villa vers 18 heures.
Je me douche, je fais l’amour avec Astrid, devant nos hommes.
Nous partageons le souper, enculées sur chacun d’eux jusqu’à l’éjaculation en 69.
Je dors avec le Marquis, pour de longues sodomies jouissives.
Jour 9
Au lever du soleil, je prépare le petit déjeuner de mon trio, nue, l’anus encore dégoulinant des nombreuses éjaculations du Marquis. Je n’ai pas mis mon bijou d‘anus. Mon clitoris est encore électrique dès que je le caresse et je jouis rapidement.
Le trio me rejoint et je suce mes amants avec Astrid.
Nous passons la matinée à la piscine, nus, entre caresses et fellations. En dehors de la piscine, je porte le gode et les chaînettes, attendant d’être enculée au bon vouloir de mes amants. Je retiens mes orgasmes tant que je peux. Mes râles sont étouffés par mes longues fellations de pute.
Vers 13 heures, encore nue, après ma douche, le Marquis m’insère un bijou d’anus de calibre huit et des boules de geisha dans ma chatte, pas trop profondément. Je jouis.
Les yeux bandés, à quatre pattes, avec des pinces à clochettes à mes mamelons tendus et à mes grandes lèvres, une laisse à mon collier de cuir, telle une chienne.
Je suis livrée à un autre homme, bien monté. Nu, il m’offre son mandrin de quarante par neuf.
Il me caresse surtout les seins en étirant mes mamelons, mon gros clitoris, joue avec les boules de geisha et mon bijou d’anus sans que je puisse jouir.
Je dois le sucer, mais il se retire sans éjaculer dans ma bouche.
Il m’encule, l’anus libéré, d’une seule traite, cambrée, en écartant bien mes fesses brûlantes par les claques magistrales. Il éjacule en moi puis il me remet le bijou d’anus en place.
Il enfonce son gland dans ma chatte libérée, sans toucher mon hymen de vierge.
Par moment, il tire sur ma laisse pour m'ordonner une gorge profonde. Il tire sur la laisse pour me remettre debout. Il tire sur ma laisse pour me faire cambrer.
Il tire sur ma laisse pour que je me repositionnes face à lui à genoux pour nettoyer son mandrin. Une fois bien propre, il me positionne à 4 pattes au sol. Il tire sur ma laisse pour me faire avancer. Je dégoulines toujours, avec mes jouets.
L’homme disparaît comme il est venu. Je suis une authentique chienne à son goût, au bout d’une heure de soumission.
Jour 10
Vers 8 heures, j'émerge, nue, les mains jointes à mon cou, par mes carcans, mes cuisses, mes fesses et mes reins portent les marques de la cravache et de la garcette que m'a donné le Marquis, pour me complimenter de ma prestation. Je garde mes cuisses écartées, devant le grand miroir de ma chambre.
Je découvre mon anus rempli de son bijou d'anus calibre neuf.
Les yeux baissés, je découvre la présence d'un bel étalon bien monté, dans ma chambre.
Il me toise, enfonce ses doigts dans ma bouche, puis entre les lèvres de ma chatte ruisselante. Je me retiens de jouir.
Il me retire le bijou d'anus et me fait pivoter pour m'enculer. Je suis au bord de l'orgasme, sous ses coups profonds et précis.
Il me fesse et éjacule dans ma bouche offerte, puis disparaît.
L'après-midi, à la piscine, nue, exhibant mes marques récentes sur mon corps, Diane me fait l'amour, doigtant à l'envie mon anus bien dilaté.
Deux beaux étalons inconnus nous rejoignent. Je dois les sucer, avant de longues sodomies jouissives, filmées par Diane.
Puis le Marquis m'invite à me doucher, me farder et me parfumer et à porter mon gode anal cadenassé, un trente-six par neuf, avec un prépuce qui se rétracte à chaque va-et-vient découplant mon plaisir.
Un tailleur blanc avec une jupe éventail sur mon corps nu et des mules blanches à talons de dix centimètres, une queue-de-cheval complète ma tenue.
Nous prenons une Ferrari 348 TB rouge. Je dois relever ma jupe et m'asseoir les fesses nues sur le cuir, cuisses écartées. La veste de mon tailleur reste ouverte pour que le vent fouette mes seins nus aux mamelons tendus par les savantes caresses avant le trajet.
Nous rejoignons un luxueux hôtel particulier, dans une ruelle, loin des regards indiscrets.
Là, des couples nous attendent. Je baisse les yeux devant les hommes.
Les mains caressent mes fesses et découvrent les chaînettes qui maintiennent en place le gode anal.
Le Marquis libère mon anus.
Un superbe transsexuel blonde aux seins plantureux avec un mandrin de vingt centimètres m'encule en levrette devant l'assistance. Les hommes m'offrent leurs mandrins à sucer jusqu'à leur éjaculation.
Le transsexuel Natacha me fait jouir à de nombreuses reprises, caressant mes seins, mon clitoris tendu, enfonçant ses doigts dans ma chatte.
Il me fesse magistralement.

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