UNIVERSITE DU PLAISIR
Contenu sensible
Je m’appelle Shawn Eléonore dite Elle, par mes amis et amants.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
UNIVERSITE DU PLAISIR
10 mai
Fille timide avec mes gestes maladroits, je suis devenue cette femme moderne au corps provocant. Mes yeux, mon sourire se sont éclairés. Mes seins étaient plats. Aujourd’hui, flattés par tes savantes caresses, ils tendent en permanence leurs bourgeons au ciel. Mon ventre arrondi s’est tendu par la rigueur que les godes allaient et venaient en moi. La répétition des coups donner la cambrure actuelle.
Vêtue d'un tailleur strict fuchsia sur un chemisier blanc cachant mes dessous en dentelle transparente, composés d'un soutien-gorge et d'un slip, avec un porte-jarretelles assorti, mes bas blancs, des sandales blanches à talons de huit centimètres, les cheveux en queue-de-cheval, je suis déposée devant le portail de l'université. Cette université est un bâtiment moderne, au milieu de la forêt, non loin d'un château.
Je ne suis pas seule, d'autres jeunes filles sont présentes.
Non rejoignons le hall d'entrée où la superbe directrice, une grande blonde en tailleur noir sur son corps nu, en mules noires à talons de douze centimètres, 1,80 m, aux longs cheveux, accompagnée de beaux étalons nous remet des questionnaires intimes. Nous les remplissons. Elle fait du 92-63-92.
Je suis rapidement repérée, par mes réponses rapides.
- Shawn, je présume, annonce Hermine, la directrice, tu as un potentiel beauté, le désir viendra ensuite, le service et la maîtrise sont les règles de l'université.
En effet, les autres filles sont plantureuses
Après le questionnaire, nous rejoignons le cabinet médical pour un examen précis.
Nue, je suis allongée sur le fauteuil gynécologique, cuisses écartées, devant des miroirs où se cachent des appareils photographiques et des caméras, pour les voyeurs.
Le bel étalon, 35 ans, 1,70 m, athlétique, bien monté, me toise, me caresse les seins, dont il fait durcir les mamelons comme dans mes fantasmes. Ma chatte ruisselle.
Il descend ses mains, installé entre mes cuisses ouvertes, sur ma toison pubienne, puis écarte les lèvres de ma chatte, déniche mon clitoris jusqu'à le faire durcir. Je suis au bord de l'orgasme. Je vois qu'il bande.
Sans quitter ma chatte, il enfonce un doigt dans mon anus vierge. Je ne sais si je dois jouir ou gémir. Il me fesse un peu.
Il libère son mandrin de calibre huit et me l'enfonce dans la bouche. Je ne peux refuser. C'est une première pour moi.
Il se retire et il me demande de caresser mon clitoris, pendant qu'il me baise jusqu'aux testicules. Je jouis.
Après quelques va-et-vient, il enfonce lentement son mandrin dans mon anus lubrifié par ma mouille. Une fois le gland entré, il marque des pauses pour que mon anus s'habitue.
Il va et vient, guidant mes doigts sur mon clitoris et dans ma chatte en feu.
Je connais l'orgasme anal.
Puis, il rentre une dernière fois à fond en moi, presque à me soulever du sol, ses mains s’agrippaient à mes hanches. Il éjacule sur mon pubis.
Je le nettoie. Je suis comblée de ma première sodomie.
Je me douche rapidement
Rhabillée, je me rend pour recevoir ma tenue. La tenue est un chemisier blanc sans bouton, porté sur les seins nus et une jupe noire très courte sur les fesses nues, elles aussi. Mes pieds nus sont chaussés de mules blanches à talons de dix centimètres. La queue-de-cheval ou le chignon sont autorisés.
La directrice me demande de soulever ma jupe, pour m'insérer un objet froid de calibre cinq dans mon anus encore un peu dilaté.
- Ton accès aux fesses doit être élargi comme tes copines. A midi, Dan s'occupera de ceci. Tu es encore vierge des fesses, mais la sodomie est le plaisir garanti. Tu ne dois jamais croiser les jambes, ni jamais fermer tout à fait la bouche et ne jamais regarder un des hommes dans les yeux. Ainsi, les hommes sauront que ta bouche, ta chatte et ton anus leur sont ouverts. Tu seras punie en cas de manquement. Tu fixeras toujours le mandrin, pour que tes lèvres l'honorent. Tu lèveras ta jupe à chaque signe d'eux, pour les satisfaire. Ce soir, ta bouche, ton anus seront honorés, offerte, cuisses écartées, menottée. Tu es constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit votre vêtement, et que c'est pour eux.
Je reçois mes carcans faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Nous devons les garder jour et nuit.
Escortée par un surveillant, je découvre le dortoir où nous serons menottées pour la nuit. La grande salle de bains est composée de douches, avec des grands miroirs sans tain.
J'apprends à me maquiller: la bouche fardée avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle appliquait au pinceau, et qui fonçait en séchant. Du même rouge l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je poudre mon visage et je parfume entièrement et lentement mon corps nu.
Le surveillant m'observe, fasciné par ma toison pubienne et ma chatte velue.
Le diamant brille entre mes fesses.
Rhabillée, il est 10 heures. Nous prenons un premier cours de respect et de nouvelles fellations et des fessées nous sont données.
Vers midi, Dan, un jumeau du docteur, me conduit dans une grande pièce, entièrement recouvertes de miroirs. Sur un pouf, trône une collection de godes réalistes, avec prépuce, décalottés.
Nue, penchée en avant, cuisses écartées, Dan me retire le bijou d'anus. Il choisit un gode anal de calibre six, veiné, avec un gland bien prononcé, et le prépare en attachant, à trois petits trous percés dans la base - qui s'élargit à cet endroit pour qu'on soit certain qu'il ne remonte pas à l'intérieur du corps –, trois chaînettes qu'il laisse pendantes. Il pousse le gode et j'éprouve la même sensation qu'avec le docteur. Je gémis un peu, mais le mandrin en érection m'excite.
Je me relève, on attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser la tige et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne puisse être tenté de me soulager de cette contrainte. Le prépuce est doté d'un va-et-vient pour me rappeler un amant invisible.
La directrice en profite pour me cravacher les fesses exposées ainsi que ma chatte trempée. Je me retiens de gémir. Mais ma mouille abondante me trahit.
Je reçois cinquante coups de cravache au total, pour mon excitation.
Les fesses zébrées et rougies, je me rhabille.
Je m'assois les fesses nues sur le tabouret doté d'un gode vaginal de gros calibre. Ma chatte resserrée le reçoit avec aisance. Je garde les yeux baissés.
L'après-midi, nous essayons des corsets seins nus.
Je l'agrafe par-devant en commençant par le haut tandis que je creuse le ventre pour l'aider. D'abord je l'agrafe par-devant en commençant par les attaches du haut, ensuite je tires sur les boucles. Je resserre progressivement le laçage en partant du haut vers le milieu puis en partant du bas vers le milieu pour qu'il soit parfaitement ajusté et que je me sentes confortable. Je tire de toutes tes forces sur le lacet central afin de bien marquer la taille et de l'affiner au maximum. J'offre des hanches de courtisane, le dos cambré et les fesses en arrière. Mes seins tendent même leurs mamelons, le corset est fait pour mouler le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur.
Comme le corset est un modèle seins nus, durement baleiné, long et rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et comporte des goussets où reposent les seins.
A mesure qu'on serrait, les seins remontaient, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe.
Mes petits seins sont ainsi mis en valeur.
Nous portons ensuite sur le corset, une robe assez courte, couvrant à peine les fesses. Un système d'attaches permet de dénuder les fesses et le pubis en même temps.
Ainsi les surveillants voient mes fesses zébrées et mes chaînettes.
Après le corset et la robe courte, nous sortons dans le parc, sous bonne garde.
Les filles aux seins plantureux sont plus toisées que moi.
Je me retiens de jouir, comme les autres filles qui portent le même dispositif.
Lors de la douche, encore équipée, un des surveillants vient me masturber la chatte et le clitoris, pour voir ma réaction. Mais je ne dis rien mais mon excitation me trahit.
Etant seule avec lui, il me libère du gode anal et m'encule jusqu'à la garde. J'écarte bien mes fesses pour mieux le recevoir. Je le suce et j'avale tout.
Enfin, l'anus libre, je suis offerte en compagnie d'autres filles à des étalons bien montés, pour des sodomies intenses et profondes.
11 mai
Vers une heure du matin, nous regagnons le dortoir.
Nous prenons une douche.
Le collier et les bracelets de cuir ont durcis avec l'eau, et me serrent davantage, je suis nue.
Le surveillant me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou. Il cliquette une chaîne à l'anneau de mon collier. Je dois rester allongée sur le dos, cuisses écartées, sans aucune couverture. Le surveillant examine l'entrebâillement de mes cuisses. Il en profite pour caresser mon clitoris encore tendu et ma chatte ruisselante. Les lèvres de ma chatte me brûlent. La cravache m'a fait jouir.
Avant le lever du jour, des surveillants se relaient pour nous enculer et nous faire sucer. J'excelle davantage.
L'anus dégouline de spermes frais.
Vers six heures, un surveillant me lève les jambes pour me cravacher les fesses, puis il me fait allonger sur le ventre, pour cravacher mes reins. Cela dure cinq minutes. Puis il disparaît.
Vers huit heures, un nouveau surveillant vient me détacher, mais avant il s'attarde sur mes fesses et mes reins zébrés.
Libre, je peux me doucher, me farder, me parfumer pour une nouvelle journée.
Je reçois un calibre sept pour m'élargir similaire au calibre six, que je porte jusqu'à l'heure du repas.
Nous continuons les cours. Nous sommes régulièrement cravachées ou nous recevons la garcette. La garcette est faite de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides comme si on les a trempées dans l'eau, ce qui a été fait comme je peux le constater, car on m'en caresse les cuisses pour sentir les cordes humides.
Les surveillants se délectent de ma chatte trempée, chaque fois que je suis cravachée.
Mon anus s'assouplit davantage, à chaque nouvel assaut anal.
Chaque jour salie de salive et de sperme, de sueur mêlée à ma propre sueur. Et cependant, les parties de son corps les plus régulièrement offensées, rendues plus sensibles, me paraissent en même temps devenues plus belles, et comme anoblies : ma bouche refermée sur des mandrins anonymes, les mamelons que des mains constamment froissent, et entre mes cuisses écartelées ma chatte et mon anus sont labourés à plaisir.
Mes fesses zébrées plaisent.
Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on m'y ramène - quand on m'y ramène - nue, je porte fixé au centre de mes reins une de ces godes qui m'écartèlent, et chaque jour davantage, pour recevoir un gode plus épais. Au repas du soir, nue, avec ma ceinture et mes chaînettes, je la porte. Le surveillant du soir me l'ôte pour faire usage de mon anus écartelé.
18 mai
Au bout de huit jours, aucun gode n'es plus nécessaire, et je suis bien ouverte pour de nouvelles sodomies.
C'est après une longue série d'orgasmes anaux, l'anus dégoulinant de spermes frais, que je suis conduite nue, pieds nus, dans une mystérieuse pièce au sous-sol, les yeux bandés.
Là, offerte sur un chevalet, je suis fouettée, enculée et suçant à l'envie les inconnus, les yeux bandés. Je me baigne dans un petit réduit. Les surveillants aiment m'observer nue.
25 mai
Dans l'après-midi, je me retrouve dans une grande chambre du château, nue, détachée.
Un bel étalon brun, barbu, 35 ans, 1,80 m, me toise, observe ma bouche, mes seins aux mamelons durcis, mon clitoris durci mis en valeur par un discret anneau doré, dans la toison de ma chatte, entre mes cuisses écartées et les gouttes qui perlent sur ma chatte.
Mon anus est encore un peu dilaté, par les assauts de la matinée.
L'homme s'approche et m'annonce que je dois rhabiller. Mon tailleur strict est devenu une simple veste avec une jupe éventail, sans aucun dessous, juste un chemisier blanc transparent.
Je me douche devant lui, sans pudeur, écartant mes fesses, caressant mes seins, effleurant mon clitoris percé.
Je me farde, me parfume longuement, me poudre.
La directrice entre et me défait le collier et les bracelets qui depuis deux semaines me tiennent captive.
Elle m'embrasse langoureusement tout en doigtant simultanément ma chatte et mon anus. Je me retiens de jouir, sous cette intense double pénétration digitale.
Tous les deux examinent mes reins et mes fesses, qui sont écartées et mon anus s'ouvre avec aisance. Ils passent leurs doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans.
Je reçois la bague pour mon annulaire gauche. Elle est en fer avec un anneau dessus.
La directrice repart. J'enfile ma jupe, puis le chemisier sans le fermer et la veste de mon tailleur. Le tissu du chemisier provoque une excitation sexuelle. Je relève ma jupe pour monter mon pubis et mes fesses à mon bel inconnu.
Je glisse mes pieds nus dans les sandales.
Nous rejoignons le parc.
Une Ferrari 328 noire nous attend.
Je m'assois en relevant ma jupe, cuisses écartées, sur le cuir froid.
A la sortie du portail, le bel étalon se présente comme Sven, un ancien amant de Naxos.
Nous rejoignons après trois heures de route, le centre ville.
Je possède un appartement avec mes nouvelles tenues appropriées : toutes sont adaptées pour que je sois constamment nue dessous, avec une collection de hauts talons, sandales et mules. Je ne porte plus de lingerie sauf les guêpières et corsets seins nus. Ces modèles sont tenus rigides par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, avec un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté pour que ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'ils dégagent, ainsi que les hanches. Tous les modèles sont plus courts par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Nue, je fais des essayages, aidé par Sven. Il est fier de mes nouveaux vêtements.
Je dors nue, cuisses écartées, avec un bijou d'anus moulé sur un mandrin en érection.
Sven me menotte à mon lit, pour que je puisse jouir sans me caresser.
Il a utilisé une pompe pour mes mamelons les rendant plus gros et plus sensibles, mon clitoris est aussi gros qu'une cerise, par l'excitation.
Le bijou d'anus abrite un discret va-et-vient qui me conduit à plusieurs orgasmes.
26 mai
Avant le lever du soleil, Sven me retrouve pantelante et me retire le bijou d'anus. Mon anus est bien dilaté
Je le suce avant une longue sodomie jouissive. Il éjacule dans ma bouche.
Je me douche, me farde, me parfume.
Je déjeune et met mon nouveau tailleur bleu sur un chemisier blanc sans bouton, avec un corset seins nus, une jupe éventail, laisse mes cheveux libres et chausse mes mules blanches à talons de huit centimètres. J'ai vernis mes ongles des pieds et des mains, pour mon rendez-vous.
J'ai un quart d'heure à pied pour m'y rendre.
Tout en marchant, je sens le souffle monter le long de mes jambes et saisir mes cuisses nues.
Arrivée devant un porche, j'ouvre la porte et aboutis dans un couloir semi éclairé menant à une cour intérieure.
Là, à l'entrée, une jeune femme plantureuse, juste vêtue d'un tablier, blonde, 1,70 m, aux mamelons percés d'anneaux dorés. On aperçoit son clitoris et ses petites lèvres percés des mêmes anneaux dorés. Elle est intégralement épilée et porte marqués au fer rouge sur les fesses, les lettres S et V. Elle me conduit au bureau de mon employeur, Sir Donatien. C'est un bel étalon athlétique, 60 ans, 1,85 m, bien monté.
- Voici, Miss Shawn, la vicieuse de Madame Olympe, quel superbe choix, déshabille-toi. Fleur, tu nous prépares un café, la cravache et les pinces à seins pour notre invitée.
Je dévoile mon corset. Donatien m'invite à le garder.
Les yeux baissés, il caresse longuement mes seins, en juge leurs volumes, écarte mes fesses, lorsque je suis offerte penchée en avant. Ses doigts s'enfoncent dans mon anus assoupli et ma chatte trempée, il décalotte mon clitoris. Je suis au bord de l'orgasme, sous cette triple excitation.
Il pince et étire mes mamelons avant de les enserrer dans des pinces reliés à des poids qui provoquent leurs étirements vers le bas, mon clitoris décalotté est aussi pincé avec un poids léger.
Je m'accommode de ces pinces.
Allongée sur un chevalet, cuisses écartées, sur le dos, menottée, je suis cravachée sur les seins et la chatte, sur l'intérieur des cuisses. Cela dure un bon quart d'heure. Je suis entre gémissement et jouissance.
Puis il me fait allonger sur le ventre, sur le chevalet, toujours cuisses écartées, provoquant une tension plus intense vers le bas à mes mamelons durcis, toujours menottée.
Il enfonce jusqu'à trois doigts dans mon anus lubrifié, tandis que la cravache cingle mes reins, mes fesses et mes cuisses.
Enfin, après un nouveau quart d'heure de dressage, pantelante, il me fait saillir par un berger allemand. Le sexe canin de dix-sept par cinq me baise longuement puis il m'encule jusqu'au nœud. Je gémis, mais un orgasme anal me terrasse rapidement. Dès qu'il éjacule, Sir Donatien le fait éjaculer sur mes fesses.
Détachée, en levrette, le berger allemand enfonce son sexe jusqu'au nœud dans mon anus dilaté. Je multiplie les orgasmes à chaque nouvel assaut.
Je suis rassasiée, mais j'ai le malheur, de tomber sur le dos, cuisses écartées, le berger allemand bande à nouveau et m'encule dans cette position.
Puis je redresse les jambes, je les passe par-dessus le dos du chien, et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui. Il me conduit à un ultime orgasme anal puissant.
Fleur me conduit dans une salle de bains annexe, libérée des pinces à mes mamelons et à mon clitoris. Je me douche et reprend mes esprits. Mon anus reste encore entrouvert du dernier assaut. Du sperme canin me couvre les fesses, que je nettoie.
Je désire continuer.
Vers midi, je rentre chez moi, conduite dans la DS personnelle de Sir Donatien. Il m'a inséré un gode canin assez réaliste dans mon anus cadenassé, pour que je continue mon éducation anale.
Nue, je ne cesse de me masturber, me rappelant les sodomies canines que je venais de subir.
Allongée sur le canapé, sur le lit, même sous la douche, je me caresse.
Pantelante, au bout d'une heure, Sir Donatien me l'enlève pour me récompenser par une longue sodomie jouissive. Je le suce. Il m'abandonne, l'anus entrouvert, couverte de spermes frais.
Je n'ose serrer mes cuisses, devant un grand miroir de ma chambre. Je regarde la mouille se répandre sur ma chatte et mon anus.
Je découvre un autre gode anal réaliste de calibre sept veiné. Je m'accroupis pour me l'insérer. Assoupli, l'anus le reçoit complètement. Un dispositif de chaînettes comme à l'université, me permet de le garder, cadenassé. Sven pourra ensuite me libérer.
Il est doté d'un puissant va-et-vient. Mes mamelons et mon clitoris se tendent immédiatement sous la montée de l'excitation sexuelle.
Je continue mes occupations, nue, regardant mes seins bouger, mon bassin onduler.
Vers dix-sept heures, Sven me le retire pour m'enculer sauvagement sous la douche.
Sven continue à stimuler mes mamelons, ma chatte et mon clitoris avec une pompe.
Je passe la nuit, nue, menottée, l'anus libre, allongée sur le dos, cuisses écartées. Ainsi des amis de Sven se relaient pour m'enculer et pour que je les suce jusqu'à la dernière goutte.
Aucun ne me baise, ma chatte devient sensible, sans aucun mandrin m'honore.
27 mai
A l'aube, pantelante, couverte de sueurs et de spermes frais, Sven me détache pour une douche réconfortante. Il me cravache aussi les fesses et les reins. Je suis menottée debout à la barre de la douche, sur la pointe des pieds, cuisses écartées.
Il m'attache les poignets et tire jusqu'à ce que je sois de nouveau les bras en l'air. Toute nue, dressée comme une danseuse, je parais toujours plus belle. Puis il me mit la main sur la vulve, me la caresse d'un doigt entre les lèvres.
Sven prend une bouillotte avec un tuyau terminé par une canule. Il y met du savon liquide et de l'eau froide.
Cuisses écartées, il m'ouvre les fesses fesses de la main gauche, et il présente l'embout. Quand la canule fut en place, il ouvrit le petit robinet.
Je ne peux résister longtemps, car Sven me doigte la chatte et le clitoris.
Il me retire la canule et je me vide longuement.
Il enfonce ses doigts pour vérifier que je sois bien propre.
Il m'écarte bien les fesses pour m'enculer sans me faire jouir.
Il me menotte sur le lit.
Vers huit heures, libre, je reprends mes habitudes.
Les mamelons et le clitoris ont encore grossis sous l'action de la pompe.
Fardée, parfumée, je porte juste un pull blanc sur mes seins nus, et qui dessinent si doucement les seins assez long pour couvrir mes fesses nues.
Je chausse juste mes mules blanches à talons de dix centimètres, une queue-de-cheval et je rends chez Sir Donatien.
J'ai mis le bijou d'anus canin.
Sir Donatien m'accueille. Je relève mon pull, exhibant mon corps nu.
Il m'embrase longuement, tout en pelotant mes seins, pinçant mes mamelons et jouant avec mon clitoris tendu par l'excitation.
Nue, sur le chevalet, offerte, je suis enculée par le berger allemand, jusqu'à une série d'orgasmes de plus en plus violents.
Il éjacule sur mes fesses avant de me reprendre. Je le subis jusqu'au nœud.
Sir Donatien baise longuement ma chatte sans je puisse jouir. Il éjacule dans ma bouche.
Après la douche, Sir Donatien me trouve un nouvel accessoire : pourvu de deux généreux sexes en érection en silicone. D'aspect réaliste, ces deux godes sont prêts à pénétrer votre anus et votre vagin pour des allers-retours terriblement excitants... chacun d'eux possède un gland à l'extrémité et des veines en relief, pour une double pénétration proche du réel. Le vaginal est long de quatorze sur quatre et l'anal long de onze sur trois. Il les protège avec une ceinture de chasteté cadenassé, me laissant la possibilité d'uriner. Chaque gode est doté d'un puissant va-et-vient.
Je porte un collier avec une sangle qui immobilise mes poignets dans le dos.
Il va ensuite chercher une cape, me la passe sur les épaules et la laisse ouverte.
J'ai pu constater qu'il n'y a pas que les hommes qui me regardent avec insistance mais les femmes aussi.
Quelques fois avec des reproches dans les yeux mais souvent avec de l'envie.
J'ai apprise à ne réagir à aucun regard, a ne jamais serrer les jambes.
Dès les premières fois et malgré la gène intense que je pouvais ressentir du à mon jeune age et aux situations gênantes, j'ai quand même tout de suite été terriblement excitée. Plus j'étais excitée et plus parfois c'est gênant car ça ce voit parfaitement bien.
Nous marchons une bonne demi-heure. Je suis enlacée par un bras de Sir Donatien, qui pelote mes seins et caressent mon clitoris tendu.
Je me retiens de jouir, sous les va-et-vient des deux godes.
Nous entrons dans un club privé par un escalier au sous-sol.
La porte est sécurisée. Il y a un vestiaire. Sir Donatien me retire ma cape.
Des invités viennent me caresser le corps.
Enfin, je suis libre de mes godes. Je suis bien dilatée.
Je suce les invités.
C'est un club SM, avec divers accessoires.
Certains m'enculent quelques instants, pour voir si je prends du plaisir.
Ils sont ravis d'avoir une soumise velue, qui est très docile.
Les menottes retirées, je suis installée sur un chevalet, sur le ventre, pour être cravachée, avant d'être enculée par tous les invités qui le désirent, en échange de quelques billets. Sir Donatien convient un tarif. Ma bouche est utilisée aussi.
Je dois aussi m'empaler, enculée sur divers calibres de godes et de mandrins bien montés.
Un étalon africain doté d'un long et gros mandrin me d馭once jusqu'aux testicules, avant de m'offrir à une série de doubles pénétrations jouissives.
Je suis offerte entre deux étalons bien mont駸, un me baise et l'autre m'encule, tous les deux me prennent par les jambes.
Je suis au summum du plaisir.
Je me donne à d'autres duos.
Sir Donatien me fait épiler les aines, le haut des cuisses, les grandes lèvres, le périnée, le pourtour de l'anus et l'intérieur des fesses, pour être plus désirable. Je garde ma toison pubienne, qui met en valeur mon clitoris percé.
Le gode, lubrifié est enfoncé complètement dans mon anus, me faisant un peu mal, légèrement plus grosse que les godes. Sa base se termine par un anneau qui affleure juste de mon petit trou. J'apprends alors que ma ceinture est plus sophistiquée qu'il n'y paraît de prime abord : certains anneaux qui en ornent le tour sont montés au bout d'une chaînette sur un enrouleur assez dur : celui au centre à l'arrière est tiré, ainsi que deux par devant, à l'aplomb des cuisses. Ces deux-là suivent mes aines, l'autre ma raie fessière, les trois anneaux sont mis en parallèle avec celui qui ressort de mon anus, un petit cadenas relie les quatre, et le tour est joué : même avec mes mains libres, je ne pourrais pas retirer le gode qui me dilate l'anus.
Rhabillée de ma cape et de ma ceinture, en mules, je suis reconduite chez moi, par le chauffeur en DS.
Je passe une nuit agitée, fantasmant sur des étalons qui me prennent en double pénétration, aux mandrins surdimensionnés et que je suce.
28 mai
Sir Donatien me laisse une journée de repos, après les excès de la nuit.
Sven me retire la ceinture et m'encule longuement, allongée sur le dos, cuisses écartées. Je connais une série d'orgasmes violents. Il se vide dans ma bouche.
Il est ravi de voir ma chatte lisse et ruisselante.
Peu avant midi, douchée, fardée, parfumée, je revêts une robe dos nu fuchsia, avec un serre-taille et des bas noirs assortis. Sir Donatien m'a trouvé un discret double gode de bonne dimension pour ma chatte et mon anus.
Chaussée de mules, nous rejoignons une péniche le long d'un canal.
Là, un couple nous attends. Je relève ma jupe pour exhiber ma chatte nue.
Lui, est un étalon de 65 ans, 1,75 m, barbu brun, elle est une blonde plantureuse, 1,70 m, vêtue d'une robe semi-transparente blanche sur son corps nu. Elle porte des anneaux dorés au clitoris, aux petites lèvres et aux mamelons et les lettres S et M sur les reins.
Je m'assois sur le tabouret, en faisant glisser ma jupe en dehors du tabouret, dont je sens le cuir froid sous ma peau et le rebord gainé de métal au creux même de mes cuisses. Ma jupe s'étale autour d'elle. Mon talon droit est accroché à l'un des barreaux du tabouret, la pointe de son pied gauche touche terre. On regarde mes genoux, mes mains, mes lèvres et ma bague de fer.
Après l'apéritif, nous rejoignons une table. Nous sommes assis sur des chaises en fer.
Cuisses écartées, un regard averti et concupiscent peut voir ma toison pubienne velue.
Avant le dessert, je me rends aux toilettes.
Là, un inconnu me rejoint, car les toilettes sont mixtes.
Il dénude mes seins, qu'il pelote un instant, puis relève ma jupe, mes orifices sont libres bien avant l'apéritif.
Il m'écarte bien les fesses et son gros mandrin, un calibre sept me remplit jusqu'aux testicules. Je dois m'accrocher au lavabo, cuisses écartées. Je me retiens de jouir.
L'assaut dure une éternité. Enfin, il se retire et éjacule dans ma bouche, en me remettant un gros billet. Je me rhabille, me refais une beauté. La blonde me rejoint. Je suis encore toute pantelante de la rapide sodomie.
Mon anus reste encore entrouvert.
Après le dessert, Sir Donatien me conduit en méhari dans la forêt proche de l'université.
Là, cuisses écartées, jambes nues, je me masturbe, les seins nus exposés, tandis que des voyeurs profitent du spectacle offert.
Nue, je m'allonge sur le siège passager, cuisses bien écartées. Sir Donatien m'introduit le gode vaginal dans mon anus pour me faire jouir, caressant mon clitoris et mes mamelons durcis par l'excitation. Les voyeurs éjaculent sur mes seins, ma toison pubienne.
Sir Donatien m'offre à un des voyeurs qui n'a encore éjaculé. Allongée sur le dos, sur le capot de la Méhari, cuisses bien ouvertes, le voyeur enfonce son calibre six. Je l'enserre de mes jambes pour mieux le recevoir. Il éjacule sur ma toison pubienne et je le suce, ainsi que les autres.
Rhabillée, nous rejoignons enfin le haras.
Après avoir observée une saillie d'une jument par un bel étalon équin. Je suis subjuguée par la longueur et la grosseur du sexe.
Sir Donatien m'invite à me changer pour une promenade.
Mon pantalon est totalement ouvert au niveau du bassin, afin probablement d'éviter une sudation trop importante. Cela dévoile par devant notre pubis et par derrière nos fesses. Mon cheval a reçu une selle spéciale où se dressent deux godemichets lubrifiés réalistes veinés. Je me retrouve rapidement empalée sur les deux godemichets
Après une heure de promenade, je suis tellement enculée par le gode, que je dois me mettre debout sur les étriers tout en me penchant légèrement en avant.
Nue, je suis longuement enculée par les étalons humains du haras. Je suis invitée à sucer le sexe équin, malgré sa grosseur. Je me délecte quand il bande.
Je suis rassasiée de spermes humains.
Mon anus reste ouvert un long moment. Mon clitoris et mes mamelons restent constamment tendus par l'excitation.
Je reste nue sous ma robe pour le retour. La DS me dépose chez moi.
Sir Donatien m'a mis mon gode anal canin cadenassé pour la nuit. Je me masturbe et connais de nombreux orgasmes en fantasmant sur des étalons bien montés, des sexes équins.
J'ai hâte d'essayer, ce nouveau plaisir.
1er juin
Après avoir rédigé mon séjour à l'université, je rends mon texte à Sir Donatien pour approbation.
Je l'écoute, en levrette, enculée par son berger allemand, jusqu'au nœud, décuplant mon plaisir anal.
L'après-midi, la DS me dépose, juste vêtue d'un tee-shirt blanc sur mon corps nu, en cuissardes, coiffée d'une queue-de-cheval, fardée, dans un haras spécial.
Le directeur, un bel étalon de 45 ans, 1,85 m, athlétique, me fait descendre de la DS.
Je porte mon gode anal calibre sept cadenassé, à la demande de Sir Donatien.
Le chauffeur me le retire, ainsi le directeur peut examiner mes fesses, enfoncer ses doigts bien lubrifiés, tout en caressant mon clitoris tendu. Je retire mon tee-shirt, je suis au bord de l'orgasme.
Il enfonce aussi sa main dans ma chatte humide.
Les deux actions combinées me conduisent à l'orgasme.
Enfin, il m'encule avec son calibre sept que j'ai longuement sucée.
Je rejoint le superbe étalon équin, lèche son superbe sexe, tout en étant enculée par le directeur.
L'étalon équin bande rapidement.
Le cheval éjacule.
Le sexe à demi-dur maintenant remplit ma chatte trempée. Je coulisse dessus sur un bon tiers jusqu'au col de l'utérus.
Je connais un formidable orgasme !
Le cheval bande à fond, m'écartelant la chatte.
Il éjacule à nouveau lui provoquant un nouvel orgasme foudroyant. Reprenant ses esprits, je me retire. Un flot de sperme s'y échappe et se répand sur le sol. Ma chatte est tellement distendue.
Le directeur me prend par les cheveux et me fait sucer jusqu'à la jouissance.
Me rhabillant avec difficulté, je dois rester tranquille quelque temps afin que ma chatte puisse récupérer d'une telle pénétration mais que j'ai adoré servir de jument à cet étalon.
Le directeur nous raccompagne à la voiture en nous proposant de revenir et nous disant qu'il existe des soirées où plusieurs salopes chevalines se faisaient défoncer sous les yeux de leurs maris et qu'il serait ravi que nous participions vu mes performances !
De retour chez Sir Donatien, il me confie une mission.
Juste vêtue d'un string avec des perles qui stimulent mon clitoris tendu et muni d'un gode anal discret, en mules, j'écoute. Les perles se glissent dans ma fente humide.
Sir Donatien me choisit une mini-jupe assez courte, couvrant à peine mes cuisses et un corset assorti, couleur fuchsia. Je me farde, me parfume et me coiffe d'une queue-de-cheval.
3 juin
Je retrouve l'université en centre-ville, avec un studio non loin de là
Là je trouve une superbe colocataire. Une grande brune aux petits seins, avec la chatte et la toison pubienne velue, comme j'aime. Elle a tout juste 19 ans.
Je l'initie à la sodomie, avec mes godes préférés.
Elle gémit, mais mes caresses la conduisent au plaisir. Elle répète l'opération avec moi ensuite.
Elle trouve que je suis bien plus dilatée qu'elle.
Elle se prénomme Hermine. Je décide de la présenter à Sir Donatien.
Je lui trouve une tenue similaire à la mienne, elle garde ses sandales.
Je la farde et la parfume.
Vers 14 heures, la DS de Sir Donatien nous amène chez Sir Donatien.
Nue, Hermine se laisse caresser, fouiller la chatte et l'anus. Elle porte cachée dans sa toison pubienne, un discret anneau doré, preuve de sa soumission.
Je suce le berger allemand.
Le berger allemand la baise sur le champ. Hermine suce Sir Donatien.
Quant à moi, un superbe doberman m'encule jusqu'au nœud et me fait jouir.
Hermine est ensuite menottée, suspendue à un crochet, punie à la cravache et à la garcette. Je loge mes doigts dans sa chatte humide et son anus entrouvert. Elle ne sait si elle doit crier ou jouir.
Sir Donatien l'encule longuement ensuite. Elle reste menottée, pantelante.
Quand à moi, je dois porter le gode anal cadenassé, de quinze de long sur sept de diamètre, réaliste, veiné et doté d'un puissant va-et-vient. Je dois me retenir de jouir.
Le doberman en profite pour me défoncer la chatte ruisselante, que je lui offre, allongée sur le dos, cuisses écartées, jusqu'à l'orgasme.
Sven nous rejoint et encule Hermine, tandis que je lèche sa chatte et son clitoris tendu par la mystérieuse lotion.
Le doberman continue à me baiser.
Pantelante, la chatte rougie, je suce le doberman pour le remercier de m'avoir fait jouir.
Sir Donatien est fier de mon choix.
L'anus libre au bout de deux heures, Sir Donatien m'encule à mon tour. Je suis empalée sur son mandrin en érection, assise entre ses cuisses, la chatte et le clitoris léchés par Hermine. Je suce Sven, jusqu'à l'éjaculation.
Libre, je me douche avec Hermine, devant ces messieurs, dans une masturbation mutuelle pour nous faire jouir.
De retour au studio, nous portons toutes les deux nos godes anaux cadenassés. La chatte de Hermine est épilée, pour la mettre en valeur.
Sven nous les retire, le soir, pour nous faire enculer par d'autres étalons de l'université.
Je recrute de futures élèves pour l'université.
5 juin
Hermine est conduite à l'université du Désir.
Quant à moi, je rejoins le château.
Nue, ma toison pubienne est devenue une petite bande, mettant en valeur mes anneaux dorés. A un de mes anneaux perçant les lèvres de ma chatte, je porte en plus le nom de Sir Donatien inscrit sur le disque, et, remarquant la cravache et le fouet entrecroisés gravés au-dessus du nom. Je porte les lettres S et M marquées au fer rouge dans l'intérieur de mes cuisses, pour prouver ma soumission.
Après le bain, je reçois mon collier et mes bracelets aux poignets et aux chevilles.
Le collier, sans la serrer, m'entoure exactement le cou dans son milieu, suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets. Le collier et les bracelets sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides comme on fait en or certains bracelets-montres. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal. Je suis fardée (du rouge sur la bouche, sur les aréoles, les mamelons et les petites lèvres de ma chatte) et parfumée, sur mes seins et mes aisselles puis allongée sur le dos, sur la banquette de la coiffeuse, cuisses écartées et relevées. Le parfum se répand ainsi au creux de ma chatte et dans mon anus.
Je porte ensuite un corset montant jusque sous les seins, qu'une légère armature maintient écartés, et qu'un étroit rebord soutient si bien qu'ils sont projetés en avant et paraissent d'autant plus libres et fragiles.
Je suis donc debout devant le miroir, ayant mes mules blanches à hauts talons aux pieds nus, et la taille étranglée dans mon corset.
J'enfile une jupe dont les côtés sont écartées, pour dénuder entièrement les fesses. Je reste les seins nus avec mon corset.
- C'est l'uniforme de la communauté, dit la directrice. Penche-toi et écarte tes cuisses et tes fesses, pour que je t'insère le gode Vice du Désir, un quinze par six, veiné, réaliste, avec un prépuce qui se rétracte, muni d'un va-et-vient. Il est similaire à ceux que tu as porté le 10 mai. Il est cadenassé lui aussi. Les surveillants peuvent te le retire, pour faire usage de toi.
Je sens bien la forme du gode. Une fois mis en place, je me regarde dans le miroir.
Je vais au salon du château, les yeux baissés.
Quatre hommes m'attendent. L'anus libre, je dois sucer, enculée à l'envie. Certains me fessent aussi.
L'un d'eux me conduit dans une chambre et m'encule toute nue, menottée à mon lit, cuisses écartées. Je le suce jusqu'à l'éjaculation.
Il m'encule à nouveau jusqu'à l'aube.
Je dors nue, après une douche rapide, dans le noir, enchaînée au crochet au-dessus de mon lit, cuisses toujours écartées, livrée aux surveillants.
Le matin, à dix heures, un surveillant vient défaire les chaînes. La douche est prise, la toilette faite. Les portes des chambres restent ouvertes sur le couloir. Je suis fouettée, courbée sur la balustrade de l'escalier, et liée, jamais assez fort pour me marquer, toujours assez longtemps pour m'arracher des cris, des supplications et parfois des larmes. Le premier matin, je ruisselle davantage après le fouet.
Je porte le gode anal cadenassé, toute nue. Je fais ensuite le service.
Je ne compte plus le nombre d'inconnus qui m'enculent et me fouettent.
10 juillet
Je retrouve une villa donnée par Sir Donatien, je garde mes anneaux et je garde le disque.
Je reçois les jeunes vierges offertes à l'université et des clients viennent continuer à me fouetter et à m'enculer à l'envie.
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