SOUBRETTE VIERGE PERVERSE
Je m’appelle Prudence.
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe
croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
SOUBRETTE VIERGE PERVERSE
10 mai
Fille timide avec mes gestes maladroits, je suis devenue cette femme moderne au corps provocant. Mes yeux, mon sourire se sont éclairés. Mes seins étaient plats. Aujourd'hui, flattés par tes savantes caresses, ils tendent en permanence leurs bourgeons au ciel. Mon ventre arrondi s'est tendu par la rigueur que les godes allaient et venaient en moi. La répétition des coups donner la cambrure actuelle.
Une luxueuse demeure recrute de jeunes soubrettes. Je postule. Je suis vêtue d'un tailleur strict fuchsia cachant ma lingerie transparente : soutien-gorge, slip, porte-jarretelles et des bas blancs assortis à mes escarpins à talons de huit centimètres, maquillée, parfumée, les cheveux libres.
J'attends mon tour. Il y a du monde pour l'annonce.
Un superbe maître d'hôtel, un bel étalon brun, 1,80 m, me toise.
J'entre dans le salon.
Une superbe blonde plantureuse, vêtue d'une robe moulante dos nu, blanche, fendue sur les côtés, au décolleté profond, me reçoit.
- Voici, Prudence, grande beauté, voyons, tu t'appelleras désormais désir du vice. Tu es une vicieuse, ma belle. Tu aimes le sexe, cela se voit. Déshabille-toi que je puisse admirer ton superbe corps.
Je me mets juste vêtue de ma lingerie, les mains le long du corps.
- Tu es vierge, ta chatte est velue, j'aime ça. Surtout ta toison pubienne, elle me plaît.
Elle glisse sa main dans mon slip trempé par l'excitation.
- Tu mouilles, cela t'excite. Retire tes dessous et garde tes bas et fait quelques pas.
Je m'exécute.
-Tu connais l'éducation anglaise, je présume, les fessées et le martinet.
- Oui, j'ai eu droit pendant mon éducation.
- Tu dois mouiller quand on te fesse.
La blonde caresse mes seins, tire les mamelons tendus à deux mains. Je me retiens de gémir.
On frappe. Je tente de cacher mes seins.
- Alban, voici désir du vice, notre nouvelle soubrette vierge. Que penses-tu de cette superbe toison entre ses cuisses. Elle ruisselle.
La dame lit le courrier et reprend.
- Alban, tu te chargeras de faire jouir notre amie, dans la journée. Surtout, je veux un accès aux fesses plus accessible d'ici quelques jours.
Nous utiliserons le Jason pour cet usage.
- Bien, Alban, elle portera le Jason dès aujourd'hui.
Alban se retire.
- Penche-toi et écarte tes fesses.
Elle fouille en même temps ma chatte, masturbant mon clitoris et enfonce un puis deux doigts dans mon anus vierge. Je gémis un peu.
- C'est vrai, aucun mandrin n'a pénétré cet accès étroit. Voyons ta nouvelle tenue, tu portes des bas. Donc, tu porteras des guêpières corsetées avec des jarretelles ou non, selon mes désirs.
La dame sort une guêpière corsetée transparente blanche seins nus. Je retire mon porte-jarretelles. Elle ne cesse de regarder mes fesses et ma chatte velue.
Je quitte mes escarpins pour des mules à talons de dix centimètres.
La guêpière est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. J'accroche mes bas, devant et sur les côtés, aux quatre jarretelles puis la dame me la lace aussi étroitement qu'elle peut. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre. La guêpière comporte des goussets où reposaient les seins.
A mesure qu'on serre, les seins nus remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur mamelon.
- Les invités sont libres de te caresser ton corps, même de te prendre par les fesses, surtout par les fesses. Toutes les soubrettes sont passées par là.
- J'ai l'impression d'avoir une taille de guêpe! et des hanches de courtisane! J'ai le dos cambré et les fesses en arrière.
- C'est pour qu'on les caresse encore plus, ma belle!
- Et mes seins, regardez, on dirait qu'ils sont prêts à éclater!
- Oui, ils tendent même leurs mamelons mais c'est normal, un corset est fait pour mouler le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur.Pour le moment, tu vas enfiler cette robe. Lève les pieds et prends appui sur mes épaules.
- La robe est assez courte, on aperçoit la lisière de mes bas, elle t'arrive juste au ras des fesses.
- Passons à Jason, ton nouvel ami. Tu vas retirer ta robe et je vais t'installer Jason. C'est un moulage d'un mandrin en érection, veiné, au gland mis en valeur, un calibre six pour commencer.
Elle me présente le mandrin dont la base est percé de trois trous.
Trois chaînettes sont attachées.
Penchée en avant, cuisses écartées, je sens le gland puis le reste du mandrin moulé s'enfoncer dans mon anus. C'est un peu douloureux, mais la masturbation de ma chatte à sa requête, apaise cette douleur qui devient un étrange plaisir.
Je me relève. On attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le mandrin et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tenté de me soulager de cette contrainte.
- Tu vas porter chaque jour dès ton lever jusqu'au repas du midi et à la tombée du jour, jusqu'à l'heure de la nuit. Chaque soir, tu seras prise par les fesses par les invités.
Au repas du soir, je le portes encore, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le porte. Il m'est enlevé que pour usage de mes fesses.
- Ce soir, tu dors toute nue. Tu te prêtes à ces messieurs. Tu dois avoir à toute occasion, la bouche entrouverte, les cuisses écartées, pour leur indiquer que ta bouche, tes fesses leur sont ouverts. Tu seras punie et fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil, et les yeux bandés. Tu gardes les yeux baissés, pour ta bouche serve à donner du plaisir à leurs mandrins. En outre, à la nuit, tu devras sucer leurs mandrins et garder les cuisses écartées, pour les satisfaire. Tu seras menottée à ton lit. Tes fesses devront être prêtes à tout instant, tu feras un lavement le matin. Le maître choisira s'il faut t'épiler ou non.
Je remets ma robe, la base est bien visible.
Je découvre comment me farder : on me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. On peint du même rouge l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. On me poudre le visage. Enfin, on vaporise le parfum sur les seins, les aisselles, puis la chatte.
Je rejoins la bibliothèque où agenouillée, je dois sucer Alban, pour ma première leçon. Celui éjacule rapidement dans ma bouche. Je dois tout avaler sans perdre une goutte. Alban a un calibre cinq pour quinze de long.
La dame, prénommée Diane, me donne quelques claques magistrales, car j'ondule mon bassin sans le savoir, sur ce mandrin.
Mes fesses sont brûlantes, mais ma chatte a besoin aussi d'être honorée.
J'en reçois cinquante au total.
Je contracte l’anus, ce qui avance le gode contre le vagin et stimule cette partie hautement érotique de la femme.
Après cette première fellation, je rejoins en compagnie d'une jeune soubrette, Anal Vicieuse, une blonde aux petits seins, vêtue comme moi, portant une pierre précieuse entre les fesses. C'est un bijou d'anus pour la garder bien ouverte. Je reçois un collier de cuir et des bracelets en cuir à mes poignets, pour l'ensemble de mon séjour. Ils sont en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Nous visitons la résidence. Le rez-de-chaussée abrite diverses pièces où les soubrettes se donnent aux invités.
A l'étage, se trouvent les chambres, des dortoirs. Sur chaque lit, se trouve une chaîne pour maintenir enchaînée la soubrette. Il y a des douches et des poires de lavement.
Le midi, libéré de Jason, je mange au réfectoire à l'étage, nue, l'anus rempli par un gode anal imposant, un calibre sept, au gland décalotté, comme l'ensemble des soubrettes. Cuisses écartées, je m'empale, en écartant bien mes fesses encore brûlantes.
L'homme de permanence, un bel étalon au mandrin nu et libre, me toise, offre mes fesses se remplir sur le gode. Il prend soin de me caresser les seins, surtout le clitoris tendu.
Mon clitoris atteint la taille d’une cerise et mes mamelons sont devenus sensibles par la mystérieuse crème dans les fards. Je me retiens de jouir.
A la fin du repas, je m'offre penchée en avant, cuisses écartées, pour qu'il m'encule. Ce qu'il fait avec son mandrin de calibre sept. Il me masturbe le clitoris en même temps. Il éjacule dans ma bouche, que je lui offre, accroupie.
Rhabillée, fardée, parfumée, je rejoins les autres soubrettes pour satisfaire les invités.
Ma chatte velue et ma toison pubienne les excitent.
J'enchaîne les fellations et sodomies.
Un des hommes me surprend, suçant et enculée, en levrette sur le tapis d'une des pièces.
- Son accès est encore étroit, dit l'un d'eux.
- Le Jason a été essayé. Il faut le Pilon doré. Ce gode répond à tous les désirs de notre soubrette. Il est long, large, moulé, veiné, décalotté et surtout il l'enculera à l'envie.
L'homme qui m'encule, se retire et l'autre homme, âgé de 45 ans, 1,80 m, barbu, me l'enfonce jusqu'à la base, comme le Jason. Il le cadenasse à la ceinture.
- Quel spectacle, notre belle ruisselle, dès que le Pilon fait son œuvre.
Je dois sucer les trois hommes jusqu'à la dernière goutte.
L'homme exige que je reste nue pour la fin de la journée.
Ainsi, on pourra voir mes ondulations de mon bassin.
A l'heure de la nuit, l'anus libre et bien dilaté et propre, je suis enculée par de nouveaux invités friands de mon anus, tout en faisant le service. Les fessées se succèdent pour décupler mon plaisir anal. Je reste toute nue.
11 mai
A l'aube, je rejoins ma chambre, pantelante.
Je suis douchée, et le majordome, Dan, un bel étalon brun, 25 ans, doté d'un imposant mandrin nu, me prépare pour la nuit.
Je prends la même position que les autres soubrettes au dortoir.
Allongée sur le dos, cuisses écartées, l'homme caresse mes seins aux mamelons devenus sensibles.
Et il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou. La chaîne est fixée au collier et tendue. La chaîne cliquette dans l'anneau, et se tend si bien que je ne peux seulement me déplacer sur la largeur du lit, ou me tenir debout de chaque côté du chevet. L'homme prend un malin à caresser ma chatte ruisselante, mon clitoris et surtout mon anus encore dilaté, le temps que je commence à prendre du plaisir.
Les jambes relevées et écartées, il m'encule juste ce qu'il faut.
Il me fait sucer et éjacule dans ma bouche juste avant de disparaître.
Quelques instants après, je me retrouve menottée à un chevalet, pour être cravachée sur les fesses et les reins ainsi que sur les cuisses et la chatte.
Pendant une semaine, mon éducation continue.
Mon anus s'est bien assoupli par Jason et Pilon doré.
17 mai
Le maître des lieux m'affecte au chenil pour s'occuper des bergers allemands.
Là, les bergers me font jouir avec leur langue et j'ai droit à ma défloration jusqu'au nœud.
Je teste même la saillie anale profitant de mon expérience anale.
Mon anus s'ouvre avec aisance pour recevoir tout autant les mandrins de ces messieurs que les sexes canins.
Chaque soir, menottée au chevalet, un berger allemand m'encule sans le nœud pour commencer. Mon orgasme anal est décuplé, surtout si après, je suis cravachée ou fouettée à la garcette. La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides comme si on les a trempées dans l'eau, ce qui a été fait car en m'en caresse la peau tiède de mes cuisses combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de ses cuisses.
Je devais désormais dresser les nouvelles soubrettes à l'éducation anglaise.
Je garde ma chatte velue et ma toison pubienne, tandis que les nouvelles sont intégralement épilées.
Je porte aussi un bijou d'anus tantôt moulé sur un gland humain ou sur un gland canin pour me garder ouverte.
Diane autorise les ébats lesbiens avec sodomie par un étalon bien monté généralement.
Chaque jour et pour ainsi dire rituellement salie de salive et de sperme, de sueur mêlée à sa propre sueur, ma bouche suçant des mandrins anonymes, les mamelons constamment tendus que des mains constamment froissent, et entre mes cuisses écartelées ma chatte et mon anus sont labourés à plaisir.
De vierge, je suis devenue vicieuse du sexe.
22 mai
Le maître des lieux qui aime m'enculer tous les jours, souhaite me faire présenter à ses amis.
Je revêts une costume de jeune étudiante avec un chemisier blanc non boutonné sur mes seins nus fardés, une jupe courte et ample noire couvrant à peine mes fesses nues, des ballerines noires à mes pieds nus, une queue-de-cheval, maquillée, parfumée. Je porte le bijou d'anus calibre sept.
Nous montons à bord de la Jaguar de monsieur. Je suis assise à ses côtés.
Nous nous rendons à l'école Vice et Sévices, à une heure de route de la luxueuse demeure.
Peu avant d'arriver, le maître me bande les yeux, me caresse les seins, faisant tendre mes mamelons par l'excitation, ma chatte ruisselle sous ses doigts ainsi que mon clitoris tendu. Je me retiens de jouir.
Nous franchissons un portail comme celui de la résidence.
On m'aide à descendre et à monter des marches menant à une grande pièce.
Sans attendre, ma bouche, ma chatte et mon anus sont remplis par des mandrins anonymes que je satisfait.
Après cet examen, les fesses nues, penchée en avant, cuisses écartées, je reçois quelques coups de cravache, pour voir ma réaction. Je mouille davantage.
Puis nue, allongée sur un fauteuil gynécologique, j'ai droit à un examen complet. On mesure la profondeur de ma chatte, ma dilatation, mes seins. Cuisses écartées, ces messieurs se délectent de ma chatte et ma toison pubienne exposés.
Le gynécologue, un bel étalon brun, 1,75 m, avec son calibre huit, me baise pour vérifier si je suis bien déflorée, puis m'encule jusqu'aux testicules, en me levant bien les jambes, tout en masturbant longuement mon clitoris tendu. Un violent orgasme me terrasse. Je le suce pour qu'il se vide dans ma bouche, jusqu'à la dernière goutte.
Je suis apte à intégrer l'école. Le gynécologue choisit un gode réaliste, veiné, au gland décalotté, calibre sept, qu'il enfonce dans mon anus dilaté et humide. Il est cadenassé comme celui de la résidence.
Je remets mon uniforme et j'ai droit à un collier et des bracelets de cuir similaires. Je découvre que les autres filles intégralement épilées, portant des anneaux dorés au clitoris, aux mamelons et aux lèvres de la chatte, sous leur uniforme.
Je découvre que les sévices peuvent avoir n'importe quel moment de la journée. Nous devons lever nos jupes pour exhiber nos fesses nues pour recevoir la cravache, le martinet ou la garcette, selon la gravité des fautes.
Le personnel masculin aime ma chatte velue.
Les fesses brûlantes, je dois m'asseoir sur un tabouret muni d'un gode réaliste veiné pour me défoncer ma chatte brûlante. Mes cuisses sont mouillées par l'excitation d'être punie. Mes mamelons sont tendus à l'extrême, tout comme mon gros clitoris comme une cerise, par une mystérieuse substance dans le parfum.
L'après-midi, nous faisons du sport, nues. Je suis libérée du gode anal pour quelques heures. Le professeur de sport, un bel étalon, 35 ans, 1,85 m, brun barbu, bien monté, ne se gêne pas pour m'enculer dans certaines positions érotiques. L'anus en feu, je ne peux me refuser à lui.
Je le suce jusqu'à la dernière goutte. Je me douche devant lui, me laissant caresser sur les seins, le clitoris, doigter l'anus, tout en me laissant embrasser. Mes sens sont en éveil.
Une fois propre, je retrouve le directeur, un bel athlète de 55 ans, 1,70 m, bien monté, pour recevoir la cravache sur ma chatte et mes fesses, ainsi que mes reins.
Je me retiens de gémir, avant une longue et profonde sodomie, pour un violent orgasme anal.
Pantelante, douchée, je rejoins le réfectoire, en portant le gode anal plus gros, cadenassé, tout comme les autres élèves de première année.
A la tombée de la nuit, je m'offre à un harem d'étalons en rut, jusqu'à l'aube, enculée, suçant, prise en double pénétration, l'anus libre.
Je suis menottée à mon lit, pour la courte nuit.
Les surveillants se relaient pour me satisfaire, me cravacher.
24 mai
A l'aube, allongée sur le fauteuil gynécologique, le gynécologique m'épile juste la chatte et le pourtour anal, l'intérieur des fesses, ne gardant que ma toison pubienne. Il me fait percer les petites lèvres de la chatte et le capuchon de mon clitoris, pour que je reçoive des anneaux dorés à chaque trou. Ainsi, cela prouve que je suis une soubrette soumise.
Je me promène désormais un tee-shirt très court, dénudant entièrement mon corps, laissant apparaître mes anneaux à ma chatte et à mon gros clitoris constamment tendu, des mules à hauts talons complètent ma tenue et une chaîne dorée autour de ma taille.
Je porte encore le gode anal cadenassé pour assouplir mon anus.
Je continue les cours de dressage et de jeux lesbiens. Les amours lesbiens sont autorisés, avec sodomie digitale ou avec des gros godes pour satisfaire au règlement intérieur.
Chaque soir, des dizaines d'étalons viennent me satisfaire dans ma chambre jusqu'à l'aube.
Le maître des lieux est satisfait de mes progrès.
5 juin
Nue, fraîchement fouettée, je reçois la visite du maître.
Les yeux baissés, cuisses écartées, sur le fauteuil gynécologique, je me laisse caresser sur les seins aux mamelons tendus, le clitoris tendu, ma chatte ruisselante de désir, mon anus encore entrouvert par de récentes sodomies nocturnes.
- Vous voyez, désir du vice a pris de l'assurance. Elle se laisse s'offrir sans retenue. Son anus répond aux désirs de ses nombreux amants. Depuis qu'elle porte les anneaux, son excitation est plus forte. Elle jouit selon les désirs à la demande.
- Nous allons garder sa toison pubienne, pour les amoureux, répond le maître de la résidence. Je peux l'enculer.
- Elle attends que cela. Elle a sa ration quotidienne, ainsi que la cravache, la garcette comme convenus.
Le maître de la résidence m'encule latéralement, pour mon plus grand plaisir. Je jouis qu'à sa demande.
Il éjacule longuement dans ma bouche, j'avale tout.
Je peux revenir à la résidence. Je ne porte plus le collier et les bracelets.
Je porte un chemisier blanc sans boutons sur mes seins nus. Le tissu frotte mes mamelons tendus. Une jupe très courte fendue noire devant et derrière laisse voir mes anneaux.
Je porte un gros bijou d'anus calibre sept moulé sur le sexe d'un berger allemand. Des mules blanches à hauts talons et une queue-de-cheval complètent ma tenue, fardée, parfumée.
Nous rentrons à la résidence, mais cette fois d'une limousine, pour que le maître puisse me caresser sur le trajet, je le suce en échange de longues sodomies, offerte, les jambes écartées et relevées. Même le chauffeur bien monté m'encule aussi, sur une petite route déserte.
A la résidence, j'exhibe mes anneaux à Diane. Je porte aussi une bague à mon annulaire gauche.
Je redeviens soubrette nue, pour que les invités puissent mieux m'admirer et me prendre.
Mon éducation anale a rapidement progressé. Les doubles pénétrations me sont désormais familières.
Je tente même avec deux bergers allemands.
J'allonge le premier sur le dos, le masturbe bien et je m'enfonce son sexe dans ma chatte ruisselante d'excitation. Je guide le second sexe vers mon anus lubrifié. Je me mets à jouir rapidement, offerte à deux amants canins. Cela était encore mieux qu'à deux hommes. Ils éjaculent à quelque minutes d'intervalles, que je sens mes orifices abondamment trempés de sperme tiède, qui sortait de ma chatte et mon anus, dégoulinant le long de ses jambes, l'orgasme me fait évanouir. J'étais fière de mon expérience.
Le soir, le maître renouvelle l'expérience, en me baisant tandis qu'un berger allemand m'encule. Tous les deux éjaculent à différents moments, j'étais comblée. Le maître se retire, pour que je le suce, pendant le berger allemand continue à m'enculer, jusqu'à l'éjaculation.
J'ai droit à une longue douche masturbatoire, le clitoris offert à la langue du berger allemand, tandis que le maître pince et étire mes mamelons constamment tendus par l'excitation, jusqu'à l'orgasme. Le maître m'encule cette fois et le berger allemand me baise, couchée sous moi. Un violent orgasme me fait évanouir.
15 juin
Pour me récompenser, j'ai droit à un massage dans un salon de massage libertin.
Fraîchement cravachée la veille, sur les reins, les cuisses et les fesses, la jeune masseuse, de 20 ans, aux petits seins, intégralement épilée, me fait déshabiller. Je ne porte qu'une courte robe dos nu fuchsia, sur mon corps nu. Le massage de mon corps me conduit au plaisir. Elle masse mes seins, étire mes mamelons tendus, entre mes cuisses écartées, elle masturbe mon clitoris percé, caresse mes lèvres humides et fait aller et venir ses doigts dans ma chatte et mon anus entrouvert, en alternance. Puis je m'allonge sur le ventre, pour lui offrir mes fesses. Elle reprend le massage, s'attardant mes épaules, mes reins, mes fesses, qu'elle entrouvre pour me doigter profondément l'anus et la chatte. Je suis au bord de l'orgasme.
Elle me lèche longuement la chatte et le clitoris, pour me faire jouir.
Avec deux doigts dans mon anus et trois dans ma chatte, allongée sur le dos, cuisses écartées, je jouis.
Je ferme les yeux et un mandrin bien monté, un calibre sept m'encule profondément, en me relevant les jambes. J'ai un violent orgasme. Il se retire, éjacule sur ma toison. L'homme disparaît.
Je me douche et me rhabille.
17 juin
Nous allons à la plage naturiste à trois heures de vol en hélicoptère.
Je revêts un paréo et un tee-shirt blanc sur mes seins nus et des mules blanches à hauts talons, coiffée d'une queue-de-cheval, fardée, parfumée.
Arrivée à la plage naturiste, je m'exhibe nue. Les étalons me toisent, excités par ma chatte épilée, mes petits seins, surtout mes fesses musclées.
Je m'allonge sur le transat, les cuisses écartées, me doigtant la chatte et l'anus. Je me couvre de crème solaire.
L'odeur excite les étalons présents.
Le maître invite ces messieurs à me satisfaire, en m'enculant et en les suçant jusqu'à la dernière goutte.
Je suis portée en trophée pour un long bain de mer, pour me nettoyer.
Je me douche ensuite. Un des étalons en rut, me penche en avant, m'encule sans attendre et me mène à l'orgasme. Je le suce aussi.
Rassasiée, j'ai droit à des doubles pénétrations intenses, dans le salon, filmée sous tous les angles. Les candidats se succèdent, pour me combler.
Ils sont jusqu'à quatre au moins, pour me caresser, me baiser, m'enculer et se faire sucer.
Après une ultime douche, je rentre chez moi. Nous logeons dans une chambre au rez-de-chaussée de l'hôtel naturiste attenant.
Le soir, les ébats reprennent peu après le souper, où j'alterne, empalée, enculée sur mes étalons que j'ai choisi.
Je passe la matinée jusqu'au déjeuner, à satisfaire les clients par mes plaisirs.
Certains n'hésitent pas à me cravacher les fesses, à la demande de mon maître.
Nous rentrons dans la journée.
Le soir, comme promis, je suis enculée par un berger allemand, tandis que ma chatte est honorée par un client bien monté, me menant au plaisir et à un long orgasme violent.
Mon corps est couvert de sueurs, de spermes frais, je suis rassasiée.
Je masturbe sous la douche devant mon amant, le clitoris léché par mon amant canin.
Jusqu'à la fin juin, nous alternons entre le club naturiste, la résidence et des salons libertins dans d'autres demeures.
Le jour je me prélasse nue, le soir j'enchaîne les relations sexuelles d'un soir.
Un certain James, un bel Apollon barbu brun, bien monté, 35 ans, me charme.
Mais ce James n'aime que Diane.
James m'encule sans me donner le plaisir désiré. Il me cravache sans la même vigueur que monsieur.
25 juin
James m'invite à passer la soirée dans une soirée libertine organisée dans un luxueux penthouse au dernier étage, d'un immeuble loin de l'hôtel.
Je choisis une robe dos nu transparente, sans aucun dessous, juste mes mules blanches à talons de dix centimètres, un chignon et mon collier de cuir, que me fait porter de temps à autre, mon maître. Je porte aussi un disque suspendu à la petite lèvre gauche, prouvant mon appartenance à mon maître.
Je me promène nue, avec un gode anal de calibre six, cadenassé, au penthouse. Ainsi, je suis prête à me faire enculer par ces messieurs qui possèdent la bonne clé et connaissent la signification de la bague à mon annulaire gauche.
Mais je peux jouir baisée avec mon gode anal, sucer, avaler à ma guise.
Une fois l'anus libre, les heureux élus m'enculent avec aisance.
Mais James n'ayant pas la clé magique, se doit de m'observer, enculer par les invités.
Je me douche et me fais un lavement pour de nouvelles sodomies.
Monsieur me ramène à l'hôtel. Je lui révèle que James est amoureux de Diane.
En échange, monsieur m'encule le reste de la soirée jusqu'à l'aube, pour me récompenser.
James est interdit de me rencontrer.
Monsieur m'a promis de me faire ferrer, en plus des anneaux dorés à la chatte et au clitoris.
1er juillet
Diane a rompu avec James.
Je passe la journée à faire l'amour avec Diane, nues dans son grand lit, nous godant l'anus et la chatte avec un gode ceinture à double gode bien montés.
Pantelantes, nous prenons une longue douche masturbatoire.
2 juillet
A l'aube, monsieur me fait marquer au fer rouge les fesses, que j'offre, allongée sur un chevalet.
Je porte désormais les lettres D et V entrelacées sur ma fesse gauche et la cravache et le fouet sur ma fesse droite.
Les traces imprimées par le fer, hautes de deux doigts et larges de moitié, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à deux ou trois millimètres de profondeur. Je ne les aperçoit que difficilement en se tortillant devant la glace à trois pans, mais en les effleurant je les perçoit sous le doigt.
Des dizaines d'étalons m'enculent dans la foulée, encore menottée au chevalet et je les avale tous.
Je deviens ainsi la nouvelle soubrette vicieuse, prête à tout pour m'offrir.
J'ai droit à une luxueuse villa où je dresse les jeunes soubrettes vierges que j'offre à mon maître.
Mon anus distendu, élargi, a nécessité une rééducation de ses muscles pour lui rendre sa tonicité, à l'aide d'un appareil d'électrothérapie : il est maintenant redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire sodomiser.
J'aime sentir vos mandrins dans mon anus que j'ouvre pour vous.
A bientôt, votre vicieuse adorée, j'en mouille d'avance.

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