MISSION POLAR EBAUCHE

 

MISSION POLAR

 

15 mai

Au large d'une zone englobant le Groenland, l'Islande et la Norvège, un groupe franco-américain est en exercice, comprenant le porte-avions Charles de Gaulle avec trois frégates Forbin, Lorraine et La Fayette, le sous-marin Suffren, le pétrolier Jacques Chevalier et le navire amphibie Mistral et le porte-avions USS Ford avec le croiseur USS Gettysburg, les destroyers Cole et Gravely, le LCS Arctic, les sous-marins nucléaire d'attaque Washington, sous-marin nucléaire lanceur d'engins Wyoming et sous-marin nucléaire lanceur de missiles de croisière Georgia, plus les navires amphibies Bataan, Oak Hill et Fort Lauderdale et le pétrolier Arctic. L'opération Américaine est baptisée "Polar Ice".

Le porte-avions Charles de Gaulle embarque vingt-quatre Rafale Marine des 11F et 12F, deux E-2C, deux Dauphin Pedro, deux NH-90, les trois frégates embarquent chacune un NH-90, le Mistral embarque 20 hélicoptères NH-90, Tigre et Super Puma de l'armée de l'air et de l'armée de terre.

L'USS Ford embarque quatre escadrons de F-18 (VFA-31, 37, 87 et 213), six EA-18G de la VAQ-142, quatre E-2D de la VAW-124, des MH-60R et S des HSC-9 et HSM-70 et un CMV-22 du VRC-40. Les destroyers embarquent deux MH-60, le croiseur en embarque un.

Le Fort Lauderdale embarque un MV-22 et deux CH-53.

Le Bataan embarque douze MV-22B de VMM-162, quatre CH-53, trois UH-1, quatre AH-1, six F-35B.

Au large du Groenland, trois frégates Danoises surveillent la zone des 200 nautiques.

Un avion Challenger assure la surveillance maritime des eaux du Groenland.


Dans la mer de Beaufort, une frégate Chinoise type 054 et un pétrolier ravitailleur venu par la Mer de Bering, intrigue la patrouille aérienne maritime et les garde-côtes Canadiens, car ils naviguent au-delà de la zone des 200 nautiques.

Deux P-8 Américains décollent de Floride pour un aéroport du Yukon, avec le soutien d'un C-17, qu'ils atteignent après 7 heures de vol.


Les patrouilles de deux F-18 du Ford et de deux Rafale du Chales de Gaulle reçoivent la confirmation par un des E-2D, la présence d'un Tu-142MR au nord-ouest de la zone de protection du Charles de Gaulle. Le TU-142MZ 17 Rouge appartient à la Flotte du Nord.

Le sonar du sous-marin nucléaire d'attaque Washington signale la présence du sous-marin K-51 dans les environs.

Des moyens aériens de lutte anti-sous-marine, les MH-60 et le NH-90 partent en chasse. Un P-8 Britannique en transfert entre l'Islande et la Norvège fait un détour, un P-8 Norvégien rejoint la zone pour la chasse.


Un A330MRTT Français et un A330MRTT Hollandais atterrissent en Islande, à Keflavik pour transporter la logistique et du personnel pour le soutien du groupe franco-américain. Un A330MRTT Britannique ravitaille un E-3 de l'OTAN dans la zone.

Un A400M Français, un Britannique et un C-130 Danois mettent le cap vers le Groenland, pour une mission de soutien.


Le NORAD suit les mouvements aériens autour du Canada et de l'Arctique.

La situation est jugée DEFCON 4.

Les mesures de sécurité sont élévées sur les bases aériennes, avec des exercices d'entraînement aérien.

Au Pentagone, une réunion se tient avec le chef d'état-major de la marine, de l'armée de l'air et le commandant des gardes-côtes en charge des missions polaires.

La présidente des Etats-Unis républicaine Amanda Preston rassemble le Conseil de sécurité nationale (NSC) qu’elle préside, avec le secrétaire d’Etat Bill, le secrétaire à la Défense Charles et le conseiller à la sécurité nationale Franck, en vue de la situation de ce matin, sur les événements dans les eaux polaires arctiques.

Le président du comité des chefs d’état-major, le directeur des services de renseignement, le directeur du renseignement national, le coordinateur de la lutte antiterroriste et le secrétaire à la sécurité intérieure rejoignent le NSC.


En Norvège, le renseignement naval active ses meilleurs officiers du renseignement sur la présence du sous-marin Russe dans cette zone.

En milieu d'après-midi, le Tu-142MZ a quitté la zone, après 6 heures de présernce mais le sous-marin K-51 a changé de position, malgré le suivi des sonars actifs.

Une tempête de neige en Islande immobilise les moyens aériens, qui doivent rentrer en Europe.

Un E-6 de Tinker assure la communication constante avec le Wyoming et le Georgia et stationne à Patuxent River dans le Maryland, pour des raisons logistiques.


En début de soirée , le TU-160 23 rouge est aperçu en direction des eaux Canadiennes. Deux F-35 décollent d'Alaska pour le surveiller.


Sur l'île de Baffin, des patrouilleurs Canadiens sont en alerte, pour surveiller la force Chinoise. Le HMCS Harry DeWolf est en patrouille dans la mer de Beaufort.

Le HMCS Max Bernays est en renfort dans sa base d'affectation.

La base CFS Albert suit les opérations navales Chinoises.


16 mai

Une tempête immobilise les moyens aériens en Islande.

Les moyens aériens déployés au Groenland rentrent par Terre-Neuve vers leurs destinations d'origine.

Un groupe composé d'un A330MRTT, de deux A400M et de six Rafale de la base de Saint-Dizier rejoint la Norvège pour un exercice en commun.


A Minot, dans le Dakota du Nord, quatre B-52H de la 5e escadre sont en alerte (deux du 23e escadron queue rouge et deux du 96e escadron queue jaune), ainis que quatre B-1 de la 28e escadre avec le 34e escadron sur la base d'Ellsworth, dans le Dakota du Sud. Six KC-46A sont prépositionnés dans les Etats environnants, pour dissuasion.

Les bases de bombardiers sont placées en DEFCON 3, ainsi que les navires en mer, comme l'USS Ford et son escorte. Les appareils militaires sont préparés à une réponse rapide et volent plus fréquemment dans l'espace aérien. Des espaces aériens sont restreints.


Le sous-marin K-51 continue sa patrouille ayant quitté la zone des deux porte-avions, se dirige vers la Mer de Norvège. Les P-8 Norvégiens sont en alerte, pour le suivre. Un Falcon 50 Français complète le dispositif.

Un E-3A de l'OTAN détaché en Norvège surveille le dispositif, au sein de l'opération OTAN "Ice Knight".

Le sous-marin HMS Vigilant se trouve au large des îles Féroé.


Vers 18 heures, heure de Washington, les quatre B-52H décollent de Minot pour le Royaume-Uni en survolant le Pôle Nord. Des KC-46A assurent le ravitaillement en vol.

Un E-4B venant d'Offutt met le cap sur l'Islande avec des officiels du Ministère de la Défense, pour une visioconférence avec les forces navales de l'OTAN en Europe, suite à l'affaire du sous-marin Russe.


Les navires Chinois continuent leurs routes, escortés par le patrouilleur Canadien Harry DeWolf et le brise-glace des gardes-côtes CCGS Amudsen. Les P-8 Américains continuent aussi leurs patrouilles.


17 mai

A l'aube, un Falcon 7X atterrit sur la banquise, surveillé par les E-2 Américains et Français.

Deux F-18 et deux Rafale vont le rejoindre.

Lors du survol, un missile est tiré par un lance-missile embarqué à bord du Falcon 7X. Un des F-18F de la VFA-213 est abattu. Le pilote réussit à s'éjecter.

Des forces spéciales Américaines sont transférées à bord d'un MV-22 vers la zone du crash.

Entretemps, le Falcon 7X décolle, un Il-76 atterrit et récupère le pilote avec un commando arctique. Des éléments essentiels du F-18 sont aussi récupérés.

L'IL-76 rejoint le Falcon 7X en volant sous la courbe des radars des navires, mais l'E-3 de l'OTAN suit leurs vols vers la Russie.


Au large de la base sous-marine Norvégienne, non loin de Bergen, les patrouilleurs Norvégiens arraisonnent un cargo Russe transportant des missiles et du pétrole, pour le sous-marin Russe. Le cargo est sous pavillon de Tuvalu.


Lorsque les secours arrivent près de l'épave du F-18, ils trouvent les restes du missile, mais aucune trace du pilote.

L'épave est transférée par un MV-22 sur l'USS Ford.

L'USS Ford et son groupe mettent le cap vers l'Ecosse.

Le Charles de Gaulle fait escale en Islande.


Vers 17 heures, heure du Colorado, l'E-4B atterrit à Colorado Springs, pour une visite à Cheyenne Mountains, qui abrite le QG du NORAD. Il rentre le lendemain matin à Offutt.


Au Pentagone, les officiels de la marine apprennent qu'une des torpilles Mk 48 du sous-marin nucléaire d'attaque Washington a éviter de peu l'HMS Vigilant dans les eaux Norvégiennes, alors que le sous-marin K-51 est passé au-dessus de l'USS Washington.


Le commandant de l'USS Washington doit faire surface en plein jour. Un MH-60 provenant du LCS Cleveland le récupère.

Un C-40A atterrit en Norvège avec le nouveau commandant de l'USS Washington. Le transfert se fait et l'ancien commandant est convoqué chez l'amiral commandant la flotte sous-marine de l'Atlantique, à Norfolk.


Les attachés navals Norvégiens, Britanniques et Américains sont convoqués auprès de l'amirauté Russe suite à l'incident sous-marin et à l'interpellation du cargo.

Un IL-96-300 décolle de Moscou pour le QG de la Flotte du Nord, dans la région de Mourmansk.

L'attaché naval Russe à Washington est convoqué auprès du Département d'Etat pour des explications du comportement de ses moyens Russes en mer du Groenland.

Le Falcon 7X et l'IL-76 atterrissent sur une des nombreuses aériennes de la région de Mourmansk.

Un RC-135W Britannique, escorté par des F-35 Norvégiens et Britanniques se relaie avec les autres RC-135 Américains en survolant les eaux Norvégiennes et Islandaises.


18 mai

Les sous-marins USS Wyoming et Georgia font escale dans une base sous-marine Britannique pour la relève des équipages venus à bord des C-40A.

L'USS Ford fait une courte escale en Ecosse, avant de stationner au large de la Norvège, en vue de la visite de la Présidente des Etats-Unis.


A Gander, un CP-140 en compagnie d'un Falcon 50 et d'un Falcon 2000XLS Avismar en visite survolent un pétrolier converti en plate-forme semi-submersible, flexible et modulaire. Il offre la capacité d'effectuer des mouvements logistiques à grande échelle tels que le transfert de véhicules et équipements d'un océan à l'autre. Ces navires réduisent considérablement la dépendance vis-à-vis des ports étrangers et apportent un soutien en l'absence de disponibilité portuaire. Ce navire immatriculé au Panama est en mission polaire pour la Chine. Il embarque dans une soute modifiée un sous-marin classe 094, escorté par un pétrolier civil, navigue entre Terre-Neuve et l'Islande, pour rejoindre la banquise.


Le sous-marin Suffren reste en alerte au large de l'Islande.


Sur une base aérienne près d'Oslo, deux MV-22 atterrisent et trois C-17 débarquent deux VH-60N du HMX-1. Un C-32A venu de Washington et un E-4B venu d'Offutt rejoignent le groupe.


Le porte-avions USS Eisenhomwer avec le croiseur USS Philippine Sea, les destroyers Bainbridge et Porter, le LCS Arctic, les sous-marins nucléaire d'attaque New Jersey, sous-marin lanceur d'engins Maryland, plus les navires amphibies Iwo Jima embarque des MV-22 de la VMM-263, des AV-8 de la VMA-223 et des MH-60S de la HSC-26, Tortuga et New York et le pétrolier Supply, quittent Norfolk pour rejoindre la Méditerranée, en soutien aux forces navales. Le groupe fait un détour par l'Islande, pour relever l'USS Ford.

L'USS Eisenhower embarque les F-18 des VFA-32, 83, 105 et 131, des EA-18G de la VAQ-130, des E-2D de la VAW-123, des MH-60R et S des HSC-7 et HSM-74 et un CMV-22 de la VRC-40 Det. 1.

L'USS Eisenhower navigue sous DEFCON 3.

La sécurisation accrue des V.I.P. et des bâtiments gouvernementaux est déclenchée.

Air Force One (n’importe quel véhicule aérien, hélicoptère, avion) est prêt à décoller dans les 10 minutes et le Gouverneur prêt à y être transféré dans les 15 minutes avec les V.I.P de classe 2 (Vice-Gouverneur, Corps de direction du gouvernement, Ministres) si possible et les V.I.P de classe 3 (reste du Gouvernement) si possible.

La surveillance est accrue. La totalité des agents du HOMELAND et F.B.I sont mobilisés à la surveillance et la prise d’information en fonction des diverses menaces.

La protection en état d’alerte maximale et équipé avec des équipements lourds.

Les forces navales Américaines en Atlantique se positionnent pour se rapprocher des navires et sous-marins Russes à proximité du cercle Polaire.

En France, à l'Elysée, la présidente Olympe, son Premier Ministre Valérie, son ministre des Affaires Etrangères Aimée et son ministre de la Défense Hermine sont en réunion quotidienne du conseil de défense sur l'évolution de la situation en Atlantique et en Islande.


19 mai

Avant le lever du soleil, le pétrolier immatriculé au Panama ouvre sa soute et libère le sous-main nucléaire lanceur d'engin classe Jin 094, qui met le cap vers le Pôle Nord, en immersion, en évitant les sous-marins et les patrouilleurs aériens.

A Oslo, un officier du renseignement naval Norvégien, rejoint le Groenland pour suivre de près l'évolution de la menace Chinoise.

Quatre B-1 ravitaillés par des KC-46A atterrissent en Norvège pour renforcer la présence en Scandinavie. Un E-4B et quatre C-17 les accompagnent.


22 mai

A l'aube, le sous-marin nucléaire lanceur d'engin classe Jin 094 arrive à proximité de la banquise du Pôle Nord.

La frégate Chinoise et le pétrolier sont déjà là. La base mobile Chinoise a largué des embarcations pour déposer des commandos sur la banquise.

Les navires Chinois ont longé les Iles Queen Elizabeth pour rejoindre le Pôle Nord.

Les Tu-160 et Tu-142 intensifient les survols du Pôle Nord pour sécuriser la venue des navires Chinois.


Des Su-35 Russes font des manoeuvres d'intimidation pour tout survol de la mer de Norvège et du Groenland, vis-à-vis des avions occidentaux. Les RC-135, les E-3 et les ravitailleurs doivent désormais volés escorter par des chasseurs des pays voisins.

Le VC-25 atterrit en début de matinée à Oslo, sous bonne escorte.

Au même moment, un IL-96VPU VIP et de commandement décolle de Moscou et rejoint Mourmansk.


Le Pentagone confirme que le missile qui a abattu le F-18 au Pôle Nord est de fabrication Nord Coréenne.

Le pilote est transféré de Mourmansk vers une prison de Moscou, sous haute sécurité.

Son identité est inconnue encore.


Sur la base aérienne de Winnipeg, des C-130J et des C-17 embarquent des commandos arctiques Canadiens et Américains pour être largués pour occuper la banquise.


Deux sous-marins classe Iassen s'activent dans les environs des navires Chinois.

Les autres sous-marins Norvégiens, Américains, Britanniques et Français reçoivent l'ordre de la force navale de l'OTAN de tout faire pour neutraliser le sous-marin Chinois, avec le soutien des P-8 Britanniques, Norvégiens, Américains et les Falcon 50 et le Falcon 2000 AVISMAR.

Le porte-avions Charles de Gaulle rejoint Gander pour une escale.

L'USS Ford rejoint l'Espagne en passant par la Mer du Nord, l'Atlantique, sous bonne escorte.


Un C-40B venant de Norfolk rejoint l'Islande avec un état-major de l'armée de l'air et de la marine Américaine pour superviser la situation Chinoise en Arctique.

Trois F-117 basés à Tonopah, dans le Nevada, décollent à la nuit tombée, retrouvent des KC-46A pour une mission en Angleterre.

Les B-52 et les B-1 continuent des missions de survol de la mer de Norvège et de la mer du Groenland.


23 mai

Le porte-avions Eisenhower connait la perte d'un F-18 lors d'une mission d'entraînement en mer du Groenland. Le F-18 biplace rate son appontage, le brin d'arrêt se casse. L'équipage s'éjecte et il est récupéré par l'hélicoptère de sauvetage.


Vers 10 heures, le VC-25 décolle en urgence d'Oslo pour Washington, suite à une réunion d'urgence du conseil de sécurité nationale.

En effet, le conseiller à la sécurité nationale a été informé que le Danemark a des preuves d'ingérence Américaine dans ses services, de même que la Norvège et la Suède.


Le sous-marin classe 094 tente une traversée sous la banquise jusqu'aux ïles Queen Elisabeth, mais il connait une avarie et doit faire surface dans une zone hors des icebergs. Il demande assistance.

Au même moment, l'USS New Jersey fait une sortie sous la banquise, avec une assistance des forces spéciales Américaines.


Dans le Missouri, à Whiteman, quatre B-2 de la 509e escadre sont préparés. En Louisiane, à Barksdale, quatre B-52H de la 307e escadre (deux du 93e escadron et deux du 343e escadron) sont aussi préparés.

Deux J-20 Chinois escortés par trois ravitailleurs YY-20 quittent la Chine et rejoignent le détroit de Béring pour atterrir en Sibérie.

Vers 22 heures, heure de Moscou, un 747-8 Chinois VIP atterrit à Moscou, avec une délégation militaire Chinoise, immatriculé B-2479. La délégation militaire Chinoise vient signer des contrats de livraison d'armes pour la zone arctique. La présidente Russe Daniela, son ministre des Affaires Etrangères Igor et son ministre de la défense Ivan les accueille.

Vers 15 heures, à l'aéroport de Washington Dulles, un 747-4 Chinois B-2472 atterrit, avec une délégation du ministère des Affaires Etrangères. Cette délégation vient assurer le relais pour la réparation du sous-marin classe 094 dans les eaux Canadiennes.

Vers 23 heures, heure de Los Angeles, les B-2 et les B-52 atterrissent en Alaska, avec le soutien d'un RC-135, d'un E-3G, de deux KC-46A et de trois C-17. Un E-4B est envoyé sur zone, après une escale technique à Offutt, en provenance de Norvège.


24 mai

Les B-52 et les B-1 assurent des survols sous bonne escorte de la Scandinavie et des pays Baltes. Les F-117 les accompagnent, surtout pour les vols nocturnes.

Les B-2 et les B-52 en Alaska rencontrent des Tu-160 dans le secteur du détroit de Béring.


Le sous-marin classe 094 est remorqué vers une base Canadienne sous bonne escorte. La base mobile Chinoise reste à proximité.


Vers 10 heure, heure de Moscou, les deux 747 Chinois rentrent à Pékin et un train Nord Coréen entre en gare, avec une délégation militaire et une cargaison d'armes pour renforcer l'armée Russe.


Les Tu-160 et les Tu-142 multiplient les survols arctiques.

Lors d'un vol en mer du Groenland, un AV-8 de l'USS Iwo Jima connait une panne réacteur à cinquante miles de l'USS Iwo Jima. Un MV-22 et un MH-60S vont le secourir.

Vers 23 heures, heure de Washington, les B-1 basés en Norvège rentrent à Ellsworth. Mais un des B-1 connait une panne hydraulique, plus une extinction de deux de ses réacteurs et doit se poser en urgence à Goose Bay, à Terre-Neuve, un KC-46 et un C-17 le rejoignent pour l'assistance.

Un des quatre B-52, affecté au 23e escadron, en atterrissant à Minot, connait une crevaison de deux pneus du bogie arrière droit, bloquant une des pistes. Les autres B-52 atterrissent à Ellsworth, après un ravitaillement par les KC-46A.

La piste est dégagée après une lourde manutention.

Les F-117 atterrissent à Tonopah à la nuit tombée.


L'USS Ford en transit dans la Mer du Nord, connait un décès d'un de ses pilotes de F-18, qui apponte. Le F-18 est récupéré par une barrière d'arrêt.

Un C-40 parti d'Andrews atterrit à Moscou avec une délégation militaire pour tenter de récupérer le pilote capturé en Arctique et il est accueilli par le ministre des Affaires Etrangères Igor.

Un C-20 de la Marine Américaine venant d'Andrews rejoint Amsterdam pour rapatrier le corps aux Etats-Unis.


Le groupe composé d'un A330MRTT, de deux A400M et de six Rafale de la base de Saint-Dizier quitte la Norvège pour un exercice en commun.

Un autre groupe de quatre Rafale venus de Mont-de-Marsan et de Saint-Dizier, avec un A330MRTT et deux A400M, un Falcon 50 rejoignent l'Islande, puis Goose Bay et enfin, Anchorage pour un exercice en commun avec les forces aériennes en Alaska.


26 mai

Lors d'un entraînement, un des Rafale du Charles de Gaulle, en route vers Brest, connait la panne d'un de ses réacteurs. Il réussit à apponter.

Un A400M convoie le réacteur depuis la base de Landivisiau vers une base Britannique. De là, un CMV-22 de l'USS Ford le convoie sur le Charles de Gaulle.

Deux C-32A venant d'Andrews stationnent à Stockholm, avec une délégation d'officels militaires du Pentagone, pour préparer un exercice avec le groupe amphibie Iwo Jima, en mer Baltique.

Un C-20 venant d'Andrews stationne à Helsinki, pour superviser les vols effectués par un G550 de guerre électronique Italien en Scandinavie. Le G550 est escorté par quatre Eurofighter stationnés dans les Pays Baltes.


Un pétrolier civil Iranien est aperçu dans le détroit du Danemark au large du Groenland.

L'USS Eisenhower envoie une patrouille de deux E-2D le surveiller. Le Danemark ordonne à son Challenger détaché au Groenland de compléter la surveillance du pétrolier.

Le sous-marin Chinois est admis à entrer dans un port Canadien, la frégate, le pétrolier ravitailleur Chinois et la base mobile Chinoise restent en dehors des eaux territoriales Canadiennes, mais surveillés par les garde-côtes Canadiens et les P-8 Américains et les CP-140 Canadiens.


Vers 22 heures, heure de Washington, le pétrolier civil Iranien envoie un essaim d'une dizaine de mini-drones furtifs en haute altitude, pertuber l'appontage nocturne des F-18 et des EA-18.

Un des EA-18 connait une explosion entre les nacelles électroniques sous son aile droite et des dommages sur son réacteur droit. Il doit apponter en urgence. Les autres mini-drones causent des dommages sur les destroyers Bainbridge et Porter, mais la plus grande partie est neutralisée par les brouillages radar.

Une cellule de crise se réunit au Pentagone et à la Maison-Blanche, pour prendre des mesures de protection du groupe aéronaval Eisenhower, ainsi que des autres porte-avions en mission dans le monde entier, voir dans le golfe Persique.

Vers 22 heures heure de Moscou, soit 15 heures, heure de Washington, un 747 Iranien atterrit en pleine nuit, sur une base aérienne Russe, avec des conseillers militaires et une délégation du ministère des Affaires Etrangères. La présidente Russe Daniela, son ministre des Affaires Etrangères Igor et son ministre de la défense Ivan les accueille.


Un U-2S se relaie avec d'autres U-2S pour survoler l'Arctique avec une halte en Angleterre avant le retour à sa base Califronienne de Beale.


Le C-40 rentre de Moscou sans le pilote.


Un E-4B parti d'Offutt met le cap vers l'Angleterre, avec une délégation des forces navales Américaines pour superviser un dispositif de protection contre les drones.


27 mai

Des F-15 basés en Caroline du Nord rejoignent les bases Canadiennes de Bagotville, au Québec et Cold Lake, en Alberta, avec le soutien de KC-46A et de C-17A.

Deux E-3 sont affectés à la région : un E-3A de l'OTAN et un E-3G Américain, pour surveiller les mouvements aériens en Arctique.

Une éventuelle alerte DEFCON 2 est envisagée pour les moyens nucléaires.

L'USS Eisenhower connait une nouvelle attaque de drones nocturnes, qui endommage un E-2D sur un des trois ascenseurs babord. D'autres drones endommagent l'hélicoptère du croiseur Gettysburg, car cette fois ils volent sous le niveau des radars de protection.

L'USS Eisenhower doit rentrer à Norfolk pour remplacer son E-2D et le MH-60 de l'USS Gettysburg.

Le pétrolier se trouve à une longue distance des drones et met le cap vers la Russie pour une transformation.


Les commandos arctiques rentrent au Canada à bord de C-130J Canadiens et de C-130J Américains.


Vers 10 heures, heure de Mosocu, le 747 Iranien rentre à Téhéran avec une escale à Pékin, pour sceller des accords militaires.


Les appareils Américains rentrent de Scandinavie vers leurs bases respectives.


Les navires amphibies Bataan, Oak Hill et Fort Lauderdale stationnent au large du Royaume-Uni, prêts à intervenir si besoin à la demande du Pentagone.

Le Fort Lauderdale embarque un MV-22 et deux CH-53.

Le Bataan embarque douze MV-22B de VMM-162, quatre CH-53, trois UH-1, quatre AH-1, six F-35B.


30 mai

L'USS Ford rentre au port de la Rota, où se trouve le navire de commandement USS Mount Whitney venu d'Italie pour renforcer la sécurité en zone Atlantique.

Le Charles de Gaulle se trouve à Brest, pour faire une relève des équipages de Rafale, pour une nouvelle mission en Arctique.


Dans les pays Baltes, protégés par un dispositif OTAN, les Su-30 Russes multiplient les incursions, s'en prennent à un Breguet Atlantique 2 protégé par des F-35 Hollandais; Les Su-30 continuent leurs vols vers la Suède, pour tester les Gripen et enfin les F-35 Norvégiens, sous la surveillance des RC-135 Britanniques et Américains.

Au lever du jour, sur la banquise, des AN-124 sans aucune immatriculation civile, déposent un dispositif S-400 avec un lanceur, un radar et des missiles en réserve. Ce dispositif menace directement le Groenland, le Canada, l'Alaska, l'Islande et la Scandinavie.


Le NORAD passe en DEFCON 3 renforcé, ainsi que toutes les unités de bombardiers, de chasseurs et de ravitailleurs Américains et Canadiens.

Le Pentagone tente une négociation avec le commandemetn en charge du S-400.


Vers 8 heures, heure de Madrid, deux B-52H venus de Barksdale atterrissent à Moron, deux autres de Minot rejoignent le Royaume-Uni et deux B-1 d'Ellsworth rejoignent la Norvège pour faire pression. Des KC-46 et des C-17 apportent le soutien logistique et de ravitaillement.

Le Pentagone met en DEFCON 2 certaines unités sont prêtes à être déployées dans les six heures. Les activités militaires aériennes sont augmentées, des espaces aériens sont restreints. Les avions militaires sont placés en attente pour une réponse immédiate.

Vers 8 heures, heure de Moscou, un IL-80 Maxdome décolle d'une base aérienne vers une destination inconnue.

La base d'Offutt disperse ses quatre E-4B vers des bases secrètes et les E-6 se dispersent aussi.

Les deux VC-25 sont préparés avec de la logistique transportée depuis la Maison Blanche par des VH-60, des MV-22 et des VH-92. Les C-20 de l'armée de l'air reçoivent des affectations pour quitter Andrews, avec les C-32. Les C-17 sont en alerte pour déployer des postes de commandement dans des endroits sécurisés.


Les bases sous-marines de la côte Est de Kings Bay, de Groton et de Norfolk mettent en alerte les sous-marins disponibles : sous-marin nucléaire d'attaque Oregon à Norfolk, les sous-marin nucléaire d'attaque Iowa et Delaware à Groton, sous-marin nucléaire lanceur d'engins Rhode Island à Kings Bay, ont déjà quitté leurs postes pour rejoindre leurs positions secrètes.

Le porte-avions USS Bush et son escorte, avec le croiseur USS Normandy, les destroyers USS Mason et Farragut de Mayport, sont déjà au large de Norfolk, avec les F-18 des VFA-143, 103, 86 et 36 les EA-18G du VAQ-140, les E-2D de la VAW-121, les MH-60S du HSC-5, les MH-60R du HSM-79 et les CMV-22 du VRC-40.

Les navires amphibies Wasp qui embarquent douze MV-22, quatre CH-53, trois UH-1, quatre AH-1, six F-35B et des MH-60S, San Antonio avec deux MV-22 et Carter Hill sont déjà au large des Etats-Unis en route vers l'Europe, si besoin.


1er juin

Vers 3 heures, heure de Washington, un missile tiré par le lanceur S-400 atterrit non loin de l'Ile Queen Elizabeth, dans les eaux Canadiennes.

Les sous-marins près de la zone de lancement et de réception sont mis en alerte, prêts à tirer sur ordre de leurs chefs d'état-major.

Le NORAD, le Pentagone, les chefs d'état-major Britannique et Français sont tous en visioconférence. Les deux derniers ont rejoints un lieu secret.

La présidente Amanda Preston quitte la Maison Blanche pour rejoindre Air Force One, qui décolle vers une base déjà prête. Le vice-président est déjà sur une autre base, avec Air Force Two. Le gouverneur, le vice-gouveneur sont chacun dans un C-40, le reste du gouvernement est réparti à bord des C-32A et des C-37A et B vers d'autres bases. Le Secret Service assure leur sécurité. Les membres du Congrès sont conviés à rester au Capitole pour leur sécurité, dans des bunkers sécurisés sous le Capitole.

La France fait revenir son dispositif en Alaska, pour renforcer ses capacités avec les Rafale et les A330MRTT. Le Royaume-Uni met en alerte ses forces stratégiques.

L'exercice prévu dans les pays Baltes est annulé.

Les navires amphibies Iwo Jima embarque des MV-22 de la VMM-263, des AV-8 de la VMA-223 et des MH-60S de la HSC-26, Tortuga et New York restent en mer du Nord, près à intervenir en mer Baltique. Ils renforcent le groupe USS Bataan.

Les coordonnées du lanceur S-400 sont données à tous les moyens disponibles dans les environs.

Les B-52 de Moron connaissent des problèmes lors du vol retour, un atterrit à Avord et le second atterit à Lajes. Des moyens sont déployés pour la maintenance et la réparation rapide, car ils doivent être disponibles.


Le pétrolier Iranien sort de sa base Russe, escorté par les sous-marins Russes jusqu'aux eaux Scandinaves, puis il traverse la mer de Norvège. Des Tu-142 l'escortent, tout en restant dans les eaux internationales. Le pétrolier largue sous sa coque des drones sous-marins autonomes kamikazes.

En même temps, une batterie de S-400 est positionnée face à l'Alaska, une autre face aux Etats Baltes et une dernière face à la Scandinavie, pour sécuriser la zone Arctique. Chaque batterie est protégée par des chasseurs déployés sur une base aérienne proche.

La batterie déployée par l'AN-124 est embarquée vers une destination inconnue, avec son radar. Le missile a été récupérée par les forces spéciales Russes.

Des sources confirment que le pétrolier Iranien transporte de l'uranium pour son industrie nucléaire. Des moyens doivent neutraliser le pétrolier avant son arrivée en Iran.


3 juin

Après d'intenses négociations entre le Pentagone, le Département d'Etat, l'OTAN et Moscou, les batteries S-400 stationnées en Alaska et face à la Scandinavie sont retirées et celle qui fait face aux Etats Baltes est désactivée, mais reste en position. Les chasseurs affectées à chaque batterie rentrent à leurs bases.

Le pétrolier Iranien déjoue toutes les tentatives d'interception avec la complicité de navires Russes en Atlantique et des avions de patrouille Russes qui le protègent.

Quatre groupes de bataille multinationaux soit 4,500 hommes servent dans les pays Baltes et en Pologne. Canada gère celui en Lettonie avec Albanie, Italie, Pologne, Slovénie et Espagne. L'Allemagne gère celui en Lituanie avec Belgique, Luxembourg, Pays-Bays et Norvège. Le Royaume-Uni gère celui en Estonie, avec France. Les Etats-Unis gère celui en Pologne avec Roumaine et Royaume-Uni.

Unr bataillon de cavalerie Américain est basé en Lituanie.

Chaque nation engagée dans les Pays Baltes et en Pologne renforce ses moyens en hommes et en matériel.

Vers 23 heures, heure de Moscou, les forces terrestres Russes stationnées en face de l'Estonie et la Lettonie, plus des renforts arrivés en Biélorussie, font route vers les frontières de ces deux pays, sans inquiéter les pays Baltes, ni la Pologne, suite à une diversion d'exercice à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie.

Il est 16 heures, heure de Washington, la Maison Blanche fait sa réunion hebdomadaire du conseil de sécurité sans aucun signal d'alerte.

La Finlande est en état d'alerte par crainte d'opérations Russes vers sa frontière.


4 juin

Vers 1 heure du matin, heure de Moscou, soit 18 heures le 3 juin, heure de Washington, Varsovie prévient Washington de franchissement des frontières Estonienne et Lettone par des mouvements suspects.

Un RC-135 Américain, rejoint par un RC-135 Britannique décollent du Royaume-Uni.

Des C-17 et des ravitailleurs KC-46 sont positionnés en alerte aux Etats-Unis.

Les AN-124 Russes font des rotations nocturnes pour amener des renforts proche du front, sous bonne escorte.

L'OTAN place en alerte ses forces prêtes à intervenir proche de la Pologne.

Un C-40A décolle d'Andrews vers la Pologne, pour superviser le soutien aux pays Baltes.

Les avions de l'OTAN présents dans les pays Baltes assurent des vols de reconnaissance.

Les groupes amphibies Américains assurent des vols de soutien avec les F-35.


L'USS Ford qui a quitté Rota remonte vers les Pays-Bas. Le Charles de Gaulle change de cap pour épauler l'USS Ford. Le Royaume-Uni envoie un de ses porte-aéronefs en renfort.

Les B-52, les B-1 et les B-2 se relaient en Europe en étant basés au Royaume-Uni.

Les KC-46A assurent le soutien aérien.

Les forces terrestres Russes restent stationnées sur les frontières et à Kaliningrad, les forces Russes font de même sur les frontières environnantes.


Vers 23 heures, heure de Washington, le 4 juin, soit 6 heures du matin, le 5 juin, heure de Moscou un C-40A atterrit à Moscou, pour une entrevue avec le mnistre des Affaires Etrangères Russe. L'entrevue dure quatre heures avant un retour à Andrews.

Les forces aériennes de l'OTAN déployées dans les pays Baltes continuent leurs missions de police du ciel, pour éloigner tout avion Russe de l'espace aérien Balte.

Les forces terrestres en rotation sont déployées à partir de rouliers prépositionnés à trois jours de mer des Etats-Unis, ce sont le Cape Washington, Cape Ducato, Cape Decision et Fisher. Ils seront déchargés d'ici le 8 juin aux Pays-Bas.

Des mouvements de sous-marins nucléaires Russes classe Borei et deux sous-marins nucléaires Russes classe Delta ont lieu.

Le sous-marin d'attaque Russe B-271 accompagné de la frégate Amiral Essen et d'un pétrolier civil immatriculé aux Iles Caïmans passent le détroit de Gibraltar pour une mission au large des Açores.

Un Bréguet Atlantique 2 et un Falcon 50M Français renforcent les avions de patrouille maritime Espagnols et Portugais composés de CASA 295. Deux P-8 venus de Floride atterrissent à Lajes, des sous-marins d'attaque Américains se mettent en place pour sécuriser les groupes aéronavals du Ford et du Charles de Gaulle d'éventuelles attaques des bâtiments Russes, ainsi la protection des rouliers qui doivent rejoindre les Pays-Bas.


Au même moment, la flotte sous-marine Russe du Pacifique et des éléments Chinois dont le porte-avions Chinois Fujian opèrent des mouvements, avec le sous-marin K554 classe Borei.


Au Japon, les armées de l'Air Américaine et Japonaise sont en alerte, avec les marines Américaine et Japonaise avec les porte-aéronefs Japonais Kaga et Izumo et leurs escortes et le porte-avions USS Washington et son escorte, le groupe amphibie USS Triploi et l'USS Rushmore. L'USS Washington stationne avec son escorte entre le Japon et Taiwan. Les F-35 et les F-15 Japonais et Américains sont en alerte, avec les KC-135 et KC-46 envoyés en renfort. Les E-767 Japonais se relaient pour surveiller les mouvements.


Sur la face Pacifique, les porte-avions USS Reagan est affecté à Bremerton, dans l'Etat de Washngton et le porte-avions USS Abraham Lincoln est affecté à San Diego avec leurs escortes.

L'USS Reagan met le cap vers l'Alaska pour renforcer l'armée de l'air sur place.

L'USS Lincoln qui devait rentrer à San Diego fait une escale à Guam avant de rejoindre une nouvelle position, avec le groupe amphibie USS Boxer avec Pearl Harbor et Harper Ferry, le croiseur Princeton et les destroyers Halsey et Monsem.

Des pétroliers prépositionnés sont réaffectés pour les deux porte-avions et leurs escortes. Les moyens prépositionnés à Diego Garcia se scindent pour ravitailler les moyens dans le Pacifique.

Deux B-2, quatre B-52 rejoignent Guam, avec des ravitailleurs. Les bases en Alaska sont aussi en alerte.

Les E-6 se déploient en soutien des sous-marins de la flotte du Pacifique, basés à Bangor et à Bremerton, dans l'Etat de Washington, à San Diego, à Pearl Harbor et à Guam.

Des sous-marins lanceurs d'engins Ohio, Michigan, Maine, Louisiana, Kentucky, Rhode Island et Nebraska de Bangor, des sous-marins nucléaire d'attaque Montana et Vermont de Pearl Harbor, Minnesota de Guam, Sealwolf de Bangor, Santa Fe de San Diego sont en patrouille ou prêts à appareiller vers des zones prédéfines par le commandant en chef des forces navales du Pacifique.

Cette diversion du Pacifique met de scinder les renforts vers l'Europe et la zone Polaire. Les E-6 de la flotte du Pacifique se dispersent depuis leur base principale de Tinker en Oklahoma et de Travis en Californie, pour la VQ-3. Les E-6 de la VQ-7 se disperse autour des Etats entourant l'Okhaloma.

En France, à l'Elysée, la présidente Olympe, son Premier Ministre Valérie, son ministre des Affaires Etrangères Aimée et son ministre de la Défense Hermine sont en réunion quotidienne du conseil de défense sur l'évolution de la situation dans le Pacifique, en mettant en alerte les Falcon 50 à Papeete et à Nouméa, ainsi que les bases navales.

Une réunion en visioconférence a lieu avec l'OTAN, le Pentagone et le siège des forces Américaines stationnées dans le Pacifique.

Un sous-marin nucléaire lanceurs d'engins Chinois classe Jin 094 rejoint discrètement le détroit de Béring avec un sous-marin nucléair lanceurs d'engins Russe K554. D'autres sous-marins Chinois se mettent en patrouille au large de la Polynésie Française, obligeant la Nouvelle-Zélande a envoyé un P-8 sur place et l'Australie place un P-8 pour sécuriser la Nouvelle-Calédonie et le Vanuatu.

Un avion de patrouille maritime KQ-200 Chinois déployé depuis la Sibérie, survole l'Alaska, avec le soutien d'un Y-8 de guerre électronique et de deux J-20.

Un Il-20 de guerre électronique et un Tu-95 font diversion entre l'Alaska et le Canada, pour obliger les bases aériennes a déployé leurs chasseurs F-22 d'Elmendorf et F-35 d'Eielson avec un KC-135 de la garde nationale de l'air d'Alaska et les Hornet Canadiens venus de Cold Lake, en Alberta, ravitaillés par des KC-46 en renfort.


5 juin

Vers minuit, une explosion sous-marine à lieu dans le détroit de Gibraltar. Les officiels Américains pensent à une torpille défectueuse lancée par le sous-marin d'attaque Russe B-271.


6 juin

Vers 14 heures, heure d'Anchorage, le sous-marin Chinois classe 094 connait une soudaine explosion en plongée d'une de ses torpilles dernière génération, le sous-marin K554 reste en soutien, pour assurer la protection du site.

Au large, les sous-marins lanceurs d'engins Ohio et Michigan sont à 100 miles de la zone d'explosion, mais connaissent l'onde de choc.

L'USS Reagan dépêche des avions pour vérifier la source de l'explosion.

Un P-8, en escale en Alaska se déroute avec les gardes-côtes pour inspecter la mer de Béring.

Le K554 fait surface et demande assistance d'un Tu-95 pour empêcher toute venue de navires étrangers dans la zone de l'explosion.

La Chine nie l'explosion d'un des sous-marins, sous prétexte d'un séisme sous-marin.


8 juin

Les USS Reagan, Ohio et Michigan sont autorisés à faire escale à CFB Esquimalt, pour voir l'étendue des dégâts du souffle de l'explosion. Le croiseur Lake Erie reste au large, avec les destroyers Stockdale et Spruance.

Le groupe amphibie USS Esssex est accompagné des USS Germantown et Comstock.

Les attachés militaires Russes et Chinois sont reçus à Washington et confirment la version d'un séisme sous-marin. Les officiels Chinios embarqués à bord du K554 ont été transférés sur le croiseur Varyag qui abrite l'amiral commandant l'exercice. Puis un hydravion Beriev 200 de la marine Russe les rapatrie vers une base aérienne Russe, où les attend un Il-76 Russe qui les rapatrie ensuite à la capitale Sibérienne. Là, ils embarquent à bord d'un 737 de l'armée de l'air Chinoise.

Un navire de sauvetage Russe rejoint la zone, un homologue Chinois est aussi en route.

En fin de soirée, un chalutier Américain en remontant ses filets retrouve une torpille non explosée. Les garde côtes Américains la récupèrent avec un hélicoptère et la rapatrie vers Washington à bord d'un C-17.

Le K554 doit naviguer immergé, suite aux dommages subis sur sa structure, par le souffle proche de l'explosion.

Le navire de sauvetage Chinois Daijang rejoint la zone où a coulé le sous-marin 094, escorté par des navires de guerre, des Tu-142 et Il-38.

Des Tu-95 et des Tu-22 de la flotte du Pacifique sont placés en état d'alerte.

Des chasseurs de l'aéronavale russe de la flotte du Pacifique Su-35 survolent la zone pour éviter toute incursion des P-8 Américains et des Casa 295 Canadiens.

Un P-8 équipé de senseurs est présent en Alaska, ainsi qu'un WC-135W pour récupérer les particules radioactives qui s'échappent du sous-marin Chinois.

Des chasseurs J-20 Chinois stationnent en Sibérie pour épauler la chasse aéronavale Russe, lors de l'opération de sauvetage.

Au même moment, en dehors de la zone d'exclusion de Guam, un autre sous-marin 094 navigue sous un porte-conteneur qui rejoint Honolulu, pour échapper aux P-8 en patrouille et échapper aux éventuels sous-marins qui manoeuvrent à Guam.

Un E-4B avec un C-32A atterrissent à Honolulu pour une visioconférence entre les forces Américaines du Pacifique et leurs alliés, une partie du chef d'état-major venu du Pentagone. Les menaces Chinoises sont prises au sérieux.


Au large des Pays Baltes, des Su-35 de l'aéronavale Russe de la flotte de la Batlique s'assurent d'aucune incursion des avions de l'OTAN proche des frontières avec la Russie, en soutien du 11e corps d'armée Russe, plus la 12e division de navires de surface Russe.

Les navires Américains restent à distance raisonnable des côtes Baltes.

Toute opération amphibie est suspendue, pour débarquer des troupes Américaines.

Un Bréguet Atlantic 2 escorté par quatre Rafale rejoignent l'Estonie, après une escale en Pologne, pour assurer les rotations. Deux A400M et un A330MRTT Français assurent le soutien.

Aux Pays-Bas, les forces terrestres en rotation sont déchargées à partir de rouliers Cape Washington, Cape Ducato, Cape Decision et Fisher. Les hélicoptères AH-64 et Chinook sont reconditionnés et volent vers un pays limitrophe des pays Baltes, tandis que des convois s'organisent vers des camps avancés. Deux E-3 de l'OTAN basés en Roumanie effectuent des patrouilles le long des pays Baltes, sous escorte.

Les espaces aériens des pays Baltes sont fermés à tout vol provenant de Russie et de Biélorussie. Des Gripen Hongrois, des Eurofighter Britanniques et Espagnols et des F-16 Roumains sont déployés le long de la frontière avec l'Ukraine, en appui des E-3 de l'OTAN.


Au Groenland, un groupe de police du ciel comprend quatre Rafale venus de Saint-Dizier, avec un A400M et un A330MRTT, quatre F-35 Danois avec un Hercules.

En Islande, la police du ciel est assurée par quatre F-35 Britanniques et quatre F-35 Américains, deux C-17 Américains et Britanniques, un A330MRTT Britannique et un KC-46A Américain.

En effet, des bombardiers Tu-160 escortés par des avions A-50 AWACS et des Su-35 assurent de plus en plus fréquemment des patrouilles depuis la Russie jusqu'en Islande et au Groenland pour tester les défenses.

Au même moment, un sous-marin nucléaire Russe connait une explosion entre l'Islande et le Groenland, suite à une fissure au niveau des tubes lance-missiles et disparait dans les profondeurs, en laissant juste une nappe de pétrole. Des recherches sont engagées.

Moscou explique l'explosion sous-marine en cause par une fuite d'un de ses navires commerciaux qui ralllie le Canada.


10 juin

L'E-4B et le C-32A atterrissent à Darwin, pour superviser les renforts Américains, venus en C-17. L'Australie renforce ses moyens avec les C-17 et A330 Australiens sur les points stratégiques en Australie et dans les pays voisins du Pacifique.

Pékin confirme qu'un de ses sous-marins est porté manquant, sans donner la raison.

Washington attend la confirmation par la marine basée en Alaska et l'USS Reagan et la présence d'un 737 Chinois en Sibérie.


12 juin

L'E-4B et le C-32A atterrissent à Tokyo pour superviser une éventuelle attaque du Japon par la Chine et de Taiwan par la Chine. Des C-17 transfèrent des forces venues de la côte Pacifique des Etats-Unis, avec des KC-46A, deux E-3G Américains sont déployés. Les deux avions rentrent aux Etats-Unis avec une escale à Anchorage, puis Colorado Springs pour l'E-4 et Andrews pour le C-32A.


Au même moment, un raid de quatre Tu-160 Blackjack a lieu non loin de la position de l'USS Ford et de son escorte, qui se trouve dans les eaux internationales proche de la Norvège, en direction des îles Feroé.


17 juin

Le sous-marin 094 qui se trouvait à Guam, est maintenant au large de l'archipel d'Hawaii et met le cap vers le Japon, qu'il atteindra le 27 juin, en évitant les patrouilles sous-marines Américaines et l'escorte de l'USS Lincoln, qui navigue à équidistance de Guam et du Japon.

A Honolulu, des espions Russes surveillent le futur lancement d'un missile Chinois qui pourrait provoquer une guerre mondiale.

L'Australie déploie ses sous-marins autour de ses approches, par crainte d'un possible raid sous-marin Chinois.

Dans le détroit de Béring, le navire de sauvetage Chinois Daijang remonte uniquement le kiosque du sous-marin Chinois coulé, mais note des fissures autour des tubes lance-missiles. Cela aurait pu causer la perte de sous-marin de la même classe.

Moscou n'informe pas Washington que des espions Chinois ont voulu lancer des missiles vers l'Alaska, ni confirmer la présence des Chinois dans le sous-marin Russe dans le détroit de Béring.


19 juin

Lors d'une alerte anti-sous-marine, le sous-marin 094 coule subitement, alors qu'il était en mission de renseignement. Les Américains perdent le contact sous-marin avec tous leurs bâtiments présents sur zone, dont le sous-marin nucléaire d'attaque Vermont, à 50 miles à l'est de l'île de Wake, vers 3 heures du matin, heure de Guam, soit 13 heures, à Washington DC, le 18 juin.

Pékin reconnait que le sous-marin qui a coulé dans le détroit de Béring, suite à un dépassement de sa profondeur maximale et à une fuite d'hydrogène.

La présence d'officiers Chinois à bord du sous-marin Russe reste un mystère.

La torpille récupérée est confirmée comme une nouvelle torpille Chinoise et non Russe.

L'explosion du sous-marin Russe entre l'Islande et le Groenland est confirmée par une fuite d'hydrogène sans aucune autre explication.

Un porte-avions Chinois rejoint la zone clandestinement avec sa puissance escorte, des J-35, J-15T et des KJ-600 (copie de l'E-2), pour récupérer le sous-marin.

L'USS Vermont envoie une capsule de secours, pour repérer l'épave.


22 juin

Le porte-avions Chinois se trouve non loin de l'île de Wake, en restant à distance raisonnable de l'USS Lincoln et de son escorte. Ses avions survolent la dernière position conue du sous-marin Chinois.


Au même moment, les Russes engagent des recherches entre l'Islande et le Groenland. L'Islande sert de position pour l'USS Ford. La Norvège envoie un P-8 au Groenland, pour sécuriser le périmètre, à la demande de Copenhague.


Vers 3 heures du matin, heure du Caire, soit 20 heures, le 21 juin à Washington DC, le pétrolier Iranien qui a déjoué tous les plans, est en approche du canal de Suez. Les autorités Israéliennes vont tenter de l'intercepter. Mais la marine Russe a déployé depuis la Syrie des navires pour l'escorter. La chasse Russe surveille les activités Israéliennes.


En Europe, les renforts venus des Pays-Bas sont positionnés en Lituanie, puis en Estonie et en Lettonie. Les navires amphibies ont reçu ordre de débarquer des renforts dans les ports Baltes, avec l'accord de l'OTAN et du Pentagone.


Le Charles de Gaulle reste au large des eaux Danoises. Des Tu-95 survolent les eaux Baltes pour se renseigner sur les mouvements des troupes de l'OTAN.


23 juin


A l'aube, heure de Guam, un navire d'escorte du porte-avions Chinois tire un laser en direction d'un E-2D Américain du Lincoln. Ce dernier évite de justesse la collision avec deux J-35 Chinois. L'incident est transmis au QG de la Flotte du Pacifique Américaine à Pearl Harbor, avec une copie au Pentagone.

L'attaché naval Chinois à Washington est convoqué auprès du Secrétaire d'Etat pour des explications.

L'attaché naval Chinois nie les faits, mais demande des raisons du refus de l'accès de lazone où se trouve le sous-marin classe 094 par les autorités Américaines, dans les eaux internationales. Washington ne confirme ni infirme les informations.


L'attaché naval Américain à Pékin convoqué auprès du ministère des Affaires Etrangères doit confirmer les informations détenues par Washington. Mais il a reçu des instructions, sans confirmer ni infirmer.


L'USS Iowa, avec des commandos SEALs, ayant quitté sa base de Groton, a rejoint une position secrète non loin du pétrolier Iranien. Israël a envoyé des commandos en renfort pour l'interception nocturne vers une heure du matin, heure de Tel Aviv. Mais le pétrolier Iranien largue des drones sous-marins kamikazes qui font échouer l'interception sous-marine. Au siège du Conseil de la sécurité nationale, La présidente des Etats-Unis Amanda, avec le secrétaire d’Etat Bill, le secrétaire à la Défense Charles et le conseiller à la sécurité nationale Franck, le Vice-président, le Secrétaire à l'Énergie et le Secrétaire au Trésor suivent l'évolution de l'opération, malgré l'heure tardive à Washington, 18 heures, heure locale. A Tel Aviv, c'est le shabbat.

Les Israéliens tentent aussi l'interception, mais ils sont piégés par des drones aériens qui surpassent les capacités de lutte anti drone Israéliennes.

L'opération est à recommencer. Les dommages sont conséquents. L'USS Iowa doit se dérouter vers un port sûr Israélien pour réparer.

Le pétrolier Iranien donne du fil à retordre.


Dans le Pacifique, un P-8 venu d'Hawaii, renforcer le dispositif E-2 de l'USS Lincoln, fait l'objet de vols d'interception par deux J-35 qui considèrent la zone comme les eaux internationales. Des vols très près des J-35 manquent de mettre en danger l'équipage, qui tente d'échapper. Même deux F-18 du Lincoln, guidé par un E-2D du Lincoln arrivent à peine à éloigner la menace Chinoise.

Vers 6 heures du matin, heure d'Anchorage, soit 10 heures, heure de Washington, Au même moment, dans le détroit de Béring, un P-8 basé à Anchorage, venu de Whidbey Island, est intercepté par l'aéronavale Russe, dérouté vers une base aérienne Russe, pour violation de la zone de survol où travaille le navire de récupération Chinois. Parmi son équipage, se trouve Elle MacDee, pilote émerite, parlant le Russe couramment, fille d'un diplomate Australien à l'ONU.

Vers 22 heures, heure de Hong Kong, soit 10 heures, heure de Washington, un autre P-8 en rotation au Japon, longeant Taiwan, est intercepté par l'aviation Chinoise, dérouté vers Hong Kong. Pami l'équipage, se trouve l'opératrice Olympe Val de Castel, la fille d'un sénateur de l'Etat de Floride, très influent à la commission de la Défense, parlant le Russe, le Mandarin, diplômée d'une haute école scientifique. Il embarque un AN/APS-154 senseur aérien avancé pour le renseignement, la surveillance, la reconnaissance en milieux martimes et littoraux. C'est un pod en forme de grand canoe sous le fuselage, avec un radar actif électronique.

Vers 16 heures, heure de Tel Aviv, soit 10 heures, heure de Washington, un troisième P-8 survolant les eaux Israéliennes est intercepté par la chasse Russe basée en Syrie, dérouté vers une base Syrienne, malgré la présence de chasseurs Israéliens qui l'escorte. Parmi l'équipage, se trouve l'observatrice Jasmine Val Salman, une des membres d'une famille influente Saoudienne.

Washington proteste auprès de Pékin et Moscou. Riyadh demande aussi des comptes.

Chaue P-8 embarque cinq opérateurs, deux officiers, plus trois opérateurs de guerre aérienne sur le côté bâbord, et deux observateurs de chaque côté à l'avant.

Les équipages des P-8A capturés par les Russes sont regroupés et transférés dans la prison où se trouvent le pilote de la VFA-213 abattu, le 17 mai.

A Hong Kong, les équipages sont transférés dans les locaux du renseignement militaire Chinois.

L'USS Washington reçoit ordre de se rapprocher de la Chine, sans provoquer d'incidents diplomatiques.

Des C-40A font la navette depuis Andrews vers Moscou, Tel Aviv et Pékin, avec des diplomates de hauts rangs, des militaires du Pentagone, pour tenter de faire libérer les équipages et le pilote abattu le 17 mai.

La base de Rota déploie au large de Chyprre, deux de ses destroyers pour faire pression sur la Syrie,l'USS Roosevelt et USS Oscar Austin. Des B-52 multiplient les vols vers la Russie, la Chine, la Méditerranée, pour des exercices de dissuasion, appuyés par les KC-46A.

Le porte-avions USS Eisenhomwer avec le croiseur USS Philippine Sea, les destroyers Bainbridge et Porter, le LCS Arctic, les sous-marins nucléaire d'attaque New Jersey, sous-marin lanceur d'engins Maryland et le pétrolier Supply, se trouve en Méditerranée, en soutien aux forces navales. Il se trouve au large de la Sicile, après ses réparations suites aux incidents du moi de mai.

L'USS Reagan et son escorte font des rotations entre l'Alaska et sa base Bremerton.

L'USS Lincoln et son escorte suivent discrètement le porte-avions Chinois qui a quitté Wake pour rentrer à sa base.


25 juin

A l'aube, l'USS Reagan connait une panne de catapulte, lors d'un entraînement au large de la Colombie Britannique et doit rentrer à Bremerton.

L'USS Lincoln connait une panne sur un de ses bras d'hélice qui le ralentit, contraignant une escale à Pearl Harbor.

L'USS Washington connait une panne à la passerelle de commandement alors qu'il est à 200 nautiques de Shanghai. Les dispositifs de secours sont enclenchés, le temps des réparations.

L'USS Nimitz rejoint l'USS Reagan à vide, transfère les avions et le personnel du groupe aérien.

L'USS Lincoln transfère ses avions sur l'USS Roosevelt au large de Pearl Harbor.

Les deux réparations obligent à réorganiser la flotte du Pacifique.


29 juin

L'USS Lincoln arrive à Pearl Harbor, pour des premières réparations, son escorte reste avec l'USS Roosevelt.

L'USS Reagan arrive à Bremerton, pour des réparations, son escorte reste avec l'USS Nimitz.

L'USS Ford rentre à Norfolk, la relève est assurée par l'USS Bush, qui est en route vers les Pays Baltes.


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