HERMINE ET NATACHA CONTRE LE RESEAU

 





Je m’appelle Hermine
J’ai 22 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave. 
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe 
croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

HERMINE ET NATACHA CONTRE LE RESEAU

10 mai

Fille timide avec mes gestes maladroits, je suis devenue cette femme moderne au corps provocant. Mes yeux, mon sourire se sont éclairés. Mes seins étaient plats. Aujourd'hui, flattés par tes savantes caresses, ils tendent en permanence leurs bourgeons au ciel. Mon ventre arrondi s'est tendu par la rigueur que les godes allaient et venaient en moi. La répétition des coups donner la cambrure actuelle.
Avec mon amie Natacha, une beauté blonde plantureuse, nous bronzons sur une plage naturiste. Nous sommes adeptes du naturisme, car j'aime exhiber ma toison et ma chatte velue aux amants potentiels, Natacha a un petit rectangle pubien et de grosses lèvres de sa chatte. Nous faisons l'amour, devant une beauté brune, qui nous observe.
Natacha a déjà expérimenté la sodomie et la double pénétration. Je voudrais bien essayer.
La beauté brune nous rejoint et nous invite à une soirée dans une villa discrète dans l'arrière-pays.
Nous ne pouvons refuser.
Après une longue douche masturbatoire à notre villa louée, comme nous sommes des femmes d'affaires, nous choisissons nos tenues, Natacha opte pour une robe dos nu au décolleté en V blanc, sans rien dessous, assez courte et moi, je choisis un chemisier blanc sur mes seins nus et une jupe éventail fuchsia, nous mettons des sandales blanches à talons de dix centimètres et une queue-de-cheval.
Une limousine blanche nous conduit à une heure de route à la villa.
Là, huit superbes étalons nous attendent, nus, les mandrins en érection.
Nues, nous les suçons avant d'être baisées et enfin, je découvre la sodomie.
Un des étalons m'écarte bien les fesses et me lubrifie l'anus avec ma mouille abondante et m'encule en levrette.
Il me fesses, Natacha se fait prendre en double pénétration sans attendre.
Elle a le cul serré. Il faudra l'ouvrir davantage.
Les quatre étalons se relaient pour m'enculer profondément, en me fessant.
Je commence à jouir.
Puis je suis prise en double pénétration comme Natacha
Les ébats durent jusqu'au souper, que nous prenons enculées, empalées sur les étalons.
Nous les suçons jusqu'à être couvertes de spermes frais, mon anus reste un peu dilaté.
Après une douche masturbatoire, on échange d'étalons pour m'enculer. Ils sont bien montés, du calibre six à sept.
Les caresses clitoridiennes accentuent mes orgasmes.
Pantelantes, nous allons nous coucher à l'étage dans un lit double.
La beauté brune me fait écarter les cuisses et m'insère dans mon anus encore lubrifié, un gode très réaliste avec prépuce qui glisse le long du gland lors de la pénétration, veiné, avec un gland très réaliste, long de vingt et un par cinq. Il est attaché, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes sont accrochées à une étroite ceinture autour de ma taille, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tenté de me soulager de cette contrainte. Pour éviter que je masturbe, elle me pose un collier en cuir et des bracelets à mes poignets et joint le tout. Je suis prisonnière.
- Garde bien les cuisses écartées pour la nuit, le gode va aller et venir dans ton anus vierge.
C'est un vrai supplice, les orgasmes s'enchaînent, la chatte et le clitoris tendu léchés par Natacha la bisexuelle.

11 mai
Vers 8 heures, la brune nous rejoint.
- Mesdames, désormais, vous ne croisez jamais les jambes, ni fermez tout à fait vos bouches et ne jamais regarder un des hommes dans les yeux, sous peine de punitions. Vous serez fouettée. Voyons cet anus. Il est bien dilaté. Par ces règles, vos bouches, vos chatte et vos anus sont ouverts pour ces messieurs. Vous regarderez toujours le mandrin de ces messieurs, pour les sucer. En outre, à la nuit, vous serez nue, cuisses écartées, prêtes à sucer, les mains liées dans le dos. Vous passerez la nuit enchaînées à vos lits, mesdames. Douchez-vous, vous êtes attendues au domaine ce matin.
Après une douche masturbatoire, nous revêtons des robes décolletées dos nu, au décolleté en V, transparentes, ouvertes devant et derrière, assez courtes, chaussons nos mules à talons de dix centimètres et coiffées de queue-de-cheval.
Nous portons un collier de cuir. Un bandeau est posé sur nos yeux et nos mains sont menottées dans le dos. Nous montons dans la limousine, la jupe ouverte, les cuisses écartées.
Le trajet dure une éternité. La sodomie a révélé en moi, le désir de jouir davantage enculée.
Peu avant de franchir le portail du domaine, nous sommes descendues, déshabillées et tenues en laisse par des maîtres chiens, jusqu'aux marches de la luxueuse résidence.
Nous rejoignons une immense salle de bains, ayant recouvré la vue, les mains libres, quatre femmes vêtues de robes corsetées assez courtes, sur leurs corps nus, en mules, s'occupent de nous, nous baignent, nous fardent. La bouche est fardée avec un rouge clair, un peu liquide, appliqué au pinceau, et qui fonce en séchant. On peint du même rouge l'aréole et les mamelons et les petites lèvres entre nos cuisses, en soulignant la fente du giron. On poudre nos visages, on parfume nos corps.
Nous portons nos colliers et les bracelets qui sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Nous portons des bracelets aux poignets et aux chevilles. Nous chaussons des mules à talons de huit centimètres.
Un valet, bien monté, vêtu d'un blazer, nu, nous rejoint, botté. Il menotte nos mains dans le dos, une fois debout, nous bande les yeux. Il caresse nos chattes et décalotte bien nos clitoris, en y déposant une goutte d'un mystérieux parfum, ainsi que sur nos mamelons.
Nos mamelons sont transformés, gros et longs et saillants et nos clitoris sont devenus gros comme une cerise, saillant et volumineux. 
Le valet ne se gêne pas pour nous enculer brièvement.
Tenues en laisse, nous quittons la salle de bains pour le grand salon.
Là, huit étalons nus nous attendent.
Des mains fouillent simultanément nos chattes et nos anus, puis caressent nos seins et nous finissons allongées sur le dos à sucer, les cuisses écartées, nos chattes léchées.
Puis nos bustes reposent sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, trois étalons m'enculent à tour de rôle tout comme Natacha. Je me retiens de gémir, car ils sont bien montés.
A peine remise de mes sodomies, je dois sucer chacun.
On nous enlève les bandeaux.
Nous sommes debout au milieu du salon, et nos bras levés et joints, que les bracelets y maintiennent par une chaînette à l'anneau du plafond, font saillir nos seins, sur la pointe des pieds nus. 
On nous montre la cravache, qui est, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir; le martinet, qui passent sur nos cuisses et nos fesses.
Des pinces à seins relient nos mamelons ensemble, les étirant vers le bas.
La cravache laisse des traces sur nos fesses et nos reins. Un des étalons m'encule, en m'écartant mes fesses brûlantes. Je me retiens de gémir.
Il exige de mon accès soit rendu pus commode. 
Chancelantes, nous sommes détachées.
Avant d'être habillée, un des étalons vient avec un gode anal de vingt-trois par six similaire à celui de la villa, cadenassé.
Nous revêtons ensuite la même robe que les autres filles.
Tout le monde peut voir les chaînes qui maintiennent le gode anal.
Les deux femmes nous accompagnent à une chambre double, gardé par un valet, habillé comme celui qui nous a escorté.
Les chambres doubles, sont partagées en deux par une demi-paroi, à laquelle est de part et d'autre adossée la tête de chaque lit, lit ordinaire. Elles ont une salle de bain, et une penderie commune. Les portes des chambres ne ferment pas à clé. 
Nous sommes douchées par le valet à tour de rôle, menottée au pommeau de la douche, cuisses écartées.
Puis le valet nous enchaîne au lit, il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de ses bracelets, ce qui lui joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou. Il ne reste plus qu'à l'enchaîner au mur, avec la chaîne qui repose sur le lit et passait dans l'anneau au-dessus. Il défait le crochet qui en fixait l'autre extrémité, et tire pour la raccourcir. La chaîne cliquette dans l'anneau, et se tend si bien que je ne peux seulement me déplacer sur la largeur du lit, ou me tenir debout de chaque côté du chevet. Comme la chaîne tire le collier au plus court, c'est-à-dire vers l'arrière, et que les mains tendent à le ramener en avant, il s'établit un équilibre, les mains jointes se couchent vers l'épaule gauche, vers laquelle la tête se penche aussi. 
Nous gardons les cuisses écartées. Nous suçons le valet.
Ne pouvant être enculée, les valets me baisent, pour compléter ma double pénétration. Je me retiens de jouir.
Les jambes levées, je suis cravachée sur les fesses et la chatte.
Natacha a droit au même traitement et de nombreuses sodomies profondes.
Nous sommes libérés pour le déjeuner de midi, où nous sommes empalées, enculées, sur des godes réalistes installés sur des poufs, cuisses écartées, les yeux baissés.
La tension sexuelle provoque une grosseur des mamelons et du clitoris. Le valet de permanence nous encule chacune.
L'après-midi, nous faisons le service. Des invités nous fessent et nous enculent.
Le soir, après la douche, nue, je porte encore le gode cadenassé.
Il m'est retiré pour des orgies anales avec Natacha.
Je découvre que certaines soumises se font monter par des dobermans, qui les enculent pour les ouvrir davantage.
Lors du coucher, nous sommes menottées à nos lits, livrées aux valets.

13 mai
Mon anus s'est assoupli, on a épilé partiellement les lèvres de ma chatte et je porte aussi un anneau doré tout comme Natacha, à nos gros clitoris.
Nos amants nous rejoignent et nous prennent en double pénétration, pour juger de mon ouverture anale. Je me retiens de jouir.
Nos amants caressent nos fesses, nos reins zébrés.
Chaque nouvelle sodomie me transforme, ainsi que ma bouche suceuse et mes mamelons étirés.
Nos valets se relaient pour nous cravacher et nous enculer.

17 mai
Nous portons une bague à nos annulaires gauche. 
Nous n'avons plus nos harnais de cuir. Nos mamelons et nos clitoris sont désormais bien gros. Nous portons quelques traces récentes de la cravache sur nos fesses et nos reins.
Nous revêtons juste une robe assez courte sur nos corps nus, les cheveux libres, fardées, parfumées, chaussée de mules blanches à petits talons. 
Nos amants tiennent à ce que chacune de nous portons un bijou d'anus pour nous garder bien dilatées.
Deux limousines blanches nous attendent et nous conduisent avec nos amants à une gare toute proche. En effet, nous prenons un train pour la région parisienne, pour parfaire notre éducation.
Nous avons une double cabine pour tous les quatre, avec lit double incorporé.
Nous partons après le coucher du soleil, un souper pris dans nos cabines.
Nos amants se relaient pour nous enculer et nous prendre à tour de rôle en double pénétration.
Mon double accès satisfait nos amants. Nous sommes couvertes de leurs spermes frais sur nos corps.
Nous échangeons nos amants pour la nuit.

18 mai
A 8 heures, nous prenons nos petits déjeuner vêtues de nos courtes robes dévoilant nos jambes nues et le claquement des mules.
Vers 10 heures, nous descendons des wagons, sans valises. 
A la sortie, sur le terre-plein d'où partent les grands escaliers, et où se rangent les voitures particulières, deux chauffeurs nous attendent. Ils n'ouvrent les portières. Nous sommes assises sur la banquette arrière. 
Avant de rejoindre notre nouvelle résidence, nous sommes longuement enculées par nos chauffeurs dans nos DS, nous les suçons en retour.
La nouvelle résidence est une discrète villa en région parisienne, loin des regards, en dehors de la vile.
Là, des dizaines de jeunes filles intégralement épilées, portant des anneaux dorés aux mamelons, au gros clitoris et aux petites lèvres de leurs chattes, avec des colliers en cuir et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles, nous accueillent.
Nues, nous prenons une douche et un lavement anal, suite à nos sodomies nocturnes et matinales.
J'attire les regards par ma toison pubienne bien fourni, mes petits seins aux mamelons durcis et mon gros clitoris.
Nous recevons un anneau doré à nos clitoris uniquement pour nous distinguer des autres filles.
L'après-midi, je me rends à l'aérodrome privé, vêtue juste d'un tee-shirt blanc sur mes seins nus et d'une jupe noire largement fendue sur ma toison, des mules à hauts talons, sans mon collier ni mes bracelets.
Des jeunes filles descendent de jets privés et sont conduites à la villa.
Les plus indociles sont transférées dans un autre lieu secret, pour les initier aux jeux SM. Les autres se sont enculées, prendre en double pénétration, fouettées et portent aussi des colliers et des bracelets de cuir. Les autres filles qui ont séjourné à la villa, sont vendues dans un château appartenant à un compte pour d'autres maîtres.
Avec Natacha nous participons à leur initiation, dans des jeux lesbiens avec des godes ceintures à double gode pour elles et gode anal incorporé pour nous.
Les invités nous prennent aussi, dans de longues orgies.
Couvertes de sueur, de spermes frais, nos bouches suceuses, nos mamelons que des mains constamment froissent, et bien sûr, nos chattes et surtout nos anus sont labourés à plaisir. 
Chaque jour, nos amants reçoivent de nouvelles vidéos de nos dressages. Nous sommes cravachées assez souvent.

22 mai
Le soir, je suis de sortie au restaurant. Je dois porter un chemisier blanc sur mes seins nus dont les mamelons tendus trahissent mon excitation, un porte-jarretelles et des bas noirs, une jupe ample mi-longue noire, des mules noires à talons de dix centimètres. Le maître de la résidence m'impose un double vibromasseur procure une stimulation intense. Le vibromasseur stimule simultanément mon clitoris tendu, le périnée, le point G et une stimulation anale intense. Douze centimètres sont insérés, quatre de diamètre pour la chatte, la partie anale fait neuf de long sur trois. Il est télécommandé à distance par un téléphone portable.
Assise cuisses écartées, à l'arrière de la DS, le vibromasseur est activé. Ma chatte et mon anus sont rapidement en feu. Je me retiens de jouir.
Au restaurant, je relève bien ma jupe pour exhiber mes jambes gainées de soie. Seules les ondulations de mon bassin trahissent mon plaisir.
Après le plat principal, je me soulage, l'anus libre quelques instants, avant de reprendre la stimulation anale.
Après le dessert, le maître de la résidence me confie à quelques clients dans les toilettes des hommes. Juste en porte-jarretelles et bas, je suis enculée avec aisance et je suce jusqu'à la dernière goutte, mes amants d'un soir.
Je dois avoir la partie vaginale insérée en moi, pour une double pénétration intense.

Enfin, pantelante, je suis enculée par le maître de la résidence et le patron du restaurant.
De retour à la résidence, menottée à mon lit par mon collier, les mains jointes à mon collier, je suis longuement cravachée sur la chatte et les fesses, les cuisses écartées, pour me remercier de mon comportement exemplaire. Les hommes se relaient pour m'enculer toute la nuit, les fesses brûlantes, le clitoris tendu par le désir.

25 mai
Nous sommes conviés à une orgie dans un lieu secret. Juste nues sous une courte seins nus corsetées, nous sommes livrées, les yeux bandés.
Un doberman nous monte à tour de rôle, pour profiter de nos chattes chaudes, nos anus ne sont pas épargnés, ni nos bouches.
L'orgie dure une bonne partie de la journée, avec des repas, enculées sur les invités.
Peu après, je me retrouve menottée sur un chevalet, nue, pour recevoir sur mes reins, un tatouage de « Vicieuse du Désir » et au fer rouge sur mes fesses les lettres S et H, les initiales de mon maître. Natacha devient tatouée « Anal désir ». Je suis intégralement épilée, pour être plus désirable.
Nous retournons à la discrète villa.
Je suis à nouveau prise en double pénétration, pour fêter ma marque. Je porte à mon anneau de ma petite lèvre gauche, portent en toutes lettres ma nouvelle propriété, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougeaient entre ses jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. 
Je m'accommode de ce disque.
Je retrouve 72 heures allongée, pour me reposer de la longue orgie.

27 mai
Au lever du soleil, je me lève, caresse longuement mon clitoris bien tendu, tout en enfonçant mes doigts dans mon anus, devant une fenêtre de ma chambre.
Jamais, je n'avais vu combien que je sois si bombée, ni fendue si haut.
Un des valets me rejoint et retire mes doigts pour m'enculer profondément, je me retiens de jouir, les fesses cravachées. Je le suce en retour jusqu'à la dernière goutte.
Le maître de la résidence m'encule aussi, menottée à mon lit, les cuisses écartées, sur le dos, sur le ventre, les jambes en l'air et en levrette, pour mon plus grand plaisir.
Il me met des pinces à seins avec clochettes ainsi qu'une pince à mon gros clitoris pour me stimuler davantage. Je le suce aussi. 

28 mai
Au lieu de prendre le train, nous rentrons en jet privé.
Vêtues de robes mi-longues fendues sur les côtés et sur le devant, en porte-jarretelles et bas noirs, en sandales noires à talons de dix centimètres, les cheveux libres, nous retrouvons le domaine.
Nous retrouvons nos harnais de cuir, nos sodomies et coups de cravache quotidiens avec les invités

10 juin
Je retrouve la liberté avec mon nouvel amant.
Je ne porte plus de dessous, juste des porte-jarretelles et des guêpières seins nus, avec des tenues qui moulent mes seins nus aux mamelons constamment tendus par l'excitation sexuelle. Je garde le disque et les lettres “S” et le “H”, sur mes fesses
Venez me voir si vous aimez mes marques.

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