Shawn employée du vice

 





Je m’appelle Shawn

J’ai 22 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu’à ma chatte. J’ai une superbe

croupe. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.


SHAWN EMPLOYEE DU VICE


10 mai


Fille timide avec mes gestes maladroits, je suis devenue cette femme moderne au corps provocant. Mes yeux, mon sourire se sont éclairés. Mes seins étaient plats. Aujourd'hui, flattés par tes savantes caresses, ils tendent en permanence leurs bourgeons au ciel. Mon ventre arrondi s'est tendu par la rigueur que les godes allaient et venaient en moi. La répétition des coups donner la cambrure actuelle.

Je suis invitée à l'agence Olympe Holdings qui gère de nombreux domaines. Je suis vêtue de mon tailleur fuchsia sur mon chemisier blanc, cachant mon ensemble lingerie transparente blanche porte-jarretelles, bas, slip et soutien-gorge pigeonnant, avec une jupe droite, chaussée d'escarpins blancs à talons de dix centimètres, fardée, parfumée, les cheveux libres.

L'agence se trouve dans un complexe de bureaux.

A mon arrivée à la réception, avant le rendez-vous, une élégante secrétaire blonde me toise.

- Mademoiselle Shawn, je présume. Câline vous attend au sixième étage. Vous êtes à son goût.

La blonde est simplement vêtue d'un chemisier blanc entrouvert sur ses seins nus, une veste noire, un porte-jarretelles blanc, des bas blancs et des mules. Elle fait 1,80 m, pour un 90C, 25 ans, les cheveux coiffés en chignon.

Je suis intriguée par cette tenue.

Je monte au sixième étage par l'ascenseur.

Je croise d'autres femmes portant des tenues similaires.

Arrivée au sixième étage, une élégante brune me reçoit.

- Je suis Aimée, la secrétaire de Câline. Elle vous attends.

Aimée porte elle aussi juste une veste de tailleur blanche sur ses seins nus, un porte-jarretelles et des bas blancs et des mules blanches. J'entre aperçois un objet brillant entre ses fesses musclées. Elle fait 1,85 m, pour un 90B, 27 ans, les cheveux courts.

Je frappe à la porte. Câline m'ouvre. Elle est juste en porte-jarretelles blanc, bas blancs et mules blanches, la toison pubienne est réduite à un petit rectangle.

Elle fait 1,65 m, 25 ans, 90C.

- Voici, ma chérie, Shawn, tu sais pourquoi je t'ai recruté pour mon agence.

- J'ai une vague idée. Au fait, c'est normal, la tenue des personnels féminins.

- C'est la devise de l'agence, tu auras toujours les fesses et les seins nus, ne jamais croiser les jambes, ne jamais fermer tout à fait la bouche et ne jamais regarder un des hommes dans les yeux. Tu dois fixer ton regard sur le mandrin de l'homme que tu rencontres. Ta bouche, ton sexe, et tes fesses leur sont ouverts. Tes lèvres sont destinées à satisfaire le mandrin.

- Pourquoi, la secrétaire porte un objet brillant entre les fesses ?

- Tu es curieuse, j'aime ça. Cet objet est un bijou pour préparer tes fesses à recevoir l'homme qui le désire. Déshabille-toi entièrement, je veux voir ce que tu me caches.

J'obéis, nue. Câline caresse mes seins jusqu'à faire durcir mes mamelons.

- Tu vas apprendre à farder tes mamelons et ton sexe velu. J'aime cette pilosité. Penche-toi et écarte bien les fesses.

Câline enfonce simultanément ses doigts dans ma chatte ruisselante et mon anus encore vierge et serré.

- Détends-toi, c'est la première fois. Tu n'es plus vierge de la chatte, c'est parfait. Pour ton éducation des fesses, Aimée va t'équiper.

Aimée entre avec une ceinture en cuir, un long gode anal veiné, réaliste pour l'élargir, des chaînes. Je reste penchée en avant. Aimée attache trois chaînettes à la base du gode et enfonce le gode dans l'anus un peu lubrifié. Je me retiens de gémir.

Je me relève, on attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que l'anus se distende, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tenté de me soulager de cette contrainte.

- Tu vas le porter huit jours. Tu logeras dans un appartement de l'immeuble, qui appartient à l'agence. Tu vas rester uniquement en chemisier, porte-jarretelles et bas, des mules à ta taille compléteront ta tenue.

Une fois équipée, Aimée me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même rouge l'aréole et les mamelons, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron.

- Ces couleurs te vont à merveille. Je vais garder ton sexe velu, j'ai des admirateurs.

Aimée me fait faire le tour de l'étage. Il y a un bureau où se trouvent les rares étalons.

Aimée me présente à eux. Les yeux baissés, je dois les sucer. Ce que je fais avec élégance, j'ai déjà sucé de superbes mandrins dans mon adolescence.

- Messieurs, les fesses seront disponibles un peu plus tard. Elle doit s'habituer à être enculée.

Cela m'excite.

Vers midi, nous déjeunons au bureau, avec des repas préparés par l'intendance.

Câline m'oblige à lui lécher la chatte et le clitoris pour le dessert. J'obéis.

L'après-midi, Câline m'ôte le gode anal, pour que je puisse me soulager. Je continue à étudier les dossiers, assise, cuisses écartées nues, sur le cuir froid et lisse du siège.

En fin d'après-midi, Câline reçoit deux étalons dans son bureau. Je suis convoquée.

- Dan et Sven, voici Shawn, elle va s'appeler Vicieuse du Désir au bureau. Ma Vicieuse est une lécheuse de premier choix. Ses fesses ont besoin de quelques jours d'élargissement. Notre vicieuse est novice par les fesses, mais elle s'y fera.

Dan est un superbe étalon brun, 1,90 m, athlétique, 35 ans et Sven est un superbe étalon blond, barbu, 1,85 m, 35 ans. Dan se charge des finances et Sven se charge des opérations commerciales.

Les deux hommes me caressent, je les suce, sous l'oeil vicieux de Câline. Un calibre six pour Dan et un calibre cinq pour Sven.

Juste vêtue de mon porte-jarretelles, déchaussée, Dan me fait empaler ma chatte sur son mandrin en érection.

Câline m'écarte bien les fesses, me donne quelques claques magistrales et enfonce en douceur le mandrin de Sven. Coincée entre les deux étalons, je ne peux me dégager.

Ils synchronisent leurs mouvements, c'est l'extase.

Puis Sven me prend dans ses bras, je l'entoure avec mes jambes et se laisse pénétrer la chatte. Dan est derrière soutenant également une partie de son poids et m'encule en cadence.

Enfin pour finir, je m'encule sur Sven, dos à lui, empalée sur lui, allongé sur le dos et Dan me lève les jambes pour me baiser.

Je suis pantelante et fière de ma première double pénétration. Je prends une douche masturbatoire devant le trio et me fait mon premier lavement anal.

Câline me fait fesser par Dan et Sven pour mon comportement exemplaire.

Vers 18 heures, rhabillée, avec Câline nous rejoignons le huitième étage où se trouvent les appartements. Je partage celui de Câline.

Nues, nous faisons l'amour, avec un gode-ceinture doté d'un double gode pour parfaire mon initiation et Câline a son gode anal incorporé. A chaque assaut du double gode, je contrôle mes orgasmes. Cela serait mieux avec deux mandrins.

Le groom nous apporte le souper.

Les ébats lesbiens reprennent jusqu'à une longue douche lesbienne masturbatoire, fouillant nos chattes et nos anus entrouverts, caressant nos seins aux mamelons tendus et nos clitoris tendus.

Nous passons la nuit, entrelacées, cuisses entre cuisses.


11 mai

Vers 7 heures, j'émerge la première et m'empale l'anus sur un des nombreux godes réalistes veinés, un calibre six, mieux que le cinq de la veille.

Câline me lèche le clitoris, en me doigtant la chatte ruisselante.

Elle me l'installe pour la matinée, cadenassée à la ceinture. Nous déjeunons et je porte une guêpière de nylon blanc, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.

J'apprends à l'agrafer, puis je lace. J'ai le dos cambré et les fesses en arrière. Et mes seins, tendent même leurs mamelons, mon corps est moulé, pour en épouser les formes et les mettre en valeur. Un chemisier blanc transparent, fardée, parfumée, après la douche.

Chaussée de mes mules, je garde mes cheveux libres.

Nous rejoignons le sixième étage. Les discrets va-et-vient du gode me font onduler mon bassin. Je contracte l'anus.

Cuisses écartées, je continue à étudier les dossiers. Je n'ose me masturber.

Au déjeuner, je lèche à nouveau Câline, tandis qu'un des hommes me baise sauvagement, ma chatte resserrée par le gode anal.

L'après-midi, l'anus libre, je me masturbe discrètement, tout en recevant des messages d'un certain Sir, qui exige des photos de ma chatte velue. Ce qui l'excite.

Le soir, les ébats lesbiens reprennent, avec double gode jusqu'à l'orgasme.

Nous finissons toujours par une douche masturbatoire.


12 mai

Vers 7 heures, après une douche, l'anus libre, Câline m'invite à mettre juste un tee-shirt blanc sur mes seins nus et un paréo sur mes jambes nues, des sandales à talons de dix centimètres et une queue-de-cheval. Câline met juste une robe dos nu très courte fuchsia avec des mules dorées à haut talons.

Nous prenons l'ascenseur privatif vers le parking souterrain. Une limousine blanche aux vitres teintées nous attend. Nous montons.

Nous allons au port privé de l'agence.

Un yacht de luxe de 85 mètres nous attend au quai, avec sur le pont avant, un hélicoptère Dauphin. Nous montons pieds nus.

Nues, avec nos lunettes de soleil, nous attendons nos invités.

Deux superbes étalons en homme d'affaire nous rejoignent, athlétiques, bronzés.

Le premier a 65 ans, 1,80 m, le second a 55 ans, 1,75 m.

- Voici la séduisante Vicieuse, j'ai vu des photos de votre superbe chatte, vos fesses me seront accessibles. Je suis Sir, un des gros clients de l'agence. Voici le Comte, qui aime la beauté de Vicieuse. Penchez-toi, Vicieuse, que je goûte à ton abricot.

Je me mets en position, le Comte me doigte l'anus pour bien le lubrifier et Sir fait aller et venir son doigt sur mon clitoris tendu et Câline caresse mes seins, un violent orgasme me terrasse.

Les fesses écartées et rougies par quelques fessées, le calibre sept de Sir s'enfonce dans mon anus. Je jouis et je contracte l'anus par réflexe.

Sir se retient d'éjaculer. Il se retire et je le suce, tandis que le calibre six du Comte m'encule. Je me retrouve prise en double pénétration, baisée par Sir et enculée par le Comte.

Je lèche la chatte de Câline.

Ils inversent les rôles pendant le yacht a pris le large.

Couverte de spermes frais, en sueur, je prends le relais de voyeuse, quand Câline est prise en double pénétration, debout. Quelle endurance ont ces messieurs. Je les suce pour qu'ils reprennent Câline.

Les assauts se multiplient jusqu'au déjeuner. Nous sommes empalées, enculées sur chacun d'eux lors du repas, alternant pour les différents plats.

Ils éjaculent encore.

Puis ils nous laissent seules sur le yacht, tandis qu'ils rentrent avec le Dauphin.

Nous bronzons nues sur le pont terrasse, le personnel masculin bien monté nous prennent en double pénétration jusqu'à l'orgasme et éjacule sur nos corps.

Nous prenons une douche masturbatoire avant de rentrer au port et de rejoindre notre appartement.


13 mai

Vers 7 heures, nue, fardée, parfumée après ma douche, Câline me prépare pour un rendez-vous secret.

Câline me fait porter un collier et les bracelets aux poignets et aux chevilles. Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebalait au rythme des mouvements de celui qui le porte.

Une fois équipée de mes harnais de cuir, je porte aussi un masque avec un bâillon-boule pour me rendre aveugle et muette. Je garde juste mes mules et une queue-de-cheval.

Mes mains sont menottées dans le dos et je suis tenue en laisse par l'anneau du collier jusqu'au parking.

Je m'installe nue sur le cuir froid de la banquette, cuisses écartées.

Le trajet dure une éternité, marquée par une courte halte.

Le chauffeur m'étend dos sur la banquette. Il me relève les jambes pour m'enculer. Je suis sans défense. Le garçon passe près d'une heure à profiter de moi, de plusieurs façons, parfaitement enfoncer jusqu'à la garde un mandrin si raide et si longuement dressé et éjacule sur ma toison pubienne.

Nous reprenons la route vers une luxueuse villa en pleine forêt, derrière un grand portail.

On me fait sortir de voiture, et je marche sur du gravier, je monte quelques marches, puis franchis une ou deux portes, toujours à l'aveugle. Le vent frais remonte le long de mes jambes et de mes seins qui durcissent par l'excitation.

Mes mains restent peu longtemps menottées ensemble. Je me retrouve dans un pilori, les cuisses maintenues écartées par une barre d'écartement.

La cravache cingle mes fesses, mes reins et ma chatte ruisselante.

On me libère quelques instants du pilori, pour m'allonger sur le dos, sur un chevalet, les cuisses bien écartées, la tête et les poignets emprisonnés dans le pilori. Des chaînes sont fixées aux bracelets de mes chevilles. Les coups de cravache reprennent sur la chatte, l'intérieur des cuisses et les fesses. De temps à autre, je suis enculée et ma bouche libre, aveugle, je suce les mandrins que l'on me présente.

Je reste trois heures dans cette position, fouettée et enculée.

Pour me soulager, je suis menottée, les bras tendus levés et joints, suspendue à un crochet dans le plafond par une longue chaîne, font saillir mes seins. On me pose des pinces à mes seins durcis et à mon clitoris durci lui aussi, munies de clochettes. Je suis sur la pointe de mes pieds nus sur le carrelage.

Une barre d'écartement m'empêche de resserrer mes cuisses.

Je suis fessée et cravachée, enculée à l'envie, mes fesses brûlantes se couvrent de spermes frais. On m'enfonce un crochet anal pour me garder ouverte.

Mon dos, mes seins, mes fesses, ma chatte et l'intérieur de mes cuisses se couvrent de balafres.

Je mouille à chaque coup de cravache, chaque fessée.

Enfin, pour me reposer, vers midi, je me retrouve dans une luxueuse chambre, nue, douchée.

Mes mains sont jointes à mon collier, une chaîne les relie à un crochet dans le mur.

Mes cuisses écartées, sont maintenues par des chaînes fixées aux bracelets de mes chevilles. J'ai retrouvé la vue et je peux respirer.

Un gros vibromasseur anal de calibre sept va et vient par un système de poulie, mon clitoris tendu est léché par un dispositif de langues et mes mamelons durcis sont pincés et reliés à mon cou, pour les étirer. Je ne sais si je dois jouir ou gémir, par ces dispositifs.

Sir et le Comte me rejoignent, admirer le spectacle.

- La Vicieuse est en bonne position, enculée, le clitoris léché et les mamelons étirés.

Je garde les yeux baissés.

Vers midi, je suis nourrie, libérée du lécheur clitoridien, du vibromasseur anal, toujours menottée.

Je suis libérée pour être tenue en laisse, les mains menottées dans le dos, en mules, avec mon gode anal calibre sept cadenassé. Je dois sucer, me laisser cravacher par les invités de la villa.

En fin d'après-midi, l'anus libre, après un lavement anal, je suis enculée nue, dans la pièce du pilori, où je suis menottée. Je ne compte plus les mandrins qui me défoncent profondément. Mes fesses sont encore brûlantes, mais mon anus s'assouplit davantage.

J'ai même droit à un sexe différent dans mon anus, un sexe canin d'un doberman en rut.

Je gémis, mais la douleur se transforme rapidement en plaisir anal nouveau.

Il se retire et éjacule sur mes fesses.

Après cette nouvelle expérience, je suis conduite dans ma chambre, menottée, prosternée, les mains jointes à mon cou, des poids légers sont suspendus à mes mamelons durcis par l'excitation, ainsi qu'à mon gros clitoris par l'effet d'une mystérieuse crème. Une barre d'écartement m'empêche de resserrer les cuisses.

Le doberman me rejoint et m'encule sur le champ sans attendre. Le tout est filmé pour Sir et le Comte. Je reçois cinq salves de sperme canin.


14 mai

Et effectivement, à trois heures du matin, le doberman m'encule à nouveau.

Après le retrait du doberman, ce sont les valets qui prennent le relais, en me fessant ou me cravachant selon leurs désirs. Je suis pantelante par les orgasmes anaux subis par le doberman.

Avant l'aube, un de mes valets, me libère quelques instants, pour me suspendre à un crochet, les bras tendus en l'air, sans retirer la barre d'écartement. Le sperme canin sort de mon anus dilaté. La cravache cingle mes seins, ma chatte et mes reins, le tout dure cinq minutes.

Immobile, devant la grande fenêtre, je regarde le jour se lever. Les balafres ont gonflé et forment des renflements étroits, plus foncés que le rouge des murs, sur mes seins, mes fesses et mes reins.

Vers 8 heures, un valet entre, nu et botté, caresse mes fesses, qu'il écarte, me fouille la chatte sensible et mon anus dilaté, mes reins, mes seins. Je garde les yeux baissés.

Il m'encule rapidement et éjacule sur ma toison pubienne.

Il me libère les chevilles et les poignets.

J'ai du mal à m'asseoir, sur mes fesses douloureuses. Je m'assois en gardant les cuisses écartées, un jeu de miroir me permet de voir mes marques sur mes fesses et mes reins.

Deux femmes entrent, vêtues de courtes robes seins nus, dévoilant aussi les fesses nues, en mules, avec une table roulante. Elles restent silencieuses.

Elles me douchent, me fardent, me parfument. Je dois revêtir une tenue différente : un corset baleiné seins nus blanc, qui fait ressortir davantage mes seins, avec une courte jupe transparente, couvrant à peine mes fesses.

Ensuite, un valet entre, m'encule quelques instants et m'insère le gode anal cadenassé, un calibre six dans mon anus encore entrouvert. Je suis équipée pour la journée.

Je chausse mes mules et je rejoins les autres salles de la villa, les yeux baissés, la bouche entrouverte.

Je passe la journée à satisfaire les invités, offrant mon anus, ma bouche, mes fesses à la cravache. Les dobermans m'enculent aussi dès qu'ils le désirent.


18 mai

Vers 8 heures, j'émerge dans la chambre d'un appartement de l'agence, nue, sans mes harnais de cuir, libre. Je porte désormais un anneau doré à mon clitoris comme signe de soumission. Les lèvres de ma chatte sont épilées, plus volumineuses par l'excitation.

Mes mamelons sont transformés, gros et longs et saillants et mon clitoris est devenu gros comme une cerise, saillant et volumineux.

James me rejoint, c'est le directeur des divisions relations publiques de chaque étage. Il est beau, musclé, athlétique, 1,80 m, 35 ans, bien monté.

Je me lève du lit, James examine mes reins et mes fesses, qu'il écarte. Il passe les doigts sur les nombreuses traces de cravache, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans.

Après la douche masturbatoire et le petit déjeuner, je revêts une veste de tailleur blanc sur un porte-jarretelles et des bas noirs, chausse des sandales noires à talons de dix centimètres, fardée et parfumée, les cheveux libres.

James m'encule sans attendre. Je me retiens de jouir, mais son calibre six est enserré par mon anus que je contracte par la montée du désir. Il se retire pour éjaculer dans ma bouche. Je me refais une beauté et nous allons au troisième étage.

Là, des jeunes femmes sont vêtues comme toi, certaines portent des bijoux d'anus, mais toutes ont un anneau au clitoris, sont intégralement épilées et portent aussi une bague à l'annulaire gauche comme moi.

Je découvre d'autres étalons bien montés, que je satisfais. J'ai déjà un portefeuille bien rempli avec Sir et le Comte.

Tous raffolent de mes mamelons et mon clitoris saillants, ce qui décuple mon plaisir.


20 mai

L'agence m'a réservé un vol privé dans une île paradisiaque. Je n'emporte qu'un tee-shirt, des paréos, des mules, mais ni maillot de bain ni lingerie.

A l'aéroport privé, m'attend un Falcon 7X. Deux homosexuels, Nathan et Yannis, bien montés, m'accompagnent, ce sont des amis de James.

James est homosexuel. Je l'ai aperçu quelquefois nu, son mandrin en érection, empalé sur un autre homme ou bien en train d'enculer son amant. Cette vision m'a excitée.

Pour le voyage, j'ai choisi un chemisier blanc sur mes seins nus et une jupe éventail fuchsia, sur mes fesses nues, avec mon bijou d'anus un calibre six, mes mules blanches à talons de dix centimètres, j'ai vernis mes ongles des pieds en rouge, coiffée d'une queue-de-cheval.

Pendant le vol, je suis nue, offert aux caresses et doigtés de mes amants, que je suce avant qu'ils fassent l'amour. Je les branle, deux calibres sept. Bien sûr, ils me prennent en double pénétration à tour de rôle, pour goûter à mon anus assoupli. Je connais de violents orgasmes.

Sur l'île paradisiaque, tous les clients vivent nus. Je suis la seule à avoir garder ma toison pubienne, les anneaux dorés percent les mamelons, les lèvres de la chatte, le clitoris.

Les femmes portent des harnais de cuir comme à la villa, moi aussi.

Les hommes se relaient pour me faire jouir dans ma bouche, surtout m'enculent profondément. Bien sûr, étant soumise, j'ai droit à la cravache par certains.

J'enchaîne les doubles pénétrations, les orgies lesbiennes avec gode ceinture de divers calibres.

J'ai droit à un bungalow sans porte, pour que les clients viennent me prendre à toute heure de la journée.

L'après-midi, c'est activité planche à voile. Je détrône les meilleurs clients et je suis portée en trophée pour une orgie où ma bouche, ma chatte et mon anus sont remplis par les meilleurs baiseurs de l'île.

Entièrement recouverte de spermes frais, pantelante de mes nombreux orgasmes, le clitoris et les mamelons constamment tendus par l'excitation sexuelle que j'ai reçu, je me douche longuement, en repensant à celui qui me prendra ce soir seul ou avec un autre homme.

Le directeur de l'île, Jason, un bel étalon africain, 1,80 m, doté d'un calibre sept, me rejoint et me met mon gode anal cadenassé, un spécial calibre sept, moulé sur un mandrin circoncis, doté d'un puissant va-et-vient, tel un amant invisible. Je sais que ma chatte sera honorée, même si elle est resserrée.

Je ruisselle à chaque va-et-vient. Jason me baise longuement dans diverses positions, pour me faire jouir, me fesse. Je multiplie les orgasmes.

La nuit, je suis menottée à mon lit, par la chaîne fixée à mon collier, les mains jointes, comme à la villa, les cuisses écartées, l'anus bien dilaté par le gode anal.

Il ne faut longtemps pour ces messieurs, profitent de ma position de soumise.

Je les suce, avant de longues sodomies jouissives, fessées. Ma bouche, mes fesses et ma toison pubienne sont recouverts de spermes.

J'ai droit à un court répit, entre deux sodomies, des femmes se relaient pour me lécher la chatte, mon clitoris et me doigter l'anus en feu.


21 mai

A l'aube, Jason prend le relais, son calibre sept me défonce généreusement l'anus dilaté et débordant de mouille, jusqu'aux testicules. Je suis allongée sur le dos et il m'achève en levrette, prosternée.

Je me remets sur le dos, sans fermer mes cuisses humides.

Le clitoris me fait un peu mal, mais je suis comblée.

Libre, je prends le petit déjeuner, avec mon gode anal cadenassé et je rejoins le catamaran pour une matinée orgie.

Jason me libère l'anus pour une orgie lesbienne, puis bisexuelle, qui m'excite.

Tout en étant enculée soit par des godes ceinture ou des mandrins bien montés, je suce les hommes enculés entre eux. Je suis couverte de spermes frais, mon anus dégouline lui aussi de spermes.

Après une douche lesbienne, nous sommes enculées par l'amant de notre choix pour partager le repas. Nous sommes copieusement recouvertes de spermes.

L'après-midi, je me repose, menottée à lit, offerte à mes amants.

Le soir, après le nouveau port du gode anal cadenassé, je suis offerte en double pénétration avec de nouveaux invités.

Je ne compte plus mes orgasmes. Mon compte en banque grossit, à chaque nouveau client.


1er juin

Je rentre à l'agence, doublement ouverte et satisfaite d'avoir comblée le Sir et le Comte.

Je suis conduite à la villa.

Là, je reçois ma marque officielle au fer rouge, les lettres S et V sur mes fesses, ainsi que mes reins sont tatoués « Vicieuse du Désir » en lettres gothiques. Je dois rester une partie de la matinée sur le ventre, pendant mon tatouage sur mes reins.

Une fois ferrée, marquée et tatouée, je deviens la numéro 2 de Câline. Je porte aussi deux anneaux dorés à mes lèvres de ma chatte.

Finis les slips, strings, juste les porte-jarretelles, les corsets, les guêpières seins nus, dégageant les fesses et la toison pubienne.

Vêtue d'un tailleur strict avec une jupe éventail fuchsia sur mon corps nu, je retrouve Câline. Nous faisons longuement l'amour, nous godons mutuellement nos chattes et nos anus bien ouverts. Câline me présente à de nouveaux amants bisexuels, qui m'enculent de leurs beaux mandrins bien montés.

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