LE GENOU DE SHAWN

 


Je m’appelle Shawn

J’ai 18 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.


LE GENOU DE SHAWN


Cette histoire fictive est inspiré du film « Le genou de Claire » réalisé en 1970. Le lieu est un lac où se déroulent diverses rencontres pour exciter la belle Shawn, lesbienne depuis des années, vers une nouvelle sexualité.


12 juin

Ce matin, je débarque du train qui m’a conduit au lac, où ma mère m’a convié dans sa villa au bord du lac.

Je suis vêtue d’un chemisier noir et d’une jupe ample longue blanche, chaussée de ballerines noires à mes pieds nus, coiffée d’une queue-de-cheval, à peine maquillée. Je suis en vacances. J’ai besoin de changer d’air. J’ai perdu mon premier amour, qui est parti avec un bel étalon.

Je n’ai que deux valises avec moi. J’ai d’autres vêtements à la villa.

En descendant du train, un jeune homme, plus âgé, 20 ans, 1,80 m, séduisant brun, me bouscule avant de prendre une autre direction. Maman, Hermine, vient m’aider. 50 ans, 1,70 m, cela nous différencie.

- Quel insolent, dis-je, j’ai failli tomber.

- Rien de casser, dit Hermine, en m’enlaçant. Tu es resplendissante.

- Non, ça va. Soudain, je vois partir une décapotable Cadillac des années 60, quittait la gare avec l’insolent.

- Viens, prenons ma Diane, pour retrouver ton frère Alban. J’espère que vous deux, vous êtes sage.

Je n’ai pas révélé que pour l’anniversaire de mes 16 ans, j’ai eu ma première fois, avec Alban. Il m’a fait jouir, m’a appris quelques techniques. Pour ma couverture, je joue la lesbienne. Mais j’ai trop envie de faire l’amour avec Alban.

En chemin, Hermine m’annonce :

- J’ai invité Pierre Edouard, un ami âgé de 35 ans, un écrivain. Il paraît que tu veux écrire. Il y aura aussi Jean Hubert et sa chérie, Anne Caroline. Oui, l’homme qui t’a expliqué tes premières règles.

- Oui, Jean Hubert, il me plaît. Ton Pierre Edouard, il est bien. Je risque de m’ennuyer. Ce lac ne m’attire pas, je préfère la mer.

- Tu verras, ce lac te permet de rejoindre la ville, en canot motorisé avec Pierre, si tu veux ou en voilier avec Jean.

- Nous verrons. Tu sais pour mon amie Aimée, elle va se marier avec Jean Alexandre, un homme plus âgé. Je la déteste.

- Toi, un jour, tu devras te marier, ma chérie.

Nous arrivons au portail de la villa. Alban nous attend, 20 ans, 1,80 m, musclé, avec des lunettes et moustachu.

Je le prends dans mes bras.

- Toi, tu m’as manqué, lui dis-je à l’oreille.

- Toi, aussi, ton parfum, tes formes, nous avons tant de choses à nous raconter pendant deux semaines. Mère, Pierre Edouard vient cet après-midi, pour voir Shawn. Je lui ai montré des photos de toi. Il veut te voir en vrai.

- Nous verrons. Je vais me changer. Minijupe, robe dos nu, j’hésite. Il est accueillant cet endroit.

Je monte me changer. Alban m’aide à vider mes valises.

- J’ai envie de te prendre ici, me dit-il en m’embrassant sur la bouche, nue.

- Tu me prendras par les fesses, cette année. J’ai envie de changer. Je ne veux pas de bébé.

- Comme tu veux, tu es grande.

- Aimée va épouser Jean Alexandre. Elle va me manquer, ses caresses, ses baisers et nos 69 torrides lesbiens.

- Tu ne veux connaître l’amour avec un homme, autre que moi.

- Je ne sais pas.

Je mets une robe estivale dos nu rose, sur mon corps nu. Je veux me sentir libre, les fesses, les seins et les jambes nues. Je chausse des sandales blanches à talons de dix centimètres, les cheveux libres, maquillée.

- Tu es resplendissante, ma princesse, dit Hermine en me voyant. Venez, il faut préparer le déjeuner. Au fait, le pain et les viennoiseries sont livrés chaque matin. Il faudra les récupérer et signer le bon, ma chérie.

- Bien, je le ferais. Il vient vers quelle heure ?

- Vers 7 et 8 heures, selon sa tournée, il est très séduisant. Pierre Edouard doit venir avec son canot motorisé. Il vient de la ville, à deux heures de navigation. Il va te plaire.

- J’aurais préféré un homme de mon âge, pas cet insolent.

- Eros de Val Plaisir, ce jeune de 20 ans, que toutes les filles du lac désirent dans leur lit, dit Alban, bien renseigné.

- Tu le connais. Il manque d’éducation. Il se caressait tout en me regardant, lire mon roman. Il me dégoûte. Il fantasmait sur moi, sa chérie devrait le savoir.

- Je te protégerais contre cet insolent, ma sœur chérie, dit Alban.

Nous préparons le déjeuner pour quatre.

Soudain, on sonne au portail. Une 205 cabriolet blanche attends.

- Maman, je vais ouvrir, dis-je.

Je me rends au portail. Le visage m’est familier. C’est Chantelle, une amie de passage dans la région. Elle est châtain, au physique de mannequin photo, 1,80 m, 25 ans, célibataire, vêtue d’une robe bustier fleurie, les longs cheveux jusqu’au bas du dos, libre.

- Shawn, tu es resplendissante. Ouvre, nous avons tant de choses à nous dire.

Elle stationne sa 205 à côté de la Diane de maman.

En descendant, je la découvre, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres. Elle m’embrasse sur la bouche longuement, en m’enlaçant. Elle m’a manquée depuis qu’elle est mannequin.

- Maman, c’est Chantelle. Elle est sublime.

- Chantelle, quel plaisir, vous connaissez Alban. On rajoute un couvert, ma chérie.

- Bien, tu restes à déjeuner. Nous prendrons ensuite un bain de soleil.

- J’accepte. Je ne peux résister à te regarder.

Le déjeuner se tient avec Chantelle et Pierre Edouard qui est élégamment vêtu.

Pierre Edouard essaye de me faire parler de romans que je lis, ma future envie d’écrire sur ma vie.

- Shawn, l’écriture est un art délicat. La beauté et l’intelligence sont des atouts. Racontez votre vie, mais racontez vos désirs et vos envies de votre jeunesse. Vos amis et vos amants, si vous en avez, ils seront ravis de vous lire.

- On peut se tutoyer. Je souhaite que tu deviennes mon ami. Nous prendrons ton canot motorisé pour que je me rende en ville chez toi.

- Nous verrons. Tu as besoin de bronzer, tu dois être resplendissante en bikini.

- Tu verras, Pierre Edouard, si je te plais davantage.

- Dis donc, Pierre Edouard, Shawn semble te plaire. Tu ne seras pas déçue, dit Hermine. N’est-ce pas Chantelle, même nue, c’est une vraie déesse.

Je monte dans ma chambre avec Chantelle. Nous mettons nos bikinis et j’opte juste pour un slip de bain, exhibant mes petits seins au soleil. Nous prenons nos serviettes et nous enduisons nos corps de crème solaire.

Je garde mes sandales blanches.

Pierre Edouard me toise. Je parade et m’approche de la table.

- Mets ta main sur mon sein. Mon cœur bat très fort. Oui, glisse ta main sous mon slip. Je suis toute humide. Vas-y, caresse-moi et enfonce bien tes doigts. Je vais jouir. Merci, je vais rejoindre Chantelle. Chantelle, elle te plaît.

- Ma chérie, tu ne vois que tu gênes notre invitée. Tu comptes bronzée toute nue.

- Oui, tiens, Pierre, mon slip. Ma chatte velue n’attends que toi. A tout à l’heure.

Je bronze nue en compagnie de Chantelle.

Je fantasme sur Alban qui me baise et Pierre Edouard que je suce et qui me baise aussi. Je mouille abondamment.

Quand j’émerge, je n’ai pas rêvée. Jean Hubert, un bel étalon brun, 1,90 m, nu, me baise vigoureusement, je jouis sous ses coups, allongée sur le ventre.

- Ecarte tes fesses, m’ordonne Anne Caroline, nue, aux seins plantureux, blonde, aux cheveux courts, 1,70 m.

Sans attendre, le gros mandrin de Jean Hubert s’enfonce dans mon anus vierge, jusqu’aux testicules. Je gémis, mais je suis fessée par Anne Caroline.

- Inonde la, elle attends que cela.

Je caresse mon clitoris tendu, pour découvrir le plaisir anal. Je sens les longs jets de sperme chaud. Je suis pantelante. Je dois sucer et avaler Jean Hubert. J’obéis, les fesses brûlantes par les fessées d’Anne Caroline.

J’ai droit à un objet froid dans mon anus encore ouvert, rempli de spermes. Je ne peux l’expulser. Je monte me doucher.

Je suis prise d’une envie de me masturber, ma chatte est en feu, par cet objet que je tente d’expulser.

Alban me rejoint sous la douche. Je le suce. Il libère mon anus et me penche en avant, pour m’enculer.

- Tu aimes ça, ma coquine. Ce n’est pas la première avec Jean.

- Continue, j’ai l’œillet en feu. Fesses-moi.

Pierre nous rejoint. Je le suce. Il m’encule dans l’instant, toujours penchée en avant.

- Oui, Pierre, encore, je vais sucer Alban.

- Tu vas me faire éjaculer.

Un violent orgasme anal me terrasse, sans me caresser.

Pierre éjacule aussi dans ma bouche. J’avale tout.

Je me sèche. Je m’occupe de mes deux amants.

De retour, vêtue d’une robe au décolleté en V, blanche, courte sur mon corps nu, le bijou en place, chaussée de mules à petits talons, les cheveux libres, je goûte avec les invités.

Je savoure ma religieuse au chocolat. Je suis encore toute comblée de mes sodomies avec Alban et Pierre. Anne Caroline me drague :

- Je pense que tu étais aller pleurer dans ta chambre après tes fessées. C’est vrai, que tu es grande, 18 ans déjà. Une grande fille ne pleure pas. Chéri, tu as vu comme son écrin brillait au soleil, lors des fessées. Elle est une adepte des fessées. Tu n’as pas de mal pour t’asseoir. Soulève ta robe.

Je me lève, après avoir fini mon assiette et je soulève ma robe, exhibant mes fesses encore un peu rougies et brûlantes.

- Elle en veut encore. Cul nu, avec ton bijou, du sperme coule de ton œillet, tu es sacrément excitée. Les mains sur la tête et je vais te corriger.

- Anne, s’il te plaît, dis-je, en restant les fesses nues exhibées, la robe tenue par Anne.

Les fessées reprennent et redoublent d’intensité. Je ne pleure pas, mais je mouille abondamment.

- Anne, dit Hermine, tu cesses de corriger ma fille.

- Non, ta fille est une vicieuse toute trempée, comme on la fesse. Chéri, vient l’enculer et on s’en va ensuite. Dans une semaine, on se voit chez moi, pour divers services, Shawn la vicieuse.

Jean m’écarte bien les fesses, m’encule, l’anus bien lubrifié. Je jouis sous ses caresses de mon clitoris tendu à l’extrême par des gouttes d’un parfum mystérieux.

Il éjacule dans mon anus et me laisse, l’anus rempli par le bijou.

Le couple me fait la bise et repart dans sa Porsche 911 cabriolet.

Pierre tente de me consoler, pose sa main sur mon genou quand je me rassois, les fesses brûlantes.

Je pleure un peu, les larmes que j’ai retenue devant Anne.

- Ma chérie, va te doucher, te reposer et revient pour préparer le souper.

- Oui, je vais me reposer.

Je monte dans ma chambre, me déshabille, regarde mes fesses rougies dans le miroir.

Je regarde mon téléphone portable que j’ai laissé éteint depuis mon arrivée. Je cherche le mot fessée.

Je trouve des vidéos. J’en regarde une et je suis excitée de voir la fessée administrée à une jeune fille de mon âge. J’en mouille et je me caresse la chatte humide.

Je me douche, des images de fessées me submergent. Je jouis, tout en faisant entrer et sortir le bijou de mon anus en feu.

Je m’allonge nue, sur le lit, sans maquillage.

Peu avant la préparation du souper, Alban me rejoint.

- Anne t’a corrigée. Mais tu mouilles quand on te fesse.

- Oui, je l’ai découvert. Même quand je regarde des vidéos de fessées. Cela m’excite. Il faut me fesser plus souvent. Prends-moi, j’ai trop envie.

Alban retire le bijou et m’encule, allongée sur moi, les cuisses relevées sur mes épaules, cuisses écartées.

- Oui, encule-moi à fond. Encore…

- Tu es une vraie jouisseuse anale. Je vais te remplir.

Il éjacule en moi, je le suce. Je me douche avec lui et nous préparons le repas. J’ai remis ma robe.

Pierre et Chantelle soupent avec nous. J’éprouve de la fierté à avoir été fessée. J’en mouille rien qu’en repensant à ce moment.

Le soir, je m’endors, nue, après une longue douche jouissive.

Je me fais une dernière vidéo de fessée, pour mes rêves érotiques.

Pierre m’embrasse sur la bouche avant de partir, rejoindre Hermine dans sa chambre. J’ai gardé mon bijou, que je fais aller et venir, sans le sortir totalement. Mon clitoris est bien gros comme une cerise. Mes mamelons sont saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles.

Pendant ma courte nuit, en sueur, sur les draps humides de ma mouille abondante, je me vois fesser, enculer par de gros sexes, suçant les mêmes. Je suis en plein délire.


13 juin

Vers 3 heures du matin, en sueur, je me lève, me rafraîchis.

Pierre me rejoint. Je le suce et il m’encule, l’anus libre. Je me retiens de jouir, allongée sur le ventre, cuisses écartées.

Je le nettoie. Je me rendors, comblée.

Au lever du soleil, je vais chercher la livraison de viennoiserie. Je ne vois pas le chauffeur.

Je prépare le petit déjeuner, vêtue d’une nuisette de satin gris, sur mon corps nu, pieds nus, les cheveux coiffés, sans maquillage.

Pierre m’accompagne pour le petit déjeuner. Je me douche, met une petite robe estivale blanche sur mon slip de dentelle blanche transparente, seins nus, avec mes nu-pieds, coiffée de ma queue-de-cheval, fardée, parfumée.

Chantelle est partie peu avant, après un long baiser langoureux sur ma bouche et une dernière caresse de ma chatte doigtée. J’ai joui énormément.

Je monte à vélo, la côte menant à la boulangerie, avec un bel orgasme. Je descends de vélo, pantelante. Je pose mon vélo et je fais quelques achats complémentaires.

Une séduisante beauté brune aux cheveux courts, 19 ans, 1,80 m, en tablier, me regarde.

- Shawn, tu rêves. Tu me payes.

- Oui, voici la monnaie, c’est toi, Prudence. Tu as beaucoup changé depuis la dernière fois.

- On se verra à la fin du service.

De retour à la villa, je surprends Pierre enculant Chantelle, dans le salon.

Nue, je les rejoins et je suce Pierre entre deux sodomies jouissives. Bien sûr, Chantelle m'autorise à être enculée aussi, pour avoir mon du.

J'ai droit à de longues fessées, pour rendre la sodomie plus jouissive.

Prudence nous rejoint.

Elle m'invite dans ma chambre.

Elle soulève sa jupe et exhibe un mandrin de bonne dimension. Elle m'avoue:

Je suis ton cousin. Je suis devenue femme pour te séduire.

Je peux te sucer.

Bien sûr, tu es devenue une superbe beauté. Tu pratiques l'anal, ainsi je pourrais t'enculer autant que je le désire.

Prudence éjacule dans ma bouche, juste avant l'arrivée de Chantelle.

Prudence s'éclipse, mais elle m'a laissée son adresse.

Libre au lecteur d'écrire la suite de cette histoire.


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